Je ne m’étais même pas rendu compte que c’était le dernier tome de la saga ! Non, mais je vous jure… Et pourtant le dixième le laissait bien présager, et j’ai bien dû lire l’information quelque part... mais oubliée depuis… Du coup, aucune pression à l’entamer, ni la petite angoisse de quitter une série que l’on a beaucoup aimée. Et c’est plaisant. J’ai pu apprécier ma lecture du début à la fin, et je dois dire que Keiko Iwashita a très bien su conclure Mon coloc d’enfer.
Dans le tome dix, nous avions quitté Miko sur une note plutôt triste, car Jun, à cause de son travail, avait plus ou moins zappé l’anniversaire de notre jeune héroïne. Avec la distance que le couple avait prise suite au déménagement du designer, cela faisait beaucoup. Sans compter que Ryo décide de faire sa déclaration alors que Miko n’est pas au meilleur de sa forme. Pas vraiment le début d’un tome que l’on apprécie, surtout lorsqu’il s’agit d’un shojo… Mais Keiko Iwashita ne nous laisse pas tomber, bien au contraire.
Je ne suis pas vraiment fan des triangles amoureux, en grande partie parce qu’il y a toujours quelqu’un qui, on le sait, va souffrir. Mais parfois, avouer ses sentiments à l’autre même s’ils ne sont pas réciproques permet de passer à autre chose. Ryo avait toujours été un peu effacé, voire parfois légèrement froid avec Miko, mais il était aussi une présence réconfortante et les deux personnages avaient fini par tisser des liens au fil de l’histoire. Et je m’étais attachée à Ryo, je ne voulais donc pas voir le seul membre de la coloc encore célibataire souffrir… Et ici, je trouve que même si la situation est difficile, elle permet d’éclaircir beaucoup de choses. Je dirais même que la mangaka rend hommage à Ryo d’une certaine façon. J’ai adoré la première partie du tome onze, et surtout la sortie que font les deux amis. On les voit tous les deux sous un tout autre angle, et le fait d’être ailleurs, va leur donner la possibilité de parler plus librement. Mélancolique, triste, mais aussi très joli et doux, avec cette petite touche d’humour que j’aime particulièrement.
La suite est, je pense, ce à quoi tout le monde s’attendait. Il n’y a pas réellement de surprises. C’est plus un aboutissement, le résultat d’une attente de dix tomes ! C’est mignon, comme l’a toujours été la série, drôle et tendre. Keiko Iwashita continue aussi à nous montrer ce que la collocation a pu apporter à tous ses héros. Ces moments si particuliers, cette famille que l’on se construit, cette sensation de sécurité et de partage. Il y a un peu de nostalgie, mais on ne sent pas la même tristesse que lors des autres départs, je trouve. C’est une tranche de vie que nous offre Mon coloc d’enfer, bien plus qu’une romance. L’un de va pas sans l’autre, je sais, mais je trouve que la colocation a toujours eu une place spéciale dans le manga et qu’elle n’était jamais étouffée par les sentiments amoureux des colocataires.
Pour mon plus grand plaisir, nous avons droit à un saut dans le temps qui nous permet de voir ce que nos héros sont devenus, et fermer ainsi la boucle de cette histoire attendrissante, amusante et pleine de bonne humeur. J’ai été heureuse de voir grandir Miko et de suivre son évolution. Mon coloc d’enfer a été un petit rayon de soleil, original avec ses moments de rire, et de pincements au cœur, mais toujours accompagné d’une positivité qui fait un bien fou. Et c’était tout ce que je cherchais avec ce shojo.
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Purement acheté sur un coup de tête. J'avais rapidement vu sur les réseaux sociaux le résumé, le graphisme me plaisait bien, et j'avais envie de retrouver une romance sans prise de tête après avoir fini Rainbow Days. D'autant plus que j'ai repris goût à lire des mangas dernièrement, alors je me suis lancée sans trop d'hésitation. Il faut dire que j'ai la chance d'en trouver qui me plaisent vraiment en ce moment, pour mon plus grand plaisir. Et avec Mon coloc' d'enfer, j'ai tout de suite accroché.
Shojo qui sort un peu de l'ordinaire car notre héroïne, bien que lycéenne, se retrouve à vivre en colocation avec de jeunes adultes. Pas de grosses différences d'âge, mais assez pour qu'il y ait un décalage et des préoccupations différentes. Ce côté un peu décalé est tout à fait plaisant, bien que l'ensemble ne laisse pas trop de place à la surprise, mais franchement, ce n'est pas quelque chose qui me dérange. Comme je l'ai dit, pour moi, Mon coloc's d'enfer est une romance sans prise de tête, et c'est très bien comme cela. Pour ma part, j'attends de voir comment les deux personnages principaux vont évoluer et si tout cela se passe dans une ambiance mignonne et drôle, cela me conviendra parfaitement.
