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Citations de Patricia MacDonald (380)


La triste vérité était que plus on est pauvre, plus on a de chances de se faire cambrioler.
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Un être humain a le droit à l'erreur. Une fois.
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Les adultes ont leurs raisons à eux.
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Eh bien, moi je ne suis pas un petit chien. Je ne me laisse pas attacher, ni dicter ma conduite par des gens moins intelligents que moi. Des gens qui n'ont pas une once de la classe et de la beauté que mon petit doigt a à lui tout seul.
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Elle ferma les yeux, penser à André lui donnait une légère sensation de vertige. Elle les rouvrit aussitôt, se réprimanda. Ce n'était que de l'attirance animale envers un inconnu. Un inconnu fiancé. Même si elle avait l'impression que cette attirance était peut-être réciproque, ça ne signifiait rien.
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Quand elle arriva près des gradins, elle vit Pink retenir un vieux fermier qui portait une salopette et une de ces casquettes qu'on voyait maintenant partout. Ils bavardaient au bord du terrain et tout en parlant, Pink jetait de temps en temps un œil sur le jeu qui venait juste de commencer.
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Comment deux personnes aussi différentes pouvaient-elles s'accorder aussi rapidement ? Il s'avancait librement dans la vie, considérait leur amour comme une chose merveilleuse, certes mais naturelle. Je suis moins s˚re de moi, songea-t-élle. Je ne peux m'empêcher de douter de mes sentiments. Et pourtant, nous nous accordons pleinement. Une expression de bonheur se répandit sur son visage.
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Cela n’arrivait pas souvent dans une existence : tomber amoureux, en être chaviré.
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Comment connaître véritablement un être ?
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Elle n'aurait su dire avec exactitude ce qui l'avait réveillée. Etait-ce un cri étranglé, un craquement sonore... quoi qu'il en soit, elle s'assit dans le lit de son fils, les yeux grands ouverts et le cœur empli d'appréhension. Michael roula sur le côté ; chaud et lourd, il dormait à poings fermés.
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Suis-je prête à aimer ? se demanda-t-elle. En tout cas, personne ne pourra te garantir que tu ne souffriras jamais. Au contraire. L'amour, d'une certaine manière, est synonyme de souffrance, mais tu peux vivre avec quelqu'un dans ton coeur ou sans personne. Il est temps de choisir.
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L’air lui parut soudain étouffant dans la maison et elle se laissa tomber sur une chaise, enviant Francie, serrée contre son petit ami. Une profonde tristesse l’envahit, une impression de solitude, l’envie de revoir Mike. Elle aurait aimé pouvoir lui téléphoner, lui parler. Plus tard, se dit-elle en fermant les yeux. On chuchotait autour d’elle, des bribes de conversation lui passaient au-dessus de la tête, mais elle resta sans bouger, appuyée contre le dossier de sa chaise. Il lui semblait que respirer lui prenait toute son énergie.
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Francie se tourna vers sa sœur, les yeux légèrement agrandis. Andrew inclina la tête sur le côté, les paupières plissées.
« C’est pas grave, dit-il.
- Ce sont des moments difficiles, ajouta Beth, consciente de son attitude affectée, mais incapable de trouver les mots justes.
- ouais, dit-il. Bien sûr. C’est sans importance.
- Sans rancune, alors ? »
Elle n’attendit pas sa réponse, fit demi-tour et reprit le chemin de la maison. Elle les entendit chuchoter derrière elle.
C’est mieux comme ça, pensa-t-elle en pénétrant à nouveau à l’intérieur. Elle accrocha son manteau et se souvint brusquement que Cindy avait quelque chose à lui dire. Elle chercha dans toutes les pièces, examina l’assistance, et conclut que Cindy était déjà partie.
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Francie se trouvait-elle auprès de tante May quand celle-ci avait téléphoné ? Sûrement, pensa-t-elle. Où aurait-elle pu être ? Beth jeta un coup d’œil à la pendule ancienne dorée sur la cheminée. Il était trop tard pour téléphoner. D’ailleurs qu’aurait-elle dit ? Il était trop tard.
« Il est mort, maintenant », dit-elle à voix haute. « C’est trop tard. »
Elle se mit à claquer des dents, comme si ces mâchoires étaient prises de spasmes incontrôlables. Des frissons la secouaient de la tête aux pieds. « J’ai froid », murmura-t-elle avec stupeur, et ses dents s’entrechoquèrent. Un peu de sang coula sur ses lèvres. Elle voulut l’essuyer, mais fut incapable de détacher ses doigts du châle.
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L’image du visage de sa mère surgit avec netteté devant elle, en dépit des années écoulées depuis sa mort. Image sans voix, car le souvenir s’en était éteint avec le temps. Mais les yeux doux et pensifs étaient là, débordant de tendresse. Pendant une minute, Beth cessa de trembler. Peu à peu, les traits de son père vinrent se superposer à ceux de sa mère, le visage sombre de l’homme sur lequel sa mère, il y a longtemps avait fondé ses espoirs de bonheur. Beth poussa une exclamation de dégoût et se blottit dans les plis du châle, le serrant autour d’elle de ses doigts raides et glacés. Elle se rendit compte qu’elle n’avait même pas parlé à sa sœur.
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Nina réprima une exclamation, son cœur éclata. C'était fini. Il était libre. Elle n'en revenait pas.

p.43
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Si elle contactait la police derrière le dos de David, il l’interpréterait comme une trahison. Certes, il arrivait qu’on envoie des innocents en prison. Mais David prenait trop à la lettre le conseil de l’avocat – éviter la police. Emma avait la certitude que le paquet-cadeau était une preuve potentiellement importante.
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Elle aurait dû éprouver de la gratitude. Pourtant elle était taraudée par la mélancolie. D’abord soulagée d’avoir survécu à l’agression, elle s’était ensuite sentie déprimée. Un maniaque, encore en liberté, l’avait attaquée, et un brave homme était mort en essayant de la sauver.
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L’adolescente était assise sur une chaise de la salle à manger, les bras croisés, le menton tendu, tremblant légèrement. Karen se tenait devant les portes à la française et regardait sans les voir les fleurs de son jardin, ravalant ses larmes. Elle avait l’estomac noué à en avoir mal.
« Je te l’ai déjà dit ! Je ne savais pas qu’elle était journaliste.
- Tes explications, on les entendues », répliqua Greg d’un ton écœuré ; il frappa le plateau brillant de la table en merisier avec le journal. Il avait littéralement poursuivi sa fille à travers toute la maison, brandissant le journal, et ils avaient atterri dans la salle à manger. Sans les chandeliers, la nappe, l’argenterie, la porcelaine et la nourriture, la pièce dégagerait une froideur qui paraissait convenir à l’atmosphère.
« C’es vrai, je ne le savais pas ! répéta Jenny.
- Tu te trompes, si tu crois nous rassurer avec l’idée que tu es capable de raconter toutes ces choses au premier étranger venu, pourvu qu’il ne soit pas journaliste !
- Je dois partir, intervint Karen d’un ton raide. J’ai un cours à donner. Conduiras-tu Jenny à l’école, Greg ? Elle a manqué le bus.
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« Comment as-tu pu faire une chose pareille ? tonna Greg, brandissant le journal du mati devant le visage de Jenny. Tu es complètement folle, ma parole ! »
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