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Critiques de Larry Brown (203)
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L'usine à lapins

Tranches de vie entremêlées, choisies du quotidien de quelques personnes, de milieux différents avant les fêtes de Noël à Memphis (Usa). On découvre avec humour, oscillant entre brusquerie et douceur, amour et violence, les vies quelque peu chaotiques de chacun. Les problèmes d'érection d'un septuagénaire, une livraison de viande surgelée qui tourne mal... Ces petites histoires qui, de fil en aiguille, nous en dévoilent d'autres, toutes aussi touchantes.
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Fay

Un très beau portait de jeune femme à la dérive livrée à la violence du monde. Du très bon roman noir signé Larry Brown, auteur de "Père et fils" et de "Sale boulot" deux autres très bons romans noirs. Une parenté avec l'univers de Jim Thompson.
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Fay

Après avoir découvert Larry Brown et son univers romanesque noir avec "Joe", j'ai retrouvé son rythme lent et très cinématographique avec "Père et Fils", puis avec "Fay". Fay est la soeur de Joe, mais contrairement à celui-ci, elle a réussi à prendre la décision de fuir leur père alcoolique et violent. Une façon de survivre : être toujours en mouvement. Mais pour quelle vie ? Ce qui frappe chez Fay, âgée juste de dix-sept ans, c'est son mélange de naïveté et de force vitale, son courage pour répondre à la brutalité masculine et sa recherche de protection, sa liberté et sa propension à attirer les mauvaise rencontres. Alcool, drogue, prostitution. Les personnages de laissés pour compte de Larry Brown, ces petits Blancs du Sud, semblent destinés à errer sur les routes de l'Etat du Mississipi en enchaînant les cannettes de bière au volant. Avec une prose qui excelle à décrire chaque geste en détail et jusqu'au plus banal, Larry Brown a l'art de ralentir le déroulement des vies elles-mêmes pour retrouver en creux les questionnements originels : comment échapper à sa destinée ? Ou est la séparation du bien et du mal ? En ce sens, le roman noir n'est pas loin de la tragédie.
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L'usine à lapins

C’est le premier Larry Brown que je lis et j’ai adoré l’ambiance de ce bouquin, on y croise un bon nombre de cretins ou de losers américains, alcoolos, impuissants, naïfs, violents, et souvent victimes d’eux même. Tous ces destins parallèles les entraînent souvent vers une fin cruelle ou tragique…
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92 jours

Encore une trouvaille du fin fond de la boîte à livre de mon village! C'est une longue nouvelle d'un auteur que je ne connaît pas. Un portrait d'un homme qui croit en son talent d'écriture et veut absolument réussir... Beaucoup d'humanité, un livre attachant.
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Père et fils

Lu pour le thème #romannoir du #challengegallmeister.



Alors, oui il est bien noir ce roman. C’est mon second Larry Brown après Fay que j’avais beaucoup aimé. Ici, le rythme est lent, le roman se déroule sur seulement quelques jours. L’ambiance est pesante et lourde.



Les liens entre tous les personnages sont fragiles, il y a un passif tellement énorme entre eux. J’ai beaucoup aimé le père et la petite amie du fils.



Nous sommes dans le sud des États-Unis et Larry Brown retranscrit pleinement l’ambiance et la misère des petites villes.



Au fil de la lecture, nous savons qu’il va se passer quelque chose, que Glen va péter un plomb, c’est inévitable et en tant que lecteur nous nous y attendons à chaque page tournée. Quand à la fin, nous y voilà.



J’ai été un peu déçu par cette fin, c’est un choix de l’auteur, mais cela se passe très vite. Je trouve ça dommage alors que tout du long la pression et l’attente sont montée crescendo. Nous quittons les personnages un peu abruptement, j’aurais aimé quelques pages de plus.



Cela reste tout de même une belle lecture.
Lien : https://readlookhear.fr/2022..
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Sale boulot

Y’a que Larry Brown pour m’faire vibrer sur la littérature de la guerre du Vietnam côté ricains.



Il va se ranger direct entre Johnny got his gun, de Trumbo et Vol au dessus d’un nid de coucou de Kesey, et pas très loin non plus de Birdy de Wharton.



De l’antimilitarisme top qualité avec du jargon à l’ancienne façon début des 80’s.



Dude, you made my night !
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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Fay

Rarement un livre m'aura rendue aussi perplexe.

Je suis incapable de dire si je l'ai aimé ou non.

Fay m' a agacée, énervée, ennuyée et pourtant je n'arrive pas à l'oublier.

J' ai oublié parfois qu'elle n' était qu'une enfant ayant de survivre dans un monde terriblement cruel.

Ce bébé en devenir qu' elle portait en elle m' a hantée tout au long des pages.

