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Critiques de Lilian Jackson Braun (381)
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Le chat qui donnait un coup de sifflet

Roman agréable à lire, en dépit d'un début un peu lent. J'avoue que les soixante premières pages m'ont donné l'impression d'un aimable bavardage. L'intrigue ne démarre réellement qu'après et ça paraît un peu long. L'idée du chat qui donne des indices à son maître me semble un peu tirée par les cheveux, mais donne un fil conducteur à toute la série de romans "Le chat qui..."et puis, les deux chats espiègles donnent malgré tout un rythme à l'histoire et complètent agréablement le personnage original de Qwill. Au final, c'est un petit univers où je replongerais volontiers, à l'occasion, d'autant que j'adore les chats, en particulier les Siamois, que je trouve extraordinaires, et Koko et Yom Yom sont des Siamois...
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Le chat qui mangeait de la laine

🐱🧶 Le chat qui mangeais la laine, Lilian Jackson Braun

Aujourd’hui je vous parle du second opus de la série Jim Qwilleran.🧶🐱

Jim Qwilleram et un monsieur entre deux âges qui tient la critique gastronomique d’un journal de Chicago. Célibataire et corpulent, il élève un couple de chat siamois Koko et Yom Yom qui croit-il, l’aide dans ses enquêtes.

Car des enquêtes, il en pleut autour du cher homme il ne peut emménager où que ce soit sans que les meurtriers se déchaînent autour.

Mais heureusement les Siamois sont là. Une oreille dressée, un frémissement de moustache, une attitude inhabituelle de la jante féline finissent toujours par le mettre sur la piste de l’assassin.

Dans ce second opus, Qwilleran a été affecté au poste de rédacteur en chef d’un nouveau magazine de décoration. Le premier numéro est un succès. Malheureusement, la maison qu’il avait choisie pour illustrer ce dernier est cambriolée, puis le décorateur David Lyne est assassiné. Jim décide alors de prendre l’affaire en main, aidé de son siamois Koko, dont la curieuse manie de manger de la laine l’interpelle.

Voici un roman charmant au ton un peu vieillot et un poil suranné qui donne tout son charme à ce récit que l’on lit avec amusement.

À noter aussi l’humour en demi-teinte qui nous enchante et donne un petit côté ludique aux enquêtes de notre critique gastronomique et de ses deux matous.

Du cosy crime avant l’heure ! 😉😆

Alors n’hésitez pas à découvrir cette série avant quelle ne disparaisse définitivement car malheureusement n’est plus commercialisé par l’éditeur sauf quelques titres en numérique.
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Le chat qui avait un don

Voici donc l'une des dernières enquêtes d'un trio improbable.

C'est fort amusant, plein de fantaisie, un poil décalé bref une lecture qui donne le sourire et que tout le monde devrait entreprendre par ces temps maussades.

Mais alors que nous raconte " Le chat qui avait un don"

La ville de Pickax se prépare à créer un nouveau club pour personnes âgées dans un ancien dépôt de nourriture et de graines, le Old Hulk. Mais le bâtiment prend feu mystérieusement et une jeune femme meurt, piquée par une guêpe.

Jim Qwilleram , célibataire et corpulent va être mêler à ce drame. Et il va pouvoir compter sur le couple de chat siamois Koko et Yom Yom qu'il a élevé car croit-il, ces matous l'aide dans ses enquêtes. surtout que le chat Koko dispose d'un don mystérieux, celui d'anticiper les appels téléphoniques et d'émettre des cris lorsque quelqu'un souffre.

Voici un roman charmant au ton un peu vieillot et un poil suranné qui donne tout son charme à ce récit que l'on lit avec amusement.

À noter aussi l'humour en demi-teinte qui nous enchante et donne un petit côté ludique aux enquêtes de nos félins incroyables et de leur maître...









Un des titres que je recommande fortement dans cette série policière.


