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Critiques de Orson Scott Card (766)
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Les chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 5 :..

Salut les Babelionautes

Avant de publier un avis sur ce tome cinq des " Chroniques d'Alvin le Faiseur " je n'ai pas pu m'empêcher d'ouvrir le tome six.

Celui ci ma happé au point que je n'ai pas pus le refermer avant le mot fin, donc je reviens en arrière pour vous parler de " Flammes de vie " d'Orson Scott Card.

Dans le Récit nous allons rencontrer des Gens Célèbres, Jean-Jacques Audubon, Honoré de Balzac, mais assaisonnés a la mode Fantasy.

Alvin ne c'est toujours pas comment et ou construire la Cité de Cristal qu'il a vu dans " le Prophète Rouge ".

Quand a Peggy elle cherche, par tous les moyens a sa dispositions, à empêcher la Guerre Fratricide entre les états qui sont pour ou contre l'Esclavage.

Calvin est toujours égal a lui même, et bien sur quand il se met dans des situations ou il risque de mourir, c'est Alvin qui vient a sa recousse.

Orson Scott Card avec cette Saga, si bien traduite par Patrick Couton que je remercie, a écrit une œuvre qui, bien que cela face trente Ans que le premier tome a été publier, n'a pas pris une ride

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Les Chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 4 :..

Salut les Babelionautes

Avec ce quatrième tome, Orson Scott Card continu de faire des misères a ce pauvre Alvin, quand a Calvin il cherche désespéramment le moyen de devenir plus fort qu'Alvin.

Peggy quand a elle, essaye de le sortir du pétrin ou il s'est fourré par son coté candide.

Grace à une réflexion du petit métis Stuart, elle va se rendre compte que le village d'Hatrack River compte beaucoup plus de gens ayant un talent que partout ailleurs.

Mais Alvin aura du mal a se tirer de la chausse-trappe ou le Defaiseur essaye de le précipiter.

Après bien des péripéties, et la rencontre d'un personnage clé pour la suite du récit, le roman se termine sur un mariage attendu depuis le début de cette Saga.

Merci à Patrick Couton, sans son travail de traducteur, cette œuvre majeure d'Orson Scott Card m'aurait été a jamais inaccessible.
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Les chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 3 :..

Salut les Babelionautes

Le Troisième tome des " Chroniques d'Alvin le Faiseur" d'Orson Scott Card fait retrouver a Alvin le Village qui l'a vu naitre, il y est venu pour trouver la Torche Peggy mais elle est partie la veille de son arrivé.

Toutes les questions qu'il rêvait de lui poser vont rester sans réponses, mais il n'est pas venu a Hatrack River que pour ça, Alvin va prendre la place d'apprenti Forgeron que sont père avait négocié avec Conciliant Smith, mais son apprentissage sera jalonné d'épreuves.

D'autres personnages font leur apparitions, certains exécrables d'autres non, mais le principal c'est comment agi Alvin face a eux.

Il a fait la promesse de ne pas utiliser son Don pour lui-même et il s'y tient, a tel points que parfois il met sa vie en danger.

Merci à Patrick Couton qui a assuré la traduction de ses Chroniques, sans son travail cette Saga magistrale m'aurait été à jamais inaccessible.
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Les Chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 2 :..

Salut les Babelionautes

Deuxième tome des "chroniques d'Alvin le Faiseur" et cela fait tellement longtemps, plus de 30 ans, que j'avais découvert cette Saga qu'il me semble la découvrir pour la première fois.

Alvin est sur le point de partir en apprentissage comme Forgeron, mais le destin et le Défaiseur vont encore une fois lui faire prendre une autre route.

Alvin comprend de mieux en mieux son Don, et malgré la promesse qu'il a faite de ne jamais s'en servir pour lui même, il sera forcé par les évènements.

Capturé par des Indiens Chok-Taw a la solde du général Harrison, qui veut déclencher une guerre totale contre les Rouges ils devront leur salut a un autre indien.

