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Critiques de Martin Suter (411)
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Le temps, le temps

Voici une histoire insolite et peu banale : un vieil homme du nom de Knupp décide de reconstituer à l'identique son lieu de vie d'il y a vingt ans, persuadé que le temps n'existe pas et que seules les modifications extérieures tiennent de marqueur temporel. Il espère ainsi retrouver sa femme morte il y a 20 ans et changer le cours du destin. Il est aidé dans cette tâche dantesque, comme par exemple remplacer tous les arbres du jardin par exactement les mêmes, mais 20 ans plus jeunes, par Peter Taler, un voisin, veuf depuis peu et dont la femme a été abattue au pied de leur immeuble. Ce dernier, tout en recherchant obstinément le meurtrier de sa femme, finit par se laisser séduire par la théorie absurde de Knupp. Passionnant.
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Le cuisinier

Un beau roman d'une grande originalité. Néanmoins, on me l'avait tellement vanté que je m'attendais à encore mieux ! Je le conseille tout de même, car je l'ai trouvé très novateur,d e par son intrigue comme de par les idées qu'il véhicule.
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Small World

C'est en regardant Metropolis (encore une fois) que j'ai découvert Martin Suter, ancien publicitaire et ancien journaliste habitue des questions financières reconverti comme écrivain.

Alors je me suis lancé dans Small World. Small World c'est la description de la grande bourgeoisie suisse et du petit peuple. Mais au-delà de l'aspect sociologique, il y a la description de la maladie. Maladie contre laquelle on ne peut pas faire grand chose, qui avance comme un bulldozer.

A cote de l'aspect médical, il y a comme une intrigue policière. On se demande pourquoi la mère de son ami, matriarche gérant un empire industriel, veut le voir disparaître de la circulation. L’évolution de la maladie permet à Conrad d'avoir des flash-back qui construisent tout doucement l'intrigue et cela donne de l’intérêt.

Grand avantage de la fiction Conrad bénéficie d'un traitement qui pourrait ralentir les effets de la maladie, petit tour qui permet à Martin Suter de finir son roman dans un happy end.

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Le dernier des Weynfeldt

Voici un roman psychologique agréable à lire.Le style est simple mais efficace.On y retrouve avec plaisir l'humour suisse légérement décalé du romancier.Les personnages sont croqués avec subtilité même si le côté désuet de certaines de leurs attitudes prêtent parfois à sourire...L'histoire peut rappeller par certains côtés l'ambiance de Pretty Woman...mais, transposée en Suisse-Allemande au 19 éme siècle...

Le personnage principal, richissime expert en art, se trouve embarqué dans une invraisemblable escroquerie de faux tableau dont il aura bien du mal à se sortir...un livre parfois un peu kitsch mais plein d'un indicible charme.
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Allmen et les libellules

Voila donc un nouveau couple à qui l'écrivain Martin Suter donne vie dans ce premier livre policier qui en annonce d'autres.

Ce livre constitue donc la génèse de Johann Friedrich von Allmen et son serviteur Carlos ce qui peut expliquer la longueur (lenteur) du premier tiers du livre ou l'auteur dépeint ses personnages .

Descendants directs d'Arsene Lupin ou de Lord Lister les personnages de Martin Suter n'en ont pourtant pas (encore) le panache et l'intrigue manque cruellement de rebondissement.

On retrouve parfois le ton et le charme désuet des romans feuilletons policiers et des romans de ces illustres inspirateurs mais Martin Suter devra donner du corps à ses personnages (Carlos le serviteur est pour l'heure le personnage le plus singulier et vole même la vedette à son maître ) ainsi qu'à leurs futures aventures pour que dans un siècle on se souviennent d'eux au même titre que Lupin, Lister, Holmes.....

Rendez vous est donc pris pour le deuxième volet
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Allmen et le diamant rose

On retrouve Allmen avec plaisir, cette fois-ci établi comme privé, mais n'ayant pas changé pour un sou! Peut-être plus délectable encore que le premier volet!
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La Face cachée de la lune

En insérant dans son intrigue une chasse à l'homme, Martin Suter réussit à insuffler le suspense nécessaire pour que le lecteur n'abandonne pas Urs en plein milieu de la forêt et de ses champignons. Il nous livre une critique acerbe de cette société capitaliste qui ne s'est guère arrangée depuis la sortie de ce roman au début des années 2000...
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Small World

Un homme pert la mémoire immédiate, peu à peu, il s'appelle Conrad, il vit au crochet de la riche famille Koch, il y est toléré ayant partagé son enfance avec Thomas, l'héritier, fils de l'industriel Koch. De cette famille reste Thomas et sa mère Elvira Senn, puissante, autoritaire. L'atmosphère est oppressante dans ce riche manoir surtout depuis que ce pauvre bougre de conrad, en perdant pied avec la réalité, retrouve ses souvenirs d'enfance. Sans qu'il puisse s'en rendre compte les rapports de force s'inversent et Elvira, la femme dominatrice, s'affole devant les fantômes du passé.

