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Critiques de Matsuri Hino (317)
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Vampire Knight - Intégrale, tome 4

Autant bon à lire que les 3 premiers tomes. Le suspens qui tourne autour de Yuki va être mis à rude épreuve et même si parfois elle peut être un peu enfantine, j'aime toujours autant ce manga.
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Meru Puri, Tome 4

J'étais vraiment impatiente de lire ce dernier tome. J'avais hâte de savoir comment l'auteur allait conclure sa mini saga très réussie d'ailleurs. Je trouve que le choix du format de quatre volumes était judicieux. Je vois mal comment, Matsuri Hino aurait pu tenir sans entrer dans une spirale de répétition. Elle a d'ailleurs su très rapidement rendre ses personnages attachants et créer un monde auquel on croit sans accroc.



Mais revenons à ce dernier tome. Aucun regret pour ma part. Il est très bien mené et nous donne une conclusion parfaite. Cette romance magique a totalement su faire le job. Entre le graphisme délicat, soigné et précis, et une histoire passionnante mêlant humour, romance et aventure, c'est le choix parfait pour passer un très bon moment.



Toutefois, je dois avouer que ce tome quatre va assez vite. Les choses retournent à la normale (sans grande surprise) en utilisant un procédé que je trouve très sympathique dans ce genre de cas : la mémoire du corps. Cela donne des scènes tendres et mélancoliques à la fois qui vont être chamboulées par les petits tracas qu'entraînent cette famille royale des plus perturbatrices.



J'ai réellement apprécié le travail autour de la relation entre Airi et Alam depuis le début. La partie magique rend le tout plus facile à "avaler", c'est certain, car n'oublions pas quand même que notre héroïne à quinze ans et techniquement parlant Alam dix... mais Airi prend également une décision qui rend la chose plus "légale" ! XD



Un petit mot aussi sur Jeile. Au premier abord, ce personnage n'avait pas fait une entrée des plus appréciables. Cependant, au fur et à mesure, on finit par s'attacher à lui. J'aime beaucoup ce genre de protagonistes qui nous donne la possibilité d'apprendre à les connaître et de voir au-delà des apparences. Le voir quelques années plus tard en papa ne peut que nous arracher un large sourire.



Une série qui est donc très sympathique, bourrée d'humour qui se laisse très bien lire et en vous laissant un sourire aux coins des lèvres. A conseiller donc, pour ceux qui voudraient connaître Matsuri Hino, et enchaîner avec Vampire Knight son autre série (plus sombre mais tout aussi bien).
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Meru Puri, tome 3

Comme on pouvait s'en douter, Razu est bien là pour mettre la pagaille dans la relation d'Alam et Airi. Tout cela à cause de l'ancêtre de notre héroïne. C'est quelque chose que j'ai du mal à comprendre, en soi. Je veux dire, en vouloir à celle qui a causé des tords à la famille de Razu, ok, mais en vouloir à sa descendance, alors que celle-ci n'est au courant de rien… C'est facile, lâche et hypocrite. Surtout qu'Airi ne peut même pas se défendre. Alors oui, je comprends que Razu soit en colère parce qu'il a subi une injustice (enfin son arrière-arrière-arrière… grand-père), mais au bout d'un moment, il faut s'en remettre ! Surtout qu'il n'a pas vraiment de quoi se plaindre, il fait toujours partie de l'aristocratie. Encore une histoire de pouvoir et d'orgueil mal placé...



A partir de là, la mangaka décide d'opérer un stratagème bien connu dans les shojos. Il ne reste que deux tomes, et nos deux héros n'ont encore pas réellement subi de contrariétés... Maintenant que leurs sentiments sont clairs pour chacun des deux, l'élément perturbateur peut arriver. Et... clairement, même si c'était le plus évident vu que la série est courte, le stratagème employé est celui que je déteste vraiment le plus.



Cependant, de cet événement, une "union" inattendue se produit, celle de Jeile et Airi. Si le frère aîné de notre héros ne cesse de le martyriser depuis le début, on sent ici que c'était avant tout l'attitude d'un frère plus que d'un rival. Et Jeile et Airi forment un bon duo. Il y a une dynamique assez semblable à celle de nos deux héros, dans le sens où AIri ne se laisse pas faire, et cogne très souvent le prince. Et la présence, bien qu'enquiquinante de Jeile, permet à Airi de ne pas perdre son mordant. C'est ce que j'aime dans le caractère d'Airi. Elle peut paraître naïve mais derrière cette apparence, c'est un personnage très fort et courageux qui n'a pas peur d'affronter l'inconnu surtout quand il s'agit d'Alam.