Premier tome d'introduction donc, où l'on découvre principalement Miko et Jun. Il y a pas mal d'autres personnages secondaires, mais pour l'instant, ils sont assez mis de côté. J'espère que, par la suite, ils auront aussi leur moment de gloire et qu'ils ne serviront pas juste de faire valoir, ce qui serait dommage car je suis assez curieuse envers un ou deux. Nos deux héros sont tout de même à la hauteur, ne vous inquiétez pas. Si Miko est une jeune fille plutôt typique des shojo, un peu naïve et adorable, Jun lui est loin du brun ténébreux qui pourrait faire chavirer les coeurs. Ok, physiquement, c'est un play-boy, mais au niveau caractère... c'est une toute autre chose. Assez soupe au lait, se mettant en colère facilement, il est du genre un peu lunatique mais qui a un coeur de nounours. On ne sait pas trop sur quel pied danser avec lui, et cela fait tout son charme. Je le trouve adorable, car il a un côté gamin sans s'en rendre compte et au final, malgré leur différence d'âge, je pense qu'émotionnellement parlant, si le couple se forme à un moment donné, cela ne posera pas de problème.
L'ambiance est bonne enfant, si bien que je ne sais pas à quel point Keiko Iwashita exploitera cette différence d'âge justement. Je suis assez curieuse de voir comment les japonais peuvent appréhender ce genre de situation, et quel regard ils ont dessus. Pour ma part, cela ne me choquerait pas plus que cela. Nous ne connaissons pas vraiment les âges de nos deux héros, mais je dirais qu'ils n'ont pas plus de cinq ans de différence. Jun vient juste de nous être présenté, mais je pense que c'est quelqu'un de respectueux et qui ne profitera pas de Miko. Mais il reste un adulte et pas notre jeune héroïne... Donc à voir. Je ne voudrais pas non plus quelque chose de prise de tête, trop en décalage avec l'univers qui nous est présenté, mais je n'aurais rien contre quelque chose de "réaliste" non plus. L'équilibre entre les deux pourrait être difficile, et je ne connais pas assez la mangaka pour savoir vers où elle tendra son histoire.
Un premier tome réussi pour moi. Il plante bien le décor et les personnages sont attachants. Je regrette peut-être juste la dernière planche que je trouve assez prématurée même si l'auteur nous le fait bien ressentir. A voir comment cela va se goupiller, mais clairement, une série à suivre.
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Je ne sais pas trop quoi penser de cet avant dernier tome. J'ai beaucoup aimé ma lecture et encore une fois Keiko Iwashita arrive très bien à faire ressentir cette union au sein de notre cher collocation, mais j'avoue que je trouve l'un de ses choix un peu cruel envers trois de ses personnages. Elle met toujours beaucoup de douceur et de réalité dans les différentes relations qu'elle met en scène mais jusqu'à présent, il y avait toujours plus ou moins eu aussi cette "légèreté" si je puis dire. Nos héros grandissent et mûrissent, et l'histoire avec. C'est un peu comme sortir du doux cocon de l'enfance.
Mais revenons un peu au début. On retrouve Jun et Miko qui entame une nouvelle étape de leur relation. Le jeune designer a quitté la coloc et on sent qu'il veut vraiment lancer son affaire et aussi continuer à construire quelque chose avec Miko. C'est adorable de les voir tous les deux encore tâtonner et s'adapter au départ de Jun. La jeunesse de notre héroïne est palpable mais on arrive sans mal à voir cette relation grandir et comme c'est quelque chose qu'on attendait depuis longtemps, ces passages sont comme être sur le même petit nuage qu'eux.
Ils ne sont d'ailleurs pas le seul couple mis en avant dans ce dixième tome de Mon coloc d'enfer. Ken et Asako ont des choses à régler depuis leur dernière conversation. Une toute autre dynamique, une toute autre romance. Asako a souffert de sa séparation avec son ex-mari et Ken est clairement un coureur de jupons. Pas l'homme stable que recherche la jeune femme, et clairement pas quelqu'un en qui elle peut avoir confiance. Et pourtant, on sent qu'il y a quelque chose de fort entre eux. Mais on a tendance à se protéger face à la souffrance. Entre écouter son coeur et sa tête... Si le traitement est plus adulte, même si clairement nous sommes toujours dans une ambiance douce et positive, cela offre de très forts moments et l'occasion aussi à Miko de voir que la vie d'adulte n'est pas facile. Ses moments de complicité avec Asako sont d'ailleurs des petites rayons de soleil. Les relations entre les personnages sont clairement un point fort de la mangaka. Elle sait les exploiter autant visuellement que scénaristiquement.