Secret de famille qui se révèle à la lueur des souvenirs, ce small world se lit d'un trait.
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Le cuisinier

J'avais bien aimé "Le dernier des Winckler" et le bouche-à-oreille m'a donné envie de lire "Le cuisinier". Mais bof... là je suis vraiment resté sur ma faim (jeu de mots justifié vu le sujet !). Le livre s'avère finalement trop fidèle au personnage principal, Maravan le cuisinier tamoul inspiré : attendu, sans grande fantaisie et donc décevant... Le sujet pourtant était excellent et les premiers chapitres intrigants : mais l'auteur n'a pas réussi à décoller et du coup, la fin est plate et convenue. Comme certaine cuisine moléculaire, plus prétentieuse que vraiment riche en goût !
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Small World

Un roman qui « consiste à décrire à la fois la perte de mémoire et les efforts pour la reconstituer » :

Conrad Lang s’enfonce peu à peu dans la maladie d’Alzheimer. Mais si sa mémoire immédiate, celle liée au quotidien, semble lui faire défaut, celle, plus ancienne, liée aux souvenirs de son enfance, resurgit peu à peu, par bribes.

Ainsi ses réminiscences nous dévoilent que, malgré sa mise à distance par la richissime Elvira Koch, sa vie est, depuis toujours, très intimement liée à celle de la famille Koch. Quel secret Elvira tient-elle tant à préserver ? Les révélations de Conrad suffiront-elles à ébranler le clan Koch ?

Roman construit comme un polar dans lequel on s’attache aux personnages, et en particulier à Conrad, qui -malgré ses allures de dandy bien éduqué, charmeur auprès des femmes-, a tout pour évoquer l’ anti-héros, personnage « sans qualités », mésestimé, alcoolique et has-been. Pourtant….

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Le cuisinier

Une histoire succulente!



Martin Suter a été ma plus belle découverte depuis Le cœur cousu, de Carole Martinez, en 2010. Un style épuré, froid, simple et terriblement efficace, une histoire qui donne la part belle à l’art culinaire, le tout sans temps mort et empreint de délicatesse.



Voilà un auteur trop méconnu à mon sens. Martin Suter possède un réel talent littéraire : celui de nous faire ressentir les émotions et les sentiments de ses personnage… sans jamais les aborder!



En effet, il n’exprime explicitement aucuns sentiments ni aucunes émotions des protagonistes, reste en distance par rapport à son histoire, presque froid. Et pourtant, on ressent toute une palette d’émotions, les personnages se livrent à nous et on pénètre leur intimité. Comment une telle prouesse est-elle possible? Finalement, je préfère ne pas le savoir pour conserver intacte la magie des livres de Martin Suter.



Ce roman n’est pas le meilleur de Martin Suter mais reste cependant un très bon livre, et ma référence puisque c’est grâce à lui que j’ai découvert cet écrivain…
Lien : http://litteratureetchocolat..
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Le diable de Milan

Sonia est une physiothérapeute qui vient s’installer dans un hôtel de montagne rénové qui accueille ses premiers clients. Imaginez une bâtisse un peu gothique, des piscines et des bains, un paysage embrumé et Sonia qui y arrive alors qu’elle est mal remise d’un divorce difficile. Ce roman est très efficace dans le genre thriller psychologique : l’auteur prend bien le temps d’installer le personnage principal, ses émotions, ses sensations bizarres, les lieux, tout en distillant des petits moments angoissants… Il fait apparaître tour à tour à Val Grisch et aux alentours des habitants vaquant à leurs occupations, mais on ne sait pas s’ils représentent une menace ou non… Sonia est certes fragile et perturbée par une récente séparation dont on apprend petit à petit les tenants et les aboutissants, mais il se passe tout de même des choses qui ne semblent pas être nées de son imagination.

Très prenant, bien écrit, il se lit d’une traite. La fin est peut-être un peu moins réussie, mais on le lui pardonne volontiers !
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Le cuisinier

Maravan est un exilé Tamoul qui vit et travaille en Suisse. Il a des talents de cuisinier qui sont plus que sous exploités car pour le moment il est plongeur dans un très grand restaurant; bien sûr on n’hésite pas à faire appel à son extraordinaire habileté quand c'est indispensable mais aussitôt après c’est...retour à la vaisselle.

Lorsque une de ses collègues découvre ses talents culinaires fantastiques et sa connaissance de la cuisine ayurvédique à laquelle l’a initié une vieille femme de sa communauté, elle voit là l’occasion de créer Love food " la cuisine aphrodisiaque à votre domicile".



