Philippe Pozzo di Borgo

Témoignage poignant et bouleversant

Dans ce livre, Philippe Pozzo di Borgo nous parle de l’importance du respect des plus fragiles qui ont tant à nous apporter, de la joie de vivre malgré les douleurs incessantes et les nombreux problèmes de santé , du bonheur de profiter pleinement de l’instant présent, et d’être disponible et à l’écoute de ses proches, de la joie de se retrouver dans des moments de silence et surtout de l’importance de l’amour partagé.

Une grande leçon de vie.

L'épilogue des intouchables. Un livre touchant et plein d'humanité. Une écriture légère et ironique, même et surtout dans les moments difficiles. Mais les infortunes n'ont pas troublé les certitudes du grand bourgeois, il demeure fidèle à sa caste.

Cette édition parue peu après la sortie du film Intouchables regroupe deux récits. Les trois premiers quarts du livre forment Le second souffle, initialement paru en 2001, récit dramatique d'un homme dont la vie est brisée par un accident et le cancer de sa femme. C'est ce récit qui inspirera Intouchables. Pourtant, le ton est bien différent de celui du film : s'il reste globalement optimiste, ce récit bouleversant raconte la lutte d'un homme contre la souffrance et l'adversité. On y découvre et comprend d'ailleurs très bien les souffrances, physiques (escarres, évanouissements…) et mentales qui étaient à peine évoquées dans le film. Ne vous fiez donc pas à la couverture de cette édition, vous ne trouverez que peu de points commun avec le film (et pas même son aide Abdel) et ne rirez pas beaucoup, mais c'est par contre très instructif et une belle histoire.

Le dernier quart du livre est un récit écrit à la suite d'Intouchables, plus particulièrement consacré au héros du film. On y trouve plus d'humour et d'anecdotes, mais le portrait qui en est fait – plus proche du voyou que du complice - est bien éloigné du personnage d'Omar Sy dans le film. L'ensemble reste par ailleurs assez mélancolique et semble avoir été écrit un peu vite, sans grande ligne directrice.

Au final, un livre intéressant, qui a peu à voir avec le film qui l'illustre mais s'avère très intéressant, surtout pour sa première partie.

Ce livre a inspiré le film "Les intouchables".

Le livre écrit par Philippe Pozzo di Borgo raconte sa vie d'homme riche, cultivé, amoureux éperdu de sa femme Béatrice, gravement malade, insouciant, "vibrionnant", sémillant jusqu'à son accident de parapente qui le laisse tétraplégique.

Passé, présent sont mélangés. C'est très prenant et émouvant. L'auteur décrit ses hauts et ses bas, ses hospitalisations, son envie d'en finir, ses douleurs et ses crises, les attaques de la maladie de sa femme comme s'il écrivait son journal.

Puis il rencontre Abdel, jeune beur de banlieue, qui va lui servir de chauffeur, accompagnateur, soignant. Il l'appelle son "diable gardien" et dit de lui : "Il est insupportable, vaniteux, orgueilleux, brutal, inconstant, humain. Sans lui, je serais mort de décomposition. Abdel m'a soigné sans discontinuité, comme si j'étais un nourrisson. Attentif au moindre signe, présent pendant toutes mes absences, il m'a délivré quand j'étais prisonnier, protégé quand j'étais faible. Il m'a fait rire quand je craquais. Il est mon diable gardien".

A la lecture du livre j'ai partagé les souffrances physiques et morales de Philippe et Béatrice. Le personnage d'Abdel toujours là pour sauver son patron ne m'a pas emballée.

Pourquoi "le second souffle" ? Béatrice qui va se battre pendant 15 ans contre sa maladie lui a inoculé le virus de l'espérance. "Le handicap, la maladie sont fracture et dégradation. Dans ces instants où l'on perçoit l'échéance de la vie, l'espérance est un souffle vital qui s'amplifie ; sa juste respiration en est le second souffle". Tétraplégique, il est "Intouchable" car insensible du cou jusqu'aux orteils il souffre pourtant de douleurs immenses dès qu'on le touche.
Lien : http://www.unebonnenouvellep..

Dans le second souffle, suivi du Diable gardien, Philippe Pozzo di Borgo aborde quelques fois le sujet du temps. Une citation, pour moi, a eu beaucoup d'impact. «De ce jour date mon présent.» En effet, dans cette lecture, il est possible de prendre connaissance de son passé et de son présent. Il y a cependant un moment marquant qui a imposé une séparation entre le Philippe d'avant et le Philippe de maintenant.