J' ai eu beaucoup de mal avec certains passages très vulgaires et je me suis demandée s' ils étaient nécessaires dans un livre qui dépeint un monde si sombre ,une réalité si dure.

Pourtant la souffrance si présente de tous m'a profondément bouleversée.

Je sais que ce livre sera inoubliable.

Pourtant je n' arrive pas à lui donner toutes les étoiles, comme si sa noirceur m' en empêchait.
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Joe

Dans un style impeccable, avec des détails fouillés, des décors réalistes, l'auteur nous présente un récit très noir qui se déroule dans un Mississippi pauvre, crasseux, bête.



Les personnages sont tout en contraste, luttant en permanence entre bien et mal, noyés dans des vies de labeur, souvent alcooliques, sans perspective d'avenir, sans issue. Comment rester digne dans un monde comme celui-ci ? Comment grandir et devenir un homme respectable, faire partie de ce monde ?



Seul bémol : une impression de déjà-vu notamment chez Russel Banks que j'apprécie énormément
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Affronter l'orage

Mémorial de la mélancolie.



Neuf nouvelles, mais une seule est longue saison au ciel changeant : la mélancolie.



Larry Brown regarde le monde par en bas quand l'orage gronde au loin.

Il compte les secondes avant l'éclair qui pulvérisera la vie de ses personnages, des paumés rongés par les épreuves, la culpabilité, l'amour ... ou la solitude.



A la lumière de cette mélancolie poignante, les mots sculptent des visages, dessinent un mémorial - un Mont Rushmore réinventé en hommage à cette Amérique des broyés.



C'est une lecture invasive, une ascension émotionnelle tour à tour bouleversante et étonnamment belle.



Un premier pas pour moi dans l'univers de Larry Brown et certainement pas le dernier.



Traduit par Pierre Furlan
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Joe

Il se passe pas grand chose dans cette contrée rurale du Mississippi ; pourtant, on reste accroché à ce texte en raison d'une écriture vivante et forte qui rappelle un peu celle d'Harry Crews...
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L'usine à lapins

Un très bon roman dans lequel Larry Brown déploie à merveille son talent d'écrivain fulgurant et son cynisme magnifique.
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Père et fils

Ce roman d'un de mes auteurs préféré est une merveille, l'Amérique est là, profonde et pleine d'histoires douloureuse. Magnifique livre.
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Sale boulot

Ce roman est une pure claque ! Il est gigantesque ! C’est un hymne contre la guerre, qui souligne l’absurdité des conflits et de l’homme réduit, indubitablement, à de la chair à canon. Mais la folie sur les zones de combat est une chose, en est une autre la folie qui poursuit au retour à la maison, entre blessures physiques (si ce n’est ravages) et impacts psychiques.



Durant tout le roman, les chapitres alternent les pensées et paroles de Braiden et Walter. On apprend à les connaître, comme ils s’apprivoisent tout au long du récit, nous sommes le troisième personnage dans la chambre d’hôpital.



Certains faits sont prévisibles, mais cela n’enlève rien au rythme de l’histoire, car si l’on soupçonne les personnages-narrateurs sont les seuls à pouvoir confirmer nos hypothèses. Absurdité, folie et courage, tels sont les trois mots qui raisonnent en moi au sortir de cette lecture qui restera l’une des plus fortes depuis un moment. Que dire, si ce n’est que je vous encourage à vous jeter dessus ?
Lien : https://lesmiscellaneesdusva..
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L'usine à lapins

Au début de la lecture de ce roman, je me suis dit "j'ai déniché la perle rare". Du Twin Peaks, version comique. De Twin Peaks, en fait, il n'y a que la loufoquerie et le délire des personnages qui, c'est vrai, ne manquent pas de piquant : la servante unijambiste, le vieux qui ne bande plus et ne regarde que de vieux westerns, le livreur de cannabis qui a tué sa soeur parce qu'elle abusait de lui sexuellement, l'alcoolique nymphomane, l'étudiant amoureux d'une policière noire aux formes abondantes… Ça fait une belle gallerie de personnages mais pas forcément un super roman. Ces personnages, aussi intéressant soient-ils, ne se croisent jamais et on se demande tout au long du roman ce qui les rassemble. La bouffe (en particulier les saucisses de boeuf au paprika) ? Le sexe ? Le mal être chronique ? L'impossibilité de vivre avec son prochain ? Le fait de vivre comme des lapins, c'est à dire manger et se reproduire ? (d'où le titre). Un certain goût pour les animaux domestiques ? Ce sont des histoires parallèles dont la chute est si absurde qu'elle gâche le plaisir de leur intrigue de départ. Il reste de grands moments de jubilation, des passages hilarants et grinçants à souhaites… et cette envie irrépressible d'aller se boire d'un verre de bourbon accompagné d'une assiège de nachos.
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Sale boulot

