Citations de Olivier Gay (482)
Aurais-je trouvé Thomas aussi intéressant si je n’avais pas été au courant de ses pouvoirs ?
Et puis il y avait David.
J’aurais du m’en douter, Toute bonne histoire de magie a son triangle amoureux.
Ce sont les régionales. Si jamais je gagne, ça peut changer ma vie.
Hier, ça n’aurait pas été un mensonge. Aujourd’hui je n’y pensais même plus. C’est fou comme les priorités peuvent changer quand on croise des monstres.
Grand, beau, fort intelligent et globalement formidable, Oliver Gay est l’auteur de romans grands, beaux, forts, intelligents et globalement formidables (comme quoi il y a une vraie cohérence). Il a quitté son métier voici quatre ans pour devenir écrivain à plein-temps dans le Sud, et il est probablement en train de profiter de sa piscine pendant que vous lisez ces quelques lignes. Autrefois, il disait aimer les bonbons en dédicace, mais on lui en a tellement apporté qu’il a pris cinq kilos, non, vraiment, je ne vous félicite pas.
Sans ma cuirasse, je me sentais plus légère -même si je portais encore une sous-cuirasse, et un tee-shirt des One Direction que je n’avais plus aucun scrupule à salir depuis qu’ils s’étaient séparés. Mon amour pour le groupe n’avait pas survécu à mon passage en première.
S’il y avait bien quelque chose que je détestais dans les livres de romance que j’empruntais discrètement à ma mère, c’étaient les triangles amoureux. J’aurais été la première à dire que c’était complètement artificiel. D’un seul coup, l’héroïne dont personne ne voulait se trouve courtisée par deux beaux garçons et ne sait choisir. Sérieux, elle ne pourrait pas se décider une bonne fois pour toutes ? J’avais eu envie de hurler à Katniss que l’autre blond était parfait pour elle (#teamPeeta), mais elle ne s’en rendait pas compte, cette grosse nulle. Bon, ben voilà, c’était moi la nulle.
— Tu veux boire un truc ?
— Je sais pas, t’as quoi ?
— Du Coca light, de l’Orangina light, de l’Ice Tea light, tout ce que tu veux tant que c’est light. Il haussa un sourcil.
— Sportive comme tu es, je ne t’imaginais pas faire aussi attention.
— Ce n’est pas moi, c’est ma mère. Mais tu ne te rends pas compte de tout le sucre qu’on trouve dans les sodas classiques.
— Non, c’est vrai, c’est bien mieux de le remplacer par de l’aspartame qui donne le cancer.
- Alexandre, ce n'est pas une bonne idée.
- Tu seras là première surprise le jour où j'en aurai du ne bonne.
Est-ce que je n’étais pas en train de faire une grave erreur ?
« L’adolescence, c’est le moment où on fait toutes les conneries qui nous construiront en tant qu’adulte, alors arrête de te stresser, ma fille. »
– Et s’il essaie de nous tuer ? Pourquoi tu n’as pas utilisé ton rayon ?
Manon baisse la voix, se penche contre mon oreille :
– Je n’ai plus aucune énergie. J’ai tout utilisé pour te soigner.
– Alors... ton doigt pointé... c’était du bluff ?
– Eh oui. J’ai fait reculer le Mage le plus dangereux de France avec un doigt levé. Pas mal, non ? Et Alexandre... merci... de nouveau... de m’avoir sauvée.
Il avait des yeux terrifiants, des yeux de meurtrier, des yeux de tueur. Deux épingles de nuit qui restaient fixées sur eux, leur ôtant toute énergie et tout espoir. Deux puits sombres, deux torrents d'obscurité prêts à les engloutir, qui les jaugeaient, le jugeaient, les pesaient, les appréciaient, les mettaient à nu, comme pour déceler s'ils représentaient un danger ou non, s'il convenait de les tuer ou non.
— M’man, ça fait longtemps que je ne joue plus aux Pokémons. Si tu suivais un peu…
— Je sais, je sais…, marmonna-t-elle en reposant sa tête contre mon épaule. Tu grandis si vite… Avant, c’étaient les cartes, maintenant c’est les garçons… J’espère que tu ne les collectionneras pas autant…
Un jour elle ne contrôlera pas ses pouvoirs et elle me bouffera l'âme.
J'espère que j'aurai bon goût.
— Je ne plaisante pas ! Je suis allée jusqu’à me planter une lame dans la main !
— Et ? Je lui montrai ma paume, furieuse.
— Et rien ! Rien du tout !
— C’est normal.
— Ah. Merci de me le confirmer. Je me sens bien mieux, maintenant que je sais que je suis normale.
Il soupira, remonta ses lunettes contre son nez. C’était un vrai tic, chez lui. J’allais finir par les lui faire avaler !
— Je t’ai dit que tu étais devenue une… un Chevalier. Cela a de nombreuses implications. Et je t’expliquerai tout, promis. Simplement, pas maintenant, pas ici.
— Pourquoi ? le défiai-je, les mains sur les hanches.
— Parce qu’il fait froid ! Parce qu’il est 22 heures ! Parce que j’ai sommeil ! J’ai mal dormi la nuit dernière !
— Tu as… mal dormi ?
— Oui. J’étais un peu stressé à cause du cours de Besson. Ce prof m’en veut, c’est sûr. J’en restai bouche bée.
— Je te parle de magie, de ma peau qui ne veut plus saigner, de trucs chelous dans mon cerveau… et tu me réponds que tu as mal dormi ?
Alexandre, dégageait une telle confiance qu'il parvenait à me mettre à l'aise.
Souvent.
Le reste du temps, j'avais envie de le gifler.
Vous les copains, je n'vous oublierai jamais
Di douah, di di ,douah di dam, di di douh
Toute la vie, nous serons toujours des amis
Di douah, di di, douah di dam, di di douh
Sheila, Vous les copains
(On n'a pas attendu Maître Gims pour faire de la chanson française de qualité)
Fabrice...quel genre de méchant s'appelle Fabrice?
Je me sentais vaguement coupable d'accumuler les vingt alors qu'elle se résignait à redoubler. En Octobre, elle avait le fatalisme précoce.
Les courtisans s'amassaient autour de lui, tournant, regardant, palpant. Ils étaient encore plus nombreux et plus déterminés qu'au cours de ce fameux bal (…). Maintenant que l'Empereur semblait atteint, tous devaient vouloir savoir qui était ce mystérieux baron surgi de nulle part, intime avec Marcus et si habile avec une épée. Dans leur monde, l'information était le pouvoir, et ils en étaient tous avides.
Ils tournaient comme des vautours, des sangsues, un nuage de mouches au vrombissement exaspérant.
Dans toute guerre, il y a des victimes innocentes.
J'avais dû affronter des armes à feu , quitter mon appartement et pire , traverser le périph .