Louis-Olivier Vitté

Le livre m’a au départ agréablement surprise avec ses descriptions soignées de paysages, décors, vie et travaux dans le Limousin au XII -ème siècle.

On y découvre la vie de Guinotte, jeune bergère dans un fief dont le chatelain est parti aux Croisades. Le fils de celui-ci, Aymeric de Merle est d’ailleurs plus attiré par elle que par sa promise souffreteuse.

L’arrivée d’un chevalier, Foulques, porteur d’une mission suite à son retour de Jérusalem, va chambouler la vie de Guinotte.

La deuxième partie du livre s’étire malheureusement en longueur, dommage car le livre est bien écrit. J’ai été également un peu surprise de la chute (ou des chutes, celle d’un personnage et celle du livre) une dont l’auteur ne tire finalement pas parti, et celle finale qui suscite des réactions à mon sens inattendu des protagonistes. En résumé, ça se lit mais ne se relit pas !

Lorsque je lis un livre, je ne regarde pas forcément la collection. Mais au bout de quelques pages, je me suis dit que ce livre me faisait penser à des livres France Loisir et je ne m'étais pas trompée même si on n'aurait également pû le trouver dans les éditions "Terres de France" car c'est un livre qui parle d'une région, de la condition de ses habitants et qui raconte des anecdotes de la France "d'avant".



Par contre, 300 pages pour raconter tout une vie c'est court et donc le roman survole beaucoup de choses. Cela se lit de façon rapide et simple, sans prise de tête. Au final, un roman agréable mais vraiment sans plus.

Jean est gabarier en Corrèze en 1905. Il descend la Dordogne avec son fils Antoine.

Jeanne ; sa femme tombe malade et pour payer les frais médicaux. Jean décide de transporter du bois et du charbon alors même que la Dordogne devient dangereuse.

Lamirande pour lequel il travaille, refuse. Il s'est engagé avec de Bessac qui vient d'ouvrir une mine de charbon pour le transport de celui-ci.

De plus, Il espère marier sa fille Suzanne avec le fils de Bessac

Mais cette dernière n'est pas d'accord car elle aime Antoine.

L'auteur nous décrit la vie des gabariers et aborde l'arrivée des camions qui va faire disparaitre le transport fluvial.

L' histoire d'amour entre Suzanne et Antoine est certes romanesque mais difficilement crédible.

C'est un roman agréable à lire.

Un double crime dans un petit village de Dordogne, un nouveau roman policier ?

ben, non, plutôt un roman comico-campagnard arrosé plus que de raison.

Un petit village tranquille au sortir de la grande, la vraie, la der de der, entre eaux de vie et mauvais vin.

Un ton entre Clochemerle et astérix où les romains sont les policiers. Le livre est vite lu, gouaillant à souhait et arrache quelques sourires à la lecture des déboires maréchaussiers.

Une vision de nos campagnes dont on peut faire l'impasse, on ne manquera rien, mais si on est en vacances, au farniente, pas envie de se prendre la tête, on peut s'amuser.

Louis-Olivier VITTE. La statue engloutie.



Un roman régional qui se déroule dans la région de Mauriac dans le Cantal et en Corrèze. Il nous relate sous forme romancée, un fait réel. L’histoire narrée fait suite à la construction du barrage hydro-électrique de Bort-les-Orgues. En effet, lors de l’édification de ce barrage, sur la Dordogne, trois villages ont été engloutis sous les eaux : les habitants ont été relogés, mais certains ont encore la nostalgie de leur ancienne demeure.



Les familles Fontecroze et Chastagnol, vivent, l’une dans le Cantal, et l’autre en Corrèze mais ces lieux sont très proches. François Fonteroze est médecin, médecin de campagne. Il a une fille, Manette, lycéenne et interne à Tulle. Fernand Chastagnol, un riche négociant en bois, réside à Soursac, du côté de la Corrèze. Il a un fils Jules, de l’âge de Manette et lors des vacances scolaires les deux jeunes adolescents ne se quittent guère. Ils se fréquentent depuis de longues années : on les mariera. Mais comme dans Roméo et Juliette, les parents se livrent une véritable guerre, suite à des querelles fort anciennes.. Jamais Fernand n’acceptera cette union. Laissons du temps au temps.