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Le Chat qui remontait la rivière

Le chat et les chercheurs d’or

Bien qu’il ne se passe jamais rien à Pickax, à 600 kilomètres au nord de partout, Qwill et ses chats KoKo et YomYom trouvent toujours le moyen de se fourrer dans des embrouilles ! Cette fois, nos trois amis ont pris quelques vacances et se sont installés à l’Auberge Casse-Noisettes. La bonne amie de Qwill, Polly, étant partie en voyage avec sa sœur, il a accepté de bon cœur l’invitation, pas totalement désintéressée, de Lori et Nick Bamba, les jeunes et heureux propriétaires de l’établissement. En effet, Lori semble déprimée et Nick pense que l’atmosphère de l’hôtel est bizarre. Il n’en faut pas plus pour que la moustache de Qwill frémisse, et pour qu’à peine installé, il découvre une pièce secrète, emplie de vieux meubles en noyer noir et de miroirs fêlés. Mais les chats n’apprécient pas d’être enfermés toute la journée dans une suite hôtelière, aussi luxueuse soit-elle, les écureuils n’apportant pas toute la distraction voulue aux félins. Qwill décide d'emménager dans l’un des petits chalets loués par l’auberge sur les bords de la rivière. Enfin, dès qu’un bungalow sera disponible, le dernier locataire ayant été retrouvé noyé, la police mène une rapide enquête avant de conclure à un banal accident… Vraiment ? Et que penser du voisinage, pour le moins hétéroclite ?

J’aime beaucoup cette série « Le chat qui… », plus pour son ambiance délicieusement décalée que pour les enquêtes policières qui sont très légères. Ces romans se lisent tout seuls, et valent essentiellement pour les personnages qu’on y croise, et évidemment pour les chats ! J’aime bien aussi y lire des petites chroniques que Qwill publie deux fois par semaine dans le journal local, en recueillant des anecdotes souvent savoureuses, auprès des anciens. Cette fois, c’est la vie quotidienne –et dangereuse- des pionniers et trappeurs du XIXème sièce qui est mise à l’honneur.

C’est le tome 24, presque la fin… (surtout que j’ai lu le n°25 avant le 24…)…

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Le chat qui parlait aux oiseaux

Visiblement Jim Qwilleran, chroniqueur au journal local et heureux héritier d’une riche tantine, ainsi que ses deux chats Koko et Yom Yom, sont des héros récurrents de l’auteur. Les habitants de cette petite ville « située dans le comté de Moose à 600 km au nord de partout » sont hauts en couleur et dans cette campagne il se passe plus de choses qu’on pourrait imaginer : l’inauguration d’un centre culturel, une révolte à la bibliothèque, un concours d’orthographe, … et bien sûr quelques morts suspectes… dont celle d’une vieille dame qui périt opportunément dans l’incendie de sa maison, faisant ainsi le bonheur de promoteurs immobiliers et de politiques véreux… Je trouve que la couverture évoque un livre assez suranné, ce qui n’est pas le cas : c’est léger (dans le bon sens du terme), plus complexe que ça en a l’air, et très prenant. Une lecture à conseiller entre deux livres plus denses, ou pour les vacances !
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Le chat qui flairait l'embrouille

La Grosse Chute

Chaque année, tous les habitants de Pickax et des environs l’attendent avec une certaine résignation… et cette fois-ci, avec une certaine impatience. Je veux parler de la Grosse Chute, une tempête de blizzard qui dès la fin octobre enterre tout sous trois mètres de neige, préfigurant les rigueurs de l’hiver. Mais cette année là, à 600 kilomètres au nord de partout, la sècheresse sévit et fait des ravages, notamment des incendies inopinées qui menacent les anciens chevalets de mines classés monuments historiques… Et lorsque le feu détruit la vieille boutique du bouquiniste préféré de Qwill, tuant le propriétaire, et que presque simultanément deux autres personnes perdent la vie dans des circonstances bizarres, la moustache de Qwill frémit…

L’air de Pickax devient irrespirable ! Koko et Yomyom prennent les choses « en pattes » et Qwill doit faire preuve de sagacité pour résoudre le mystère et confondre le coupable.

Rien d’extraordinaire dans ce petit cosy-mystery sans prétention qui ronronne doucement, entre vieux bouquins, parties de curling et… escroqueries.

Cosy donc, confortable et rassurant, idéal pour attendre l’hiver avec un plaid (à défaut d’un chat) et une boisson réconfortante.