Après bien des péripéties, et un massacre, Alvin va suivre Ta-Kumsaw qui rassemble toutes les Tribus pour un affrontement contre les Américains, croyant que les Français vont les aider en leur fournissant des fusil.

Hélas il seront trahis et la victoire promise par Ta-Kumsaw va se transformer en la pire défaite subis par les indiens.

Je ne vais pas en dévoiler plus, mais cette Saga fait partis des meilleures œuvre que j'ai lu au fil de mes Années.

Merci à Patrick Couton qui a œuvré pour assuré la traduction de ses Chroniques, sans son travail cette Saga magistrale me serait a jamais resté inaccessible.
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Les chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 1 :..

Salut les Babelionautes

J'ai lu pour la première fois "Les chroniques d'Alvin le Faiseur", d'Orson Scott Card en 1991, il y a plus de trente ans.

Et a sa relecture je m'aperçois que j'en ai un souvenir nébuleux, pourtant je m'en rappelle des passages significatif.

Tout commence par la naissance d'Alvin, septième fils d'un septième fils, ce qui dans la légende populaire doit lui conférer un certain pouvoir.

Mais Alvin a un ennemi surnaturel, le Défaiseur, et toutes son enfance est parsemé d'accidents qui auraient dû lui coûtait la vie.

Mais à sa naissance était présente une Torche, Peggy, une personne qui voit les possibles chemins de l'avenir qu'emprunteront les gens.

Elle va devenir son ange gardien et lui sauvera la vie un nombre incalculable de fois.

Ce premier tome est paru sout le titre "Seventh Son" en 1987 et il a obtenu le prix Locus 1988, la même année sortira le tome deux "Le Prophète rouge" (Red Prophet, 1988), qui lui aussi obtiendra le prix Locus 1989 et "Le Compagnon" (Alvin Journeyman, 1995) le prix Locus 1996.

Autant dire que Orson Scott Card est un Auteur de talent et au fil des ans j'ai lu toute son œuvre, mais c'était avant que naisse Babelio, c'est pourquoi j'ai décidé de me replonger dans ses écrits.

Merci à Patrick Couton qui a œuvré pour assuré la traduction de ses Chroniques, sans son travail une œuvre magistrale me serait a jamais resté inaccessible.
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Le Cycle d'Ender, tome 1 : La Stratégie Ender

Un roman devenu un classique de la science fiction alors qu'il ne date que des années 80 et adapté en film sous le nom de La stratégie Ender. Des sujets toujours d'actualité . l'informatique et ses usages, l'intelligence artificielle, le numérique, le contrôle des individus...
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Les chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 3 :..

Actuellement, les éditions L'Atalante sont en pleine réédition d'un grand classique de fantasy : Les Chroniques d'Alvin Le Faiseur d'Orson Scott Card. Dans cette nouvelle édition en grand format, chaque tome est rehaussé par les superbes couvertures de Vincent Madras qui leur ajoutent une petite touche de charme.



Cette fois-ci, on se plonge dans le troisième tome, titré L'Apprenti dans lequel on retrouve Alvin qui a rejoint Hatrack River pour y suivre un apprentissage auprès du forgeron. Mais, cette nouvelle installation lui donne aussi l'occasion de revenir sur les lieux de sa naissance. Il espère y rencontrer cette torche qui a aidé sa mère lors de son accouchement afin qu'elle l'aide à devenir un faiseur. Seulement Peggy qui a prédit sa venue, s'est envolée. L'avenir qu'elle voyait à ses côtés ne lui disait rien qui vaille alors elle a préféré s'éloigner pendant quelques temps. Livré à lui-même, Alvin grandit et devient un forgeron talentueux, n'en déplaise à son patron qui freine même des quatre fers pour le faire compagnon. Mais si sa vie s'écoule relativement paisiblement, il n'en oublie pas pour autant son vieil ennemi dont il ressent encore la présence. Or, il n'a toujours pas la moindre idée de ce qu'il faut faire pour devenir un faiseur. Si seulement, la fille n'était pas partie. Qui pourrait lui venir en aide maintenant ?



