Kusanagi Mizuho

Comme dans le précédent tome, le récit se concentre sur l'histoire des parents de Soo-won et de Yona que celle-ci découvre en poursuivant la lecture du journal intime de Yon-hi. La mère de Soo-won est le témoin de l'engrenage de violence et de crimes que rien ne semble pouvoir arrêter et qui commence avec le massacre des prêtres jusqu'à l'assassinat du roi Il et l'arrivée de Soo-won au pouvoir, dans le premier tome...



Dans un registre moins dramatique, on assiste également à la première rencontre de Hak avec Soo-won, puis avec Yona alors qu'ils sont encore enfants, mais déjà tellement semblables à eux-mêmes.



J'ai trouvé un peu dommage qu'on passe si peu de temps avec Yona, Hak et les Dragons, mais l'histoire de la génération précédente nous permet de prendre conscience de la situation inextricable où se trouvent Soo-won et Yona qui s'en tiennent pour l'instant à un statu quo alors que le jeune homme est souffrant et que des ambassadeurs étrangers sont présents au château.



J'ai donc beaucoup aimé ce trente-quatrième tome et je l'ai d'autant plus savouré que c'est le dernier disponible en français : il va falloir patienter pour savoir ce que feront Yona et les siens...

Et voilà le quarante-et-unième et dernier tome (pour l'instant) de Yona, Princesse de l'Aube et le manga est toujours aussi bon, alors que l'histoire gagne en intensité, que de nouveaux éléments importants viennent alimenter l'intrigue,...



En effet, ce tome est encore très riche, avec plusieurs affrontements : Yona et les siens on réussi à s'introduire dans le camp ennemi pour délivrer Mei Niang, mais les obstacles sont nombreux et la mission est proche d'échouer lorsque le grand méchant Tchagol intervient en personne.



Le livre s'achève sur un retournement de situation où nous retrouvons le Soo-won malin et fin stratège des débuts...



Un bon tome qui laisse deviner un prochain volume plein de suspense.

Il se passe beaucoup de choses encore dans ce tome. C'est comme si depuis deux-trois tomes, l'intrigue s'emballait et que tout se qui se préparait depuis le début de la série était mis en branle pour approcher de l'apothéose finale...



Non seulement, il y a beaucoup d'action, mais en plus presque tous les personnages qu'on a croisés au fil de la série interviennent à un moment ou un autre de ce long épisode de la guerre engagée depuis le tome 37 : les pirates dans un tome précédent et ici Lily, Ayura et Tetra qui tentent de défendre la capitale, la princesse de Shin et ses Etoiles qui viennent prêter main forte à l'armée de Soo-won, etc.



Le grand méchant, Tchagol, me rappelle un peu Voldemort dans Harry Potter : il a un côté reptilien assez glaçant avec sa bouche comme une ligne, ses yeux étirés, son crâne lisse... Et puis une des illustrations renforce ce parallèle avec un serpent...



J'ai passé bon moment avec ce quarantième tome, même si j'avoue que j'ai encore eu un peu de mal à m'immerger dans l'histoire.

C'est encore un tome très dense que nous livre ici Mizuho Kusanagi.



La bataille touche à sa fin et c'est Hak qui, pour ainsi dire, donne le coup de grâce à l'ennemi en abattant le cruel général qui menait les opérations sur le champ de bataille. Ca va presque trop vite par rapport à l'impitoyable menace qu'il représentait dans le précédent tome.



Les retrouvailles entre Hak et Yona sont très touchantes et amusantes (l'art d'avancer sans avancer d'un pouce), mais la manière dont Hak, plus mort que vif, se jette aux pieds de Soo-won pur lui remettre la milleplante qu'il a eu tellement de mal à rapporter est bien plus bouleversante.



Puis, retour à la capitale où Yeon et Mei Niang se retrouvent aux prises avec l'ennemi qui s'est infiltré dans la ville. Mais tous leurs ennemis ne leur veulent pas forcément du mal...

La frontière entre les gentils et les méchants est de plus en plus floue et ce sont ces ambiguïtés qui donnent toute sa complexité à l'intrigue.



