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Critiques de Margaret Mazzantini (141)
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La mer, le matin

« La mer, le matin » est un ouvrage vers lequel je ne me serais jamais tournée spontanément. Je remercie donc Libfly et Furet du nord de m’avoir permis de le lire dans le cadre de leur opération « On vous lit tout ! Presque tout ».



J’ai ainsi pu découvrir un récit intéressant, sur un sujet bien souvent méconnu : les colons italiens chassés de la Libye. Ils doivent retourner en Italie, un pays qu’ils connaissent peu voire pas du tout. Et au final, ils gênent, ils ne sont les bienvenus nulle part. De même, Margaret Mazzantini m’a fait découvrir tout un pan de l’Histoire Libyenne, de l’ascension de Kadhafi au pouvoir à sa chute.



La suite sur le blog :)


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Venir au monde

Ce livre raconte les amours tourmentés de Gemma et de Diego. La toile de fonds est Sarajevo et sa guerre ethnique, les 2 personnages principaux italiens faisant de nombreux voyages à Sarajevo. C'est aussi l'histoire de Gemma qui ne peut pas avoir d'enfants et qui va soufrir pour arriver enfin à "donner naissance" à Pietro, mais qui est-il? C'est en nous révélant l'histoire petit à petit que Gemma nous plonge dans un drame qui va l'engloutir, elle et son amant Diego. Une très belle histoire....
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Venir au monde

A travers le voyage qu'elle entreprend avec son fils, Gemma va se remémorer quelques années de son passé, de sa rencontre avec Diego, le père de Pietro, aux JO de Sarajevo en 1984, à sa mort en plein conflit en 1992. Au fil de son séjour, au fil de ses pas dans une ville qui porte encore les stigmates de la guerre, le lecteur suit Gemma dans ses allers et retours entre passé et présent et va peu à peu découvrir une femme au caractère froid, qui semble s'être murée dans la douleur et ne ressentir que de la violence pour se protéger des émotions.



Venir au monde est un récit multiforme, qui nous offre le récit de Gemma, mais aussi le récit d'une guerre, d'un siège, d'une société marquée par le régime communiste de Tito qui s'entre-déchire après la mort de son dirigeant, d'une ville dans laquelle on survit en échappant aux tirs des snipers, d'une maternité compliquée aussi.



Au fil des six cents et quelques pages de ce roman italien, Marageret Mazzantini nous offre le récit d'une quête et d'un deuil qui se solderont par la renaissance d'une femme, d'une famille, d'une ville, d'un pays tout en nous offrant un retour sur une guerre, loin des considérations politiques, mais au plus près du quotidien des habitants d'une ville marquée à jamais par le sang. Un livre riche en émotions, difficile à lâcher, aux personnages étonnamment humains et émouvants.
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Venir au monde

Un livre dont on ne sort pas indemne !
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Écoute-moi

J’ai été déçue, je pensais que la confession de Timotéo concernerait sa relation avec sa fille, ses erreurs, ses doutes tout ce qu’il pense mais ne lui a pas dit, mais il avoue et parle essentiellement de sa passion pour Italia. Dans ses paroles, je n’ai pas réussi à ressentir son amour pour cette femme fragile. Tout, comme ses mots, ses gestes et son comportement sont violents, vulgaires et méprisants envers Italia. Plus j’avançais dans la lecture, moins j’appréciais le personnage de Timotéo, égoïste et lâche.

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Venir au monde

Je traînais en longueur, j'avais l'impression de ne pas avancer dans ma lecture. Une amie m'a dit :"Tiens bon jusqu'à la fin." J'ai tenu. Ça en valait la peine. vraiment !

La description du siège de Sarajevo vue de l'intérieur est poignante et criante de vérité. Le drame humain qui s'y vit est atroce, presque insoutenable.

Des personnages blessés, souffrants, au début comme à la fin du roman, trop atteints pour que le bonheur les rejoigne. C'est un roman dur. Accrochez-vous !
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Écoute-moi

Timoteo brillant chirurgien italien, est dévasté lorsque sa fille Angela arrive dans son hôpital, victime d'un grave accident de la route.

Pendant qu'elle se fait opérer, son sort incertain, resté dans la pièce d'à côté, il lui parle en pensée et fait un bilan de sa vie. Toutes les confessions qu'il n'a jamais faites, tout ce qu'il a gardé enfoui en lui depuis 16 ans ressort. Dans sa peur de perdre sa fille, il se dévoile, lâche, cruel, faible. Il raconte la passion adultérine qu'il a eu pour une autre femme Italia, quelques mois avant la naissance de sa fille. Ce n'est pas glamour, c'est brut, sans artifices. Et bouleversant.



