Philippe Geluck

Un premier opus qui en annonce long sur la suite de la série. Des gags comme s'il en pleuvait, aucun thème n'est épargné. Juste parfais!!

Un livre découvert sous mon sapin ;-)



Un collector composé de 2 petits livres dans un coffret.



Ce titre est différent des autres "Chat" car cette fois Geluck raconte une histoire du début à la fin. De bons gags et aussi des lourdeurs, mais j'ai bien apprécié.

J'aime bien cette ré-interprétation de l'histoire ;-)

Un livre qui dénonce une société où l’humour est trop souvent bâillonné. Il s’en prend à tout le monde : la religion, mais aussi les riches, les vieux, les jeunes, les cathos, les homos, les femmes, les Belges...
Lien : http://culturebox.francetvin..

Décidément, ce M. Geluck est un fumiste, un rigolo : il ne fera jamais une BD en solitaire. Certes, il sait faire des albums du Chat, mais point d’histoire suivie de la page 1 à la fin ! Dans Alerte sur Fangataufa, il est au scénario mais pas au dessin, c’est un autre qui s’y colle. Et là, dans La Bible selon le Chat, eh bien, M. Geluck, il dessine, mais il ne scénarise pas, puisqu’il a pris une aide oh combien illustre : Dieu soi-même ! Dieu en chair et en os si je puis me permettre cette personnification, mais je prends cette liberté, c’est pas moi qu’a commencé ! Allons donc, M. Geluck, vous manquez un peu de modestie ! J’en avalerai presque mon missel si seulement j’en avais un.

Remarquez, il n’est pas sot le bougre, car comme Dieu est au générique, c’est lui-même qui raconte son histoire : une autobiographie en quelque sorte. Qui pourra alors accuser le sieur Geluck de blasphème ? Hein, pas bête ça ?

Après ce début tonitruant, je dois faire mon coming-août (même si on est en automne et que les feuilles tombent), je suis fan de Geluck –les gens qui passent régulièrement ici le savent, à chaque fois je le dis : déjà lorsque j’étais chez mes parents (c’est dire si ce n’est pas tout récent) je découpais les strip du Chat (précision, le strip du Chat est une BD de quelques cases et non pas un effeuillage dudit félin) que Ouest-France publiait et je les collais sur des feuilles blanches et vierges qu’elles-mêmes j’apposais sur le mur des ouatères, histoire de partager et de joindre le nécessaire à l’agréable ; j'ai ainsi modestement participé à la diffusion des gags de cet animal au sein de ma famille et des amis de passage, lorsqu'ils étaient dans le besoin- et légèrement (ou totalement ?) anticlérical ; cette Bible ne pouvait que venir me toucher en plein cœur. Je suis la cible de cet album. A croire même que Philippe Geluck ne l’a écrite et dessinée que pour moi ! Chic attention Philippe (maintenant que je sais, on peut s’appeler par nos prénoms ?) ! Mais je n’ai même pas à me forcer pour dire tout le bien que je pense de ta BD (on peut même se tutoyer, non ?). Ben oui, elle est bien. Je me suis marré me demandant où tu pouvais trouver tous ces gags, toutes ces réflexions absurdes et/ou tellement logiques. Tu dois avoir un esprit un poil dérangé quand même. Et puis ce qui est bien aussi, c'est que même quand on rit, eh bien il y a du fond (bon, pas toujours, parfois c'est vraiment une blague pour la blague, on est alors loin d'un style coruscant) : la tolérance, l'amour de l'autre, ces valeurs humaines que les religions se sont appropriées et sur lesquelles elles ont parfois mis un copyright mais aussi les croyances, les extrémismes, ... Je ne suis pas sûr que ton livre plaira à tous, je pense même que tu vas te faire quelques ennemis puisqu'on ne peut plus dire ce que l'on veut sur les religions sans se faire insulter, menacer et ce malgré ton récent ouvrage, Peut-on rire de tout ? dans lequel tu dis l'inverse. Tu aggraves ton cas en glissant quelques allusions au mariage pour tous dont on ne peut pas dire que ses opposants sont très tolérants. Sache Philippe, que si tu es en délicatesse avec tels ou tels, ma maison te sera grande ouverte, on boira une bière (si tu l'apportes c'est mieux, une belge, c'est quand même vachement bon, je parle évidemment de la bière). Pour finir, je ne vais pas te citer, parce que bon ça va, je crois que j'en ai dit assez de bien de ton livre, non, je vais citer un autre humoriste que j'aime beaucoup et qui parle de religion, notamment cette citation qui me fait toujours rire, j'espère quelle aura le même effet sur toi, mais je ne pense pas prendre de risque :