Le barrage va être vidangé ; cette opération a lieu tous les dix ans et les jeunes vont, comme certains anciens habitants des villages submergés par les eaux, assister à la descente de l’eau pour tenter de voir les ruines des maisons, des petits commerces et surtout de la petite chapelle. En effet, avant la construction du barrage, une importante procession avait lieu tous les ans, à Nauzenac. Ce jour, la statue de Sainte-Madeleine, patronne des gabariers était sortie de sa niche.C’était une grande fête, les 22 Juillet. Une longue procession, un partage entre les habitants, une communion. Et cette statue a disparu  depuis la mise en eau du gigantesque barrage? Où est-elle ? Le notaire, maître Chausson, après avoir visité les deux familles, les convoque à son étude. Il a reçu une demande concernant cet objet. En effet, celui qui est en possession de la statue de la sainte héritera de l’immense domaine ‘une congrégation religieuse…



Une véritable chasse au trésor, digne des cours de récréation, va s’organiser des deux côtés. L’enjeu est de taille. Il faut être réactif. De nombreux personnages vont se mettre en chasse. c’est le premier qui sera récompensé. Les jeunes vont surveiller les avancées de ces recherches. Des intrigants participent, tirent les ficelles…. Un moment d’émotion, un quête… La statue sera-t-elle retrouvée? De nombreuses personnes s'infiltrent dans cette traque... Il faut interroger les anciens, scruter les photographies, épier les allées et venues des uns et des autres, tenter une visite du lieu, lorsque les eaux auront momentanément disparues, avant la remise en eau du barrage. Du suspense dans ce milieu, des querelles, des découvertes, et même une tragédie ! Une petite lecture agréable, détente assurée, du rire, de l’amour. Une écriture fluide, des dialogues constructifs, et la description d’un paysage disparu. De la nostalgie, de l’humilité et de l’humanité. Nos deux présumés limiers trouveront-ils, l’un ou l’autre la statue…. Manette et jules , l’amour avec la bénédiction de leurs familles ? Bonne journée et belle lecture.

( 07/09/2023).


Lien : https://lucette.dutour@orang..

Ce romzn est un petit bijou, un bonvon sucré qui nous ramène en enfance quand les femmes s'occupaient des enfants et de leur maison. Dans des villages où les jours se suivent et se ressemblent. Avec des bruits familiers comme laa scie du menuisier ...le moulin qui broie....et l'épicier qui s'active avec de temps en temps un bruit de voiture qui arrive.en lisant ce livre on se sent aussi bien que dans l'auberge tenue par les 3 soeurs.

J'ai choisi une comédie policière écrite par un auteur régional pour clore mes avis le lecture pour l'année 2022.

Arrête ton char, Stanislas de Louis-olivier Vitte.

J'avais déjà rencontré cet auteur corrézien plusieurs fois sur différents salons mais je n'avais pas eu l'opportunité de discuter avec lui et de découvrir sa plume. La chose est faite et j'en suis tellement ravie.

Cette comédie policière est truculente avec des jeux de mots, des noms tout à fait adaptés au contexte...et puis, il y a Stanislas....qui ne connaît pas la force que peut avoir un village d'irréductibles Limousins.

Alors quand un char d'assaut arrive dans un village se nommant Lapatenlere ou les 3/4 des habitants sont foldingos....ça fait des ravages!!

Cette comédie policière, elle est comme son auteur, drôle, sympathique et vraiment on passe un bon moment avec des personnages tellement atypiques.

Je vous conseille ce Arrête ton char Stanislas qui est aux Éditions Mon Limousin.

C'est un très belle histoire entre un femme qui est pauvre et un homme qui est bourgeois. Très beau roman d'amour avec les regards des autres méchants. Ils se battent contre tout ça. Merveilleux moments de lecture. C'est un livre que j'ai trouvé dans une boîte à lire en plus.