Mais voilà, elle ne peut s'empêcher de continuer à développer son triangle amoureux. C'est un procédé que je n'aime pas, comme beaucoup de lecteurs. Pour ma part parce que je sais qu'une personne, voire plusieurs vont souffrir. Et quand on est attaché à des personnages ce n'est pas ce que l'on veut voir. Ici, je trouve qu'elle permet à l'un de ses héros d'aller au bout de son histoire. Les événements font qu'indéniablement il y a un rapprochement entre deux protagonistes. La vie se montre moins douce et on sent petit à petit que le train déraille. C'est normal, en un sens, car c'est aussi cela grandir, mais encore une fois, c'est assez difficile même si Miko fait preuve d'une positivité incroyable.
La fin du tome nous laisse devant une scène poignante et un tournant. Difficile de le refermer avec sérénité. J'ai personnellement confiance dans les choix de la mangaka car jusqu'à présent, elle s'est montrée juste avec ses personnages, mais il y a ce petit doute qui persiste. L'attente va être très très longue...
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Encore un tome tout doux avec une touche de mélancolie, et qui fait également avancer un point qui nous intéresse tous : la "romance" entre Jun et Miko. Le terme romance étant bien entre guillemets parce que pour l'instant, nous n'avons pas l'ombre d'une relation amoureuse, même si certains gestes de Jun penchent de ce côté-là. Mais il y a dans ce tome de Mon coloc d'enfer une début de prise de conscience, si l'on peut l'appeler ainsi. Le prochain volume devrait être plutôt intéressant d'ailleurs. Je l'attends avec impatience.
Nous nous retrouvons à la fête du lycée de Miko où Jun et Ryo font leur apparition. Si ce dernier s'échappe rapidement, notre designer grognon, lui reste pour faire plaisir à Miko. Comme on peut s'y attendre, nous avons droit à des scènes attendrissantes et toute mignonnes. Jun se montre très protecteur, comme à son habitude, et certains y voient une attitude de "parent d'élèves"... Moui... Comment dire... Non... De petite ami jaloux, plutôt. Mais encore une fois, c'est un adulte de vingt-sept ans, et je pense que lui comme la professeur principale de Miko cherchent à cacher cela derrière une situation plus "convenable". Bien que franchement, je ne vois pas Jun profiter de Miko, même s'ils sortaient réellement ensemble. C'est quelqu'un d'intègre et de protecteur, et cela se voit clairement. Les deux héros ont d'ailleurs une conversation concernant l'âge dans un couple. Une perche tendue que Miko attrape sans hésitation. Jun lui se montre plus sur la réserve, mais pointe aussi du doigt que notre jeune héroïne va bientôt avoir dix-huit ans et quitter le lycée dans un an (une éternité pour la jeune fille).
On en arrive à un point où il y a tellement d'indices qui prouvent que Jun est amoureux de Miko qu'on a envie de lui crier dessus ! Et en même temps... tout cela le perturbe. C'est une attitude encore une fois raisonnable et naturelle, sans compter que vu leur situation, il est clairement possible que ses sentiments ne soient au final pas amoureux mais seulement protecteurs. Bien que j'ai du mal à y croire à 100%. Mais j'aime beaucoup le choix de la mangaka d'installer ce doute. Miko ne le vit pas mal au final, et cela permet vraiment de voir se construire cette relation de façon plus "crédible" dans le sens où encore une fois, nous parlons d'une lycéenne et d'un adulte.
Le départ d'un des membres de la colocation va aussi mettre en avant des sentiments. Là encore, Keiko Iwashita nous montre aussi une part de réalité. Les colocataires sont destinés à partir à un moment où à un autre, car leurs vies évoluent et changent. Miko est très bouleversée vis-à-vis de cela. Perdre un membre de sa nouvelle famille est triste, mais elle projette aussi sur Jun. Et elle devient émotionnelle notre petit bout de femme. J'en avais presque les larmes aux yeux. c'était touchant, mais aussi une leçon de vie. Et également, un point culminant pour le manga selon moi, car un troisième luron fait son apparition dans notre "romance". Un parti plus accessible pour Miko et qui, elle le découvre, fait aussi battre son coeur. Alors, je ne suis pas fan des triangles amoureux, mais clairement ici, cela va potentiellement faire bouger les choses, et c'est l'élément déclencheur que j'attendais avec impatience.
La fin nous laisse sur un Jun interdit qui voit son petit monde bouleversé par une répartie bien placée. Sadique de la part de l'auteur, mais absolument parfait.
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Que j’aime ce petit shojo tout doux. J’aime sa bienveillance, sa douceur, son côte fleur bleue et positif. Après neuf tomes, Mon coloc d’enfer ne me lasse pas. Entre les histoires d’amitiés et d’amour, c’est mon petit moment « rayon de soleil » comme avait pu l’air Rainbow Days.