Une excellent idée de roman et je dois dire que les descriptions des mets préparés font saliver mais ....ça ne fait pas vraiment un roman, l’évolution de l’entreprise sur fond de problèmes financiers et de crise économique ne m’a pas semblé très attrayante. Les recettes en fin de livre ne suffisent pas même si la personnalité de Maravan est attachante.
Lien : http://asautsetagambades.hau..
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Melody

Une enquête, de la broderie, toute une vie à trier et à documenter... What else ? J'ai beaucoup aimé les personnages (par exemple la cuisinière italienne !) et l'histoire, vécue comme une enquête. Les lieux sont beaux, j'aime beaucoup la fin. A lire !
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Melody

Martin Suter, l’écrivain suisse alémanique à succès, est l’auteur de nombreux reportages et articles (notamment pour le magazine GEO) et a à son actif environ une vingtaine de livres. Je le découvre avec son dernier intitulé Melody que je chronique dans le cadre de la masse critique Babelio. On y suit Tom Elmer prenant son service chez un certain M. Stotz…



Par courtoisie, présentons d’abord Peter Stotz. Cet octogénaire est une personnalité influente qui occupe une belle résidence à Zürich dont on découvre progressivement les pièces. L’ancien homme d’affaires et militaire, M. Stotz, est une personne aux habitudes bien ancrées (dont celle de boire un ou deux verres d’armagnac), accompagné par ses employés fidèles au poste depuis des dizaines d’années. Mariella mettra les lecteurs soucieux de leur ligne à rude épreuve, car cette cuisinière hors pair sert des plats exquis matin, midi, soir et on n’en perd pas une miette ! Mentionnées en italien, ses recettes nous accompagnent tout au long de l’histoire et procurent à cette dernière une agréable touche gourmande. Ajoutons que les boissons sont servies par Roberto, la tension mesurée par le Dr Karer et pour les visites occasionnelles du monde intellectuel, il y a l’écrivain Bruno Schären que l’auteur n’épargne pas de quelques moqueries (en tirant ainsi dans ses propres rangs).



La vie de Monsieur Stotz s’achève et il engage le jeune Tom Elmer afin que celui-ci mette de l’ordre dans tous ses dossiers. Cette proposition est de l’eau bénite pour Tom, ce trentenaire qui, confortablement établi en tant qu’étudiant, était contraint de mettre fin à ses études après le décès de son père qui le soutenait financièrement. Avec deux masters en poche et au chômage, il accepte volontiers l’offre de Monsieur Stotz. Logé et nourri pour un an, Tom s’adonne à sa tâche. Mais s’agit-il vraiment de tâches administratives ? Lors des soirées suivantes, M. Stotz se transforme en une sorte de Shéhérazade et raconte son histoire d’amour, en la personne de Melody, dont les peintures décorent les murs… En plein doute, on se demande avec Tom, où la vérité laisse la place à la fiction…



L’humour, le suspense et la gourmandise, tels sont les ingrédients utilisés par Martin Suter afin de nous concocter ce roman soutenu par une écriture intelligente (avec un petit bémol toutefois quant à la relation entre Tom et Laura qui paraît un brin artificielle). Procurant un agréable divertissement et se lisant aisément, il est recommandé pour les moments de détente après un repas copieux en famille. Après tout, comme dit Monsieur Stotz : "La vie est trop courte pour faire des siestes."
Lien : https://etsionbouquinait.com..
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Melody

#Melody #NetGalleyFrance

Avant tout merci à Netgalley France et aux Éditions Phébus de m'avoir permis de lire ce livre.

j'ai découvert ainsi un auteur suisse allemand, que je ne connaissais pas, mais que je vais suivre, et dont je vais certainement lire autre chose.

Le style est très agréable, et pour cela merci à la traductrice. Le rythme est très bien donné.

L'histoire happe le lecteur de façon très rapide et il est difficile de poser le livre.



l'histoire semble simple, un vieil homme riche, demande à un jeune homme de lui faire de secrétaire particulier pour mettre en place ses papiers et pour qu'à sa mort la postérité ne retienne que l'essentiel.



Et là débute le problème entre fiction et réalité, l'essentiel aux yeux de cet homme, est ce la réalité ?

Son histoire d'amour avec Mélody est passionnante et Tom (le jeune homme) va boire les paroles de monsieur Stotz (son patron), à aucun moment, il ne doute de la véracité des faits.

Entre fiction et réalité, il n'y a qu'un pas, et bien souvent dans la fiction, on trouve des fils de réalité qui permettent de mieux tisser l'ensemble de l'histoire.

Conscience ou non de l'utilisation de la fiction, pour enjoliver le tableau, pour permettre au protagoniste de toujours garder le meilleur côté.

