Citations de Kresley Cole (268)
— Tu avais deux prérequis, fit Regina en se laissant tomber sur un bourrelet de neige. Or, il me semble bien avoir des contacts russes qui étaient autrefois dans l’armée et parler la langue…
— Oh, arrête ! Il ne m’a pas fallu longtemps pour me rendre compte que c’est du pipeau intégral. Tu crois vraiment que « Dostoïevski » veut dire « Salut, comment ça va » ?
Elle cligna des yeux en regardant sa camarade passer devant elle.
— Bon… tu sais le dire, toi ?
— Non, justement !
— Alors comment peux-tu affirmer que ce n’est pas « Dostoïevski » ? Non, sérieusement.
Oui, je suis venue ici chercher des réponses auprès d'Arthur, mais j'aspirais aussi à plus - un câlin de compassion, une tape dans le dos, n'importe quelle démonstration de tendresse, si infime soit-elle.
Et pire que ça, je l'espère toujours. J'ai toujours été généreuse et aimable avec les gens par le passé, et même après le Flash - après toutes les fois où l'on a voulu me faire du mal - je nourrissais toujours cet espoir naïf que les gens voulaient eux aussi faire preuve de bonté envers moi.
Quand j'ai vu Arthur pour la première fois, avec sa franche modestie, j'ai aussitôt pensé : nouvel ami.
Aussi simple que ça.
Bon sang, combien j'ai besoin d'un ami... Mais à la place, j'ai trouvé un véritable psychopathe.
— J'aurais dû me douter que tu avais survécu.
Il descendit de sa moto avant de s'y appuyer.
— Pourquoi ça, Evangeline ?
— Les reptiles et la vermine s'en sont tirés.
En regardant la vallée par-dessus la tête blonde de Kaderin, il eut la soudaine certitude qu'il était destiné de toute éternité à se trouver là à cet instant précis, avec elle, pour la réconforter et la protéger.
Tous les choix qu'il avait faits, tous ceux qui lui avaient été refusés avaient fini par le mener à lui. Les interminables années au château, ces années de solitude et de désespoir, il était maintenant heureux de les avoir sacrifiées puisque sa fiancée lui avait été envoyée.
Le destin les avait réunis. Pour le meilleur et pour le pire. Ils étaient faits l'un pour l'autre.
- Tu m'as fait ressentir, siffla-t-elle.
Une explosion de rage avait secoué Lachlain.
Emmaline lui avait dit en le regardant droit dans les yeux qu'au fond, il était un monstre. Elle avait raison.... en partie. A présent, la bête en lui mourait d'envie de massacrer les mâles qui osaient regarder sa femelle, alors qu'il ne l'avait pas faite sienne. Il était trop vulnérable. L'instinct lui hurlait d'emmener immédiatement sa promise....
"Il attend et il souffre, offrande à une colonne de feu qui parfois s’affaiblit mais jamais ne s’éteint. Jamais. Pas plus que lui. Encore et toujours consumé par le brasier, il revient encore et toujours à la vie, car l’immortalité l’y ramène obstinément… Jusqu’au jour où elle arrive… Ce qu’il vient de flairer à cet instant précis, c’est son âme soeur, la seule et unique femme qui soit faite pour lui. Celle qu’il a cherchée sans répit mille ans durant…" .
Devant, les autres avaient ouvert le chemin, mais il insistait pour l’élargir et couper tout ce qui dépassait. Elle avait largement la place de passer.
— Mes hanches sont plus larges que je ne le pensais, ou je me trompe ?
Elle était décidément le livre le plus captivant qu'il ait jamais ouvert. Comment passer à la page suivante ?
Jeune, con et alcoolo. Où faut-il signer ?
Lanthe et moi on est exactement comme Robin des bois. Sauf qu'on ne donne rien aux pauvres.
– Parfois, on a juste besoin d’être triste ou furieux, Evie. C’est nécessaire, c’est comme ça. Mais il ne faut pas se laisser dévorer par ce sentiment et savoir revenir au bonheur quand le moment est venu.
page 332
L'inconvénient, quand les gens suivent vos idées ? La responsabilité.
page 162
Un ours n'est un ours que tant qu'on ne lui a pas caressé le ventre.
–Partout où je vais, je ne croise que des couillons complètement tarés. Je n’ai rencontré qu’une ou deux personnes solides et fiables depuis le Flash. Tu te rappelles quand tu m’as demandé comment tout avait pu changer aussi vite ? Je pense que le manque de femmes n’a fait que jeter de l’huile sur le feu.
Je levai les yeux au ciel.
–Ohhh, alors si les hommes sont méchants maintenant, c’est parce qu’ils ont, genre des « besoins » masculins ou une autre connerie de cet ordre ?
–Je ne dis pas que c’est une excuse. Je crois seulement que vous, les femmes, vous nous civilisez. Sans vous dans les parages, on… régresse, ou quelque chose comme ça.
Ah. Après tout, son explication tenait autant la route que tout ce qui pouvait me venir à l’esprit.
Page 275
À l’image d’un dangereux animal, Londres pouvait être admiré, mais sans perdre de vue les risques que l’on y prenait
-Tu m'attendras ici, si je vais chercher à manger ?
-Tu ferais ça pour moi ? Il se redressa, ses yeux gris lançant des éclairs....de fierté ?
-C'est mon devoir, désormais, petit agneau. Elle soupira.
-Je ne comprends pas. On est ennemis. On ne devrait pas...sa mais fit un aller-retour entre elle et lui. Il répondit par un clin d'oeil.
-Je ne le dirai à personne, si tu ne le dis à personne.
Quatre mois plus tard, Thronos....ne tint pas sa langue. Et Lanthe le lui fit payer cher.
-Ton père, Dustin Todd, est également connu sous le nom de Preston Webb. Le commandant de l’Ordre. Tu es la fille de l’homme le plus détesté du Mythos.
-Tu as devant toi…la meneuse de jeu….des Seattle Reign, répondit Chloé d’une voix brisée par la douleur. Mais son ton fier arracha malgré tout un sourire à Will. Sa femme était une footballeuse professionnelle. Qui aurait imaginé ça ? Puis il fronça les sourcils. Elle avait dit être avant-centre, non ? C'était le poste le plus dangereux, assurément, et c'était sans doute l'explication de toutes ses cicatrices. Elle avait pris de sacrés coups, sur le terrain.
-Tu n'es pas un peu petite, pour jouer en championnat ? Elle plissa les yeux, prit un air buté, menton en avant.
-Je fais partie de l'équipe olympique, connard. Je représente mon pays. Putain, je l'adore. Il leva solennellement une main.
-Toutes mes excuses.
-Ok, j'espère que c'est noté, grommela-t-elle. Il n'avait jamais rien vu d'aussi séduisant.
Ils se font appeler créatures du Mythos. Nous, nous les appelons juste ‘fils de pute’ .