Et pourtant, le manga n’est pas tout rose, il y a clairement une note de nostalgie et de tristesse qui s’installe petit à petit, mais j’y vois aussi le fait que nos héros grandissent, qu’ils se décident à quitter le nid douillet où ils se sont sentis en sécurité pour affronter le monde et donner vie à leur rêve. Alors oui, les départs qui se profilent doucement ne sont pas faciles à voir, mais encore une fois, il y a quelque chose de tellement positif derrière qu’on se dit que même si c’est la fin d’une époque, c’est aussi l’occasion de se créer sa propre vie et d’aller de l’avant.
Côté romance, j’avoue être un petit peu frustrée par la décision de Jun, même si elle est toute à son honneur. Attendre que Miko soit majeur pour vraiment sortir avec elle, c’est très respectueux. Mais tiendront-ils jusque là ? En tout cas, Keiko Iwashita nous donne quand même des scènes absolument adorables pour nous faire patienter. J’ai particulièrement adoré quand Miko fait une drôle de tête sur le pas de la chambre de Jun pour lui remonter le moral. J’ai parlé de respect juste avant, et cette scène qui est certes très mignonne, montre aussi que les deux jeunes gens ne sont pas obligés de cacher qui ils sont. Ils sont honnêtes l’une envers l’autre, et ils n’ont pas besoin de faire semblant. Encore une fois, un message super positif depuis le début.
On en apprend d’ailleurs un peu plus sur Jun et son arrivée à la coloc. Je ne m’imaginais pas du tout cela, en le voyant aujourd’hui, mais cette découverte le rend encore plus sympathique. On voit également la place qu’il a pris dans cette petite famille, et combien cette colocation a fait du bien à tous ces occupants.
De nombreux changements vont avoir lieu. C’est assez perturbant et un peu effrayant aussi, car après neuf tomes, je m’étais habituée à une certaine dynamique. Mais je fais confiance à la mangaka qui depuis le début a très bien su gérer son histoire.
Mon coloc d’enfer a vraiment su gagner mon cœur et je me rends compte combien j’aime voir grandir ces personnages auxquels je me suis beaucoup attachée. La positivité qu’a choisi de mettre en avant Keiko Iwashita y fait aussi beaucoup. Surtout de nos jours, la douceur que l’on ressent à chaque page est un petit baume au cœur.
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Mon petit moment de douceur et de sourire. Mon coloc d’enfer reste vraiment un shojo que j’aime toujours autant, qui apporte une dose d’humour et de bonne humeur, tout en jouant sur la délicatesse des sentiments de ses personnages. Bref, si vous avez besoin d’un petit rayon de soleil, lancez-vous.
Mais revenons un peu à ce tome sept de Mon coloc d’enfer. Je dirais que les choses avancent pas mal. Le problème dans ce genre de shojo, c’est que très souvent, quand on a cette impression, l’auteur arrive à nous incruster un élément perturbateur qui jette à néant le peu d’avancée qu’on a. Donc, restons prudents, même si ici les sentiments de chacun est de plus en plus précis.
On assiste à un carré amoureux, plus qu’un triangle en soi. Ce n’est pas forcément ce que j’apprécie le plus. Les personnages tergiversent, en général, il y a des quiproquos, des personnes vont forcément être blessées… Bref, pas l’idéal. Mais ici, dans mon Coloc d’enfer, Keiko Iwashita ne choisit pas le modèle classique. Jun et Miko sont vraiment conscients de leurs sentiments, et il y a des petites avancées sur leur relation. Des malentendus vont perturber cette petite avancée, c’est à n’en pas douter, mais je ne vois pas les deux autres protagonistes leurs mettre réellement des bâtons dans les roues. Et franchement, j’espère ne pas me tromper parce que je trouverais ça, mais d’un nul… Il y a tellement à développer maintenant que rester dans cette structure trop classique, me gênerait vraiment.
Ce que j’ai vraiment apprécié par contre, c’est les prises de conscience et aussi cette envie des quatre personnages d’aller de l’avant, d’avouer enfin à ceux qu’ils aiment leurs sentiments. Il est vrai que depuis le début, rien n’avance, en partie à cause de cela. C’est normal, car la peur de se faire rejeter est bien présente et réelle, et je trouve cela bien car on reste dans un côté réaliste, surtout vu les situations de chacun. Il y a donc des déclarations qui vont chambouler plein de choses. Reste à savoir dans quel sens ! Le suspens total.
Les périodes des fêtes font que nos colocataires se réunissent. Si l’événement est festif, il entraîne aussi pas mal de tristesse vis-à-vis de Miko. Je n’ai pas aimé la voir ainsi. Elle se sent isolée, déstabilisée. Cette fragilité me fait un peu peur d’ailleurs… Pas qu’elle se fasse du mal, attention, mais qu’elle agisse sous le coup de l’émotion. C’est un risque à prendre, et que j’accepte, car cela met bien en avant son jeune âge, et aussi ses sentiments. Encore une fois, cela rend la situation plus réelle. Et c’est aussi ça, la vie de colocataires. Il faut garder à l’esprit que chacun peut partir, à un passif, et que la bulle peur éclater à n’importe quel moment.