Les protagonistes se retrouvent tous à Aster, et un petit espoir se dessine. J'ai assez confiance en Matsuri Hino, mais j'ai hâte de voir comment elle va faire pour conclure son histoire.



J'ai aussi beaucoup aimé le petit chapitre bonus concernant l'enfance de Jeile et en particulier sa rencontre avec son petit frère. C'est là qu'on se rend compte, que finalement, Jeile cherche juste à embêter Alam et ne pas réellement lui faire du mal. C'est juste un grand frère taquin et un brin loufoque.
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Meru Puri, tome 2

Dans ce tome deux, Matsuri Hino continue de nous faire découvrir la vie quotidienne de Airi et Alam dans le monde des humains. C'est assez amusant car malgré son jeune âge, le petit prince fait tout pour être plus adulte, et son changement d'apparence tout le long du tome rend plus que crédible ce changement. C'est même assez perturbant car il est difficile de penser qu'Alam est vraiment un petit garçon. Il n'est pas difficile de comprendre pourquoi Airi ne sait plus trop quoi penser. Elle le dit elle-même à un moment donné. Elle aime Alam mais elle ne sait pas encore de quelle façon. A sa place, je serais aussi complètement désorientée. Je me demande d'ailleurs comment la mangaka va faire pour trouver une solution à ce problème…



Ce qui est aussi difficile à appréhender, c'est que les sentiments d'Alam envers Airi sont vraiment sincères. Pour son âge, on aurait tendance à croire que c'est simplement une amourette passagère, mais il n'en est rien. On sent bien que le petit garçon est sérieux et sincère. Sa rivalité avec Nakaoji n'est d'ailleurs pas feinte et elle est loin d'être celle d'un petit frère face au prétendant de sa soeur.



Alors du coup, Airi est perturbée par tout cela. Sans compter que cette histoire est loin d'être comme celle qu'elle avait imaginée concernant son « grand amour », elle est malmenée sans arrêt entre ses sentiments pour Alam qu'elle n'arrive pas à définir et ses sentiments pour Nakaoji qui est pour elle, l'idéal masculin. Tout se complique lorsque par inadvertance, elle se retrouve dans le royaume d'Aster. On découvre alors un secret concernant Airi qui la met en danger. Alam ne tarde pas à la sauver avec une promesse qui va encore plus compliquer leurs relations. Notre héroïne qui avait déjà du mal à s'habituer à la situation... Mais franchement, cela apporte du piquant et rend aussi le manga plus adulte.



On assiste aussi à des passages qui nous offrent vraiment des moments très tendres entre nos deux héros. Ils mettent aussi bien en valeur les efforts que fait Alam pour Airi. On assiste aussi à un véritable contraste entre l'attitude du jeune prince envers sa bien-aimée et le reste de son entourage. C'est très attendrissant et cela prouve encore une fois son attachement sincère.



L'arrivée à Aster de Airi a provoqué pas mal de soucis, ce qui donne une touche plus dramatique. Sa rencontre avec le cousin d'Alam, Razu, va sûrement être une cause de problème grandissante. En espérant que notre héroïne trouve en Lei et Jeile des alliés qui pourront la soutenir. Le grand frère de notre héros malgré son attitude pourrait se révéler être une aide précieuse. Du moins, je croise les doigts.
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Meru Puri, tome 1

Meru Puri a été la première oeuvre de Matsuri Hino que j'ai commencé. Je ne sais plus trop pourquoi j'avais décidé de lire cette série. Le dessin avait sûrement dû m'attirer car le style de la mangaka est fin, stylisé et a aussi un côté très "romantique". Le soin du détail est très présent et ses personnages ne se ressemblent pas du tout (ce qui est malheureusement le cas chez certains mangaka, ce qui conduit souvent à des incompréhensions lors de la lecture).



