Michael DiMercurio

Il manque quelque chose.



Dans un nouveau sentiment d’urgence absolue, le Cdt McKee, commandant du sous-marin américain le plus puissant du monde et par conséquent, l’arme absolue toute catégorie la plus puissante du monde, doit affronter une flotte entière (mais Ukrainienne, donc ça va) pour éviter un probable guerre nucléaire en Amérique du Sud (si si, c’est cohérent dans le bouquin).



Le sous-marin. Profond silencieux rapide mortel.

125m, 11m, 7700 tonnes, 26 armes torpilles, 12 tubes en vertical. (grosso modo la classe Virginia actuelle). Doté de l’Imagerie acoustique totale. Tout cela fait que cela devient de plus en plus difficile de trouver des adversaires à la hauteur des USA.

On se dirige vers l’attaque biologique financée par de la boite privée au profit des pays du moyen orient (on y retourne) ? Non cet épisode un peu farfelu sera vite expédié ( franchement il dénote dans le roman et je l’ai trouvé sincèrement mauvais). Visiblement, ce sera l’intrigue du prochain opus.



On revient donc à du plus classique. Sous-marin contre sous-marin et cette fois ils prennent cher les Amerloques… (avant de retourner la situation bien sûr).

Drame et promotions accélérées digne des pires tragédies de l’honorverse. Avec victoire au bout.



Un techno thriller très techno (mais pas plus que les précédents) et beaucoup moins thriller. J’ai trouvé que cela manquait un peu de profondeur (le comble pour un SNA), de suspense et, oui même si la note du boucher est particulièrement élevée, d’enjeu.

Mais ne boudons pas non plus notre plaisir. J’adore quand même le combat à coups de missiles et torpilles à plasma avec vocabulaire bien pseudo technique.

Une tuerie dans tous les sens du terme.



Dans un présent imaginaire ou un futur proche, une guerre civile fait rage en Chine. Les Américains envoient un sous-marin de la classe Los Angeles espionner dans la baie de Bo-Hai. Mais il se fait capturer. Un seul espoir, un seul recours : Le meilleur commandant de tous les temps sur le dernier navire de la marine : Le Seawolf 117m sur 13m, 610 mètres en immersion à 45 nœuds. Un bijou technologique ultra furtif et armé jusqu’aux dents avec en plus un commando anti-terroriste au top niveau.



Octobre rouge (soi-disant la référence) est trop romancé et ne correspond pas aux réactions américaines et russes (dixit Dimercurio lui-même).

Le styx (ou le bateau) ressort trop réel, triste, pas assez immersif et un brin désuet. (dixit moi-même).

Lisez Dimercurio alors.



Un récit ultramoderne, épique, prenant. Détaillé à souhait (pour celui qui aime, et moi j’adore) en matière technique. Des personnages étoffés et de l’action à tous les étages.

Ça défouraille tellement dans ce tome que l’auteur est obligé de revenir sur certaines scènes avec différents POV.

Oui, il y a beaucoup d’acronymes, mais pour moi, cela ne gène en rien la fluidité de la lecture (et par ailleurs, il y a un lexique pour ceux qui veulent tout tout tout savoir).



Ce roman est un bijou de la littérature d’action sous-marinière. Nul n’a jamais prétendu en faire une référence de la réalité (le postulat de départ place d’ailleurs les choses à leur juste niveau), mais en matière de divertissement, de livre guerrier, c’est du lourd.

On frise le ridicule.





Snark (SM entièrement automatisé avec IA carbone) contre Vieux Seawolf, piranha . 1-0. On zigouille des flottes entières de chinois. Des flottes entières de cargos et de civils pour bloquer une autre flotte, alliée de surcroît. Avec en plus une histoire d'amour totalement incongrue.





Je crois qu'avec ce tome, DiMercurio vient de définitivement couler sa licence. Il n'a plus rien à dire, plus rien à découvrir, si ce n'est une surenchère de tonnage coulé et un tome où le langage technique occupe plus de place que l'histoire proprement dit. J'aime le langage technique. Mais quand il sert l'histoire, et non l'inverse.