Pour écrire son cycle d'Alvin Le Faiseur, Orson Scott Card s'est éloigné du folklore nourricier des textes fondateurs du genre car cela n'avait pas lieu d'être dans cette fantasy ayant pour cadre l'Amérique coloniale.



Pourtant ses livres ne manquent pas de merveilleux car la magie s'y épanouie tout aussi largement. Déjà, l'auteur s'appuie sur deux héros qui sont détenteurs de grands pouvoirs. On a, d'un côté, le jeune Alvin que l'on voit grandir et découvrir, au fil des tomes, ses nombreuses capacités et de l'autre côté, il y a Peggy qui elle, est née avec le don de voir l'avenir. Tous deux sont destinés à faire de grandes choses ensemble même si jusqu'au troisième volet de la saga, ils ne se sont pas encore rencontrés. A travers eux, on côtoie une magie faite de charmes et de croyances locales. Ainsi, Alvin est capable de tisser des sorts pour protéger des lieux ou des personnes. Il agit également sur la matière pour la transformer à sa guise et fait même corps avec la nature, à l'image des Amérindiens. Quant à Peggy, elle perçoit toutes les flammes de vie qui l'entourent et peut agir sur l'avenir des gens. C'est ainsi qu'elle suit de loin la vie d'Alvin et intervient si nécessaire pour le remettre sur le droit chemin.



En alternant leurs points de vues d'un chapitre à l'autre, Orson Scott Card donne une belle dynamique à son récit. Dans Les Chroniques d'Alvin Le Faiseur, l'auteur a construit un univers très immersif mêlant magie et superstition.



De même qu'il a choisi un cadre d'action historique fort puisque L'Apprenti se cristallise autour de l'esclavage. Ce thème est au cœur de ce récit à travers, notamment, la mention du traité des Esclaves en fuite permettant aux riches propriétaires d'exploitations de poursuivre les marronneurs déserteurs. Dans ce volet, Alvin s'attache à un jeune orphelin, fils d'une esclave qui a trouvé refuge à Hatrack avant de mourir. Élevé par un couple de colons, figures locales, Arthur Stuart va être la cible des pisteurs d'esclaves. A travers son histoire, l'auteur remet en perspective la fracture qui a divisé l'Amérique de l'époque entre le Nord et le Sud. En effet, c'est suite à l'ordonnance du Nord-Ouest de 1787 que l'esclavage est interdit sur ces territoires et établit, de fait, la limite entre les Etats esclavagistes et les autres sur l'Ohio. Or, c'est justement là que les événements se déroulent. Ainsi, l'abolition progressive de l'esclavage dans les Etats du Nord ouvre une possibilité supplémentaire aux esclaves du Sud, en leur offrant un refuge potentiel sur le territoire des Etats-Unis. Il y a même un réseau secret qui s'est organisé pour aider la fuite et faciliter l'accueil des fugitifs. C'est d'ailleurs grâce à lui qu'Arthur Stuart est sauvé alors qu'il n'était qu'un nouveau-né.



A travers ce livre, Orson Scott Card en profite donc pour mettre en exergue une période marquante de l'Histoire des Etats-Unis qui a divisé l'opinion entre les abolitionnistes et les esclavagistes. Ici, Alvin va se confronter aux mentalités sectaires de certains et à celles, plus progressistes, des autres.



Avec L'Apprenti, Orson Scott Card signe un roman saisissant et authentique.



Fantasy à la Carte


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La Saga des Ombres, tome 2 : L'ombre de l'H..

Après la victoire contre les Doryphores ("La stratégie d'Ender" et "La stratégie de l'ombre"), Ender est parti pour une autre planète, et les autres enfants ramenés sur terre, au sein de leurs familles. Mais voilà que quelqu'un se met à capturer les enfants de l'école de la guerre.



Une plongée dans le monde politique où les enfants pourraient servir de pièces maîtresses.