À quel moment est-on totalement sincères, donne-t-on la complète vérité, ne sommes nous pas tous tentés de faire entrer la fiction ?

Une histoire passionnante.
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Éléphant

Ce sympathique roman est l'archétype du livre de plage, sauf que je ne vais pas à la plage, il y a du sable et des gens, il me semble l'avoir déjà écrit au détour d'une autre chronique. Disons donc l'archétype du livre de vacances, ou d'été. C'est faussement léger, distrayant mais très bien documenté, et ça se lit tout seul.



Martin Suter indique dans les remerciements que les premières lignes du premier chapitre, la situation de départ, ont pour origine une conversation impromptue avec un professeur et chercheur en médecine en marge d'un congrès sur la maladie d'Alhzeimer qui s'est tenu dix ans avant l'écriture du livre. Il confesse que cette idée que la génétique moderne permettait de produire (c'est le terme qu'il emploie) un tout petit éléphant rose "ne l'a pas abandonné depuis". On le comprend, et on comprend également qu'il ait été bien difficile de résister à l'idée de faire se croiser cette créature et un SDF éméché. De là à en faire tout un roman... C'est tout le talent de Martin Suter que d'avoir relevé ce défi sans sombrer dans la facilité.



C'était mon premier Suter, ce ne sera pas le dernier.

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Le dernier des Weynfeldt

Val (La jument verte de Val) et moi c'est une vieille histoire, une collaboration trimestrielle qui cette fois nous a conduit en Suisse, la Suisse plutôt privilégiée de Zurich. Adrian Weynfeldt est un expert en peinture, le dernier d'une vieille famille helvétique, célibataire et plutôt casanier, qu'une jolie aventurière, Lorena, va entraîner dans une malhonnêteté avec la complicité d'un vieil ami, tout cela à propos d'un tableau de Félix Valloton. Cette variation sur le domaine faussaire, dans le calme et l'opulence des rives du lac, sur fond de boutiques de luxe et de restaurants gastronomiques, distille un charme désuet, feutré, cossu, qui m'a beaucoups séduit. un monde dont j'ignore tout.



Sorte de polar sans cadavre, de thriller trois étoiles, sans violence et (presque) sans arme, Le dernier des Weynfeldt a le parfum de ces romans d'entre deux guerres, avec femme fatale et robes prestigieuses, artistes fauchés pique-assiette et bienséance à tous les étages. Juste un peu de technologie, la vente aux enchères de l'exemplaire (le vrai, le faux, l'original, la copie, le pareil, le même, je ne sais plus) bénéficiant des progrès de l'hyperconnection. Une once de chantage devant un distributeur d'espèces, généreux, mais bien élevé.



Le dernier des Weynfeldt n'est pas un suspense haletant ni une plongée à l'hémoglobine dans les bas-fonds helvétiques. Ni James Ellroy ni les enquêteurs scandinaves alcoolo-dépressifs. A peine une enquête mais un monde soi-disant policé où les coups tordus se parent de l'habit d'or des amateurs d'art éclairés. Adrian, à l'orée de la retraite, se laissera-t-il ainsi corrompre, qui se targuait d'être exemplaire ès galeries et vernissages? Martin Suter (Le diable de Milan, Eléphant) est un auteur hautement recommandable. Un vrai bon livre. A savoir, un téléfilm germano-suisse a été réalisé mais je ne sais s'il a été diffusé en France.
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Montecristo

Des personnages bien typés, assez pour qu’on soit déstabilisé par des ambigüités dans leurs rapports. Ainsi Marina, dont à la fin, on découvre le vrai rôle. Car on navigue dans le monde de la haute finance. Où son ami Gantmann décèle une affaire énorme. Avec manipulations à tous les étages.

Le twist final m'a paru surprenant, autant qu'il a dû étonner Jonas.

Malgré la couverture bizarre, c’est un bouquin qui ne se laisse pas lâcher facilement !

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Montecristo

C’est un thriller qui maintient le suspense jusqu’au bout. La fin est d’un grand cynisme, mais il n’y avait pas d’autre alternative possible. Il se déroule à Zurich et le fond du sujet parle sur les pratiques financières des banques suisses.



Loin de moi de vouloir divulgâcher ne serait-ce que un petit peu, ce bon roman. Il faut respecter la possibilité à l’éventuel lecteur de le déguster entièrement.



Le protagoniste, Jonas Brand, va se trouver embarqué par le plus grand des hasards, dans une escroquerie bancaire énorme au sein du sacro-saint de la banque : la Suisse.



Comment Jonas va se voir compromis dans cette histoire, comment cette histoire va évoluer, comment va t’il entrer en relation avec divers acteurs. C'est tout bonnement incroyable et bien mené.




Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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