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Le Chat qui voyait rouge

Qwilleran est nommé critique culinaire alors qu'il débute une diète imposée par son médecin; on voit venir le coté comique, habilement exploité lors de ses nombreuses assignations. D'autre part, après avoir retrouvé par hasard un amour de jeunesse, celle-ci disparait mystérieusement; voici le coté intrigue policière. Ajoutons à cela Koko et Yom-Yom, les deux chats siamois, plus en forme que jamais, ainsi que le milieu de travail relax du héros, et vous avez là tous les ingrédients pour faire un bon opus de cette sympathique série. La recette a fonctionné, nous avons là un petit roman drôle, à l'intrigue principale assez bien imaginée, mettant en scène des personnages intrigants, bien rythmé.



Le personnage central est agréable, son évolution au fil des tomes de la série intéressante à suivre. Son flair, combiné à son habileté à faire parler les gens, même ceux qui méfient des journalistes, lui permet d'enquêter dans la bonne direction, avec l'aide , bien sûr, du fameux Koko, dont les interventions provoquent le sourire et balisent clairement les intentions du livre. Dans cet épisode, l'auteure a situé l'action dans un genre de pension où réside des gens aux histoires reliées et dans le monde de la poterie, sujet sur lequel j'ai appris pas mal de choses. Bref je ne sais pas si le genre “policier feel good” existe comme genre littéraire, si oui, c'est l'étiquette que j'y collerais, sinon Lilian Jackson Braun l'a inventé !
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Et mince… me voilà pris au piège !



Lors d’un de mes achats compulsifs, je me suis retrouvé avec 3 tomes de cette saga… il y en a 29 tout de même… J’ai le tome 1, 16 et 23… Il me reste deux solutions où je lis ces trois tomes en me disant que ça devrait le faire quand même… (ce que j’espérais avant de lire le tome 1)… où je continue mes achats compulsifs en recherchant chacun de ses ouvrages manquants… ça risque de prendre beaucoup de temps… trop de temps…



En résumé, j’ai adoré ce tome 1, une enquête qui nous mène à vouloir savoir la suite… à comprendre tout ce que nous n’avons pas su dans le tome 1. Mais aurais-je le cœur ou la motivation ? La suite au prochain tome… dans quelques années peut-être…



Bonne lecture !
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[] [Author: Lilian Jackson Braun] published..

Ce livre est le 18e roman de la série "The Cat Who..." qui en compte 29. Les personnages sont assez colorés. On retrouve entre autres Jim Qwilleran, journaliste et détective amateur, ainsi que ses deux chats Siamois, Koko et Yum Yum. L'histoire, toujours originale, offre l'occasion au journaliste d'apprendre (et d'enseigner à ses lecteurs) des choses sur différents thèmes. Dans celui-ci, comme le titre l'indique, il est question de fromage. J'avoue que j'en ai appris davantage sur le sujet que je l'aurais souhaité, mais les amateurs s'en régaleront.
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Le Chat qui inspectait le sous-sol

Toujours plaisant de passer un moment avec la fine équipe d'enquêteurs, Qwill et ses deux félins surdoués. Sur fond de travaux qui n'en finissent pas de réserver des surprises, artisans fantaisistes ou empêchés d'exercer leur art les vacances de Qwill aux bord d'un lac changeant, parfois menaçant tournent au cauchemar. Mais la bonne humeur et, l'humour restent de mise. Le talent de Braun est discret mais diablement efficace. Son don pour croquer les situations de façon débonnaire est exceptionnel. Peu d'auteurs savent garder le cap en paraissant baguenauder ainsi. A lire dans son fauteuil, sa boisson chaude à portée de main, et le chat pas loin ronronnant en boule sûrement le canapé.
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Le chat qui disait cheese

"Si je préfère les chats aux chiens, c'est parce qu'il n'y a pas de chat policier." Jean Cocteau.

Quill et ses 2 chats sont "félins pour l'autre" et tranquilles alors que se prépare "La grande" Explosion Gastronomique de fromages", à Pickak.

Mais une bombe explose dans la chambre 102 du "Nouvel Hôtel", tuant une femme de chambre. La cliente, une dame en noir, disparaît, sans laisser d'adresse.



Koko et Yom Yom sont des siamois chat-gaces ( ils savent quant le téléphone va sonner ) et vont enquêter sur l'affaire.