Et Hop ! on étire la sauce. Alors que l'utilisation d'enfants de génie, comme stratège dans une guerre totale, pouvait fonctionner dans la stratégie d'Ender, leur utilisation, au niveau politique, parait boiteuse. La politique est basée sur l'argent et les contacts. Un enfant peut devenir maître aux échecs, mais cela ne veut pas dire qu'il compterait dans le milieu politique. Sans compter que la politique m'intéresse peu; elle a prouvé que l'image importait plus que les idées rationnelles et que l'on utilise souvent, comme dans l'ancienne Rome, du pain et des jeux pour satisfaire la population.



En conclusion, j'ai porté à l'histoire un intérêt mitigé, mais le talent de conteur de Card m'a fait passé un moment agréable. Mais j'ai aussi arrêté pour l'instant la lecture de la série et je suis passé à autre chose.
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La saga des ombres, tome 1 : La stratégie de ..

Bean est un très jeune enfant à l'intelligence prodigieuse et avec une mémoire infaillible. Cela va lui valoir de se retrouver à l'école de guerre en compagnie d'autre enfants surdoués, dont Ender Wiggin, le héros de "La stratégie Ender".



Ce roman est une vision différente de "La stratégie Ender", focalisée sur les aventures de Bean.



Malheureusement, pour moi, j'avais souvent une impression de déjà vu et ça avait un air de réchauffé.



J'ai pensé lui mettre 3 étoiles à cause de la réutilisation de la même histoire et du manque de surprise, mais, finalement, je lui ai donné 4 étoiles car il m'a beaucoup plu à cause du talent de conteur de Card. Mais, j'aurais préféré qu'il emploie son talent sur une histoire complètement nouvelle.
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Le Cycle d'Ender, tome 1 : La Stratégie Ender

Ender Wiggin est un enfant, mais il n’est pas comme les autres. Il est le troisième de la fratrie et cela ne sera que le premier fardeau de son enfance. Difficile, en effet, d’être le troisième enfant d’une famille quand la loi ne vous en autorise que deux. Certes, c’est l’hégémon lui-même qui a demandé aux parents de Ender de le concevoir, mais la restriction a 2 enfants par ménage est tellement ancrée dans les esprits qu’il sera toujours méprisé par les autres enfants. Peter et Valentine (les deux premiers) ont échoués aux tests d’entrée à l’école militaire, mais leur potentiel intellectuel étaient tellement prometteurs que Ender a été autorisé à venir au monde. Le but de cette transgression est de trouver et former le seul être sur Terre capable de contrer la troisième invasion des doryphores. Par deux fois ces extra-terrestres aux formes insectoide ont tentés d’éliminer la race humaine et tout le monde redoute la prochaine qui ne devrait plus tarder.



Toute son enfance, Ender sera donc manipule afin d’en faire un stratège hors pair. Mais afin d’obtenir ce résultat le plus rapidement possible, il sera confronté à des situations très délicates à gérer pour un enfant de seulement 6 ans. Il devra affronter son frère Peter qui ne supporte pas son propre échec a l’entrée de l’école militaire et qui voue une haine quasi meurtrière envers Ender. Il devra se faire une place parmi les grands qui voient d’un mauvais œil l’arrivée du petit génie dans l’école militaire. Et il devra également déjouer les mensonges et les tricheries des adultes qui le poussent toujours plus loin afin d’être sur que c’est le bon.



Il est parfois difficile de croire que Ender est un enfant. Même un petit génie, reste un enfant lorsqu’il a six ans. Les paroles ou les réflexions de Ender sont souvent trop travaillées pour que l’on puisse facilement les attribuer à un gamin qui est encore loin d’avoir atteint la puberté.



Et pourtant, on se laisse prendre au jeu. On commence par se dire que la vision que l’on a de l’enfance (étroitement liée à notre propre enfance) est déjà trop vieillotte. Et puis on relativise, les enfants d’aujourd’hui ne sont-ils pas plus éveillés que par le passe grâce entre autre a l’accès a l’information. Alors pourquoi les petits génies du futur ne pourraient ils pas avoir des réflexions d’adultes d’aujourd’hui.