Ce tome de Mon coloc d’enfer est plein d’émotions, et est pour moi un tournant de l’histoire. Beaucoup d’éléments font que les personnages vont devoir prendre des décisions, et que leur destin risque d’être chamboulé. J’espère juste que cela ne signifie pas des petits cœurs brisés.
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Avec la déclaration de Miko à la fin du tome un, qui vient tout de même très rapidement, je me demandais comment la mangaka allait gérer les choses… Et, c’est plutôt bien fait, je l’avoue. Tout en gardant cette trame d’amourette d’adolescente, Keiko Iwashita poursuit son bout de chemin en alliant les petits tracas de tous les jours et les moments entre colocataires. On reste dans une ambiance bonne enfant, toute douce et mignonne tout plein.
Miko reste bien entendu au centre de toutes les petites aventures que l’on voit, même si ses colocataires sont présents. On arrive un petit peu à les connaître grâce à cela, mais ça reste encore très superflu. D’une part, c’est réaliste car je ne pense pas que l’adolescente les côtoie assez pour les connaître plus, mais d’un autre côté, j’aimerai quand même qu’ils soient plus exploités. Jun mis à part, cela va de soi. Il n’en reste pas moins que notre héroïne est adorable et que c’est un plaisir de la suivre. Son seul défaut est qu’elle a souvent besoin d’être sauvée. Et bien entendu, c’est Jun qui arrive à la rescousse quasiment à chaque fois.
Cela devient redondant, surtout dans ce tome deux. Mais, je tempère quand même car cela permet aussi de construire leur relation et de comprendre que Miko soit tombée si rapidement amoureuse. La complexité de la chose fait que de un, cette bienveillance peut porter à confusion, de deux, le fait que Miko se retrouve sans ses parents à un âge où on a encore besoin d’eux fausse ses sentiments. Il y a quelque chose entre nos deux héros, c’est indéniable, mais est-ce vraiment de l’amour ? Je ne serai absolument pas contre, mais en même temps, je me dis que ce serait chouette que cela ne soit qu’une erreur, et que plus tard, peut-être on en arrive à une réelle relation.
Je n’avais, de plus, pas tilté que Jun avait vingt-sept ans, soit dix ans de plus que Miko. Je le croyais beaucoup plus jeune. Et là, je me dis que même si le jeune homme a un côté très enfantin et pas tout à fait mature à certains moments, ce faussé pourrait être un obstacle. Encore une fois, comme je le disais dans le tome un, je serais curieuse de voir comment la mangaka gèrerait une telle situation vis-à-vis de sa culture. Je n’en serai toujours pas choquée, même avec cette prise de conscience, mais encore une fois, Miko est très jeune.
Ce second tome est toujours aussi charmant, et c’est un moment feelgood que j’apprécie énormément. La dernière scène nous laisse encore une fois sur un événement qui risque de tout bouleverser, mais je ne me fais pas trop de châteaux en Espagne…
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J’ai mis un peu de temps avant de me lancer dans ma lecture… je ne sais pas pourquoi mais après la fin du tome sept de Mon coloc d’enfer, j’avais sans doute peur de voir encore une fois se profiler un carré amoureux. Je déteste déjà de base les triangles, alors les carrés, je vous en parle même pas. Mais à force de lire des avis plutôt positifs sur ce tome, je me suis dit qu’il serait temps quand même… Bon, j’ai clairement loupé l’ambiance de Noël qui aurait été parfaite avec ma lecture mais bon, c’est un détail !
Nous avions quitté Miko toute tristounette. La fête qu’elle avait si durement organisée n’a pas été une réussite pour elle, et voir sa prof, la fameuse ex de Matsunaga, se pointer et faire sa déclaration… Franchement, j’avais autant le moral dans les chaussettes que notre héroïne. On a beau savoir que cette déclaration ne mènera nulle part, la mangaka arrive tellement bien à nous faire ressentir la peine de notre petite Miko que c’était dur à voir. Donc, pas le mood idéal pour commencer ma lecture du tome huit de Mon coloc d’enfer.
Et pourtant, je n’aurais pas dû douter. Keiko Iwashita a l’air d’une auteure qui a plutôt envie de voir sourire ses personnages (vous savez, pas le genre sadique avec ses lecteurs, quoi). Du coup, dès les premières pages, on retrouve cette douceur, et cette envie de sourire avec des rencontres imprévues, les tentatives ratées de Matsunaga de consoler les autres, et cette ambiance amicale et chaleureuse de la coloc. Alors oui, il y a des tensions et tout le tome n’est pas rose, mais c’est aussi cela la famille. Il n’y a pas que des bons côtés et parfois on se tire dans les pattes.