Donc oui, le graphisme m'a clairement attiré. La série faisait quatre tomes, je ne m'engageais pas dans une aventure à rallonge et le résumé avait quelque chose d'assez drôle. Une héroïne à la recherche du GRAND amour qui voit débarquer de nulle part un petit prince qui cherche à échapper à son grand frère (tous les deux magiciens de surcroît). J'avoue, j'ai trouvé cela adorable et ma curiosité a tout de suite été piquée.



Airi est tout de suite décrit comme étant une grande romantique, un peu candide et étourdie. Elle est attachante, dynamique, et semble avoir un caractère bien trempée également. Sa rencontre avec Alam est assez amusante d'ailleurs. Le jeune prince est mal poli, arrogant, s'adressant à Airi en l'appelant "Femme"... Et Airi ne se laisse pas faire du tout, bien au contraire. Pour Alam, c'est sûrement la première fois que quelqu'un doit lui remonter les bretelles et lui faire la morale. C'est très drôle car le petit garçon est tout de même adorable et qu'il finit par écouter tout ce que lui dit Airi.



Il est assez normal, en fin de compte, que le petit prince tombe amoureux de l'adolescente. Et les choses se compliquent encore plus quand on découvre la malédiction que Jeile a jeté à son frère. A chaque fois que Alam est plongé dans le noir, il vieillit. Je vous laisse imaginer la tête de Airi quand elle le découvre, surtout qu'ils sont en train de dormir tous les deux dans le même lit ! Mais pourtant, Alam reste le petit garçon que l'on a rencontré.



C'est ce point là de la série que je trouve très intéressante, car en effet, Alam reste mentalement un petit garçon malgré son corps d'adolescent. Avec ses sentiments pour Airi qui commencent à grandir et la jeune fille qui est quand même troublée par l'apparence plus adulte de son petit "locataire", les choses promettent d'être assez mouvementées. C'est aussi sans compter la présence de Jeili... le grand frère de Alam étant un égocentrique surdimensionné et loufoque... les scènes amusantes ne font pas se tarir de si tôt.



Un premier tome très réussi qui mélange adroitement pas mal de genres. La suite se montrera moins drôle à mon avis pour se concentrer plus sur nos deux héros et les obstacles qu'ils vont rencontrer, mais pour une mise en bouche, c'est l'adhésion totale.
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Meru Puri, tome 3

Voilà enfin ma chronique sur le troisième tome de meru puri, un shōjo écrit par Matsuri Hino, mangaka que l’on ne présente plus. Nous retrouvons donc Airi Hoshina, une adolescente niaise et fleur bleue qui rêve du grand amour, et Aster Ey Daimonia Eucalystia Alam, le jeune prince victime d’un maléfice lancé par son propre frère aîné, Jeyle. Les problèmes se succèdent puisqu’une certaine personne venue du royaume magique (Zelothya Razalud, le cousin du héros) décide de se mêler de leurs vies et de faire tourner la jeune fille en bourrique alors qu’ils sont en plein voyage scolaire. Aussi, quand une mystérieuse coupure de courant les oblige à se cacher dans un placard et que quelqu’un s’apprête à l’ouvrir, on se demande si leur secret ne va pas être révélé à toute la classe.



L’histoire avance d’un cran et diverses choses se produisent ici. Une princesse pourrie gâtée qui pense que tout lui est dû entre en jeu, certains révèlent leur vraie nature (même si on s’en doutait déjà un peu), on réalise que ceux qui nous entourent ne sont pas forcément fiables et que d’autres, que nous avions mis de côté pour diverses raisons, sont en réalité plus serviables.



Parlons maintenant des personnages, et plus précisément de l’héroïne. Airi, de mon point de vue, a évolué. Elle a enfin compris ce qu’elle ressentait et a accepté les sentiments qu’elle éprouvait pour Alam, qui est pourtant bien plus jeune qu’elle. Il n’y a pas de doute à avoir sur ce sujet, elle l’aime. Fort heureusement, c’est réciproque et le jeune garçon n’a d’yeux que pour elle, alors qu’elle est la descendante de celle qui a trahi son royaume il y a bien longtemps. Le prince, quant à lui, est toujours le plus travaillé du manga. Mignon enfant, beau adulte, intelligent, fort, charismatique, prévenant et, attention nouveauté : romantique ! Petite pensée pour la scène avec la baignade au milieu de la nuit, sous le ciel étoilé, que je ne me lasse pas de lire encore et encore ♥ (même si ça paraît plus qu’étrange si on réfléchit deux secondes et qu’on se dit « attends, stop, ce n’est qu’un enfant dans un corps de grand »). Lei et Razu, en ce qui les concerne, ne sont rien de plus que des crétins finis, et ça se sentait à des kilomètres. Jeyle, finalement, est celui qui m’a le plus surprise (en bien). Mais bon, s’il n’avait pas été là pour aider Airi, personne ne l’aurait fait donc c’était un peu obligé. Breeef.