Le début du livre avec ses phrases courtes, très descriptives et surtout le comportement immonde de Timoteo m'a donné d'abandonner le livre. Impossible d'approuver, de l'écouter parler. Finalement j'ai continué et quel dommage si je ne l'avais pas fait!

Timoteo reste un homme méprisable, mais l'histoire tragique de sa passion avec Italia a quelque chose d'émouvant. Ce n'est pas une romance c'est l'amour sous une lumière froide et crue, comme celle du scialytique en dessous duquel Angela se fait opérer.



Le style d'écriture de l'auteur est très beau, très percutant, j'ai regretté de ne pas l'avoir lu en italien.



Au final, malgré la colère à certains moments, un coup de coeur inattendu que je ne peux que recommander
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Venir au monde

Gemma est italienne et rencontre Diego à Sarajevo en 1984. S'en suit un amour fou et fusionnel , sauf que Gemma ne peut avoir d'enfant. En 2008, elle revient à Sarajevo avec son fils à la demande de son ami Gocko. CE livre est magnifique , merveilleux et vous prend aux tripes. C'est un livre sur la paternité, la maternité, le bonheur mais aussi la guerre, la perte d'êtres chers, les douleurs personnelles. L'écriture est magnifique, précise et percutante. Elle vous fait adhérer au texte, à l'histoire. C'est l'histoire d'une tranche de vie mais construite à la manière d'un thriller. Un livre qui marque. Je recommande chaudement.
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La mer, le matin

Magaret Mazzantini est une écrivaine qui gagne a être mieux connue en France. Son écriture est puissante, avec une force des mots pour nous faire prendre conscience des réalités de notre monde. Dans « La mer, le matin », c’est l’exil qui est abordé, par deux femmes à deux époques différentes. Deux traversées de la méditerranée qui ne sont que souffrance, une souffrance dont l’on ne guérit jamais. L’exil s’est vivre en silence sans trouver sa place et ne pouvoir briser le mur de l’émotion. C’est aussi le désespoir et pour certain la disparition en mer sans laisser de trace. Un livre court et puissant qui ne peut laisser insensible.
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Antenora

J'ai découvert l'écrivain avec son roman "Venir au monde" qui m'a littéralement bouleversé. Cette romancière n'a pas son pareil pour créer des ambiances, décrire des paysages ou encore les tourments de l'âme et du coeur. Il me tardait donc de découvrir cette description de grand-mère... Hélas (trois fois hélas), ce court roman est beaucoup trop sec pour moi.

Sec comme le personnage semble l'être, il manque pour moi du corps, de la chair, des phrases et des chapitres qui viendraient combler et étoffer ce texte qui manque non pas de souffle ou d'intérêt mais d'épaisseur. J'ai eu envie de plus de détails sur les personnages, leurs vies, d'entrer en relation avec eux mais les histoires étaient balayées en deux pages. Trop vite pour moi.

Bien entendu, ce n'est que mon avis, qui est sûrement à la mesure de mon engouement pour ses autres romans!
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La mer, le matin

Encore un superbe récit écrit par cet auteure que j'aime beaucoup.

(Mon préféré d'elle étant " venir au monde" )

Ce livre nous livre tout un pan de l'histoire de la lybie, de l'ascension de Kadhafi jusqu'à sa chute.

Un pan de l'histoire vu des deux côtés de la rive.

De par les yeux de Farid et Jamila, qui veulent à tout prix quitter ce pays pour rejoindre la Sicile.

Et de par les yeux d'Angelina et Vito, siciliens de résidence mais lybienne de cœur pour Angelina.

Un roman très triste, très dur mais oh combien réaliste.
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La mer, le matin

Deux récits entremêlés qui font coeur et corps. Jamila et son jeune fils Farid quittent en urgence leur pays sous les balles et les cris. Du désert aux passeurs ils affrontent leur errance avec l'énergie de l'espoir d'un monde apaisé en Italie, la promesse d'une terre qui a déjà accueilli d'autres apatrides. En face, Angelina et son fils Vito. Leurs familles ont quitté Tripoli chassé par Khadafi. Italiens immigrés en Libye, ils se sont réfugiés en Sicile et sont devenus à nouveau des étrangers. Vito cherche à renouer avec cette terre et avec son passé.

