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Citations de Mikaël Ollivier (359)


Parce que je savais, au fond. Sans en avoir conscience, je savais. Tu n'existais pas, mais ton absence emplissait ma vie.
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Puis est venu le sujet de Netflix, auquel ma mère était abonnée, et dont Nino ne voulait pas entendre parler non plus. Elle a lancé Je suis chez moi ici, et chez moi, personne ne regardera jamais Netflix ! On ne choisit pas un film comme des yaourts dans un rayon. (p.46)
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Pourtant, écrire, ce n'est pas mon truc. Les livres non plus, d'ailleurs. Enfin, c'est ce que je pensais, jusqu'à ce qu'un algorithme me suggère une autre phrase, d'un autre comique, Franz Kafka : "Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous." (p.11)
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Mikaël Ollivier
Nino m'a dit Je suis sortie de là sidérée ! Je pensais que tout le monde réfléchissait comme moi, tout le temps, à toute vitesse, jour et nuit, sans un instant de repos ! Que tout le monde avait le cerveau en ébullition !
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Et puis, de lien en lien, je suis tombée sur "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne".
J'ai relu la phrase : "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne". Encore et encore : "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne ; "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne..."
Ça a infusé. Et j'ai fini par penser Tope-là, Emil !
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Un film sans générique, c'est comme un livre sans couverture, ou une maison sans perron : on y rentre sans y avoir été invité.
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Alors je veille à ne pas laisser couler l’eau quand je me lave les dents, comme m’ont expliqué mes parents, même si je me demande des fois pourquoi ils n’y ont pas pensé plus tôt, quand ils étaient enfants, par exemple. On n’en serait pas là.
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Il faut parfois être hors la loi pour transformer la justice.
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Mikaël Ollivier
Depuis que l'homme est homme, malgré la faim, le froid, la jalousie, la canicule, l'argent, la misère, la maladie, la guerre, le deuil, la conscience de la mort, il fait du beau. Il peint, il chante, il compose, il écrit, il sculpte, il joue la comédie... Envers et contre tout.

(Celui qui n'aimait pas lire)
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Il est étrange d'être impatient quand on vient d'être tiré d'un sommeil artificiel de plus de trois mille ans.
Et pourtant c'est bien ce que ressent le garçon: une folle excitation.
Il voudrais déjà être en approche de la planète-refuge, la voir apparaître derrière le hublot.
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L'ordinateur de bord le ramène au présent.
Les premières informations sur leur destination tombent enfin.
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- Pourquoi tu ne veux plus dormir, Damien ? (p.44)
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Ce sont les informations du matin les plus intéressantes, parce que les catastrophes se passent presque toujours la nuit quand on dort. Les guerres c'est pas mal mais ça ne vaut pas les catastrophes naturelles. (p.24)
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Lundi dernier, un Boeing 747 est tombé dans mon bol. (p.11)
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Il y a deux façon de vivre, Hugo. En se laissant porter sans ce poser des questions par le temps qui passe, ou en essayant de comprendre qui l'on est et où l' on va. La deuxième solution est certainement la moins confortable, mais de loin la plus intéressante. La seule qui vaille, pour moi.
page 87
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Le collège a repris deux jours plus tard et j’y suis retourné tel un automate, en me demandant s’il était censé se passer autre chose dans la vie que l’écoulement du temps. Si un jour, devenu sans même m’en rendre compte un vieil homme, j’allais jeter un regard en arrière pour constater que rien ne m’était vraiment arrivé, que j’avais oublié mes rêves, mes ambitions, que je m’étais résigné à seulement exister.
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Y’a que dans les films ou les BD que les fantômes s’éclatent à hanter les châteaux et à faire peur aux vivants !
Dans la vraie vie, ou plutôt la vraie mort, y’a rien a faire… on peut pas dormir, ni manger, ni taffer.
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La voilà, peut-être, la réponse : j'écris parce que je suis un Petit Poucet et que, sans le savoir, je n'ai jamais cessé de semer des cailloux blancs sur mon chemin. J'écris pour retrouver ce chemin, savoir qui je suis, d'où je viens, et parvenir ainsi là où ma vie doit me mener.
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Debout devant la baie vitrée qui offrait une vue imprenable sur le quartier des affaires de Londres, ses cheveux blonds noués en chignon se mariaient miraculeusement avec la lumière dorée du soir qui commençait à tomber. Il revisa son jugement : jolie était trop faible pour cette femme à la quarantaine rayonnante. Elle était belle. Hitchcockienne, même, du genre Eva Marie Saint ou mieux : Grace Kelly.
(page15-16)
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Personne ne choisit. Personne ne décide. C'est la vie! La mort, c'est la vie! Il faut l'accepter, on n'a pas le choix...
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