"Non seulement Dieu n'existe pas, mais essayez d'avoir un plombier pendant le week-end !" Woody Allen

Allez, à bientôt alors ; n'oublie pas les bières !
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▋HUMOUR HUMOUR HUMOUR tout simplement! Un univers gaguesque qui est propre à Philippe Geluck! Il faut le lire pour le croire. Vous rirez tout le temps, page après page, sans cesse... Une des plus grande bande-dessinée humoristique du siècle! Lisez Le Chat. Dévorez Le Chat. Riez avec Le Chat! Vous savez ce qu'il vous reste à faire...! ▋

Je remercie les éditions Casterman et l'opération Masse critique Babelio pour l'envoi de ce livre.



Cet album est la réédition d'un titre du Chat déjà paru et correspond ici au catalogue de l'exposition du même nom qui a eu lieu à Paris. J'ai donc été surprise en le recevant car je m'attendais à des planches de BD uniquement.



Grand amateur d'art, comme il l'explique dans une courte interview au début de l'album, Philippe Geluck a sélectionné une trentaine d'artistes dont il présente, avec sérieux mais avec humour aussi, la vie et une oeuvre, associée à un détournement humoristique par le Chat. Les textes sont rapides à lire et vont à l'essentiel, permettant aux novices en histoire de l'art d'en apprendre plus sur l'oeuvre et de comprendre le trait d'humour qui l'accompagne.



A la fin, en bonus, plusieurs dessins tirés des albums du Chat sur le thème de l'art et une double-page sur l'enfance de certains grands artistes, version le Chat.



Si le format n'était pas celui que j'espérais, j'ai beaucoup ri en lisant cet album, qui devrait aussi bien plaire à ma collègue d'arts plastiques et pourquoi pas à mes élèves.
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Je n'ai pas aimé.. je ne sais pas si je suis mauvais public ou simplement pas la cible.

Le style me rappelle un peu Garfield avec des gags courts mais là où Garfield fait mouche, le chat me décroche à peine un sourire..

Peut-être que le format bd n'est pas adapté, un gag par jour dans un journal fait peut-être plus facilement mouche.

Pour ma part j'ai eu la sensation d'un humour absurde où ce qui est drôle ce que rien n'est drôle et paraît forcé..



Quant au style du dessin.. il est simpliste et pas vraiment détaillé.



A voir par la suite si les blagues seront meilleures.

Le retour du Chat en papier après avoir bourlingué en statue. Cette fois, on peut le reprendre en mains. Pour retrouver l’esprit caustique et surprenant de son auteur. Quelques éclats de rire spontanés et, de temps à autre, une pause pour réfléchir. Lequel de nous 2 est le moins con ?

Je vous fais une chronique, même si je ne l'ai pas terminé. Il s'agit en effet d'une « encyclopédie » humoristique, donc il n'y a pas vraiment de début ni de fin et on peut en lire un bout quand on veut. J'ai lu un peu plus de la moitié.

C'est un livre format BD qui date des années 90, et ça se ressent dans les références (j'en avais certaines, mais pas toutes car j'ai dû oublier qui étaient certaines personnes depuis), l'humour de cette encyclopédie n'est donc pas universel ni intemporel. J'en aurais eu un autre avis si je l'avais lue à l'époque.

Je n'ai pas compris toutes les blagues et certaines, que j'ai comprises, n'étaient pas (plus) drôles, car l'humour change avec les moeurs je pense.

Par contre les illustrations (qui sont aussi humoristiques) sont plus rigolotes.

Un numéro spécial offert en décembre 2022 avec d'autres albums. La thématique de l'art donne lieu à ce recueil de dessins et peintures de Geluck. On y retrouve l'esprit qui caractérise le dessinateur, qui a cependant fait beaucoup mieux par ailleurs.

Ayant lu quelques sympathiques bandes dessinées de cet auteur, je m'attendais à lire un ouvrage dans le même genre. Malheureusement, je n'ai pas été conquise par cette lecture. Certes, l'humour est particulier mais pour moi il est de mauvais goût. De ce fait, je ne conseille donc pas.

Dans Peut-on rire de tout, Philippe Gelück cite Pierre Desproges et son célèbre "Oui, mais pas avec n'importe qui !"

Après avoir lu ce livre, spontanément, ce qui me vient à l'esprit serait plutôt "Oui, mais pas n'importe comment !"



Philippe Gelück, c'est aussi l'auteur des BD mettant en scène Le Chat. Et j'adore ses jeux de mots, ses réflexions humoristico-philosophiques, ses traits d'esprit... Alors quelle n'a pas été ma déception à la lecture de cet essai !