Une fois que l’on a donc dépassé ça on plonge dans ce livre et on ne peut plus relever la tête. La tension, les rebondissements et le rythme sont si bien maîtrisés qu’il est difficile de ne pas le lire d’une traite. Mais ce n’est pas tout, Orson Scott Card nous invite également a partager les sentiments de son personnage principal. Même si Ender est un petit génie capable de remporter toutes les victoires dans le jeu imagine par les adultes, c’est aussi un enfant qui a besoin de se sentir aime et qui se pose des questions sur son existence et le monde qui l’entoure. Il sait pertinemment qu’il est manipule, mais il veut aller au bout, sans doute pour découvrir ses propres limites.



On oubliera vite les quelques clichés (le Français arrogant et prétentieux, ou l’Espagnol si fier qu’il ne peut pas revenir sur ce qu’il a dit) et les mentions faites au Pacte de Varsovie qui comme vous le savez à disparu en 1991. Par contre on se souviendra longtemps de cette œuvre qui a reçu les deux plus prestigieux prix (Nebula et Hugo) tout comme sa suite « La voix des morts ».



En un mot comme en cent, ce livre fait parti des incontournables du petit monde de la SF.
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Les chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 1 :..

Quand j’ai vu cette nouvelle édition, ça m’a décidé d’enfin commencer cette série dont j’avais entendu parlé depuis pas mal d’année. Je me suis donc lancée dans la lecture de Les chroniques d’Alvin le Faiseur T1 : Le septième fils d’Orson Scott Card, publié chez les éditions L'Atalante. Un roman de fantasy original, qui me donne envie de découvrir ce que la suite réserve.



Ce roman nous plonge au cœur de la terre des pionniers d’Amérique, dans les année 1800. Nous y suivons principalement la famille Miller qui vient s’installer dans les territoires de la Wobbish à Ouest de l’Appalachie. Leur voyage ne sera pas de tout repos, surtout que la mère de famille est enceinte de son 7ème enfant et que la famille finira endeuillée avant d’arrivée à destination.



Nous suivons principalement le destin de Alvin junior, le septième fils d’un septième fils, qui est destiné, selon la croyance populaire, à avoir des talents spéciaux. Cette croyance en la magie est assez ancrée dans la population, or cela ne plaît pas à l’église qui veut faire disparaître ces croyances païennes/superstitions, et le prêtre de Vigor Church compte bien éduquer et convertir les habitats à sa façon de voir les choses.



Alvin est un garçon spécial, il a le don de travailler la matière, que ce soit le bois, la pierre…. Et même d’autres matières surprenantes (je n’en dis pas plus de peur de spoiler^^). Mais depuis avant même sa naissance, il est également constamment en danger, l’« eau » cherche à lui faire du mal, voir à le tuer, de toute les manières possibles.



On découvre donc sa vie, sa famille, ses rencontres qui vont lui faire ouvrir les yeux sur son don, son but et les dangers qui l’entoure.



L’histoire est assez complexe et donc difficile à résumer, mais l’histoire est vraiment prenante, la famille Miller est très intéressante et Mot-pour-mot, un personnage qui apporte une bonne explication sur le contexte historique de l’époque et qui a une vision des choses originale.



Au final, la lecture est agréable, l’action pas très présente, je m’attendais à ce qu’il se passe plus de chose, mais comme Alvin est encore jeune et n’est qu’au balbutiement de son don, cela risque de changer par la suite. C’est donc un bon 1er tome qui me donne envie de découvrir ce que la suite réserve !
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Enchantement

Lors du Bibliothon organisé par Bulledop, l'auteur Adrien Tomas a évoqué "Enchantement" comme l'une de ses références en matière de fantasy. Cela m'a intrigué et j'ai donc acquis cet ouvrage.