Je me suis fait avoir par ce livre. En effet, à cause de sa couverture, je pensais m’embarquer sur un drame, un thriller ou un truc beaucoup plus violent. En réalité, j’ai très vite découvert que j’étais parti sur une littérature du terroir. Conséquence : Agréable surprise à mes yeux au point de l’avoir littéralement dévoré. De plus, ayant pris du retard à cause de ma vie professionnelle, je me devais de le rattraper un peu et cette nouvelle vitesse de lecture est tombée au bon moment. Je ne pense pas pouvoir la mettre en place à chaque fois mais si je peux l’utiliser avant ma petite pause littéraire en 2023, je ne crache pas dessus. Bon, pour revenir à ce livre, j’ai su l’apprécier mais comme la plupart du temps, j’aurais beaucoup de choses à dire à son sujet. D’ailleurs, puisque j’aborde ce thème, j’estime qu’il est temps pour moi de passer à la rédaction de mes fameuses listes.



Points négatifs :



• Des répétitions.

• Marie. Malgré le nom du livre, l’histoire est surtout concentrée sur cette dernière et vous ne pouvez pas savoir à quel point elle m’a agacé par ses attitudes.

• Comme j’ai su le dire à la ligne plus haut, je regrette que le livre porte un nom mensonger. De ce fait, je trouve dommage que le fameux Petit Jean arrive tardivement dans le roman et que sa vie soit limite survolée, ce qui n’a pas été le cas pour Marie, sa mère.



Points positifs :



• La taille aléatoire des chapitres.

• Cette histoire est bien une littérature du terroir. Suffit juste de se concentrer sur le vocabulaire utilisé pour décrire la région et nous y sommes.

• Encore une fois, je vais évoquer un certain détail sur lequel j’ai déjà allongé quelques mots. La vitesse de lecture et donc, la plume de l’auteur. J’ai aimé trouvé quelques jargons liés au terroir concerné à l’intérieur des pages de ce bouquin. Le style de l’auteur est vraiment agréable, fluide, au point que je risque d’y retourner dès que l’occasion s’y prêtera.

• Petit Jean. C’était pour lui que j’avais emprunté ce livre et je n’ai pas été déçu du petit garçon qu’il a été mais surtout, du jeune homme dont j’ai fait la connaissance. D’ailleurs, son arrivée a su provoquer quelques changements, et pas des moindres, chez un personnage qui se montre particulièrement désagréable dès le début de ce roman : son grand-père paternel. Pour revenir à Petit Jean, c’est un garçon curieux, courageux, respectueux et terriblement attachant.

• Enfin, j’ai pu me mettre facilement à la place de Marie lorsque cette dernière tombe amoureuse. Et là encore, j’ai pu réaliser la situation lorsqu’elle recroise l’homme de son cœur quelques années après, alors que ce dernier est littéralement détruit. J’arrive à un âge où je m’autorise parfois à retrouver quelques anciens compagnons pour savoir ce qu’ils sont devenus, si tout va bien pour eux, etc. Pour l’un d’entre eux, je suis très triste d’avoir découvert l’épave qu’il est devenu alors qu’à l’époque où l’on s’est connu, j’avais mille et une bonnes raisons de tomber amoureux de cet homme. Désormais, si je devais le croiser, il risque de ne provoquer aucun chamboulement intérieur. Comme quoi…

Ce livre se passe dans une vallée, un médecin pour toute une vallée, qui va de village en village. On y découvre alors les joies et les malheurs de tous les habitants. J’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de longueurs, beaucoup de personnages qui mourraient.



Je n’ai pas été tellement convaincu par ce livre, et je ne suis pas non plus inspiré pour vous écrire des pavés sur ce livre, oupsi !

1946: Johanna, quarante ans vit avec ses beaux- parents dans leur ferme isolée sur les hauteurs de la vallée de la Dordogne .

Son mari Pierre , prisonnier en Allemagne n’est pas encore revenu .



Johanna ,oppressée par la haine silencieuse que lui voue Maria sa belle - mère petite femme dure, intransigeante aux cheveux toujours bruns malgré son âge ——quelque chose de masculin se dégage d’elle ——-et l’apparente soumission d’Edmond , son mari , aspire au retour de Pierre: transformer la vieille ferme en une maison joyeuse, grouillante de vie,...



Pour survivre , on a vendu presque toutes les terres , il ne reste qu’une vieille vigne bien mal exposée que la courageuse Johanna voudrait faire renaître ....

La tâche s’annonce rude .