Un gros coup de cœur pour ce livre qui nous emporte dans les méandres de la guerre du Vietnam via le témoignage des deux protagonistes Walter et Braiden. C’est fort, puissant et ne laissera aucun d’entre nous indifférent. La rencontre entre Braiden, homme tronc et Walter monstre sans visage est époustouflante. La quatrième de couverture nous apprend l’essentiel mais en lisant les mots de Larry Brown, en observant le regard qu’il porte sur ses deux hommes ravagés, on a le sentiment de toucher du doigt le traumatisme qu’a été la guerre du Vietnam pour le peuple américain. Il ne leur faut pas longtemps pour ce sentir proche l’un de l’autre, leur compréhension réciproque de la situation de l’autre est immédiate et sans jugement. Ils vont avoir de longues conversations, parfois même des monologues comme ceux que Braiden peut-avoir lorsqu’il part dans sa tête faute de mieux. De temps en temps je me suis sentie un peu perdue, ballottée entre les deux témoignages qui se font à la première personne du singulier. Du coup je ne savais plus qui de Braiden ou de Walter parlait, mais au fond ce qu’ils ont à dire se rejoint bien souvent. On va découvrir leur histoire avant d’être mobilisé mais aussi ce qui s’est passé au Vietnam puis à leur retour sur le sol américain. Ainsi passé, présent et avenir s’entremêlent pour nous donner à voir la souffrance, la douleur, la dépendance et le désespoir. Heureusement il y a des instants de grâce où l’humour et la camaraderie reprennent leur place. Il faut aussi compter sur une intrigue qui nous gardera jusqu’à la dernière page sous tension et en total empathie. Je ne suis pas prête d’oublier ce récit qui est venu me crocheter comme un coup de poing en me laissant à la fois sonnée et admirative du talent de l’auteur à nous faire ressentir au plus prêt les tourments que peuvent vivre les vétérans à leur retour de la guerre. Bonne lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..
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Fay

Dans ce sombre roman on suit à la trace le destin d’une adolescente fuyant une vie de misère.
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Fay

Fay a 17 ans; Ses 16 premières années se sont déroulées dans la misère et la violence.Sous le joug d'un père violent et d'une mère haïssable, elle a du se résoudre à abandonner ses frères et soeurs pour partir en quête d'une nouvelle vie.



On la découvre au début du livre alors qu'elle vient de s'enfuir de chez elle avec sa petite valise et quelques misérables dollars qui ne lui paieront même pas une chambre d’hôtel.



Fay est d'une beauté époustouflante, elle attire immanquablement le regard des hommes. Elle va sillonner la côte d'Oxford à Biloxi à la recherche d'un avenir qu'elle espère plus brillant que son passé de misère... mais la vie est-elle faite ainsi ?



Fay est un personnage complexe : Jeune fille douce et naïve, elle peut se montrer absolument redoutable. Elle est bourrée de bons sentiments et d'espoir mais elle attire les convoitises et les jalousies - et donc les (gros) ennuis. Et si elle est douce et obéissante, elle a ses limites, et elle a du cran !



Fay de Larry Brown est un roman superbement écrit, d'une grande poésie.

De longs passages hyper descriptifs donnent quelques longueurs (personnellement j'ai fini par lire ces passages en diagonale car s'ils restent très beaux, ils sont plutôt ennuyeux), mais la substance est bel et bien là.

Larry Brown nous décrit une héroine de contes de fées, qui se serait perdue dans le monde réel. Mais Larry Brown n'aime pas les contes de fées ! Et il va prendre un malin plaisir à nous faire comprendre que la vie est loin d'en être un. Et pour cela, il va se montrer cruel avec son personnage.



C'est un bon roman, un beau roman, un excellent polar, qui ne s'apprivoise pas facilement mais qui vous laisse malgré toute la fatalité qu'y met Larry Brown, un doux parfum de mélancolie.
Lien : https://lauretainturier.wixs..
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Fay

L’apaisement est anesthésié par un courroux ardent, une rage bâtie de fer blanc, de mots douloureusement simples, douloureusement pâles. La plume de Larry Brown sonne la trompette de la lassitude, les descriptions fades semblent étudiées pour percer au cœur du lecteur une simagrée de tromperie de qualité. La quatrième de couverture s’arrange pour un monde noir, glauque, malsain, une débandade d’émotions qui se révèlent, au final, une corolle de niaiseries, une eau calme, stagnante, croupie même. Alors la colère nait, pire encore, la phrase survient dans une pluie de culpabilité vite rejetée cependant : ce livre me fait mon temps. Rare sont les fois (deux) où un livre fut aussi abject à ma vision de la lecture, habituée à terminer, cette-fois ci j’ai lâché mollement, la jolie couverture me tombant littéralement entre mes mains tremblantes.