J'ai trouvé la mise en place de l'intrigue vraiment longue. Au fil des pages, je me demandais où l'auteur voulait en venir et quand l'action allait enfin se mettre en place. Par la suite, le rythme reste relativement lent et malheureusement, j'aurais aimé un peu plus de suspens ou d'action.



Néanmoins, j'ai apprécié cette réinterprétation du conte de la Belle au bois dormant et ce mélange entre passé et présent qui s'opposent via la religion, la science ou encore le statut de la femme dans la société.

L'alternance des points de vue nous permet d'avoir un horizon plus vaste du récit. J'ai, par exemple, aimé les chapitres dédiés à Baba Yaga.



Je ressors donc de cette lecture avec un avis en demi-teinte. Il y a quasiment autant de points positifs que négatifs. Je n'ai pas autant d'enthousiasme que ce à quoi je m'attendais avec ce roman.
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Enchantement

La belle au bois dormant revisité. J'ai toujours apprécié lire des histoires inspirées des contes qui ont baignés mon enfance. Nous au coeur de la forêt ukrainienne, et Ivan, le jeune personnage du roman, tombe sur une belle endormie gardée par un monstre... La jeune femme hantera Ivan, qui ne pourra cesser d'y penser. Un récit qui nous prend et qui nous fait tourner les pages. C'est très bien écrit, et c'est très immersif. Une bonne lecture.
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Le Cycle d'Ender, tome 2 : La Voix des morts

Un bien meilleur second tome.



Ici, fini avec la SF militaire du tome I, et place au Planet Opera. Sur Lusitania, vivent des hommes et les piggies, des cochons qui parlent et qui adorent des arbres. Les humains n'ont pas le droit d'influencer les cochons et doivent les laisser évoluer tout seul. Il y a une barrière qu'ils n'ont pas le droit de franchir.



Les titres des chapitres, pour certains, sont les noms de personnages, ce qui permet au lecteur d'en découvrir d'avantage sur l'univers.



Les tomes I et II ont reçu les prix Hugo et Nebula du meilleur roman, deux années consécutives. C'est une première. Oui, je sais que N. K. Jemisin a reçu le prix Hugo trois années consécutives (2016, 2017 et 2018). Cependant, ces récompenses étaient, selon moi, bien plus dû au politiquement correct et au marxisme culturel, qu'au talent.
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Le Cycle d'Ender, tome 1 : La Stratégie Ender

Un chef d'oeuvre de SF. Coup de coeur !



Ender est un jeune garçon (6 ans) qui est sélectionné, et pas par hasard, pour rejoindre l'armée. Il fait face à la haine des ainés, car, bien plus jeune qu'eux, il les surpasse tous. Ender est un personnage attachant. Il subit une sorte de harcèlement scolaire, dans le silence des "professeurs" (des dirigeants militaires, en l'occurrence). Malgré cela, il réussit toujours à surpasser la haine des autres et se faire respecter par ses ainés. le but de la formation militaire est de détruire les Doryphores, pour empêcher une Troisième Invasion de la Terre.



Les phases d'entraînement me font beaucoup penser à Starship Troopers. Les ennemis semblent, eux aussi, êtres inspirer de ST; c'est-à-dire une race extraterrestre insectoïde. Au fait, "doryphore" est le nom d'une espèce d'insecte.



Un roman incontournable pour tous les lecteurs de SF.
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Le Cycle d'Ender, tome 2 : La Voix des morts

J'avoue, j'ai eu beaucoup de mal a lire ce livre.

J'ai fortement apprécié le premier tome, celui-ci m'a laissé de glace.