Le vague à l'âme, le déracinement, l'espoir, le souvenir sont autant de vagues qui bercent et noient tour à tour ces quatre personnages. Un court roman qui rend hommage à ces anonymes qui fuient leurs pays non pas par choix mais par nécessité.
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Écoute-moi

Depuis quelques mois, tu essayes de choisir ta lecture de PAL en fonction de ce que te présente le hasard... Ainsi, tu as regardé il y a quelques jours ce film, emprunté à la médiathèque, Venir au monde, tiré d'une oeuvre de Margaret Mazzantini. Tout n'était pas parfait dans ce film, mais il t'a suffisamment marqué, et tu t'es suffisamment renseignée à son sujet pour te rendre compte que tu avais un autre roman de l'auteure dans ta PAL, acheté il y a longtemps en bouquinerie. Le choix était donc évident pour ce mois d'avril !! Margaret Mazzantini est une auteure très célèbre en Italie, elle a déjà remporté le Prix Goncourt italien (le Premio Strega). Comme pour Venir au monde, Ecoute-moi a également été porté à l'écran, avec Penelope Cruz dans un des rôles principaux... Dans cet opus, tout commence par la chute de la jeune Angela, son accident de scooter, et son arrivée à l'hôpital. Son père y est chirurgien et comprend très vite que sa fille peut mourir. Alors il décide de lui raconter la passion qu'il a vécu avant sa naissance avec Italia, sa maîtresse, dans une tentative désespérée de pardon et de miséricorde. Qu'on ne s'y trompe pas, pas de feel-good book ici, Margaret Mazzantini décrit les débuts de cette passion telle une scène de viol terrible... Comme dans Venir au monde, l'amour - chez elle - semble se nourrir de détermination et de violence. Timotéo rencontre cette femme lors d'une journée de forte chaleur, alors qu'il est tombé en panne dans un quartier pauvre et qu'il cherche à joindre son épouse, Elsa. Italia lui propose de se servir de son téléphone, et l'accompagne chez elle. Timotéo abuse d'Italia alors que tout chez elle le repousse. Tout cela est d'une violence inouïe et d'une crudité vulgaire que tu n'avais pas croisé dans un roman depuis longtemps... Alors, comment expliquer le fait que tu as été très vite séduite et subjuguée par la qualité du texte de Ecoute-moi ? Malgré ta gêne et parfois ton dégoût. Parce que - sans doute - l'on sait quand on a à faire à un auteur de talent, et que le talent chez Margaret Mazzantini est ici évident. Elle nous emmène dans une Italie à deux vitesses, dans deux mondes que rien ne rapproche d'ordinaire et regarde ses personnages se débattre dans leurs contradictions, leurs émotions brutes et leurs misères. Un coup de coeur perturbant !!
Lien : http://antigonehc.canalblog...
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La mer, le matin

Le sujet des migrations, des déracinements et de la quête d'identité de ces populations méditerranéennes est, en ce moment, un sujet qui me passionne. Pour autant, je n'arrive pas à entrer dans l'histoire, enfin ces deux histoires de mères et de fils. Je trouve l'écriture très plate, les phrases sont sibyllines et le style manque un peu de liant. Il en vient rapidement que je trouve ce livre "chiant". Je n'arrive pas à m'identifier aux deux mères, même si l'histoire du déracinement d'Angelina me touche plus que la fuite de Jamila.



Ces romans à deux histoires entre-croisées ne fonctionnent pas toujours. J'ai particulièrement adoré Eldorado de Laurent Gaudé qui utilise le même procédé narratif mais avec un vrai talent de conteur.



Ici, Mazzantini ne fait que raconter deux histoires, sans poésie aucune
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La mer, le matin

Farid vit avec ses parents près du désert. Chaque jour, il observe avec ravissement une petite gazelle qui s'approche. Mais soudain, la laide réalité détruit le rêve et la féerie. Jamila doit fuir avec son enfant et tenter sa chance dans un autre pays.

Antonio a quitté son Italie natale pour trouver du travail en Libye. Mais un jour, un tyran prend le pouvoir et chasse les immigrés chrétiens.

Ce beau roman met en parallèle les destins de deux femmes et de leur fils. L'une fuit la Libye en guerre pour tenter sa chance en Italie, l'autre vient d'une famille italienne exilée en Libye.

Aujourd'hui, au moment où l'on parle de « migrants », de « réfugiés », où on les regarde comme des envahisseurs, des menaces, où ils sont repoussés partout, partout malvenus, ce récit rythmé par le bruit des vagues nous projette dans la peau de femmes obligées de fuir le danger.

La première partie présente Jamila et son fils Farid. La deuxième, Angelina et son fils Vito.

Les deux mères ne se connaissent pas, mais toutes deux conseillent à leur petit garçon de fixer un point à l'horizon pour éviter le mal de mer. Et cette phrase revient, comme un refrain.

Dans la dernière partie les deux histoires se rejoignent, se complètent, se terminent.