Il commençait bien cela dit, in médias res, la fillette vogue sur une rue désolée, rue américaine, paysage de campagne où les maisons s’entrechoquent par leur architecture homogène, elle est là, perdue, déboussolée, un oiseau sanglant dans la brume d’une matinée morne. On s’approche doucement, curieux de suivre ses pas tandis qu’elle donne, bienveillante, un billet symbolique sur la table d’une cuisine inconnue. Son périple se poursuit, prise par des loups dans une bagnole insipide, elle est cette gosse pas finie, un pied dans l’enfance sublime, un pied dans la tourmente d’une personnalité vide de sens, une psychologie incohérente. Les dialogues se poursuivent, la longueur, ensuite, de ce récit sans saveur s’inventent en grande conquérante. Des Ok se mêlent au « tu fais quoi », des questions routinières se mélangent des répliques vides, mortes. Alors l’espoir s’éteint, la flamme se délite dans une tornade de trahison. La quatrième de couverture disait… Oui elle s’exclamait d’une histoire saoule d’un voyage au cœur de l’enfer, par cette enfant se cherchant elle-même. J’attendais un roman d’initiation, voir un thriller ; une histoire émouvante, recherchée, construite sur des visuels malsains, des contrées en ruines, et les personnages façonnés par une plume auréolée de talent. Je n’ai rencontré qu’un style insipide, une tasse d’eau de mer, de flotte amère.



Je n’étais pas prête à cette médiocrité de pages et de pages, la longueur ne me dérange pas mais les routinières scènes me déplaisent, la littérature sublime le présent, embellit ou enlaidit les moments banals, discute avec le lecteur d’une vision de la vie, la littérature c’est la montagne sacrée d’une vie vécue par procuration, une invitation des mots à s’engouffrer dans un imaginaire devenant par magie une réalité intime. Ici ce fut un enfer, un Everest à franchir, un obstacle, un texte qui promettait quelques trésors, l’écrivain a souhaité écrire une observation de cette société américaine peut-être, mais les éléments flottent dans un lac de boue, les sujets sont traités en une phrase vite consumées par les dialogues transparents, énervant ensuite quand le lecteur perd patience. J’ai perdu le maigre lambeau de cette vertu que l’on nomme patience par un taux d’ennui largement supérieur à ce que je peux supporter. L’amour aussi est présent, mais là aussi, ce fut dramatique, un homme, une femme, certes ; mais les sentiments sont mornes, sans existence, éphémères, ils s’embourbent dans une intrigue en dent de scie, les scènes se montrant épiques, un summum de sensation n’offrent qu’un résidu de désespoir. C’est à se cogner la tête contre un mur.



La couverture sauve le contenu en réalité, cette image aquarelle, mystérieuse ; le récit s’effondre dans un étau d’insuffisance, de maladresse, il est sans passion, il est pathétique de néant. Je suis, pour une fois, une lectrice bafouée dans ses gouts, une lectrice qui, heureusement, a su libérer le bouquin à temps, ce temps qui aurait dévoré une envie de lire. Je n’ai su arriver jusqu’au bout, mais, ayant survolé la dernière page je sais que la fin aussi est tout aussi frustrante. Quand on regarde un peu mieux, on pourrait se dire que l’auteur possède le mérite, tout de même, de rester fidèle à son ambition de pondre de l’inoccupé.
Lien : http://musae.rpdiv.com/?p=453
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Père et fils

Glen aurait sûrement mieux fait de rester derrières les barreaux. A peine sorti qu'il a à son actif deux meurtres en quarante-huit heures. Sans compter la haine qu'il a envers la terre entière, tout particulièrement son père et sa petite copine avec qui il a eu un fils mais dont il refuse de voir et d'assumer la paternité.



Glen est un personnage détestable, pour qui on n'a aucune empathie. Sa rancoeur et la peur qu'il inspire font de lui un être incontrôlable.



Des personnages à la psychologie fouillée. Des secrets de famille trop lourds à porter qui ressurgissent tels de la boue sous la chaleur du sud des Etats-Unis.



Sous une ambiance sombre et suffocante, Larry Brown nous offre une magnifique oeuvre noire, écrite dans un style simple et d'une grande force évocatrice.



Un roman au rythme lent mais sous une tension constante. Malgré sa rudesse et sa violence, Père est fils est avant tout un roman très humain que j'ai eu plaisir à lire.
Lien : http://fromtheavenue.blogspo..
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