Adrien ,un inconnu ,mystérieux , récemment arrivé au village propose son aide.

Charmeur, travailleur , il trouble la jeune femme : D’où venait- il?



Pourquoi se trouvait - il dans cette vallée ?



Pourquoi avait - il accepté de venir travailler ici, dans cette petite ferme oubliée , pauvre , au bout du monde ?

Un flot de questions se bousculait en elle.

Évidemment les ragots , les suspicions , les questions , les affronts iraient bon train .

D’autant plus que dans le village les hommes reviennent les uns après les autres....

Bientôt Johanna reçoit des lettres ? Mais qui les envoie et dans quel but ?



Fidèle à ses attaches limousines , l’auteur écrivain et journaliste signe un hymne à la beauté de la nature limousine, à travers des descriptions précises des ciels de là - haut , d’une des pièces de la ferme , désespérément noire de suie , «  noire des ans, noire de saleté accumulée » , de la bergerie , du poulailler ... sorte de drame romantique tout en émotions , voué à la résistance des hommes et à la puissance du désir.



Une ode à la volonté, à l’amour et à l’espoir sur fond de secrets .... de conservatisme exacerbé , de frilosité , de survie , d’étroitesse d’esprit suite aux bouleversements de la guerre ,face à une nature superbement belle mais ingrate .

Très facile à lire entre deux ouvrages compliqués .

Emprunté à la médiathèque, grâce à la superbe première de couverture .

j'ai adore ce roman qui se lit facilement

cependant je reste sur ma faim ( ou fin !!)

Un bon roman , un patriarche attachant et mystérieux qui gère son domaine a l'ancienne. Joli tableau de la Corrèze sous l'occupation . Les personnages sont torturés et prévisibles mais cela ne gâche rien au récit au contraire. Un roman " du patrimoine" comme j'aime .

Dans les années 60,Rosine vit avec son mari Henri dans une petite ferme sombre au creux d'une vallée étroite, sur les bords d'un des modestes affluents de la Dordogne.



Lorsque Henri meurt subitement , Rosine, quarante ans , encore belle, prend conscience du besoin impérieux de passer la porte après avoir vendu ses moutons afin d'aller voir «  La Mer » , les yeux posés sur l'image du calendrier des Postes qui montrait un coucher de soleil sur la mer, justement .

Elle s'est surprise au fil des jours , à ressentir peu de chagrin , au contraire elle se sent libérée d'un poids .

Soutenue par une vieille voisine Suzanne, elle bravera avec culot et indifférence : moqueries , reproches , ragots et commérages du curé , du gros maire et des habitants du village qui veulent la «  Remarier » .





La voici partie à l'aventure : elle laisse tout, en suivant le petit cours d'eau jusqu'à remonter la grande rivière , la Dordogne et de faire le chemin vers «  La Mer ».

Se laissant entraîner au fil des rencontres ,cette décision de partir, la transformera, l'aidera à prendre goût à la liberté , à l'indépendance, à ses envies et oser, enfin se saisir du bonheur, même éphémère ...



Elle va ainsi se découvrir un peu plus coquette , vivre pas mal d'aventures humaines , rencontres diverses et voyages ——de serveuse dans un restaurant à dame de compagnie dans un château ——- en se gardant de faire n'importe quoi!



L'auteur, originaire de cette région magnifique ——qui le fascine et l'inspire —-nous offre un beau portrait de femme en quête d'accomplissement ,écoutant son coeur ... jusqu'à une fin mélancolique ....presque prévisible .



Un roman «  de France de toujours et D'Aujourd'hui » d'une extrême simplicité ancré dans le terroir , très facile à lire, agréable moment de détente entre deux ouvrages compliqués ,emprunté à la médiathèque, à cause du titre et de «  la Collection ».



L'auteur a écrit une quinzaine de romans ancrés dans cette haute vallée de la Dordogne .

petit roman sympathique

histoire d'un enfant qui aime la chasse :

cela fait que j'enlève au moins une étoile

l'histoire de cette jeune fille commence très bien

et nous emporte grâce à l'écriture captivante de l'auteur mais

aux trois quarts de l'histoire cela flanche un peu

et la fin nous laisse un peu tristes

Nous sommes en Haute-Corrèze dans les années 1960. Marie, fille d'agriculteurs décide de quitter la ferme familiale et trouve un emploi dans une scierie. Elle mène une petite vie tranquille au sein de cette entreprise grâce à la solidarité qui unit les employés. C'est une belle jeune femme, rêveuse. Elle souhaite sortir de l'univers monotone de la voie conjugale de ses consœurs, oublier les soucis financiers et les déboires provoqués par l'alcoolisme des hommes, trop souvent fréquents.