Comme d’habitude, les dessins sont magnifiques et donnent envie d’en savoir plus. Le travail est splendide, c’est plaisant à voir et ça rend la lecture aussi fluide qu’agréable. On a de la magie, de l’amour, des cœurs brisés, des complots et un rythme plus effréné. D’ailleurs, l’histoire peut sembler un peu précipitée puisqu’il n’y a que quatre tomes mais ne vous y trompez pas : Matsuri Hino a bien présenté son œuvre. Si vous avez aimé les tomes précédents, celui-ci devrait vous plaire également.
Lien : http://madameratou.com/meru-..
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Vampire Knight - Mémoires, tome 5

Je suis partagée à la lecture de ce nouveau tome où pourtant l'autrice déroule enfin son histoire à un rythme satisfaisant alternant passé et présent de manière bien plus fluide et faisant nombre de révélations.



J'ai beaucoup aimé tout ce qui avait trait à la politique vampirique passée. Voir la lente dégradation des relations humaines - vampires alors que tout semblait aller mieux à la fin de l'époque Yuki-Zero est désolant. Les ressorts utilisés par la mangaka sont classiques mais parfaitement mis en scène, avec une lente spirale visant au discrédit de nos créatures à dents pointues. L'orchestration est faite lentement, insidieusement mais laisse derrière elle de discrets indices. L'univers imaginés ainsi par Hino Matsuri devient encore plus dense que dernièrement. Les nouvelles factions et nouvelles créatures qui apparaissent sont séduisantes pour le lecteur amateur d'un imaginaire plus fouillé dans cette série. Tout cela pour mettre en lumière un futur bien sombre à cette période qui avait pourtant atteint son apogée. C'est très bien fait.



En parallèle, j'ai adoré apercevoir les adultes de l'histoire, que ce soit Yuki et Zero dont la relation est magnifique désormais. Ils forment enfin le couple que j'attendais et c'est un peu frustrant de ne pas les voir plus dans des moments romantiques... C'est mon coeur de fangirl qui parle >< En revanche, en tant que parents, je les trouve top vu la situation. J'ai aussi apprécié de croiser les anciens de l'Académie qui continue à agir pour préserver la paix entre humains et vampires. Les nouvelles têtes croisées remplissent bien leur rôle et alimentent ce climat incertain où on sent le basculement proche à l'image des toutes dernières pages.



Cependant, tout n'est pas parfait, vous vous en doutez et à l'inverse du background que je trouve très réussi, le développement des personnages me chiffonne énormément. Au début, j'étais ravie de voir se construire sous nos yeux la relation entre Aï et Ren, les 2 filles de Yuki. J'adorais Aï et son "projet de petite soeur parfaite". C'est truculent et adorable. Ren était bien moins froide que dans le présent/futur ce qui me plaisait aussi. Elle était souriante, aimait son papa, voulait devenir hunter comme lui pour protéger les autres. Le problème est arrivé au moment de son basculement dans le vampirisme. L'autrice s'est sentie obligée de nous pondre une sorte d'histoire limite incestueuse entre les deux soeurs à cause de l'attirance prononcée de Ren pour le sang pur d'Aï. Et là, je dis non ! C'est peut-être logique avec tout ce qui a été dit sur les sangs purs mais c'est franchement malsain et dérangeant et on aurait pu s'en passer. Du coup, j'ai beaucoup moins aimé la dynamique entre les deux soeurs, c'est limite du fan service pour moi et ça ne devrait pas avoir sa place ici.



C'est vraiment dommage parce que le développement de l'univers passé qui est désormais sur le point de basculer est fascinant, et s'agence très bien avec ce futur où Kaname est sur le point de découvrir pourquoi son nouveau monde est si différent. L'autrice développe donc bien son histoire dans le bon sens. J'aimerais juste qu'elle arrête de nous pondre des relations ultra tordues >
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Vampire Knight - Mémoires, tome 5

Suite de l’histoire de Vampire Knight !