Je n'ai pas su accrocher à l'histoire, entrer dans cet univers.
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Le Cycle d'Ender, tome 1 : La Stratégie Ender

J'avais vu le film de 2013 mais, avec ma petite mémoire, j'avais déjà oublié les twists et ai donc pu pleinement savourer le livre. Livre sans doute bien meilleur que le film, même si j'avais déjà beaucoup apprécié ce dernier. Un gros bémol tout de même, qui m'a gêné tout le long du roman : le jeune héros est trop… jeune. A six ans, le voilà enrôlé pour subir des années d'entraînement intensif afin de devenir l'élite des commandants de guerre face à la seconde invasion extra-terrestre qui s'annonce. Je n'ai pas réussi à y croire une seule seconde tout au long du livre. Dommage, il suffisait pourtant de lui donner trois ou quatre ans de plus, comme dans le film, et tout aurait été parfait.



Car sinon, en effet, voilà une aventure vraiment prenante, même si les séquences d'action sont virtuelles ou en tout cas se déroulent dans des salles d'entraînement reproduisant des combats spatiaux. Cet entraînement incessant pousse ce gamin à toujours se dépasser, dans des épreuves de plus en plus dures. Tout tourne autour des affrontements en salle sans pesanteur (là aussi peu crédible avec cette histoire de pistolet congélation qui n'a rien à voir avec la vraie guerre, mais bon…), l'occasion de séquences bien animées toujours palpitantes, jusqu'à une fin assez surprenante et bien pensée, mais dont les dernières pages très riches auraient mérité de plus larges développements.



S'il date déjà de 1985, ce roman n'est en rien daté (pas toujours évident pour de la science-fiction) et il est surtout remarquablement visionnaire sur les aspects de la communication, de l'instantanéité et des réseaux sociaux. Une lecture très accessible pour les ados mais tout aussi plaisante pour les moins jeunes. A voir si je poursuis avec les suites de ce roman, qui semblent très différentes.

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Le Cycle d'Ender, tome 4 : Les Enfants de l..

Suite et fin du Cycle d'Ender. Après une légère déception à la lecture du 3ème tome, j'ai retrouvé de l'intérêt cette fois et je l'ai lu quasiment d'une traite. Le 1er tome reste une expérience à part car je ne lis pas jamais de SF militaire et pourtant il m'a vraiment plu et il reste le summum de la saga. Les suivants quittaient cette veine militaire et j'ai été déstabilisée un moment par le côté ésotérique. Ici, les transferts de personnalités ou d'âmes et les voyages instantanés sont actés, si on les accepte comme des faits, alors on peut se laisser transporter, c'est ce que j'ai fait et j'ai apprécié de suivre les différents duos/trios. Avec une préférence pour Miro, Val et Jane. Heureusement que les conversations et réflexions mystico-religieuses sont moins présentes, c'est ce qui m'avait rebuté dans le tome précédent. Les réflexions de celui-ci s'axent sur les différentes formes de vie, la conscience et la conscience artificielle, que j'ai trouvé plus intéressantes. Et je n'ai pas lu les "extraits" en tête de chaque chapitre, les premiers m'ayant rappelé ce mauvais souvenir du 3ème tome, je ne souhaitais pas gâcher ma lecture.

Une digne fin pour cette saga et pour ses personnages.

Merci.
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Le Cycle d'Ender, tome 3 : Xénocide

Ma relation avec la série Ender est tellement en montagnes russes XD



Le premier chapitre m'a donné la frousse, c'était tellement philosophie, bizarre et avec des nouveaux personnages...j'ai eu peur pour la suite.



Finalement, l'alternance entre les personnages du premier chapitre (Han fei-tZu et sa fille Quing-jao) avec Ender/Valentine se fait très bien et c'est intéressant.



On a un heureux mélange d'actions, puisqu'il y a beaucoup de dilemmes éthiques, et de réflexions philosophiques.

Heureusement, j'arrivais la majorité du temps à "comprendre" les discussions philosophiques ultrascientiques. Les moments que j'ai moins apprécié sont définitivement ceux philosophiques/scientifiques que je n'ai pas compris, entre autres les histoires de philotes....(WTF)



Sinon, étonnante surprise je suis.
Lien : https://youtu.be/UdGjBVnNrTU
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Les Chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 2 :..

