Amateur de BD et de fantasy, mais complètement novice en manga, je viens de découvrir cette série. Au vu des critiques, je m’attendais à un livre sombre et violent… le moins que l’on puisse dire, c’est que je n’ai pas été déçu !
Dans ce premier tome, on fait connaissance avec Guts le guerrier noir, ses répliques acerbes, son épée incroyable, son bras mécanique et son arbalète implacable. Pour lui donner le change, Puck, l’elfe facétieux apporte un peu de légèreté dans ce monde médiéval-fantastique où les démons semblent étendre leur emprise sur les humains, et poursuivre inlassablement notre héros lugubre.
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Comme prévu, ce tome est riche en émotions !
Guts se démène pour sauver Casca tandis que le monde sombre dans le chaos le plus total avant de donner naissance à une nouvelle ère. L'ordre des choses est complètement renversé, d'anciens ennemis semblent devenir de nouveaux alliés. On ne comprend pas tout (pourquoi Zodd l'Immortel ploie ainsi devant Griffith ?) mais on se doute que les réponses à nos questions suivront dans les prochains tomes.
Je suis très curieuse de découvrir ce que me réserve la suite de "Berserk" !
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Un tome qui commence en beauté, mais je ne vous en dis pas plus ! Même si l'histoire reste noire, j'ai trouvé qu'il y avait un peu plus d'humour que dans les précédents tomes.
Sous ses aspects de sainte nitouche, dame Farnèse cache une âme sombre et tourmentée... Guts et Puck en restent d'ailleurs bouche bée, ces deux-là sont de plus en plus proches. J'ai eu plaisir à revoir certains personnages que Guts avait quitté deux ans auparavant. Par contre, de nouvelles têtes apparaissent aussi et certaines me donnent froid dans le dos : Mozguz l'inquisiteur, par exemple.
J'ai déjà commencé le tome 18, évidemment !
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Et voila s'en est finit de la troupe du faucon, le chaos est arrivé Griffith sur le point de succomber découvre que les God Hand lui expliquent qu'il aura un rôle à jouer dans ce monde des ténèbres, il devra pour cela offrir en sacrifice ses anciens camarades, Guts tente malgré tout de survire à ce désastre mais c'est peine perdu, que faire...
Je ne sait pas où Kentaro Miura à puiser ses idées des personnages certes les god Hand sont inquiétants mais bien badass mais que dire des monstres, ils sont à la fois horribles et intriguant mais il est vrai qu'il y a qu'un seul mot pour la troupe du faucon face à ses créatures cauchemardesques : désespoir
Une nouvelle ère commence...
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On s'approche on s'approche du moment fatidique mais pour l'heure il faut sauver Griffith qui n'est plus que l'ombre de lui même, c'est le principal objectif de ce qui reste de la troupe du Faucon, entre temps nous découvrons la romance qui se développe entre Guts et Casca, ce tome nous révèle un peu plus l'univers du monde dans lequel vivent nos héros bien que certaine questions restent en suspends avec ce mystérieux chevalier squelette qui semblerait être du bon côté (à suivre par la suite bien que je trouve qu'il a la classe ce personnage), mais nos héros se retrouve confrontés à de nouveaux ennemis mais aussi un à dernière obstacle qui sera la trame principale du prochain tome. Toujours aussi noir mais possédant des petits moments d'humour fort sympathiques et commençant par un moment d'amour faisant suite à la fin du tome précédant, ce dixième tome de Berserk confirme l’œuvre culte de Kentaro Miura.
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Un tome particulièrement riche en émotions et qui diffère à bien des égards des précédents. Un tome charnière, donc ! Je savais évidemment que le départ de Guts aurait des conséquences, mais je ne savais pas à quel point. Pour la première fois depuis le début de la série, Griffith perd son sang froid... C'est tout un rêve qui s'écroule...
La psychologie des personnages est vraiment mise en avant dans ce tome. De vieilles blessures sont ravivées, il est temps pour certains de se confesser. Dans ce neuvième tome, il y a de beaux combats (avec des armes exotiques) mais aussi de l'amour (charnel, mais pas que !). La noirceur est également présente, avec notamment une scène à laquelle je redoutais d'assister (bien contente que la princesse Charlotte casse la gueule de son père, d'ailleurs).
J'ai bien envie de connaître la suite (pour voir comment évolue la relation Guts/Casca).
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On s'enfonce un peu plus dans le glauque et le sang coule à flot dans le sillage d'un Guts qui confirme sa position d'anti-héros.
Du très bon, tant au niveau du scénario que du dessin, tous deux semblant s'affiner par rapport au tome 1. Et que de questions sans réponses sur les origines de notre guerrier noir...
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Deuxième chapitre du manga éponyme, Berserk est le manga qui se déguste comme une petite madeleine de Proust, une claque graphique et un scénario en béton, certes il n'est pas à mettre entre toutes les mains car malgré sa violence, le manga possède une aura : le héros cache une profonde blessure et ressent une haine envers des démons du mal dut à un évènement de sa vie passé. Le manga possède aussi des petits moments de légèreté, et aussi un certain humanisme notamment à la fin, un très bon tome 2 qui confirme les début de ce manga devenu mythique.