Le tome s'achève sur un épisode bonus qui met en scène les personnages du manga dans un contexte tout à fait extérieur à l'histoire de Yona, Princesse de l'Aube.

J'ai moins aimé ce tome. Je ne peux pas dire que je suis déçue parce que l'histoire poursuit logiquement ce qui se passait dans le précédent tome avec la grande bataille attendue et redoutée.

Ce n'est donc pas une surprise, mais la guerre occupe quand même trop de place à mon goût dans ce tome : tactique militaire, bataille, provocations, cruautés,...

J'ai eu l'impression que ce tome servait surtout à montrer que la situation empire de tous côtés pour le pays de Kôka.



J'aurais juste aimé qu'il soit moins question de guerre et qu'on avance sur la question de la maladie de So-woon, des amours de Yona et Hak, etc.

Il se passe encore beaucoup de choses dans ce tome riche en rebondissements qui s'achève sur une scène déchirante (ouf, j'ai la suite sous la main).



Les combats contre le Kai du Sud s'intensifient dans la Province de Kin tandis qu'à la capitale, Kye-sook essaye d'organiser les choses pour suppléer les absences de Soo-won en projetant d'envoyer Yona et les dragons sur le champs de bataille à la tête des troupes.



La situation étant désespérée dans la province de Kin (général grièvement blessé, troupes démoralisées, attaques incessantes de l'ennemi...), Hak décide de rester sur place pour aider alors que Yeon part seul chercher la milleplante. C'est d'ailleurs un plaisir de retrouver les pirates d'Awa...



Le suspense va crescendo jusqu'au duel entre Hak et l'un des généraux du Kai du sud, duel qui se termine tragiquement.



J'ai passé un bon moment avec ce trente-septième tome qui m'a paru trop court. Je n'en revenais pas que j'étais déjà à la dernière page quand je suis arrivée à la fin du livre...

Je commence la lecture des tomes inédits de Yona, Princesse de l'Aube et c'est un vrai plaisir de découvrir ce qui arrive à Yona et ses proches. Même si Yona n'est finalement pas si présente dans ce tome.



En effet, nous suivons davantage Hak et Yeon qui, après quelques péripéties, partent en voyage pour trouver des plantes qui pourraient guérir la maladie écarlate dont souffrent Mei Niang et Soo-won. Celui-ci commence à envisager la nécessité de se trouver un successeur car ses symptômes empirent.

Nous en apprenons aussi un peu plus sur Mei Niang et sur le Kaï du sud dont elle est originaire. Là-bas, la guerre contre le pays de Kôka se prépare et la disparition de Mei Niang, concubine d'un des plus puissants dirigeants de l'empire de Kaï et ancienne générale de l'armée, en inquiète plus d'un...



Autrement dit, la situation est de plus en plus complexe et la tension continue à monter. C'est passionnant même si, avouons-le, j'aurais aimé passé un petit peu plus de temps avec Yona (ou que Yona passe un peu plus de temps avec Hak).



Juste un mot sur les dessins qui sont toujours excellents, avec de nouveaux personnages qui ont leurs propres esthétiques (en particulier le Général Val, un peu étrange avec ses cheveux blancs et son teint mat) : l'autrice continue à développer son univers.



J'ai passé cette fois encore un très bon moment avec Yona, Princesse de l'Aube et j'ai hâte, très très hâte même, de découvrir la suite la semaine prochaine...

Ce trente-troisième tome poursuit la piste ébauchée dans le précédent : la mystérieuse et terrible maladie de Soo-won que lui a transmise sa mère et qui touche tous ceux de sa lignée. Et Yona apprend tout ceci en lisant le journal intime de la mère de Soo-won qui constitue un long flash-back où l'on découvre les parents de Soo-won, leur rencontre, les débuts de leur relation, l'arrivée de la jeune femme au château, etc.



Les dessins sont superbes, l'intrigue gagne encore en complexité en allant prendre ses racines dans le passé de nos personnages mais j'ai quand même trouvé un peu dommage qu'on perde de vue Yona, Hak et les Dragons pendant la plus grande partie du tome...