Dans Le Prophète Rouge, on retourne en Amérique au temps des premiers colons pour y retrouver un enfant au destin peu ordinaire. Les Miller ont bien conscience que leur dernier fils Alvin n'est pas un enfant comme les autres. Il a des dons extraordinaires. Mais en but à la méfiance des uns et à la convoitise des autres, ils acceptent de le laisser partir pour faire un apprentissage loin de chez eux, afin de le mettre à l'abris. C'est son frère aîné Mesure qui est chargé de le conduire à destination. Seulement, chemin faisant, ils vont croiser la route d'Indiens peu recommandables et aux intentions malveillantes. C'est ainsi qu'ils se retrouvent prisonniers de ces peaux rouges qui comptent bien les tuer et envoyer, par la suite, leur dépouille à leurs parents. Mais c'est sans compter les dons d'Alvin qui émoussent leurs armes, déjouant ainsi toutes leurs tentatives pour les assassiner. Libérés par un autre clan d'Indiens mené par Ta-Kumsaw, Mesure et Alvin se retrouvent pourtant bien loin de chez eux. Ils se découvrent les victimes d'une machination orchestrée par un colon ambitieux qui souhaite se servir de leur mort pour faire éclater une guerre entre les colons et les Indiens. Malgré tous ses pouvoirs, Alvin saura-t-il vraiment en mesure d'empêcher un bain de sang ?



Dans Les Chroniques d'Alvin Le Faiseur, Orson Scott Card nous transporte en Amérique lorsque les premiers colons cohabitaient avec les Amérindiens. Alors que dans Le Septième Fils, on partageait le quotidien d'une communauté de colons, dans Le Prophète Rouge, on change de point de vue en passant plutôt du temps parmi les Indiens. En effet, Alvin voit son destin s'entremêler avec celui des Indiens, notamment celui d'un chef réputé répondant au nom de Ta-Kumsaw. L'auteur met l'accent sur leurs croyances et leur culture. Ils ont un rapport à la nature très fort. Or, l'arrivée de ces étrangers constitue une vraie menace pour leur environnement. Ils sont un danger autant pour leur écosystème que pour leur propre survie. Orson Scott Card met, par exemple, en exergue le danger de l'alcool et notamment de l'abus du whisky par les Indiens. Une addiction qui leur fait perdre pied et les coupe même de ce qui fait leur essence. Avec Le Prophète Rouge, on se retrouve dans la peau de ces Indiens qui ont dû face à l'arrivée en masse d'étrangers. S'il y a eu des rapprochements pacifiques, cette cohabitation s'est plus souvent déroulée avec de nombreux heurts. Les accès de violence des uns et des autres ont instauré un climat de défiance. Les raids indiens étaient aussi violents que les représailles des colons. C'est d'ailleurs dans cette ambiance délétère qu'Orson Scott Card a inséré son récit. Il donne ainsi une grande légitimité à son uchronie d'autant qu'on rencontre également entre ces lignes des personnalités historiques comme le marquis de Lafayette qui a joué un rôle dans l'indépendance des Etats-Unis.



La puissance de cette saga réside également dans son personnage principal : ce jeune magicien qui ignore encore l'étendu de ses pouvoirs. En pleine apprentissage, il est entouré de mentors qui viennent l'aider dans l'accomplissement de sa destinée. Dans Le Prophète Rouge, Alvin est d'ailleurs profondément marqué par les événements qui le font mûrir d'un seul coup. C'est un tome qui marque la fin de l'insouciance pour notre apprenti-magicien. Encore très jeune, chacune de ses aventures vont le faire grandir et forger sa personnalité. C'est un personnage très attachant que l'on n'apprécie de retrouver. Faiseur de miracles, il nourrit la fantasy d'Orson Scott Card en multipliant les prodiges. Les Chroniques d'Alvin Le Faiseur, c'est l’authenticité d'une époque-clé de l'Histoire américaine et l'épopée extraordinaire d'un jeune garçon appelé à devenir un grand magicien.



Fantasy à la Carte
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