Ce tome fait découvrir le lien entre Ai et sa petite sœur Ren ainsi que l’évolution de la société autour d’elles.

Kaname continue sa nouvelle vie d’humain...



Mon avis : j’apprécie ce titre pour le style esthétique de la mangaka et l’ambiance qu’elle fait ressortir par le biais de ses dessins ! Hâte de découvrir le tome 6 !!
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Vampire Knight - Mémoires, tome 5

Je suis très heureuse de voir que le niveau de Vampire Knight – Mémoires continue de s'améliorer. Nous sommes très loin des premiers tomes un peu brouillon, et ici, même si nous basculons de temps à autre dans le présent, tout en voyant le passé des deux soeurs Kuran, il n'y a plus cette sensation d'être perdue.



Ce tome mélange adroitement le côté naïf et drôle que l'on peut parfois avoir dans la saga, ainsi qu'une part d'ombre qui prend de plus en plus de place. Cette façon très habile de ménager les sentiments du lecteur permet d'alléger une ambiance trop anxiogène. J'ai toujours apprécié ce que Matsuri Hino faisait avec son histoire. Elle y ajoute toujours une touche d'humour qui contrebalance avec le monde extérieur qui se montre si cruel avec nos héros.



La première partie du tome ressemble donc à ces mangas adorables qui vous font sourire à chaque page. Aï prend ses responsabilités de grande soeur très au sérieux et on la voit évoluer avec sa petite soeur jusqu'à ce que celle-ci atteigne l'adolescence. C'est mignon et adorable. Surtout que l'on peut voir que la famille recomposée est heureuse et que Zero a tout à fait trouvé sa place auprès de ses trois petites femmes. Quand on sait ce qu'il va se passer, ces moments-là sont ceux que l'on veut garder en mémoire, et la mangaka nous offre de très jolis souvenirs.



Ren évolue énormément, il est même troublant de voir une enfant souriante et pleine de vie quand on connait la femme qu'elle est devenue à l'époque où Kaname est de retour. Mais cela nous permet aussi de voir ce qui a provoqué ce changement. C'est à partir de là que l'on bascule dans le côté plus obscure du manga. Ren est à moitié vampire et sa transition lui fait prendre conscience de certaines choses. Sa relation avec sa soeur est plus que fusionnelle. On frôle limite la romance à certains moments sans que Matsuri Hino ne franchisse la ligne. Yuki et Kaname sont bien parents après tout… Je dirais même qu'à certains moments, je retrouve Yuki et Zero en elles, de façon platonique, et même si cela donne lieu à un pincement au coeur, Ren et Aï sont là, l'une pour l'autre.



La fin du tome est plutôt angoissante. On se doute que quelque chose de terrible à dû se produire à un moment ou un autre, depuis longtemps. Ne serait-ce que vis-à-vis de la mort de Zero, qui est quand même le chef de la guilde de Hunter, donc pas une mort anodine. Mais plus on en apprend, plus cela fait froid dans le dos. Je crains beaucoup pour la vie des anciens compagnons de Yuki. On sait, grâce à ses filles, que la situation a pu s'améliorer, mais je doute que nos héros passent de très bons moments dans les prochaines tomes…


Lien : https://loticadream.com/vamp..
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Meru Puri, tome 2

Dans ce deuxième tome nous retrouvons notre héroïne, Airi Hoshina, une jeune fille âgée de quinze ans tout juste qui rêve du grand amour. Son feuilleton préféré est « le mariage dans la prairie », c’est une éternelle romantique et son unique but dans la vie consiste à fonder une famille un bel homme et l’épouser, tout en accumulant les joies de couple avec lui, jusqu’à la fin (si si, je vous jure). Mais son quotidien paisible et ordinaire de lycéenne fleur bleue basculera quand un petit garçon — ou plutôt, un prince — prénommé Aster Ey Daimonia Eucalystia Alam (rien que ça) sortira de son miroir de poche. L’enfant vient d’un royaume magique et son demi-frère, Jeyle, lui a jeté un mauvais sort. En effet, dès qu’il se retrouve dans l’obscurité, il vieillit, devient adulte, et sa maîtrise de la magie n’est plus aussi bonne qu’avant. La situation est, évidemment, catastrophique.