Son patron, Mr Danssault, propriétaire de la scierie la poursuit de ses assiduités. Il désire en faire sa maîtresse. Il l'invite même au restaurant. Elle ne cède pas à ses avances. Elle se moque de lui. elle tombe éperdument amoureuse du fils de ce dernier. Elle fait de nombreuses sorties en sa compagnie. Elle espère qu'il la demandera en mariage. Lorsqu'elle lui annonce sa grossesse, il disparait.

Lorsque l'enfant naît, son grand-père, Mr Danssault, assiste à la venue de ce petit garçon, prénommé Jean. Il prend à sa charge tous les frais inhérents à son éducation et à la vie de tous les jours. Marie revient à l'usine. Mais ses parents vieillissant, elle court de la scierie à la ferme. Jean grandit, il accompagne souvent son grand-père lors des achats de bois, des diverses tournées dans la campagne à la recherche de coupe de bois pour alimenter la scierie. Ce travail lui plaît. Il abandonne ses études et participe a la vie de la scierie. Jamais sa grand-mère, l'épouse de Mr Danssault ne le verra. Les années passent. Jean tombe amoureux d'une jeune fille et l'installe à la ferme de ses grands-parents maternels. Mariette devient vite indispensable. Elle est très active, conduit le tracteur, s'occupe aussi bien des travaux extérieurs que de la tenue du ménage et de la grand-mère malade. Marie voit sa vie perturbée par l"emprise de cette jeune femme sur son propre fils Elle en est jalouse. De plus Mr Danssault, intègre Jean à la gestion de l'usine Il veut la lui transmettre ...Mais l'ombre de son père plane sur le devenir du patrimoine...

Un roman de terroir qui décrit bien l'univers des campagnes profondes et la mentalité des personnages. D'un côté ceux qui possèdent les biens, et de lautre ceux qui sont exploités par les patrons. La vie des agriculteurs dans nos petites fermes de moyenne montagne, l'espoir des uns et les déceptions des autres. Cette vie rurale et la petite industrialisation sont le reflet de nombreux départements de la France. Ce sont eux qui maintiennent la vie de nos régions. Bonne étude psychologique des héros de cette saga .
Lien : https://lucette.dutour@orang..

Rosine vit dans l’ombre de son mari, Henri, dans une petite maison dans un village d'une vallée étroite sur les bords d’un affluent de la Dordogne. Quand Henri meurt subitement elle se rend compte que jusque là

elle n’a rien fait de sa vie, qu’elle ne connaît rien en dehors de ce petit coin perdu. Une photo de la mer, sur le calendrier des postes, l’a fait rêver et elle va dés lors avoir un but : aller voir la mer. Cette décision va lui donner le gout de la liberté, de l’indépendance et au gré de ses rencontres, elle va aussi se découvrir femme.

Depuis le début on a envie de suivre Rosine, elle nous séduit et on aime la voir évoluer et trouver sa route.

Louis-Olivier Vitté nous entraîne à découvrir Rosine, son environnement dans les années 60 et cette belle région de la Dordogne

Beau roman de détente

A priori, c'est le type de roman qui pouvait me plaire. Sauf que non.... J'ai eu l'impression de lire une successivement d'anecdotes. Certes c'est les mêmes personnages, mais sans repère temporels precis, et en plus des incohérences dans les informations sur l'âge de chacun, cela n'aide pas a la compréhension.

Et surtout il y a tellement de petits cailloux semés sans qu'on ne sache plus rien à leur sujet ensuite.

Une grosse déception.

Très belle évocation de la dureté de la vie dans les campagnes au XIXe siècle en Xaintrie. Il y a du Pain Noir dans ce livre, même si le lieu et l'époque sont différents. On ne s'ennuie pas un instant à la lecture de ce roman passionnant.