Le dernier chapitre, un bonus, nous ramène à l'adolescence d'Hak que le hasard d'une poursuite après un vol à l'étalage met sur la route du Dragon Vert quelques années avant leur rencontre au tome 6.



Quand je pense qu'il ne reste qu'un tome et qu'ensuite il va falloir patienter des mois pour connaître la suite...

Comme le précédent tome, celui-ci m'a un peu moins plu car il y est un peu trop question de guerre à mon goût.



En effet, le volume commence alors que la bataille fait rage, mais rapidement Soo-won démontre qu'il est un fin stratège : il était préparé à l'affrontement et avait su rallier ses généraux autour de lui. Puis la paix revenue, le roi prend des mesures pour stabiliser la situation et sanctionner les coupables tout en évitant d'éventuelles représailles. Tout cela semble avant tout destiné à nous prouver combien Soo-won est un bon roi, intelligent, puissant et juste...



Yona et sa troupe sont très peu présents dans toute cette partie du livre, intervenant quand même "discrètement" dans la bataille, à l'arrière du front.



On les retrouve ensuite pour quelques chapitres plus légers : Yeon profite d'un marché de village pour vendre des remèdes et renflouer leur bourse et il exige que ses compagnons lui ramènent des clients. J'ai préféré ce passage à ceux sur la guerre même si cela ne fait pas vraiment avancer l'intrigue.



Dans des apartés en marge des planches, l'auteur se plaint d'avoir dû faire des choix, de ne pas avoir pu raconter tout ce qu'elle voulait faute de place. J'ai pourtant trouvé qu'il y avait quelques longueurs, comme des face à face silencieux s'éternisant sur plusieurs vignettes sans vraiment apporter d'élément nouveau au récit. Enfin bref, toujours cette impression que la série est partie pour durer...

Quel plaisir de retrouver Yona après avoir dû patienter quelques semaines pour la sortie du trente-cinquième tome.



Les dessins de Mizuho Kusanagi sont toujours superbes et l'intrigue, très travaillée, mêle politique, vengeance, amour, amitié alors qu'une nouvelle guerre semble s'annoncer.



La maladie de Soo-won et le secret l'entourant sont au cœur de l'intrigue. Toute personne découvrant la vérité se voit condamner à mort, mais le secret est de plus en plus difficile à garder alors que Soo-won n'est plus toujours capable d'assumer ses fonctions et qu'une jeune femme atteinte de la même maladie se rapproche de lui et essaie d'en apprendre davantage sur les dragons et leur roi. Jeune femme qui est également la favorite du souverain du pays de Kay du Sud qui menace le pays de Kôka de représailles suite à l'empoisonnement d'un de leurs ambassadeurs.



Alors que la tension monte de tous côtés, Yona se montre de plus en plus sûre d'elle, fine diplomate et négociatrice déterminée tant avec les ambassadeurs étrangers qu'avec l'entourage du roi. On est loin de la jeune fille complètement perdue des premiers tomes ; sauf lorsqu'il est question de sa relation avec Hak qui la laisse toujours en pleine confusion, craignant que ses sentiments ne soient pas partagés...



J'ai passé un excellent moment au pays de Kôka même si l'intrigue, très dense et prenante, n'avance que très peu. Seul bémol : la suite n'est pas pour tout de suite...

Ce tome, qui m'a beaucoup plu, commence tout en légèreté : en cachette de son grand frère Kyong-ae (également général de la tribu du feu), Tae-jun accueille Yona et sa troupe dans leur château pour leur permettre de reprendre des forces après la difficile victoire contre le pays de Kai. S'ensuivent quelques scènes très amusantes entre l'admiration jalouse de Tae-jun pour Yona, une rencontre percutante entre les dragons et Kyong-ae, l'embarras de Yona comprenant qu'elle et Hak doivent partager la même chambre...



Mais très vite, avec l'arrivée du conseiller Kye-sook et de ses renforts armés, la tension monte au château, comme dans le reste du Pays de Kôka, entre les fidèles du roi Soo-won et les partisans de Yona. Et dans le même temps, les ennemis préparent l'offensive de l'autre côté de la frontière, l'empire de Kai recevant même l'aide du prêtre Gobi qui avait été chassé du pays de Shin il y quelques tomes de cela.