Le temps de trouver une solution à son problème, il a vécu dans l’appartement de Airi et rapidement, des sentiments sont entrés en jeu. L’âge du garçon n’est pas précisé dans l’ouvrage mais si je prends en compte les quelques avis que j’ai vus sur internet, il aurait peut-être sept, neuf voire onze ans (jolie marge, dommage qu’il n’y ait rien d’indiqué dans la version française). Quoi qu’il en soit, et malgré le fait qu’il soit encore tout jeune, on voit bien qu’il est sincère quand il affirme aimer l’adolescente. Quand il dit haut et fort qu’elle est sa favorite, ça n’a rien d’un jeu. Cependant, ce que pense Airi est plus complexe. Elle trouve Alam très mignon — « choupinet » est le terme exact qu’elle emploie de temps à autre — mais quand il grandit, elle est troublée. Forcément, c’est son type (et s’il existait vraiment, ce serait aussi le mien) ! À côté de cela, elle est attirée par Nakaôji, son camarade de classe qui représente, pour elle, un idéal masculin. Tiraillée entre deux hommes un gamin et une personne de son âge, Airi passe son temps à se demander ce qu’elle fait dans cette galère (et je me pose la même question puisqu’il n’y a pas de choix à faire merci au revoir).



Bon. Comme dit précédemment dans ma chronique du premier tome (vous pouvez la retrouver en cliquant sur ce lien), j’ai beaucoup de mal avec la protagoniste féminine principale. Un enfant, et j’insiste sur ce terme, ne la laisse pas indifférente. Que diraient les gens si l’œuvre était inversée et qu’on parlait d’un adolescent charmé, séduit, tout ce que vous voulez, par une petite fille ? Voilà : ce n’est pas normal. Je comprends qu’elle puisse être attirée par la version adulte de l’enfant qu’elle héberge, et qu’elle doute parce qu’il s’agit du même bonhomme, mais quand même. Alam, par contre, reste mon favori. J’aime que son comportement ne change pas quand il grandit — ce qui est normal vu qu’il s’agit toujours de lui et que seul son corps change — même si ça reste perturbant pour le lecteur. Ou, en l’occurence, pour moi. Néanmoins, sa façon de dire et de faire étaient différentes quand il était chez lui (je ne spoile rien, il est précisé dans le résumé que Airi va malencontreusement atterrir dans son monde magique). Certes, il est de sang royal, c’est un héritier direct et il connaît très bien cet univers, pourtant, j’ai trouvé qu’il y avait comme un couac. Je peux comprendre que sa vie et tout ce que ça implique l’ait rendu plus mature que la normale, mais là, j’ai eu l’impression de faire face à un adulte. Ce qu’Alam n’est pas. En ce qui concerne les autres personnages, il y a bien sûr Nakaôji (le fameux), qui ne m’intéresse pas plus que ça ; Jeyle, qui sert de plante d’intérieur tellement on ne le voit pas ; et Lei, qui reste protecteur et distant à la fois. Nouveauté : une nouvelle personne entre dans la danse ! Je préfère vous taire son nom plutôt que d’en parler maintenant, mais croyez-moi, il aura un rôle important à jouer dans le troisième volume.



Concrètement, ce tome est dans la même lignée que le premier. L’intrigue avance d’un cran, et malgré qu’elle soit assez précipitée, on s’y accroche et on veut découvrir la suite. Le visuel (comprenez « le grand Alam ») est toujours aussi plaisant à regarder, les chapitres sont courts et l’histoire défile, il y a une touche d’humour, des rebondissements, des surprises, et bien sûr, des ennuis. À vous de voir si meru puri peut être une série intrigante ou non. Pour ma part, j’en suis à je ne sais combien de relectures et si je réfléchis bien, le doute n’est pas permis : je préférais cette saga quand j’étais plus jeune.
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Vampire Knight, tome 9

un manga vampiriquement grisant ...
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Vampire Knight, tome 1

du sang....
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Vampire Knight, tome 2

du sang....
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Vampire Knight, tome 3

du sang....
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Vampire Knight, tome 4

du sang....
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Vampire Knight, tome 5

du sang....
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Vampire Knight, tome 6

du sang....
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Vampire Knight, tome 7

du sang....
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Vampire Knight, tome 8

du sang....
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Meru Puri, tome 1