Je me suis ennuyé, on n'y croit plus (on n'y croyait déjà plus beaucoup dans les tomes précédents. Ça m'a juste donné envie de retourner à la concurrence. (Robinson en ce moment tiens).

Retour sur la chine après le second tome. Plusieurs années plus tard, rouge et blanc s'affrontent. Chu, fils de l'amiral ayant perdu la majorité de sa flotte dans le second épisode tient sa revanche. Sous-marins et flotte américaine n'a qu'à bien se tenir.



Seuls points négatifs :

Comment un sous-marin capable de détecter le bruit d'un pet de carpe koï (oui je sais c'est un poiscaille d'eau douce) n'arrive-t-il pas à détecter le sous-marin d'abordage en début de roman ?

Et toujours cette impression du sous-marin miracle deus ex machina qui semble devenir la norme au fil des épisodes.



Pour le reste, un suspense toujours aussi présent. Un vocabulaire technologique qui ancre le récit dans une réalité crédible (du point de vue technique). On oubliera le côté politique-fiction qui nous permet certes de donner toute la puissance des armes américaines, mais qui a peu de chance de se réaliser un jour.

Quatrième opus de la licence  Pacino, roi des sous-marins américains qui sont les meilleurs.



Après avoir liquidé un Destiny I, sous-marin japonais exporté et utilisé par un groupe islamique voulant éradiquer Washington à l'aide d'une bombe sale (également fabriquée par les Japonais). Notre Pacino qui a pris du grade et qui est donc destiné à rester à terre, se débrouille pour se faire embarquer sur ces chers sous-marins et sauver cette fois l'Amérique d'une guerre quasi totale contre les Japonais. Mais il aura à faire cette fois à des Destiny II et III (entièrement automatisés eux), bien plus performants que les vieux Los Angeles. et il n'y a que deux Seawolf américain en fonction. le salut viendra-t-il de la super torpille secrète américaine ?



J'ai l'air de me moquer dans mes première lignes, mais en fait, on a encore cette fois-ci un récit extrêmement enlevé, addictif et page turner. Si bien évidemment vous aimez ce genre de littérature et que vous avez aimé le second tome, vous serez conquis par ce troisième opus. Action, technique et technologie, sans oublier les rapports humains.



Plus d'enjeux, plus de combats, un récit qui nous parait réaliste (à la lecture, tout du moins) avec des enjeux politiques, des missions imposées impossibles, des mesquineries administratives, des intérêts ou des rancoeurs personnels qui interfèrent dans les hautes sphères au risque de compromettre le succès des opérations. Tout ce qu'on croit être la réalité à défaut de l'être ?



On pourra regretter au final le peu d'efficacité des Destiny III (en regard de celle des II) en combat singulier. C'est un peu décevant, mais sinon, Pacino n'aurait eu aucune chance dans ce tome là.



En bref, un excellent moment, de science-fiction militaire, anticipation, politique fiction (se référer à notre excellent Apophis pour en déterminer précisément le genre) à passer avec Pacino et ses chers sous-marins américains.

Du sous-marin du sous-marin du sous-marin…

Premier tome d'une série consacrée à Michael Pacino.



1993. A bord de son Devilfish, SNA (sous-marin nucléaire d'attaque) de classe Piranha de 4500T pour 90m de long et 10 de diamètre, Patch sera le dernier rempart à une attaque massive par sous-marins russes, commandée par un amiral félon russe.



Si avec ce pitch, amateur de littérature sous-marine à l'octobre rouge, vous n'êtes pas prêts à vous jeter sur ce livre, passez définitivement votre chemin, vous n'êtes pas faits pour le grand bleu…

Même si l'auteur essaye de développer un peu ses personnages principaux, les héros de ce livre sont indéniablement les sous-marins.

Tactique, langage technique, longues descriptions des avaries, on souffre avec les navires, on vit avec eux, on meurt avec eux.