Mais on finit par se réconcilier, par passer au-dessus, par se parler tout simplement pour comprendre l’autre. Alors oui, il y a des tensions, mais aussi plein de douceur, et c’est avant tout pour cela que je lis Mon coloc d’enfer. Pour cet effet cocon. Et absolument adorable.
Il y a aussi une « grande » avancé entre Matsunaga et Miko (ENFFFIINNN !!!!). Bon, ne nous réjouissons pas trop vite, le garçon est un gentleman… donc on va je pense encore trépigner, mais on avance. Il faut se contenter de cela pour l’instant, même si je mourais d’envie d’avoir un bon dans le temps dans le tome neuf. Mais j’ai aussi hâte de voir comment ils vont gérer cela, et comment leurs entourages vont appréhender tout cela.
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Maintenant que l’on sait à quoi s’attendre avec Mon coloc d’enfer, à savoir un shôjo classique, je vais le prendre avec beaucoup plus de légèreté. Bien que des sujets plus adultes soient traités, notamment avec le monde du travail, au niveau de la romance, je ne m’attends plus à une exploitation de la différence d’âge de façon « complexe ».
Ce n’est pas quelque chose de négatif pour moi, loin de là. Mon coloc d’enfer est vraiment ce genre de shôjo très mignon, avec un graphisme qui colle parfaitement, et qui donne le sourire avec des situations cocasses, et une ambiance très souvent toute douce.
Dans ce tome trois, Matsunaga et Miko continuent leur petit bout de chemin, avec des moments où l’on sent que leur relation va basculer et au final… rien n’arrive ! L’histoire vient à peine de débuter, donc c’est tout à fait normal mais à chaque fois, je tombe dans le panneau ! Les deux héros sont encore très mis en avant d’ailleurs. Matsunaga a un nouveau contrat très important, et on voit un peu plus sont univers professionnel. C’est intéressant car c’est surtout là que l’on voit qu’il est un adulte de vingt-huit ans, et qu’il a une certaine maturité.
D’ailleurs en parlant de maturité. Miko décide de prendre un petit boulot. Bien que ce soit pour Matsunaga, je trouve sympathique de la voir prendre ce genre de décision et de se lancer dans de nouvelles aventures. C’est un pas de plus vers l’indépendance. Ryo est de la partie d’ailleurs. Je n’ai mais alors absolument pas compris son comportement avec Miko. J’espère qu’on aura une petite explication, mais j’ai eu l’impression de voir un tout autre personnage et cela a été assez perturbant. Affaire à suivre donc.
Et toujours dans la vague de maturité, Matsunaga fête ses vingt-huit ans ! Toute cette partie était vraiment choupinette, surtout que l’on voit toute la collocation mettre la main à la pâte, et c’est aussi ce qui fait le charme du manga, cette communauté.
Bien entendu, la mangaka finit Mon coloc d’enfer comme d’habitude, en nous mettant une petite phrase qui nous donne encore l’impression d’une avancée. Mais je vois le coup venir ! Ou alors, c’est une feinte et il va réellement se passer quelque chose… Keiko Iwashita sait jouer avec nos nerfs…
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De retour avec mon petit shojo du moment tout mignon et qui redonne un peu de soleil à mon quotidien : Mon coloc d'enfer ! Et dans ce quatrième tome, même si Keiko Iwashita nous fait encore languir, il y a des événements qui peuvent potentiellement faire avancer la situation. Oui, je reste prudente parce que depuis le début, les moments où l'on croit que tout va basculer sont légion et... bah, il y a rien eu...
Si pour Miko nous n'avons aucun doute concernant ses sentiments, il n'en est pas de même pour Matsunaga. Même s'il y a des moments où ses gestes sont ambigus, il n'en reste pas moins que cela peut aussi s'apparenter à un côté protecteur « grand-frère ». Franchement, j'en arrive à un point où je pense que Matsu a des sentiments pour Miko mais qu'il est incapable de les comprendre (et nous non plus). Ce côté un peu "immature" fait qu'on arrive bien à les imaginer tous les deux ensemble, avec des obstacles certes, mais rien d'insurmontable. Mais, est-ce vraiment de l’amour et pas simplement de la tendresse ?
Le plus drôle étant que tout le monde mais alors tout le monde s’est rendu du compte qu’il y avait quelque chose… Classique ! Tout comme les malentendus qui se succèdent. Mais même si c’est un procédé qui est très courant dans ce genre de shojo, j’avoue que cela ne me dérange pas. C’est très mignon et doux, avec de bons sentiments. C’est ce que je demande avec ces lectures là, donc je ne me plains pas.