Page après page, l'homme parle de son état avec franchise et ne dissimule pas les côtés loin d'être agréable de sa tétraplégie. Puisque son état est horrible, il ne s'empêche pas de parler de ses douleurs et de ses peines; elles font maintenant parties de lui, de ce qu'il est.



Pendant ma lecture, plusieurs extraits m'ont emmenés à réfléchir plus en profondeur. En seulement quelques mots, l'auteur arrive à en dire énormément, et c'est ce qui ajoute beaucoup de beauté et de sagesse à ses paroles.



J'ai adoré!

Impossible en 2011 de passer à côté du phénomène Intouchables. Cette comédie française relate la rencontre entre le riche et tétraplégique François et le voyou noir/arabe Driss/Abdel. Impossible également d’être passé à côté de la performance d’Omar Sy et en particulier de son rire si communicatif. Bref, c’était LE film de l’année.

Personnellement, j’ai bien ri, j’ai trouvé ça très drôle, mais pas non plus exceptionnel.

Et comme tout accro aux livres qui se respecte, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller voir d’où sortait cette histoire. Il s’agit en fait de l’adaptation cinématographique du roman le Second Souffle suivi du Diable Gardien de Philippe Pozzo di Borgo, livre qui est lui-même une autobiographie.



Le livre n’a pas grand chose à voir avec film. On est à mille lieux de l’ambiance déjantée qui règne dans Intouchables. Exit le rire et la magie de l’instant présent, l’auteur nous plonge d’un ton sérieux et moralisateur dans son histoire plus morbide et déprimante qu’autre chose… La maladie de sa femme, leur combat (perdu) pour avoir des enfants « naturellement », l’échec, la chute, la mort,… Et Abdel/Driss dans tout ça ? Ce personnage qui est pourtant central dans le film n’est dans le livre que rapides citations noyées dans un flot de détresse. Il n’y a que dans le diable Gardien (écrit à l’occasion de la sortie du film) qu’on en apprend plus sur cette personne pour le moins atypique.



De fait, j’en viens à me demander : comment de ce livre, on peut en arriver à tirer une comédie?

En inventant les trois quarts de l’histoire peut-être…

Parce que franchement, il faut chercher loin pour trouver une corrélation entre les deux. Ce n’est même pas un tiers du roman qui est exploité dans le film !



Trop de malheurs, trop peu d’Abdel, ce livre est définitivement aux antipodes d’Intouchables. Et là où le film m’a touchée, le livre m’a ennuyée. A oublier !

Un bouquin conseillé par mon professeur de culture général/oral pour mon concours. J'ai beaucoup entendu parler du film Intouchables que je ne suis jamais aller voir au cinéma d'ailleurs (Hou, Hou!) il faudrait que je le regarde. J'ai bien apprécié cette lecture, où se mêlent drame, amour, passion, espoir.



Je vais d'abord parler du Second souffle. Dans ce récit autobiographique, Philippe Pozzo di Borgo commence par nous parler de lui, de son enfance, de ses origines. Issus d'une famille aisée voire bourgeoise Corse, nous découvrons les paysages de son enfance ainsi que sa rencontre avec la femme de sa vie Béatrice. Celle-ci a été un pilier dans sa vie, avant pendant et après l'accident, elle n'a jamais baissé les bras même quand sa maladie l'a rongé elle-même. Autre problème dans leur couple, c'est l'arrivée d'un enfant. De fausses couches en fausses couches, de pleurs en désespoirs, nous suivons le combat de ces deux êtres qui s'aiment et qui veulent avoir une famille. Qu'ils auront en adoptant deux enfants. Il aura après Béatrice, deux autres femmes et deux autres enfants.



La lecture de ce bouquin est très intime. Nous entrons vraiment dans la vie de l'auteur, sans tabou, sans gêne. Il nous livre ses impressions, ses désespoirs, ses peurs et ses joies. Sa "véritable histoire" commence en 1993, après son accident. Trois ans plus tard sa femme Béatrice décède d'un cancer... Le jour de la Saint Philippe. Loin d'être anéantis, le combat qu'il livre sur la vie a aujourd'hui un nom ... Béatrice.



Passons à l'écriture. J'ai trouvé un Philippe Pozzo di Borgo poétique, les lignes se lisent magnifiquement bien, les sentiments sont clairement dis. Nous nous laissons transporter d'hôpital en hôpital, de lieux en lieux avec l'auteur. J'ai été très agréablement surprise par la plume.



Passons au Diable Gardien. Ici, il y a majoritairement de l'Abdel. Ce "Diable gardien" comme le dis lui-même l'auteur, l'a aidé dans les moments les plus durs de sa vie. Dans ce bouquin sont écrites les frasques diverses et variées d'Abdel, avec les femmes avec la police, avec Philippe. Toujours teinté d'humour, ce passage là est plus joyeux, plus délivré que le Second souffle. Nous voyons la complicité réelle entre les deux hommes, ils se font mutuellement confiance.