Ces chat-venturiers savent faire patte de velours et ronronner pour avoir de chat-voureux mets après que Quill leur ai lu le contenu de la boîte.

Ils adorent aussi la lecture d'Aristophane ( surtout "Les Achat-rniens" et "Les Cat-valiers?)



Pas moins de 24 variétés de fromage pour l'Explo Gastronomique dont le Chat-bichou, le Chat-ource et le Cat-menbert... Mais le fromage préféré de ces chats est le gruyère de Chat-voie, pas l'Emmental qui est de Suisse.



Soudain Koko se met à" hurler à la mort" ...

L'auteur n'a vraiment pas peur d'appeler un chat un chat!

Le fleuriste (un témoin gênant pour l'assassin), vient d'être abattu à coups de pistolet. Et un pêcheur meurt empoisonné par des piqûres d'abeille.

Les chats montent alors la garde devant la porte du frigo de Quill.



Qui est la/le meurtrier? Vous donnez votre langue au chat? Il y a des indices tout au long du livre ( dont le...gruyère!)..

"Les chats sont sur terre, pour nous rappeler que tout n'a pas de but." Oscar Wilde.
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Après avoir lu la quasi totalité des aventures de Mr Q et de Koko dans le désordre, j'ai pour projet de relire la série dans l'ordre ... un jour peut-être quand ma pal aura diminué !

En attendant, je viens de me replonger dans le numéro 1, petite récréation entre deux lectures "urgentes". (Surtout histoire de voir si ça peut être mis entre les mains de mes petites-filles, qui se sont lancées dans la lecture d'Agatha Christie.)



J'ai dit plusieurs fois que j’aimais particulièrement cette série (en dehors du fait qu'il y ait des chats !) à cause de l'ambiance du Pays de Pickax, de cette petite ville où on finit par connaître tout le monde.



Or, la série commence au pays d'En-Bas (pas encore baptisé ainsi bien entendu) pour quelques épisodes, et je me demandais si j'allais apprécier.

Je l'avais déjà lu il y a plus de 20 ans, et ne me souvenais que de quelques passages.



J'ai été agréablement surprise.

En effet, si dans les derniers volumes de la série que j'ai lu (les derniers parus) l'ambiance prime nettement sur le côté policier, et même sur l'histoire, ici, il y a une vraie intrigue, une bonne présentation des personnages, et une histoire qu'on suit agréablement, sans lassitude.

En outre, il est d'autant plus agréable de découvrir James Qwilleran, et Kao K'o Kung, qu'on sait ce qu'ils deviennent ensuite.

Intéressant donc de connaître un peu le parcours de notre journaliste préféré, de le voir aux prises avec le manque d'argent, avec le souci de se faire reconnaître et de trouver un travail, etc ...

Amusant quand on sait ensuite ce qu'il va advenir.

Amusant aussi de voir ses premiers contacts avec le chat, d'abord tout à fait involontairement de sa part, une obligation à supporter. Puis une attirance de plus en plus marquée.



Pas mal d'humour aussi dans ce roman, puisque soucieux de retrouver un travail dans le milieu du journalisme, Mr Q va se voir confier le domaine culturel, auquel il ne connait strictement rien. Chargé de la rubrique spectacle, il doit en outre collaborer, ou supporter, ou éviter, le personnage en charge de cette partie. Personnage haut en couleurs et particulièrement détesté de façon assez générale.



Très intéressant de suivre le parcours de Qwilleran, avec quelques allusions à ce qu'il a fait jusque là. Je vais continuer de les (re)découvrir dans l'ordre.

Il me reste à dénicher le volume 5, Le Chat qui Jouait Brahms. Ce n'est pas le seul qui me manque, mais le seul dans les neuf premiers, et un tome essentiel puisque celui où Qwilleran va découvrir le pays d'En Haut. (Finalement, ça y est, je l'ai !)



