Je qualifierai se premier tome de mauvaise copie de La Confrérie de La Dague Noire. Sincèrement, le fond est le même : La Lignée est une sorte de Confrérie de Frère vampire qui combattent le mal, ici les Renégats (les Eradiqueurs) afin de protéger la population humaine (vampiriques). Les compagnes de sang sont dans le même genre que les Shellanes des Frères de la Confrérie voir les Elus, je penserai à un mélange des deux. Je ne voudrai pas révéler des éléments du livre mais en fait de compte j’ai eu l’impression de livre l’ouvrage de Kholer mais en très mauvaise qualité.
L’histoire de base est donc, selon moi, comme JR Ward, simplement l’auteur a aménager quelques changements qui me paraissent minimes mais pour le moins étranges et loufoque. (Personnellement le fait que les Vampires proviennent d’une espèce d’extra-terrestre est farfelu mais qui aurait pu être une idée intéressante si l’auteur n’aurait pas lancé de but en blanc cette nouvelle) De plus, la narration parait en vrac c’est-à-dire non basé sur un plan fixe. L’auteur, Lara Adrian, nous lance des anecdotes par-ci par-là et c’est au lecteur d’arriver à comprendre la lecture, personnellement j’apprécie d’habitude mais là j’ai l’impression que l’auteur ne savait pas trop où et comment expliquer l’éclaircissement de leur passé et de la nature de l’espère.
Il n’y a pas un véritable suspense, j’ai trouvé assez simple de découvrir à l’avance le moindre fais et gestes des protagonistes, cependant, je dois avouer que la fin m’a paru plus intéressante que le reste et m’a agréablement surprise sur la véritable identité du Chef des Renégats. La suite peut parait intéressante sur ce plan-là.
On peut même pas parler d’attente dans l’histoire d’amour car elle est tellement … exagéré (selon mon avis toujours), Gabrielle Maxwell m’a un peu intéressé avec son métier mais le passé ressemble en quelque point à Beth et son caractère lui égale même si Beth reste au niveau supérieur. Quant à Lucan Thorne, il a tout du chef vampirique, il a t’en résisté à rester seul que son univers se retrouve chamboulée quand il l’a rencontre. De plus Lucan tombe un peu trop dans le quiche à la fin, vraiment il passe de dur à cuire voir au héros déprimant à celui qui voit la vie en rose. L’amour donne des ailes mais je trouve qu’il y a des limites.
Quand aux autres personnages, Nikolaï me fait penser à Rhage et je pense qu’il peut être intéressant de lire son histoire (s’il y en a une), Tegan est un personnage qui m’intéresse bien plus que les autres son côté noir me rappel étrangement Zsadist même si la raison est autre.
Je trouve qu’il y a une certaine vulgarité dans le livre que je n’ai pas tellement apprécié, je m’expliquer, nous savons (pour ceux qui ont lu Riley Jenson de Keri Arthur) que Riley est une adepte du sexe vu son côté Louve-Garou mais qui aussi influence son vocabulaire « baiser » « bite » …etc. Dans ce tome je ne vois pas ou il requière que Lucan utilise plusieurs fois le mot « baiser » tandis que le genre du livre me parait beaucoup plus romance paranormale que Bit-Lit (pour cause du manque d’action et autres raison.).
Des passages un peu gros et niais comme les passages sur le Laquais. La culpabilité du héros est un peu exagérée mais qui ne le serait pas après tant d’année à vivre aux côtés de la mort.
Il n’y pas eu que des points négatifs, quelques uns fur positif : la page 358 est un chapitre que j’apprécie car c’est un moment d’échange entre les deux protagonistes qui n’est ni violent, ni du sexe à l’état pure. Le fait qu’ils ne soient pas liés que depuis quelques jours ou semaines.
Pour conclure je dirai que je n’ai pas vraiment passé un bon moment en lisant se livre, la lecture fut longue et ennuyante, une mauvaise imitation de la Confrérie de la Dague Noire, beaucoup moins palpitante et nettement moins captivante. L’amour est un peu quiche entre les personnages de plus Gabrielle passe limite ses journées à attendre Lucan comme si il était sa drogue alors qu’ils se connaissaient à peine. Je pense tout de même tenter avec le deuxième afin de voir si la prochaine histoire sera mieux et se détachera d’une autre histoire.
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