Orson Scott Card

Roman qui reprend le conte de la "Belle-au-bois-dormant" et le réinvente à sa manière.



C’est donc un voyage dans le temps entre l’an 991 et 1991 sur le territoire qui serait aujourd’hui clairement l’Ukraine et, un peu en partie aux États-unis de 1991.



Le roman Fantasy est superbe tant et aussi longtemps que l’on demeure en 991 et sa magie, les croyances des gens, etc.. Toutefois, au moment que la belle et son « prince » viennent en 1991 aux É.-U., avec toutes les « incompréhensions » sur le monde moderne qui semble de la magie pour la princesse, et bien, le texte devient bête et moins bien réussi. Il arrive souvent qu’auteurs et films font venir des personnages d’une époque antérieure à la nôtre et que je décroche. C’est le cas encore ici.



Le romancier aime jouer et faire vivre des drôleries à ses personnages. Il s’amuse et cela est plutôt agréable.



Donc pas le grand cour de coeur mais tout de même bien des éléments intéressants dans ce conte réinterprété.

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isbn:9782290315521

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isbn:9782290330159

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Ender Wiggin est un enfant intelligent. Aussi intelligent qu'il est empathique. Troisième de sa fratrie, il est observé dès son plus jeune âge pour ses facultés intellectuelles. À 6 ans il est approché pour intégrer l'école de guerre et y découvrir ses jeux. Mais qui joue à quoi? Est-il lui même un pion sur l'échiquier. Réussira-t-il à devenir le héros que l'on veut faire de lui?

Ce roman de science-fiction est fascinant de part ses multiples approches. Il y a le côté thriller psychologique qui suit Ender que l'on pousse toujours plus dans ses retranchements, le côté stratégie militaire lors de ses combats, mais également géopolitique de part les débats et crises rencontrés sur Terre et enfin, un petit côté philosophique concernant les doyphores.

Ce que j'ai aimé : tout ces aspects en un seul écrit en fait un récit complet et donc un classique de la science-fiction. Les interactions entre les personnages sont remarquables et la double fin m'a laissée bouche bée.

Ce que j'ai moins aimé : La géopolitique terrestre est un peu brouillonne. Les relations entre Hégémonie, Pacte de Varsovie et autres sont peu développées ou mal expliquées. La façon dont les enfants Wiggin interrargissent avec leurs semblables et dont ils reflechissent est très évoluée pour des enfants, surtout au début où ils ont respectivement 6, 8 et 10 ans. Si je recontrais personnellement un enfant comme ceux-là, cela m'effrairait.

Je me souviens d'avoir lu le tome 2 du cycle d'Ender et d'avoir apprécié mais d'avoir un peu ramé à la lecture.

Reprendre le cycle a été assez difficile à vrai dire. Je ne me souvenais pas tant que ça du tome 2 et je l'avais lu il y a un certain temps ( enfin plus d'un an ) et ce tome ne récapitule pas vraiment ce qui précède. J'ai pu raccrocher les wagons mais assez laborieusement.



A côté de cela, l'auteur introduit une nouvelle planète : La voie.

L'introduction de cette planète est très laborieuse. Les noms chinois sont une surprise vu que l'on a d'un côté une planète avec des personnes qui parlent parfois en portugais et de l'autre que des noms chinois. C'est un peu confusant mais on s'y retrouve. Je n'ai pas trop accroché à La voie au début d'autant que les explications sur les dieux ne viennent que très tard dans la lecture. J'ai eu l'impression que c'était évident pour l'auteur là où ça ne l'était pas pour moi.

A côté de tout cela, l'histoire avance par à coup pas forcément très agréable. C'est à dire que certains passages sont des digressions philosophiques de 30 - 40 pages entre 2 actions d'intensité faible. Pas vraiment le plus passionnant qui soit !