Un conseil si vous ne connaissez encore pas du tout cette série : vous pouvez choisir de commencer par le numéro un, ou au contraire vous lancer tout de suite dans la découverte du Pays d'En Haut (à partir du 5 ou 6, voire plus loin). Mais surtout, évitez de commencer par un des derniers parus. Vous risquez d'être déçus et de ne pas vouloir aller plus loin. L'intrigue disparaît presque au profit de la vie dans la communauté de Pickax. A réserver aux fans de la série !
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Le Chat qui n'était pas là

Incipit: Fin août, seize habitants du comté de Moose, partie éloignée des Etats-Unis à 600 kilomètres au nord de partout, entreprirent un voyage organisé en Ecosse autour des îles de l’Ouest et des Highlands, des lochs, landes, châteaux, fermettes, estuaires, ruisseaux, collines, sommets et gorges. Seuls quinze en revinrent et les survivants rentrèrent chez eux en état de choc.



Encore un résumé qui dévoile des éléments spoilant l’histoire, je vous le remplace donc par le 1er paragraphe du roman, qui me semble assez parlant et a le mérite de ne pas spoiler des évènements de l’intrigue n’intervenant qu’à la fin du livre!



Je n’ai pas grand chose d’inédit à vous dire sur ce tome, il est dans la même veine que le reste de la série et m’a vraiment fait passer un bon moment.



Les personnages hauts en couleurs, les facéties des chats et les éléments comiques fonctionnent toujours avec moi et j’ai dévoré ce livre aussi vite que les circonstances (je n’étais pas seule pendant mes vacances) me l’ont permis.



La répartition des rôles hommes-femmes, assez traditionaliste, est un élément qui me gêne un peu parfois dans cette série, mais elle est ici contrebalancée par la conscience qu’en ont les personnages féminins, qui ne manquent pas de faire remarquer l’omniprésence d’un certain sexisme dans le groupe.



La résolution du mystère est assez simple à comprendre. Ce n’est pas forcément celle que j’aurais choisie, mais l’ensemble est cohérent .



Bonne lecture, une valeur sûre pour passer un moment sans prise de tête dans un univers réconfortant.
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

Voilà le 1er tome d'une série qui a été publiée en 70, et qui depuis a été rééditée sous d'autres titres par les éditions 10/18.

C'est sympathique, même si l'histoire se déroule dans le domaine de l'art qui n'est pas mon thème préféré. L'enquête se tient mais ça ne casse pas trois pattes à un canard quand même, d'autant que je l'avais déjà lu il y a quelques années, mais j'avais oublié quasiment toute l'histoire. Je compte lire les autres tomes, si le hasard les place sur mon chemin.
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Le chat qui aimait la brocante

« Lorsque le flair de Koko entre en action, aucun mystère ne lui résiste ! »



 

Dans « Le chat qui aimait la brocante » de Lilian Jackson Braun, les amateurs de mystères bien ficelés et de compagnons félins intelligents trouveront leur bonheur.



Le roman suit les aventures de Jim Qwilleran, un journaliste en quête de nouvelles opportunités après avoir été affecté au service des faits divers de son journal. Jim trouve un emploi de chroniqueur dans la petite ville de Pickax, accompagné de son chat Koko, une créature à l'intelligence surprenante. Avec le flair infaillible de Koko pour détecter les indices et résoudre les mystères, le duo improbable se lance dans une nouvelle enquête se déroulant à « Came-Village », quartier des brocanteurs. Tantôt nommé Came-Village à cause de « Came » pour camelote, mais aussi « Came » pour drogue selon les interrogés.



L'intrigue se déroule dans le monde fascinant de la brocante, où les objets anciens cachent souvent des histoires et des secrets. Les amateurs d'antiquités et de chasse aux trésors apprécieront l'attention aux détails de l'auteur en matière de description d'objets anciens et d'atmosphère de boutique.



Lilian Jackson Braun mélange habilement le mystère, l'humour et la chaleur humaine dans ce roman. Les personnages de Came-Village sont colorés et mémorables, ajoutant une dimension riche à l'histoire.



Mais le véritable atout de ce livre est bien sûr Koko le chat, qui non seulement résout les énigmes, mais ajoute également une touche de charme félin à chaque page. Les dialogues amusants entre Jim et Koko, ainsi que les réflexions subtiles du chat, apportent une touche d'originalité à ce récit de mystère.