J’aime aussi la petite dose d’humour qu’il y a de temps à autre. Cela donne un peu plus de légèreté qui contrebalance avec les moments où nos deux héros cogitent et se prennent la tête. D’ailleurs je sens que malgré l’évolution positive que l’on voit ici, Miko prenant enfin les devants, certes de façon discrète mais quand même, de nouveaux soucis vont se présenter. L’introduction d’un nouveau personnage risque de chambouler pas mal le quotidien de nos colocataires. D’ailleurs, on notera la grosse « coïncidence » que personne ne relève… Mais ça reste dans l’ambiance, donc encore une fois, cela passe tout seul.
Par contre, j’espère que Keiko Iwashita ne va pas rater cette nouvelle arrivée. Pour moi, ce nouveau personnage peut clairement être la clé qui décidera si oui ou non, notre petit couple peut se former. Il sera aussi le moyen de mettre au clair une situation laissée en suspens depuis un petit moment. Bien que j’apprécie grandement la légèreté et la mignonnerie de ce manga, il ne faudrait pas non plus gâcher l’ensemble ce qui pourrait arriver assez aisément par trop de facilité.
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Encore un tome réussi qui reste dans sa lignée toute mignonne de shojo. Je ne pense pas que l’on aura droit à une réelle analyse d’une relation telle que celle de Miko et Jun dans la réalité, j’ai fait une croix dessus, mais il n’en reste pas moins que la série me donne ma dose de petits rayons de soleil et de sourire et c’est tout ce que je lui demande en fin de compte.
Keiko Iwashita continue de nous narguer avec ce tome cinq de Mon coloc’ d’enfer, mais là encore, ce n’est pas non plus surprenant. Il y a à chaque tome de toutes petites avancées, certes, cependant si vous êtes un lecteur habitué de ce genre, vous savez aussi que les choses peuvent durer encore trèèèèèèsssss longtemps avec qu’il ne se passe réellement quelque chose. Mais tant pis, c’est mignon tout plein, et il y a même des moments qui sont plus intenses sans être liés à leur relation.
La première partie m’a fait sourire et cela fait du bien. Miko et Jun sont enfin partis au parc d’attraction, et les deux héros s’en donnent à cœur joie. J’ai toujours un mal fou à voir Jun comme un gars de vingt-huit ans, et c’est vraiment ça qui pèche un peu et en même temps qui rend crédible la relation entre les deux. Ne vous y trompez pas, j’adore le personnage. Il me fait rire et il sait se montrer sérieux et attentionné. Son côté un peu colérique et vif lui donne aussi un petit plus indéniable.
Miko reste égale à elle-même. C’est ce que j’aime chez elle plus que tout. Elle est douce, timide, volontaire. Ce n’est pas une héroïne badass (en même temps, nous sommes dans un shojo), mais elle a quelque chose de réel, en un sens. C’est une adolescente de seize ans, plus mature que la plupart de ses amies, mais qui n’est pas tout à fait une adulte. On a envie de la protéger, et elle a aussi ce don de rassembler les gens. J’adore vraiment la dynamique de la colocation et ce qu’elle apporte aux autres. C’est chou et positif.
Natsumi fait enfin son retour à la coloc. Pour moi, c’est un élément perturbateur, sans aucun doute, et elle va créer des situations compliquées. Mais par contre, j’approuve totalement le fait que Keiko Iwashita n’en fasse pas un personnage déplaisant, bien au contraire. Je l’apprécie beaucoup. Tout come Ryo qui commence à prendre plus de place auprès de Miko. On sent aussi qu’il pourrait y avoir un couac… Je suis pas fan des carré amoureux (ni des triangles) mais ici, je pense que autant Natsumi que Ryo vont apporter quelque chose à l’histoire. Et j’adore le fait qu’il n’y ait pas de négativité dans tout cela.
Mon coloc’ d’enfer continue à être une série que j’aime beaucoup, avec des codes du shojo classique, certes, mais qui apporte aussi sa dose d’originalité et de bienveillance.
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Ceci est un abandon, et je vais en expliquer les raisons. Avant toute chose : je ne souhaite offenser personne avec mon avis, je comprends que cette saga puisse plaire, il ne s'agit que de mes goûts personnels. Je tiens également à préciser que l'unique étoile est lié au fait que j'abandonne.
J'avais envie d'une lecture douce et légère, et les jolies couvertures ainsi que ce titre poétique ont fait que j'ai craqué pour ce manga. En plus de cela, il s'agit d'une duologie : que demander de mieux pour une courte lecture sympathique ? Enfin, ça, c'est la théorie. Malheureusement, je n'ai pas accroché et j'ai abandonné après 100 pages.