Le texte est poétique, touchant, poignant. J'ai eu la gorge et le cœur serrés. Je l'ai beaucoup aimé.
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Écoute-moi

un beau "salaud" comme je les aime , une autre vision de Mars & Vénus mais faut-il attendre un accident de la vie pour faire sa C.R.E.Q - crise de remise en question-

Je n' ai pas vu l' adaptation cinématographique ; j' appréhende toujours de confronter mon imaginaire à la vision d' un(e) autre , là le casting me parait prometteur
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Personne ne se sauve tout seul

Nessuno si salva da solo.

Lu en italien.

Babelio refuse le titre italien en dépit du code ISBN

Je commence par la quatrième de couverture de l'édition Mondadori.

"Dalia e Gaetano étaient un couple. Maintenant ils ne le sont plus, et ce soir ils doivent apprendre à ne plus l'être. Ils se retrouvent à dîner dans un restaurant , peu de temps après avoir cessé d'être une famille;

Ils sont encore jeunes_plus de trente ans, moins de quarante, un âge où l'on peut recommencer. Leur chair est encore chaude et inquiète. Où se sont-ils trompés?

Ils ne le savent pas. La passion su début et la rage de la fin sont encore dangereusement voisines.

Ils ont grandi à une époque où tout semblait déjà avoir été dit, ils échangent des paroles qui ne réussissent pas à exprimer leurs solitudes, leur urgence, parce qu'ils sont nés dans les eaux confuses d'un analphabétisme affectif. "



On a le douloureux exemple d'un couple contemporain, deux êtres "qui n'ont rien à faire ensemble". L'ex mari a voulu cette salle de restaurant car "il voulait la mettre à l'aise, voilà tout. Pour un soir au moins. Redevenir moins pesants ensemble."

Le présent alterne sans cesse avec l'évocation des meilleurs moments passés, mais aussi des pires.

L'auteur creuse brutalement les rapports d'un couple qui ne veut plus l'être , qui après un grand amour vit une triste séparation.

Car elle est pénible, parfois exaltante, souvent douloureuse cette séparation.



L'écriture forte balance à la face du lecteur des sentiments écartelés, des corps désunis, des visages fatigués, des âmes détruites;

La langue vulgaire veut ressembler le plus possible à la vraie vie. ( C'est là que , l'italien n'étant pas ma langue maternelle, les mots grossiers ont moins d'impact sur moi)



J'ai l'impression que le roman est bien construit, mais je me suis tout de même un peu lassée.



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La mer, le matin

La guerre éclate en Libye. Omar, le mari de Jamila, 20 ans est tué. Elle décide alors de partir en Sicile avec Farid, son petit garçon, laissant tout derrière eux. Une fois le passeur payé, ils n'ont plus rien, sauf l'amulette au cou de Farid.

Vito, 18 ans, et sa mère Angelina, 50 ans, divorcée et sa grand-mère Santa, font le chemin inverse, pour retrouver la Libye où est née Angelina, retrouver les traces de son passé, de celui de tous ces Italiens qui ont travaillé la terre de Libye.

Mais tout a changé.

Vito, désœuvré, ne trouve pas sa place ici, il erre sur la plage et trouve une amulette...

Chacun évolue avec ses rêves, ses souvenirs et ses ressenties.



Ignorante des liens puissants qui unissent l'Italie et la Libye, c'est sans préjugés que j'ai découvert cette histoire poignante d'exil, de départs, de retours et d'espoirs brisés, un livre qui interpelle sur ces personnes qui n’ont plus de pays propre, qui toujours recommence…



J'ai beaucoup appris, j'ai beaucoup aimé.

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La mer, le matin

L’Italie et la Libye, deux pays séparés par la Méditerranée. Cette mer Farid la découvre quand la Libye est en proie à une guerre civile. Son père vient d’être tué alors sa mère Jamila décide de partir avec lui. Une fuite où elle laisse sa maison, son pays. Elle emporte avec elle un châle et l’argent pour payer l’homme qui les fera monter dans un bateau. De l’autre côté, on les accueillera. Forcément. Ce sont des réfugiés. Vito, âgé de dix-huit ans passe ses vacances avec sa mère Angelina sur une île près de l’Italie où ils habitent. Angelina de parents italiens est née en Libye où elle a passé onze années avant que le colonel Kadhafi ne les chasse. La famille revenue dans son pays natal ne s’est jamais sentie chez elle. Des déracinés pour qui l’horrible sentiment de n’appartenir à aucun pays, d’être des incompris a toujours été le plus fort. La Libye c’était leur vie. Angelina n’a jamais pu cicatriser la plaie de sa souffrance et son fils l'a trouvé toujours différente des autres mères.





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Venir au monde

Une belle histoire d'amour + une guerre horrible = un magnifique roman

Pour mon premier roman de la littérature italienne je ne me suis pas trompée. Venir au monde est un magnifique roman où il est question d'amour, de maternité et de guerre.




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