En fin de compte, « Le chat qui aimait la brocante » est un roman léger mais captivant, parfait pour ceux qui aiment les enquêtes mystérieuses, les chats espiègles et l'ambiance chaleureuse des petites villes. Lilian Jackson Braun nous offre une escapade réconfortante dans le monde des mystères de Pickax, où le flair de Koko et le charme de la brocante sont au rendez-vous.
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Le chat qui lisait à l'envers (Il faut savoir..

L’Américaine Lilian Jackson Braun, née en 1913 et décédée en 2011 (à 97 ans), a d’abord fait une carrière dans la publicité et la communication avant de devenir l’auteur de trente romans policiers classiques dont les titres commencent tous par « Le chat qui… » parus entre 1966 et 2008. Le chat qui flairait l’embrouille est le vingt-troisième de la série et a été publié en 2001. Sur fond d’incendies dus à la sécheresse excessive mais dont on se demande s’ils sont d’origine criminelle ou non, et de sordides arnaques immobilières qui aboutissent à une mort dont le caractère accidentel n’est pas convaincant, le héros récurrent Jim Qwilleran mène une enquête fondée, pour l’essentiel, sur ses qualités d’observation et de déduction. Pas de réelle inquiétude pour lui, même s’il lui arrive parfois de se mettre en danger. Si l’intrigue est très correctement ficelée, sans donner lieu cependant à un récit haletant, ce qui fait l’originalité de ces romans c’est l’univers totalement lisse qu’elle crée avec un zeste de merveilleux mais aussi ce qu’il faut d’ancrage dans le réel. Les événements se déroulent à Pickax dans « le Comté de Moose à six cents kilomètres au nord de partout ». La société qui y évolue est constituée de gens au mieux d’un âge moyen, à la situation aisée dotés d’un solide bagage intellectuel, culturel et/ou artistique, préoccupés de décoration intérieure et d’antiquités ; les enfants semblent ne pas y exister. Tous les personnages sont d’une courtoisie exquise mais ils ne sont pas exempts de défauts et de faiblesses. Ainsi Le héros Jim Qwilleran, ancien alcoolique et ancien chroniqueur judiciaire a hérité de l’immense fortune léguée par une amie de sa mère ; il a crée la fondation Klingenschoen qui lui permet de faire discrètement le bien autour de lui. Divorcé après un mariage malheureux, il écrit encore quelques chroniques dans le journal local et a une compagne Polly Duncan, directrice de la bibliothèque municipale. D’un commun accord, ils préfèrent vivre chacun chez soi. Enfin, et surtout, Qwilleran a deux chats, Koko et Yom Yom, un mâle et une femelle. Il n’y aurait là rien de très original si Koko n’était doté de vibrisses en grand nombre, grâce auxquelles son don de double vue lui permet de repérer les gens malhonnêtes et mal intentionnés, de prévenir son maître de catastrophes à venir de préférence en mettant son appartement sens dessus-dessous. Les deux chats, en particulier Koko, tiennent une grande place dans le cœur du héros et dans chaque roman. En outre ici d’autres chats ont leur place aussi dont Brutus et Catta, ceux de Polly, le chat d’un défunt bouquiniste ami de Qwilleran, Winston qui échappe par miracle à un incendie.

La romancière choisit donc de gommer toutes les aspérités de la société, de donner une place très particulière à des chats, mais elle a un regard acéré sur les faiblesses humaines qu’elle analyse avec finesse et humour. Le roman est agréable à lire, facile d’accès mais ne laisse pas un souvenir impérissable.

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Le chat qui disait cheese

J'aime toujours autant les chats, pourtant je suis moins séduite par ce livre que par de précédentes enquêtes. J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, et je reproche à l'auteur un nombre trop impressionnant de personnages. J'ai ressenti un certain ennui pendant ma lecture et n'ai pas été captivée comme j'aurais dû l'être. Légère déception donc.
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Le Chat qui volait une banque