Une sensation de léger manque à la lecture de ce qui est considéré comme LE livre des sous-marin de Tom Clancy ? Précipitez-vous sur Dimercurio. Un auteur avec un réel passé de sous-marinier, qui sait de quoi il parle et qui met en avant ses connaissances pour vous faire passer un moment exaltant sous les océans.

Ce que je cherchais dans Octobre rouge, je l'ai trouvé dans le sous-marin de l'apocalypse. L'ambiance, les torpilles les bons les méchants. Manichéen ? Oui ! Mais c'était drôlement jouissif.



Je ne mets que 4 étoiles, car parfois on frise l'overdose de descriptions (mais c'est que je cherchais) et que la fin est interminable, mais il ne se passera pas longtemps avant que je n'attaque le tome 2

Troisième tome de la licence Pacino, Prince des mers et des sous-marins.



Nous sommes en 2002 (dans le futur), deux après les événements de la chine (voir Opération Seawolf). Le Front Islamique Unifié est en guerre contre la coalition occidentale EU et UE.

Tout cela m'a l'air bien terrestre, que viendrait faire un sous-marin là dedans. Eh bien le FIU a aquis un sous-marin à la pointe de la technologie auprès des Japonais et comptent bien s'en servir pour lancer un missile bombe sale sur Washington.



D'accord, le background est de plus en plus flippant. Après la Chine, les arabes. D'un autre côté, DAESH est passé par là avec ce petit d'arrière goût, tiens c'est possible après tout.

Bon la technologie de pointe fournie par les Japonais (vendeur d'armes neutre) me parait un peu tiré par les cheveux...

Pour les défauts également, le roman semble un peu décousu. La faute à une entrée très tardive de Pacino et à un sous-marin ennemi trop au centre du roman (bien que les éléments sur l'équipage soit moins abordés que ceux des sous-marins qu'il va être amené à couler).



Pour les avantages, si vous avez aimé cette ambiance, ultra technologique, à grands renforts de termes techniques, descriptions à foison des armes, des tactiques des deux premiers tomes, vous serez également servi dans ce troisième. C'est en fait ce qui fait tout le sel de cette série de sf militaire (car au final c'est de la science-fiction ou de l'anticipation)



Mais de toute façon, il faut avoir aimé les deux premiers tomes pour lire le troisième donc, si vous en êtes là....

Roman d'espionnage avec beaucoup de descriptions techniques "sous-marinières", d'armes balistiques, de torpilles, des technologies innovantes. Le scénario d'attaques entre les pays russes, sud américains et les usa est un peu gros, mais c'est du roman, on peut donc accepter, pour la distraction.

Kelly mckee commandant du sous-marin uss devilfish

désigné sous l,appellation,

ssnx,ssn pour sous-marin d,

attaque et x pour expérimental et le plus puissant au monde.Kelly passe quelques jours de repos dans sa femme du Wyoming avec sa femme diana, enceinte de leur premier enfant. alors que le couple se dispute.diana,

voudrais qu'il quitte la marine, pour aller travailler avec son père un baron de

l, industrie ou il pourrait gagner une fortune. mais il lui dit que la mer et une partie intégrante de sa vie.

vexée diana s, enfermer dans sa chambre. c'est alors Qu,un commando enlevé Kelly,il va se retrouver dans un avion du naval investigative service.

ou on va lui faire signer un document lui donna une habilitation a des documents classé secret défense.concernant un conflit en Amérique du Sud,

entre l, argentine et l, Uruguay.et que l,argentine aurait conclu un accord avec les ukrainiens, pour qu'il envoie leur flotte se positionné au large de Montevideo en Uruguay et attaqueraient depuis la mer tandis que les forces argentines franchiraient la frontière. si on la enlevé c'est pour l, hélitreuiller sur son sous marin, qui vogue en direction de l,équateur.

pour intercepter la flotte ukrainienne.

un techno triller sous marin

a l, égal d'un tom clancy.

un scénario intelligent,la tension ne redescend jamais et on va de surprises dans surprises.👍

Roman d'espionnage et de fiction mettant en scène les sous-marins des 2 blocs ennemis USA et Russie/ex Union soviétique. Après lecture nos connaissances en matière de bâtiments sous-marins sera considérablement étoffée. L'auteur met un long lexique à la fin pour comprendre les abréviations et termes techniques mentionnées. L'écriture est bien imagée pour nous mettre en situation à l'intérieur de ces vaisseaux fascinants. Beaucoup d'action et de suspense.