On rencontre aussi la mère de Kyong-ae et Tae-jun, dont la présence silencieuse est légèrement inquiétante jusqu'à ce qu'elle se révèle une alliée qui en plus a connu la mère de Yona.Le tome se termine alors que Yona et une partie des ses compagnons suivent Ogi venu leur apporter des informations et on sent bien qu'elle ne devrait pas lui faire confiance...



Et me voici obligée de patienter jusqu'à la semaine prochaine pour savoir si je me trompe (mais vu les indices semés dans les derniers chapitres, il y peu de chances que je fasse fausse route).

J'ai beaucoup aimé ce tome où tout ne se passe pas comme prévu : Yona ne parvient pas à négocier avec Soo-Won qui refuse de la rencontrer, convaincu que la guerre contre le pays de Shin est inévitable.

L'intrigue se disperse un peu dans ce tome alors que les personnages doivent partir chacun de leur côté, y compris Yona et Hak. En effet, face à l'urgence de la situation, ils doivent se séparer, non sans avoir d'abord échangé, à l'initiative de la jeune fille, un premier baiser ; un premier baiser qui sème le trouble chez les deux jeunes gens alors qu'ils ont tant d'autres choses à se préoccuper pour empêcher l'affrontement imminent : ralentir l'armée de Soo-Won, pactiser avec les soldats de Shin, etc.

C'est aussi l'occasion de retrouver des personnages rencontrés précédemment, dont Tae-jun toujours aussi dévoué à Yona.

Et on sent bien que tout continue à se mettre en place pour un face à face déterminant, un affrontement crucial... Enfin, bref, encore quelques jours de patience avant de découvrir ce qui attend Yona, Hak et les dragons... J'ai trop hâte !

J'ai bien aimé ce tome qui se concentre davantage sur Yona et les siens. En effet, nous laissons le champs de bataille pour suivre Yona et sa troupe qui ont repris la route pour les terres de la Tribu de l'eau, et plus particulièrement Shisen, une ville sous l'emprise d'un trafic de drogue auquel ils ont bien l'intention de mettre un terme. Au cours de leurs recherches, il rencontre Lili, une jeune fille qui enquête aussi et les soupçonne d'être des trafiquants, jusqu'à ce qu'ils lui viennent en aide.



C'est agréable de voir un autre personnage féminin prendre un peu d'importance dans l'intrigue. Lili rappelle un peu la Yona des premiers tomes : fille d'un général et bénéficiant d'une situation privilégiée, elle veut bien faire mais elle est un peu naïve et se retrouve paralysée par la peur lorsque le danger survient.



Comme pour les précédents volumes, les dessins sont superbes, tout en finesse et riche en détails, me faisant parfois regretter de ne pas avoir les couleurs.



J'ai passé un très bon moment avec ce nouvel épisode qui s'interrompt en pleine action : on abandonne Yona et Lili en très mauvaise posture, ce qui donne envie de se plonger tout de suite dans le quinzième tome...

C'est un excellent trentième tome que livre ici Mizuho Kusanagi. Trente tomes, trente semaines de lecture (je ménage le suspense...), et je ne me lasse pas, loin de là, car l'intrigue se renouvelle et gagne encore en intensité.



La bataille continue à faire rage entre l’empire de Kai et le pays de Kôka qui finit par prendre le dessus après un combat héroïque entre Hak et Cuerbo. Les dragons et Yeon ne sont plus prisonniers.

Cependant la reddition de l'ennemi ne signifie pas la fin des ennuis pour Yona, poursuivie par le prêtre Gobi jusque dans le château de Cuerbo où la seule aide vient de l'épouse de Cuerbo.

Et puis Hak, grièvement blessé, parvient à retrouver enfin Yona, inconsciente dans le château en flamme. Malgré leurs blessures et l'incendie qui continue à faire rage, leurs retrouvailles sont super touchantes (cette fois, Yona parle, un peu, et il y a un vrai rapprochement).