On suit une jeune fille, Aya, qui veut se faire transparente suite à un évènement traumatisant et aux conséquences douloureuses qui s'en suivent. Un professeur a profité de la jeune fille, l'a embrassé et s'est ensuite défilé en disant que c'était elle qui avait commencé, qui l'avait forcé. Les gens ont cru l'adulte et les élèves alimentent, non sans joie, les rumeurs la concernant. Le monde de notre personnage principal féminin s'est donc effondré (on peut aisément la comprendre), son quotidien est devenu bien terne... Elle qui avant, aimait dessiner et peindre tout en nuances. Et si sa rencontre avec Aimu pouvait changer la couleur de sa vie?
Je pensais trouver un petit peu d'originalité dans ce récit (pas trop quand même, je m'en doutais bien) mais finalement ce manga respecte les clichés shojos, du moins jusqu'à où je m'en suis arrêté. La fille qui veut se faire aussi petite qu'une souris, le nouvel éleve garçon qui va être super populaire en un claquement de doigts, et qui va défendre la fille... Vous voyez le genre? Avec des scènes typiques shojos du style ''on se connaît pas mais je te touche les cheveux sans te prévenir '', ou bien ''je te plaque contre le mur en te regardant de haut'' (j'abuse un peu mais ce genre de planche me fatigue). C'est malaisant. Je respecte bien entendu, sincèrement, les personnes adorant les shojos (il y en a vraiment des sympas !), mais il est vrai que de mon côté ce genre de scènes clichés m'horripilent. Jusque là j'essayais de continuer ma lecture, car les thèmes abordés comme : vivre sa vie et s'affirmer tel que l'on est, me plaisent beaucoup, mais malheureusement si à côté de cela s'ajoutent des sentiments amoureux en quelques jours (à moins que le temps passe vite sans qu'on nous le dise), sortant ainsi de nulle part et rendant la romance beaucoup trop rapide, et pas crédible... Je ne peux continuer, car c'est tout ce que je n'apprécie pas.
J'en suis navrée car je ne m'attendais pas du tout à cela en découvrant ce titre récent, et je me sens comme une extraterrestre car beaucoup ont aimés : tant mieux, c'est que ce manga plaît à d'autres, et je ne peux qu'enjoindre les personnes voulant le tenter d'en faire son propre avis ! :-)
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Ce manga a fait pas mal parler de lui depuis plusieurs mois. J'étais donc curieuse de le découvrir afin de comprendre son succès. Et je n'échapperai pas à la règle... moi aussi, je suis sous le charme. C'est frais, mignon, moderne... non sérieusement, c'est trop de mignonitude!!!! Il n'y a pas d'autres mots! ça change d'avoir une héroïne un peu plus jeune que le personnage masculin. D'ailleurs, ça ressemble plus à une relation de grand frère/petite soeur... pour le moment, je m'en doute. Il y a vraiment une belle alchimie entre les deux personnages principaux auquel je me suis déjà attachée, Jun étant déjanté et Miko adorable, la coloc' est sympa aussi. C'est complétement déjanté, j'ai beaucoup ri avec ce premier tome et puis, j'avais mon petit cœur qui palpitait à certains moments... je l'avoue. Je suis vraiment très enthousiaste à l'idée de lire la suite parce que ce manga vaut le détour!
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Un très joli tome, ça commence enfin à bouger sans la coloc, tant au niveau des sentiments que des événements. Dommage qu'Akane Hattori s'en aille parce que c'était un personnage encore en développement, on ne sait toujours pas grand chose d'elle à ce stade mais c'est un beau tome, toujours aussi agréable à lire. La fin laisse supposer une possible rivalité amoureuse assez intéressante. Hâte de voir ce que ça va donner !
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Je trouve l'histoire toujours aussi prenante et belle. L'héroïne et Jun évolues tout doucement, tout comme les sentiments de ce dernier, qui se retrouve d'ailleurs perdu et perplexe.
En parallèle, on en apprend un peu plus sur Asako, et on sens venir le triangle amoureux autour de Miko, mais aussi autour de Jun. Je suis sur que le nouveau personnage qui débarque dans ce tome c'est "Konatsu" !!! Et si ce n'est pas le cas, elle apportera quand même du piquant à l'histoire car je sens qu'elle est liée à une personne de la colocation.
Vivement le tome suivant !!!!
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Un nouveau tome aussi mignon et prenant que les précédents. J'adore voir évoluer la relation entre Miko et Matsunaga (ils sont trop mignon tout les deux), mais aussi avec les autres membres de la colocation.
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L'histoire est toujours aussi agréable à découvrir, chaque membre de la coloc est attachant à sa façon et on découvre enfin tout doucement les sentiments de Matsunaga. L'épisode au parc d'attraction est sympa, dommage pour le côté "alcoolo" que l'autrice donne parfois à Matsunaga sans véritable raison. Je comprends l'utilité d'une scène où il n'est pas maître de lui-même mais ça n'est pas très bien amené. De plus ça reste un peu lent et naïf en ce qui concerne les relations entre Matsunaga, Natsu et Miiko.
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