J'ai tout de même bien noté ce roman pour plusieurs raisons :

- le développement de l'histoire reste intéressant

- les querelles théologiques représentent des points de vue réellement intéressants et l'auteur n'hésite pas à se porter l'avocat du diable ( il est mormon )

- l'écologie de Lusitania ( enfin la gaïalogie ) est unique et tout à fait originale. L'auteur a su inventer un système bien pensé et l'approfondir

- les personnages principaux restent attachants ( enfin sauf Novinha qui est insupportable )



Au final, un tome sympa mais un peu lourd à lire. Je retrouve un peu les problèmes du Cycle de Dune de Franck Herbert : ca bouge beaucoup au début et puis ça se pose et tout de vient philosophique ( trop en fait ). Lire ce tome sans avoir lu les précédents n'a pas vraiment de sens donc j'aurais du mal à le recommander seul. A voir ce que donnera la fin du cycle pour se faire un avis global.

Un très bon livre qui aborde bien les particularités des deux genres : comment donner des informations sans être sentencieux ou trop pédagogique, comment ne pas tomber dans l'écueil du DEUS EX MACHINA dans la fantasy.

Une aide très bien faite pour celles et ceux qui veulent écrire ou scénariser dans ces domaines.

Waou !

Pour quelqu’un qui n’est pas fan de science-fiction (le livre m’a été conseillé par un ami), j’avoue que j’ai vraiment aimé. Ce livre est impossible à lâcher.

Même si j’ai souvent eu le vertige par les moments en apesanteur et me suis parfois sentie perdue sur les enjeux.

Je ne m’attendais pas à que cette aventure aille si loin !



Reste à savoir si je vais poursuivre le cycle d’Ender.



Je crois que je suis un peu obligée, si je veux en connaître un peu plus sur les doryphores.

J’ai adoré ce roman d’Orson Scott Card. Avec la découverte de Bean, bébé et qui plus est petit pour son age survivant dans les rues glacées de Rotterdam, ou la seule loi qui règne est celle du plus fort. Je me suis épris de ce personnage dès ses premières paroles, je me suis étonné de sa vivacité d’esprit, de son age et de son sang froid. J’ai vibré avec lui quand il a petit à petit réussi à se créer un monde ou il pourra survivre, manger à peu près à sa faim mais ou le danger reste omniprésent. J’ai respiré avec lui lors de sa rencontre avec Soeur Carlotta, j’ai été choqué par sa froideur vis-à vis de la religieuse, qui le choyait

Source: Literrado
Lien : https://aquabulles.camelus.e..

Un SF excellent de Orson Card



Un excellent livre, même si il est difficile de renter dedans... J'ai beaucoup aimé le personnage, attachant. Il est impressionnant de le voir s'adapter à un monde d'adultes, lui qui est encore si jeune. On remarque aussi des points communs avec notre monde actuel, comme le réchauffement climatique. Cependant, il y a aussi des différences, comme le fait que le monde soit uni dans une seule lutte, ce qui m'a beaucoup plu.

Prix Hugo et Nebula, on comprends pourquoi... :)



Vous pouvez voir ma crtique en entier sur mon blog : https://aquabulles.camelus.eu/la-strategie-ender/
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Alvin désespère de mener à bien son grand projet : la cité de cristal. C'est donc sur les conseils de Peggy qu'il se rend à Nueva Barcelona accompagné d'Arthur Stuart.

Sur place, une épidémie de fièvre jaune décime la population. Les plus démunis n'ont aucune chance de s'en sortir.

C'est ainsi que débute l'exode, la grande marche des peuples opprimés vers la liberté, la vaste tâche d'Alvin.



Encore une fois, j'ai été soufflé par la facilité avec laquelle Orson Scott Card arrive à rendre si addictive une histoire presque banale. Il ne fait pas dans le sensationnel et arrive tout de même à maintenir le lecteur en haleine. Chaque action, chaque évènement, chaque mot prend sens et entraine le lecteur au cœur du récit. On avance sereinement au coté d'Alvin et ses camarades, on observe petit à petit la situation évoluer et prendre une tournure complètement inattendue sans jamais tomber dans l'excès.



J'ai aimé cette façon d'aborder l'Histoire et de rencontrer des personnages réels dans un contexte diffèrent tel que Jim Bowie, Steve Austin et même Abraham Lincoln.

J'ai aimé le soin apporté aux personnages secondaires et la façon dont ils étaient traités.

J'ai savouré les dialogues diablement drôle, les tournures de phrases et les interactions entre les différents individus.

J'ai aimé les 6 tomes des Chroniques d'Alvin le faiseur et je suis persuadée qu'un jour je les relirais.