J'ai passé un très bon moment avec ce tome qui réunit action et romantisme (et Yona et Hak ne sont pas le seul couple touchant dans ce livre). Et il ne me reste plus qu'à attendre la semaine prochaine pour découvrir ce qu'il advient de Yona et Hak, à nouveau réunis...

A nouveau, un tome passionnant où il se passe beaucoup de choses.



Yona et ses compagnons voyagent jusqu'au pays de Kai pour aider un jeune garçon à rentrer chez lui alors que les troupes de Soo-won s'amassent à la frontière. C'est ainsi que la princesse et ses amis se retrouvent dans un village frontalier qui change nationalité chaque fois que la guerre éclate entre le Kôka et le Kai. Ils doivent alors faire face à des soldats vaincus décidés à tout détruire avant de se replier tandis que trois des dragons souffrent d'une mystérieuse fièvre .



Il n'y a pas de temps mort et aucun des aspects de l'intrigue n'est laissé de côté : Yona et son exploration des terres de son peuple, Soo-won et sa reprise en main du royaume de Kôka, la relation de Hak et Yona qui continue à avancer tout doucement, les dragons qui occupent un peu plus de place dans l'histoire. En effet, ce tome nous permet d'en apprendre un peu plus sur les quatre dragons, leur rôle, la jeunesse du Dragon Vert, et surtout nous découvrons enfin le mystérieux pouvoir du Dragon Jaune...



J'ai passé un excellent moment avec ce dix-septième tome qui me laisse impatiente de lire le prochain afin de voir comment vont s'en sortir Yona et les siens qu'on abandonne ici en mauvaise posture...

Sur la couverture du tome 16, Hak a franchement l'air malcommode (mais si impressionnant en même temps...). Et ce n'est rien à côté de la rage qui le saisit lorsqu'il se retrouve face à Soo-won : c'est alors un tel déchaînement de violence que deux des dragons parviennent tout juste à le retenir malgré leurs pouvoirs surhumains. C'est la scène la plus violente de la série (pour ce passage, les dessins sont d'ailleurs d'un style un peu différents), et quelques pages plus loin on a la scène la plus romantique lorsque Yona et Hak se rapprochent enfin, un peu, sans que rien ne soit dit bien sûr.



Après des émotions si intenses, la seconde partie du manga m'a semblé un peu terne même si la guerre contre le pays de Kaï se prépare alors que Soo-won réunit ses généraux. J'ai aussi aimé voir Lili évoluer sur les traces de Yona avec qui elle noue une jolie amitié et recevoir la bénédiction tacite de son père pour agir pour le bien de son peuple...



J'ai adoré ce tome et j'ai bien failli me lancer tout de suite dans le dix-sepième...

J'ai bien aimé ce tome même si l'intrigue "principale" (la quête de Yona et des quatre dragons) n'avance pas vraiment, une fois encore.



Ce volume s'ouvre sur un flash-back racontant une escapade en ville de Soo-Won, Hak et Yona, alors âgée de 6 ans. Cet épisode nous permet de mieux prendre la mesure les liens qui unissent les trois amis et la gravité de la trahison de Soo-Won.



Le reste du tome se concentre essentiellement sur la relation entre Hak et Yona. Le jeune homme ose enfin esquisser un rapprochement et Yona, qui le tient à distance dans un premier temps, commence ensuite à ouvrir les yeux sur les charmes de Hak.



Comme dans les précédents tomes, j'ai beaucoup aimé les dessins de Mizuho Kusanagi, sauf l'illustration de couverture qui me laisse l'impression que les deux personnages ne sont pas tout à fait réussis. C'est d'autant plus dommage que l'auteur a glissé dans le livre d'autres esquisses réalisées pour la couverture, mais qui n'ont pas été retenues (pourtant elles me plaisaient bien plus).



J'ai ainsi passé un très bon moment avec ce onzième tome et il ne me reste plus qu'à patienter jusqu'à la semaine prochaine pour connaître la suite des aventures de Yona...