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L'histoire de Guts prend un nouveau tournant. C'est un tome rempli de rebondissements ! La troupe des Faucons fait de plus en plus parler d'elle et Griffith se rapproche de la famille royale. Il se retrouve mêlé aux petites intrigues de la cour, tel un personnage des "Rois maudits" ou du "Trône de fer". Il ordonnera à Guts d'accomplir une mission très particulière. Mais tout ne va pas se passer comme prévu et ce sera un véritable choc émotionnel pour notre héros.
Ce sixième tome est également l'occasion d'en apprendre plus sur le passé de Casca. J'espère obtenir d'autres bribes d'informations sur elle dans le volume suivant, c'est un personnage féminin fort intéressant !
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Dans le précédent tome, Theresia, la fille du Comte, avait expliqué à Puck comment était son père auparavant et pourquoi il avait tant changé. Mais était-ce bien la véritable histoire du Comte ? Une autre version, bien plus terrible, nous est narrée dans ce troisième tome.
Enfin, Guts nous laisse entrevoir une faille dans sa carapace. S'en suit une plongée dans son passé, vraiment misérable. Je crois que je commence à comprendre pourquoi il est si asocial et cruel.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que son entourage "familial" n'est pas très sécurisant. Violence, mépris, manipulation,... Voilà le climat dans lequel Guts grandit. Je trouve Gambino absolument détestable et j'ai du mal à comprendre comment l'enfant peut rester attaché à lui.
La dernière scène est difficilement supportable, on devine ce qui va se passer mais on a du mal à y croire...
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Berserk est une série que je classerai au panthéon du manga. On reçoit une claque tellement l’œuvre possède un scénario mature et noir mélangeant heroic-fantasy. Les personnages possèdent un tel charisme que l'on s'attache à chacun et que on à mal pour eux dans certaines situations, mais la palme revient à Guts, le héros possède un passé sombre et il est près à en découdre avec le Mal qu'il l'a brisé.
Berserk est le manga seinen de référence et il serait dommage de passer à côté de cette épopée.
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Manga trés violent où on suit un personnage dans son voyage à travers un pays en guerre, je lu ce manga à une période où j'avais besoin de décompresser.
J'ai bien aimé l'évolution du personnage et l'histoire en général même si j'ai eu un peu de mal à suivre. Il y a aussi une partie magie qui m'intéresse.
Il faudrait que je me replonge dans ce livre.
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Les détracteurs de Berserk le qualifient souvent comme un manga bourrin et idiot, voire même manichéen, et je dois bien avouer que ça m'amuse assez de voir combien ces gens tombent magistralement à côté de la plaque ! Si les premiers tomes ne sont certes pas les meilleurs de cette œuvre, ils placent toutefois la barre très haut, et Kentaro Miura a su créer des personnages beaucoup plus travaillés qu'il n'y parait au premier abord.
Si Zondark peut être qualifié de brute épaisse, l'abandon de son humanité face à l'adversité (dans une parodie christique assez appuyée en plus, avec le ''ceci est mon corps'') est au contraire les prémices d'une critique sévère envers la religion, et ce qu'il s'agisse des bourreaux ou des victimes, placées dans une position de victimes consentantes. Moins christique, Vulgus témoigne aussi de cette charge : un lecteur peu attentif y verra une brave victime qui veut juste qu'on rende justice à sa pauvre famille, mais un lecteur plus averti saura aussi déceler le mal qui se cache au cœur de son personnage. Vulgus n'est pas noble, et les horreurs qu'il a subi n'ont pas fait de lui un saint... loin d'un pathos glamourisant le handicap, Miura charge au contraire, démontrant que la victime est un homme comme un autre, que la souffrance ne transcende pas, et que Vulgus est au final un personnage vile et lâche, qui rêve d'une basse vengeance qu'il refile bien vite à autrui. Et que dire du Comte, veuf épleuré qui se sait monstrueux et se vautre dans ses vices, à peine capable d'y résister pour sa fille. Même Puck, l'elfe mignon et plein de bons sentiments, n'y fait pas exception, et c'est Guts qui le met face à ses contradictions sans prendre de pincettes : avoir de grands sentiments et une belle moralité, c'est bien. Envoyer les autres se battre à sa place en espérant que quelques mots grandiloquents suffiront, c'est veule.
Et comme les personnages ne suffisent pas, Miura joue aussi de symboles, notamment avec ce body-horror très présent chez lui et si bien utilisé. Cette utilisation de la prothèse de Guts qui, si elle rappelle bien évidemment Cobra, vient aussi travestir la chair pour rendre le personnage plus fort.
Berserk, c'est clairement un manga sans limite, dans le sens où Miura aime justement les troubler : la limite entre le bien et le mal, la vengeance et la justice, le courage et la rancœur, la chair et le métal, la beauté et la pourriture. Loin d'être dénué de subtilité, Miura en déploie au contraire beaucoup, peut-être même trop, rendant ainsi son manga presque cryptique pour qui ne sait pas sortir des clichés farcis dans son crâne.
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La dark fantasy a bon nombre d'ambassadeur, mais Berserk est peut être celui qui c'est illustré comme étant l'un des plus grands représentant.
L'histoire sombre nous plongeant dans un profond désespoir défilant le long d'un paysage bâtit d'une main de perfectionniste et dont l'immense bestiaire ne demande qu'à apparaître pour massacré notre anti héros déjà devenu culte.
Une série qui promet un voyage hors du commun et dont on ne sortira pas indemne.
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