Le chat qui collectionnait les pennies

A Pickax on a beau être à 600 kilomètres au nord de partout, on s’apprête à vivre un mois de septembre palpitant ! Il y a évidemment les Jeux des Highlands où jeunes et moins jeunes montrent tout leur savoir-faire écossais, notamment le lancer de tronc d’arbre. Le vieil hôtel historique rouvre enfin, complètement restauré et son restaurant s’est doté d’un chef renommé du Pays d’En Bas : de quoi attirer la clientèle la plus chic et notamment un certain Delacamp, un joaillier qui vient périodiquement acheter les bijoux dont ces dames désargentées sont obligées de se séparer. Delacamp (le vieux Campo comme le surnomment certains) est toujours accompagné d’une jeune demoiselle, jamais la même, mais toujours présentée comme sa nièce, de quoi occuper les quelques mauvaises langues de Pickax. Le clou de la visite du vieux Campo est le thé qu’il donne –cette fois dans la grande salle de réception de l’hôtel- et à l’occasion duquel les bijoux sont présentés. Les affaires marchent bien, jusqu’à cette nuit funeste où Delacamp est étouffé dans son sommeil. Le lendemain, la « nièce » a disparu, mais inexplicablement, les bijoux ne semblent pas avoir été volés… Que s’est-il vraiment passé ? Evidemment, on peut compter sur Qwill et ses chats Koko et Yomyom pour trouver le fin mot de cette histoire.

Ce « chat qui… » est d’excellente facture (ce n’est pas forcément le cas de tous les volumes qui composent cette série : je les ai presque tous, et je vois que j’arrive bientôt au bout…) ! Qwill et les chats sont en très grande forme et l’intrigue, très bien construite réserve quelques surprises. C’est aussi l’occasion pour Qwill de plonger dans ses origines et certains passages sont assez émouvants. Mais bien entendu, c’est Koko qui tire la couverture à lui. Ce chat extraordinaire aux dons multiples (peut-être est-ce du à ses vibrisses surnuméraires ?) qui ne fait rien par hasard, est bien la star incontestée de ce petit cosy-mystery ! Yomyom est plus contemplative même si elle n’est pas la dernière pour participer aux petits jeux de son compagnon et apporte toujours par sa seule présence une touche délicate aux intrigues parfois sombres qui peuplent ces romans.

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Le chat qui donnait un coup de sifflet

Les tomes se suivent et se ressemblent un peu, c’est ce qui fait leur charme: une petite ville peuplée de personnages hauts en couleurs, un crime mystérieux, de la nourriture, des livres et des chats 🙂 Que demander de plus? ^^



Cette fois, la mise en place et un des derniers chapitres m’ont semblé un peu décousus, au début j’étais un peu perdue. Mais l’intrigue n’est pas complexe, donc je suis vite retombée sur mes pattes.



Les tomes de cette série ne sont jamais complètement centrés sur l’enquête policière. Ici les quelques éléments qu’on apprend au fil de la lecture mènent à une résolution assez abrupte dans les dernières pages. On s’intéresse aux trains, à la construction stressante d’une maison et à l’hilarante et très inédite adaptation d’une pièce de Shakespeare. Comme toujours ce sont les relations entre les personnages qui font le sel du récit, à commencer de celle entre Qwill et ses siamois.



Une lecture très distrayante et sans prise de tête, parfaite pour ces journées de grosse chaleur où on a juste envie de se détendre.
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Le chat qui jetait des peaux de banane

Quatrième livre de la série "Le chat qui..." que je lis. J'avais bien aimé "Le chat qui mangeait de la laine " et "le chat qui jouait au postier" et pas aimé "Le chat qui parlait dindon". Et là de nouveau j'ai pas trop aimé. L'intrigue est frustrante et on ne voit pas assez les chats même si le jeu des peaux de banane est amusant. Le style n'est pas assez vivifiant pour donner de l’intérêt aux petits riens même si l'ouverture de la librairie et les propos à propos du bibliochat étaient intéressants. J'ai aussi pâti de ne pas avoir lu les livres dans l'ordre je pense. A part Arch et Polly je me suis perdue dans les personnages. Mais je persévérerais avec cette série.
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Il faut savoir miauler à temps !

Très rapidement, Jim Qwilleran se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique d'art, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Il possède aussi un chat siamois aristocratique, Kao K'o Kung - Koko pour Qwilleran - qui apprécie les vieux maîtres et sait lire les manchettes de journaux.

Le chat qui lisait à l'envers
Le chat qui flairait l'embrouille
Le chat qui avait un don

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