Philippe Gelück résume le rire à la moquerie. Et ne parle d'aucune des autres formes de rire et d'humour. Pour moi, la moquerie et le sarcasme sont le côté obscur de l'humour. Et du coup, son livre aurait plutôt dû s'intituler : Peut-on se moquer de tout le monde ?



Question à laquelle il répond pour le bonheur, la maladie, les pauvres, les drogués, dieu, le féminisme... Le tout en enchaînant lieux communs et platitudes, ce qui au final est très indigeste et pas drôle du tout !



Exemple au hasard : "Il est parfaitement possible de rire de l'homosexualité sans tomber dans la caricature. (...) Nous pouvons rire d'un homosexuel malade, d'un vieil homosexuel, ou d'un homosexuel handicapé selon les règles prescrites aux chapitres précédents. La seule précaution à envisager est de ne pas rire n'importe comment d'un homosexuel juif car la plaisanterie pourrait alors tomber sous le coup des lois punissant l'antisémitisme et donc être passible de poursuites pénales."



Bref. A oublier !

C'est un bel objet facile à transporter et à lire dans le train ou bien assis tranquillou près du feu. A offrir aussi !

L'humour bien sûr est au rendez-vous :

-- à la sauce littéraire ("Est-ce qu'on peut être imbu de quelqu'un d'autre que de soi-même ?"),

-- ou philosophique ("Les étrangers qui habitent tout près de la frontière sont un peu moins étrangers que les autres"),

-- ou carrément loufoque (" 50 kg de palourdes, c'est quand même lourd")

Il y a aussi quelques dessins délirants.

J'ai bien ri : "La couleur la plus drôle du monde, c'est l'amarante".

Humour décalé, jeu de mot, des bulles courtes au bulles plus longues, ça match souvent, on rit, on s'interroge, j'ai passé un bon moment, c'est un tome qui passe bien ça passe le temps après comme toujours je reste assez en surface, c'est un album qui permet de se vider la tête, de relâcher la pression de passer un bon moment, ça fait du bien mais ça s'oublie très rapidement.

Les mots du chat sont un condensé des répliques que le chat de Philippe Geluck a pu nous offrir au fil des albums. Le chat n'apparait que sur la couverture et la quatrième de couverture, c'est mon seul regret.

C'est drôle, intelligent, piquant, réaliste, ironique.

J'ai passé un bon moment de lecture.

C't'un personnage ça tout d'même !... Chat pacha ou Chat pas chat... chat ira mieux demain même si chat vira de bord...



Bon voilà, moi le farfadet tout en sachant que les chats, chaque soir courent après les lutins qu'ils sont d'ailleurs, les seuls à voir, en faisant mes courses au super marché du coin, je me suis muni de ce « Herobook Le Chat », ce héros fascinant créé par Philippe Geluck... Dans cet album, hors album, tout nous est expliqué du Chat, de ses origines à nos jours et même bien au-delà car Le Chat semble éternel .



De ces félidés de gouttière ou de maison, on dit qu'ils ont 7 vies, Geluck a doté son Chat de l'éternité puisque ce personnage de ses albums favoris, qui nous semble statique, reste immuable au niveau du raisonnement, défiant toute logique, reléguant la grande Sagesse des philosophes de tous temps, au rang de connaissance triviale, grande dispensatrice de vérités sans cesse renouvelées et forcément renouvelables.



Le Chat fait de l'absurde un énoncé intelligent et des produits de l’intelligence des énoncés de l'absurde. Le Chat ne se dit pas génial, Le Chat se dit pensant bien plus que persan ou siamois, Le Chat dit de Geluck : Lui c'est Moi, car j'ai créé mon créateur... j'étais bien avant lui dans son inspiration... Chat à la source, Chat de tête, Chat de fête, Chat au faîte, Chat de faits...



Bien ! le décor est planté, Le Chat peut parader et ne s'en privera pas ...





Je me suis régalé avec cette lecture aussi drôle qu'instructive. On y apprend comment Philippe Geluck, homme à tout entreprendre avec bonheur et bonne humeur, artiste accompli aux arts de la scène mais aussi du graphisme et de la création de scénario, en est un jour arrivé à coucher sur sa planche à dessin Le Chat, merveille d'invraisemblance et d'impertinence, greffier incontournable pour revisiter tous les poncifs de la philosophie populaire et des brèves de comptoirs.



Le Chat à la Une, le Chat à la Hune, vous en mets plein les mirettes avec ou sans lunettes, vous remplit votre cuvette du haut de la dunette, restant honnête avec lui-même, avec son géniteur et ses nombreux lecteurs.



