Y a-t-il une autre "Séverine Auffret", mon homonyme, qui serait associée à ce roman de Tolstoï (que par ailleurs j'adore). Si c'est le cas, merci de me renseigner sur elle. Séverine Auffret (auteure de Des couteaux contre des femmes, Aspects du Paradis, etc.) Merci encore ! auffersev@gmail.com
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Par delà la puissance du récit, apparaissent une philosophie de l'histoire et un portrait de l'âme russe, unissant l’héroïsme à la mysticité.
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Çà y est j'ai termine mais je reste un peu sur ma faim .........
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Que dire qui n'aie pas été déjà dit sur ce monument de la littérature mondiale ?
Une vision lucide, mais bienveillante de l'âme russe...
Une splendeur !
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Ne soyez pas effrayé par la taille de l’ouvrage et lancez-vous ! Les adeptes des fresques historiques et guerrières y trouveront leur compte tout autant que ceux qui s’intéressent à la vie et aux mœurs de la noblesse russe à cette époque. La rapidité de lecture et l’attention s’adapteront aux préférences de chacun.
Pour ma part, comment ne pas être emballé par sa chronique des guerres napoléoniennes et la façon dont l'auteur critique le travail des historiens, à la solde du vainqueur ? La façon aussi dont est dépeint l’esprit du temps en Russie, très loin des images que l'on s’en fait aujourd'hui, m'a permis de mieux comprendre les liens qui unissent ce pays à la France.
Aux rayons de mes déceptions, je compte le changement de style littéraire dans les dernières pages comme si l'auteur avait peur que le lecteur n'est pas saisi le message en filigrane, mais aussi la façon dont les intrigues de cour et de personnes sont peu développées comme pour minimiser le rôle des hommes et renforcer le message fataliste de l’auteur.
J’ai pu lire l'œuvre en anglais et donc profiter du ton créé par le bilinguisme de la noblesse russe. Il est dommage de passer à côté de cela dans une traduction cent pour cent française.
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Le titre est La Mort d'Ivan Illitch suivi de Maître et serviteur et de Trois morts
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J'ai aimé, sauf la fin, beaucoup moins romancé que le reste et du coup beaucoup plus dure à tenir!
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Un chef d'oeuvre, l'écriture est fluide, il n'y a rien à jeter à part l'épilogue à la fin du second tome. Peut-être que Tolstoï a eu du mal à quitter ces héros et peut-être aussi qu'il découvrait ce qu'il avait construit dans son récit : une réflexion sur le travail des historien, sur la construction des événements et la façon dont ils sont interprétés. Franchement il y a tout dans cette oeuvre à part peut-être les palisirs de la chair on y trouve une psycho, socio, histo, enthropo... Ce n'est pas un livre (deux) qu'on lit, c'est un compagnon, un univers qu'on retrouve à ses moments libres et auquel on se livre. C'est un compagnon de route. On s'étonne de voir à quel point les sentiments humains sont universels.
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centenaire de tolstoi
librairie du globe à paris
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Scènes de ménage chez les Tolstoi: à l'occasion du centenaire de la mort de l'écrivain russe, Albin Michel publie à la rentrée un inédit de sa femme.
(Figaro littéraire du 17 juin 2010)
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