J’ai cette série de mangas dans ma bibliothèque depuis sa sortie en librairie si je ne me trompe pas et pourtant, je n’ai jamais pris la peine de vous en parler plus en détails sur mon blog. Composée de quatre tomes seulement, elle se dévore rapidement et c’est tant mieux, puisque nous n’avons pas besoin de dépenser des millions pour avoir le fin mot de l’histoire. Enfin un shōjo où acheter vingt-huit opus n’est pas nécessaire ! Dans cette histoire nous faisons la connaissance de Airi Hoshina, une élève de seconde au lycée qui vit seule avec ses deux chiens, Pochirô et Koromi, et qui est, disons-le franchement, niaise comme pas permis. Son but dans la vie ? Vivre la plus belle des relations amoureuses et se marier à vingt ans, puis avoir des enfants et acheter une maison bien particulière avec un toit rouge et des murs blancs. Mais un jour, son chemin croisera celui d’un étrange petit garçon prénommé Aster Ey Daimonia Eucalystia Alam (rien que ça) et son quotidien, pourtant classique, en sera tout bouleversé. En effet, l’enfant vient d’un royaume magique et, alors qu’il s’en échappait parce qu’une personne mal-intentionnée était en train de lui jeter un mauvais sort, il est venu dans notre monde en passant par le miroir de poche de l’héroïne ! En attendant qu’une solution soit trouvée et que le coupable avoue quelle formule il a utilisée, elle va héberger le jeune prince et prendre soin de lui. Mais elle déchantera bien rapidement quand elle se rendra compte qu’une fois dans le noir, Alam vieillit et devient un jeune homme au charme et au charisme indéniables. Dès lors, sa vie paisible d’adolescente va prendre un virage radical et ne sera jamais plus la même.



En ce qui concerne les personnages, je dois dire que j’ai eu beaucoup de mal avec Airi. C’est l’héroïne et pourtant, je n’ai pas totalement adhéré à sa façon de faire ou à sa façon de penser. Certes elle est gentille et elle travaille dur, mais son côté fleur bleue est envahissant au point de devenir, parfois, carrément énervant. Ce qui est regrettable puisque d’autres aspects de sa personnalité auraient pu être mis en avant aussi. Mais non, il n’y a que ça. Et, pire encore, d’où tu t’entiches d’un enfant ? Quand j’ai découvert ce manga j’étais jeune et je devais avoir autour de treize ans, du coup, ça ne m’a pas choqué tant que ça et je trouvais ça plutôt choupi, mais avec le recul je me rends compte que c’est plutôt.. étrange. Alam, en revanche, m’a bien plus plu. Je l’ai même adoré ! Comme il vient d’une famille royale, il a certaines manies que j’ai trouvées assez drôles. Il ne s’est jamais lavé tout seul, il appelle Airi « femme », il est hautain, arrogant, etc. Néanmoins, je l’ai trouvé particulièrement touchant. Il est victime d’un sortilège et pourtant, il ne se plaint jamais. C’est un petit bonhomme drôlement courageux qui a la tête sur les épaules et qui sait se montrer fort quand la situation l’exige. Parmi les autres protagonistes nous avons Jeile, le demi-frère (aîné) du héros. C’est de sa faute si Alam grandit quand il est dans une pièce sombre et s’il ne peut plus pratiquer la magie correctement. C’est lui le responsable de tous ses maux. Nous avons également Heskia Lei Lipuli, le serviteur du jeune prince ; Nakaôji, un camarade de classe de Airi ; et Malulu, une drôle de petite fée au caractère bien trempé.



Globalement, cette re (re-re-re-re-re..) lecture a été bonne. L’histoire est mignonne comme tout et elle a un bon rythme grâce aux personnages et à leurs interactions, parfois farfelues. Les dessins sont sympathiques seulement, Airi était terriblement banale, aussi bien physiquement que mentalement. Je n’ai pas trouvé son caractère très poussé — peut-être que c’était cherché ? — et ça m’a déçue. Heureusement que les garçons étaient là pour remonter le niveau. Meru Puri est une œuvre créée par Matsuri Hino, que l’on ne présente plus et qui est aussi à l’origine de Vampire Knight. Si vous appréciez sa patte artistique et les romances sur fond de magie, celle-ci devrait vous plaire. Et, je le répète, mais il n’y a que quatre tomes !
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