Un très bon scénario de bataille marine et sous-marine moderne utilisant les toutes dernières technologies de détection par radars, sonars, satellites et autres moyens sophistiqués. L'auteur nous abreuve de descriptions techniques sur les armes et fonctionnement des sous marins.

Dans le domaine trés codifié du techno thriller , Di Mercurio est une voix trop méconnue. Ici l'on plonge avec délice dans les mondes marins , avec ces machines de fer que l'homme s'emploie a faire vivre . Les terme usités sont un peu abscons , mais le suspense est tellement bon que l'on jubile avec ce techno thriler de haute tenue .

Un excellent technothriller, qui nous embarque dans des sous-marins pour un affrontement sans merci dans une ambiance qui sent le relent de guerre froide.

J'ai aimé l'ambiance, la chasse entre submersibles et les descriptions techniques qui sont d'un haut niveau mais très compréhensibles pour le profane que je suis.

Bref un très bon moment de lecture... J'ai beaucoup lu de Tom Clancy voilà maintenant quelques années et je retrouve avec Michael Dimercurio, un auteur de la même veine, qui m'a donné envie d'embarquer dans un de ces monstres sous-marins...

(lu en 2002)

Moi qui suis un passionné des batailles entre sous-marins, je me suis régalé à la lecture de ce roman. L'histoire est vraiment fantastique et les combats sont décrits avec une telle intensité qu'on a l'impression d'être à bord; d'ailleurs, l'auteur est un ancien officier sous-marinier et il sait de quoi il parle.

un livre bien décevant. L’histoire est ralentie par des descriptions techniques trop denses. N’est pas Tom Clancy qui veut.

De plus tout est prévisible dans cette histoire, c’est ennuyeux au possible. J’ai failli abandonner la lecture de cette histoire, mais il fallait laisser la chance au produit comme on dit.

Fan de romans d'aventures sur les sous-marins, j'avais découvert DiMercurio il y a quelques années et, par manque de lectures nouvelles ces dernières semaines, j'ai relu cet excellent opus avec la joie quasi intacte d'une première lecture. C'est bon, très bon. Si vous êtes passionné de technologie, en particulier sur le sujet des sous-marins et de la guerre technologique, ce livre est pour vous. L'auteur, moins connu que le célébrissime Tom Clancy, n'a aucun problème pour arriver à sa hauteur. Les protagonistes sont très vite attachants, avec une personnalité bien décrite; les données techniques sur les sous-marins et toute l'organisation de la marine américaine sont incroyablement riches et documentés, ce qui rend cette aventure absolument crédible est très passionnante. Ajoutez un scénario au suspense parfait, des rebondissements nombreux et spectaculaires, des descriptions très détaillées des différentes scènes de préparation au combat et un milieu, la banquise, froid et glaçant au possible, et vous avez de quoi avoir envie de tourner les pages sans vous arrêter! du beau travail!

Enfin, pour terminer — et c'est pour moi un détail qui compte — pas d'histoire d'amour à la guimauve, pas de comptes-rendus de coucheries avec le «beau héros blond et musclé qui fait craquer toutes les femmes», pas de romance sirupeuse inutile. Du suspense, rien que du suspense...!!! Réjouissant!

À la rigueur pour les fanas de sous-marins, et encore...

très bon techno-thriller, que j'ai lu en 2002, par un auteur ancien sous-marinier qui nous emmène dans une chasse aveugle sous la surface des eaux entre deux sous-marin avec le personnage fétiche de Michael Dimercurio, Michael Pacino, et vous aurez remarqués comme moi la similitude des prénoms