J'ai passé un excellent moment avec le deuxième tome de Yona, Princesse de l'Aube dont les dessins sont toujours aussi beaux, qu'il s'agisse des paysages, des habitations ou des personnages (finesse du trait, richesse des détails...).



L'intrigue gagne en intensité, mais l'humour reste bien présent, par petites touches, permettant de garder un ton assez léger tandis que beaucoup de choses se passent : Yona sort de son hébétude, Hak est forcé de renoncer à sa position pour protéger les siens, Soo-won est couronné et leur relation à tous trois reste pleine d'ambiguïté... On en apprend aussi davantage sur le royaume de Kôka, ses habitants et ses traditions, on rencontre de nouveaux personnages dans les deux camps.



Cette fois encore, le rythme m'a paru assez lent, mais je ne vais pas bouder mon plaisir et profiter les superbes dessins de Mizuho Kusanagi qui nous permettent de découvrir un peu plus du royaume de Kôka tandis que Yona fuit les soldats lancés à sa suite par son cousin régicide.



Ce deuxième tome m'a donc beaucoup plu et il ne me reste plus qu'à patienter jusqu'au week-end prochain pour découvrir la suite de l'histoire dans le tome 3.

C'est à nouveau un excellent tome que nous propose Mizuho Kusanagi avec ses dessins toujours aussi magnifiques qui servent une histoire prenante, à la fois palpitante, touchante et amusante.



Ce tome marque un tournant dans la série : l'intrigue au Pays de Shin se clôture alors que les deux princesses parviennent à négocier un accord avec Soo-won, non sans avoir dû d'abord mettre en déroute leurs opposants menés par le prêtre Gobi au cours d'affrontements sanglants.



Puis le rythme s'apaise et le récit se concentre à nouveau sur Yona et sa troupe : les quatre dragons sont convalescents, paralysés après leur coup d'éclat pour protéger Yona dans le précédent tome. Tandis que tout le monde s'affaire autour d'eux, Yona revient à des préoccupations plus "légères" se rappelant soudain avec beaucoup de gêne le baiser qu'elle avait donné à Hak. Et enfin, après 26 tomes à patienter et encore quelques quiproquos entre Yona et Hak, le jeune homme décide de mettre au clair ses sentiments pour la jeune femme, lui faisant une déclaration où la passion le dispute à la colère, sous le regard ému de Yeon et des dragons.



Et dire qu'il va falloir attendre le prochain tome pour savoir comment Yona réagira à cette déclaration...

J'ai bien aimé ce vingtième tome où l'on retrouve tous les personnages tandis que les différents fils de l'intrigue convergent vers la frontière avec le pays de Sei où Yona et Lili sont retenues prisonnières par des trafiquants de drogue qui les assoiffent pour saper leur volonté.



Les dragons, Hak, Yeon et Ayura se séparent en deux équipes pour partir à leur recherche, se faisant passer pour des esclaves pour s'introduire dans les forts en constructions où sont exploités les prisonniers.Soo-won, toujours parfaitement informé, se rend également sur place pour délivrer Lili, la fille d'un de ses généraux, et pour repousser l'invasion que prépare le pays de Sei, réunissant pour se faire tous ses généraux, y compris le grand-père de Hak.



Celui-ci est d'ailleurs mis à rude épreuve dans cet épisode. C'est touchant de le voir s'inquiéter en silence pour Yona, tandis que ses compagnons se montrent plein de sollicitude pour lui. Puis il se retrouve en présence de Soo-won (ou presque, vu qu'il y a quand même un mur entre eux) et alors qu'il s'était promis de le tuer, il se retrouve à devoir collaborer avec lui dans l'espoir de sauver Yona qu'il n'a toujours pas retrouvée. Et finalement, au cœur de la bataille, il se retrouve face à son grand-père et à ses hommes....



Les dessins sont toujours aussi bons et il n'y a aucun temps mort dans l'intrigue qui avance à toute allure, tout en laissant de la place à tous les personnages pour "s'exprimer".



J'ai donc passé un très bon moment avec Yona et tous les autres et j'ai hâte de lire le prochain tome, le week-end prochain...