Le Chat est extra lucide, il voit ce que nous ne regardons jamais, sur des horizons différents avec des points de vue différents, il refait le monde plus zen, plus cool, mais aussi étrangement surprenant. L'absurde y prend une place qui fascine par son extrême simplicité à être conçue et intégrée.



Le sens de la vie... que voilà ici une assertion philosophique dont Le Chat révise et modifie les fondements... Lui, parle du « non-sens » de la Vie. Par exemple pour ce que nous estimons, au cours de notre existence, être notre propriété, le Chat dit que c'est une belle illusion* et après énumération de ce que nous croyons posséder et que nous perdrons définitivement quand notre vie s'achèvera : argent, corps, idées, Il nous sort cette brillante assertion : « Eh bien, il n'y a que les pensées non formulées qui ne seront jamais qu'à toi et rien qu'à toi ! Penses-y …" C'est à tomber sur le cul une telle sagacité mais, disons-le tout de suite, pas facile à vérifier... Le chat adore nous déconcerter de la sorte.



Le Chat c'est aussi de la poésie à mettre dans son quotidien... ah oui j'aimerai bien voir Le Chat dans notre journal du matin substituer au train-train et autres tracasseries des jours, ses truculents ronrons de l'esprit !


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Inutile de présenter à nouveau Le Chat mais les sculptures de ce célèbre félin fait partie de l'actualité des Champs Elysées, de la France et de la Belgique.

Geluck sculpteur voilà qui n'était pas l'objet de sa réputation première.

Reste que l'expo n'est pas plus à rater que ce catalogue complet et agrémenter de pleins d'autres choses à lire, à voir, à découvrir ou rédécouvrir.

Entrechats est peut-être la BD de Philippe Geluck que j'ai le moins apprécié de lire. Pourtant, on y retrouve l'humour potache de notre dessinateur belge avec des bulles toujours sympas à lire. Mais j'y ai trouvé une forme de gravité, des chutes qui tombaient un peu l'eau et des blagues avec un humour plus douteux, si rare chez cet esthète des jeux littéraires et au verbe affûté. Bref, Entrechats m'a moins embarquée : un comble, vu son titre !

Alors oui, je me suis posée la question de l'humeur chagrine de l'auteur, si rare dans ses autres albums et si présente dans Entrechats. Plus incisif à l'égard de ses contemporains, plus "caca prout", un humour qui manquait parfois de finesse (un comble chez Philippe Geluck, qui est pour moi un comique dont j'apprécie le trait d'humour souvent raffiné). Bref un Geluck en demi-teinte. Peut-être étais-je aussi dans une humeur à ne pas apprécier le type d'humour déployé ici ? Toutefois, j'ai eu le sentiment peut-être à tort que Philippe Geluck avait choisi les planches de cet album dans un moment plus sombre de sa vie : l'ensemble (les situations, le fond, les phrases, les chutes) manque du peps habituel de l'auteur. Je suis passée complètement à côté de ce best-of !



Restent quelques planches savoureuses comme je les aime, des qui piquent gentillement et avec finesse, des autocentrées rigolotes.



À vous de voir et de lire ... ou pas
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Géo fait place au Chat dans un brecueil entièrement consacré au plus célèbre des félins (bécîles) belges.

Le leitmotiv est l'exposition du sculpteur Geluck sur les Champs-Élyséen puis à Bordeaux avant de s'arrêter à Caen.

Le but de cette expo est de financer le musée du Chat à Bruxelles en cours de réalisation. Vous pourrez même en acquérir une pour votre jardin contre 300 à 400 000 euros.

Ce que Geluck empocher à au passage : 0€



Laissez-vous tenter par ce Géo spécial Le Chat

Un troisième volume tout à fait dans la ligne des précédents.

Il est toujours aussi évocateur de la ligne claire, de l'esprit de Tintin, avec de nombreux clins d'oeil au dessinateur et aux personnages auxquels les auteurs veulent rendre hommage.

Les personnages ont un caractère bien tracé et y sont fidèles. Un scénario pour découvrir un lieu, quelques péripéties, un peu de rebondissements et, bien entendu, un nouvel animal dont va s'enticher Scott. Il s'agit cette fois d'un cochon qui n'ira pas jusqu'à la dernière page, tout comme ses prédécesseurs, afin de laisser la place à un autre animal dans un prochain volume,

Aucune raison que cela change : ceux qui n'ont pas aimé les opus précédents, n'aimeront pas davantage celui-ci. Ceux qui ont aimé se plongeront avec plaisir dans les nouvelles aventures de ce savant ronchon et de ce journaliste balourd