Et c'est finalement au Maroc avec sa femme actuelle Khadidja, que le récit se termine avec une note positive. Après toutes les souffrances de ce corps meurtri, après toutes les angoisses, l'auteur paraît renaître. C'est donc sur cette note positive d'amour que nous terminons ces pages.



Pour résumé : Une écriture toute en finesse, en amour. Je dis oui pour ce bouquin ! J'ai lu de nombreux avis néanmoins déçus de par la comparaison livre/film... Comme je le dis toujours, il faut lire avant de regarder ! On est souvent bien moins déçus que quand nous faisons l'inverse. Ce bouquin est aussi selon moi, une ode à la vie, que ce soit pour les personnes tétraplégiques comme l'auteur ou même pour des personnes non handicapés, que la vie a meurtrie.

L'auteur met aussi bien en avant son aide de vie, Abdel. Il souligne leur différence de milieu, mais l'handicap qui les a rapproché. Chacun prend un peu de l'autre pour que l'entente soit parfaite. Chapeau.

Autant j'ai trouvé le film formidable, autant j'ai été déçue par le livre...

J'avais beaucoup aimé le film Intouchables,que j'ai vu deux fois. C'est donc tout naturellement que j'ai choisi ce livre.

Franchement, heureusement que je savais que dans le film François Cluzet tient le rôle de Philippe Pozzo di Borgo, car, mis à part le fait que Philippe soit tétraplégique et embauche un jeune de banlieue, tout droit sorti de l'ANPE, pour l'aider je n'ai pas vu de similitudes avec les scènes du film. Dans la préface, l'auteur dit que c'est suite à un reportage télévisé que le réalisateur d'Intouchables a eu l'idée de faire ce film. Il n'a donc pas été inspiré suite à la publication du livre.

Bien que l'on puisse être peinée par tous les événements qui ont eu lieu dans la vie de l'auteur, le récit n'a pas su me toucher comme je l'avais été lors du visionnage d'Intouchables. Abdel est très peu évoqué dans Le second souffle, il y est plutôt aabordé la vie de Philippe depuis son enfance. Par moment, j'ai trouvé l'écriture de l'auteur assez pénible et peu agréable à lire.

Le second récit (Un diable gardien) a été écrit à la demande de l'éditeur du livre, suite à la sortie du film Intouchables. Abdel y occupe une par plus importante, ce que j'ai apprécié. Hélas, ce récit comporte toujours des passages que j'ai trouvé désagréable à lire.

Après ce film qui m'a transportée, j'avais hâte de lire la véritable histoire qui l'a inspiré. Et bien restons sur le film !

Di Pozzo nous raconte son existence d'aristocrate aisé et n'épargne pas les détails d'une vie de souffrance. Rien à voir avec le film. Ici on découvre quelqu'un qui a eu une vie très dure ou rien ne lui a été épargné : de la difficulté a avoir des enfants, au cancer de son épouse qu'il a vu lutter, souffrir et s'éteindre, la solitude, l'accident et ses conséquences atroces qui le laisse grand handicapé aux prises avec des souffrances fantômes mais qui sont hélas bien présentes et le laissent à chaque fois hébété, épuisé, aux rives de la mort.

Peu de choses en fait sur sa relation à Ahmed qui fait au contraire tout l'intérêt et la magie du film.

Pour ceux qui n'ont pas encore lu le bouquin, restez sur le ciné sans remord.

C’est l’histoire réelle qui se cache derrière le film « Intouchables ». L’histoire de Philippe Pozzo di Borgo, l’aristo devenu tétraplégique à la suite d’une chute en parapente.

On retrouve des éléments du film, éparpillés dans le récit mais la grande différence, qui rend ce livre encore plus touchant, c’est selon moi l’histoire d’amour entre Philippe et Béatrice, sa femme adorée qui est morte 3 ans après son accident.

Mon avis: J’ai trouvé cette histoire très touchante et elle est racontée avec brio par Philippe Pozzo. Une écriture teintée d’humour, avec une belle dose de poésie, jamais de mièvrerie ou d’apitoiement pour une belle leçon de courage et d’ode à la vie!

Je me suis tellement plongée dans cette histoire, que je l'ai lue d'une traite (environ 4h). J'ai été vraiment touchée par l'histoire de Philippe qui, est pourtant "bien né" (de la famille des ducs Pozzo di Borgo et des marquis de Vogüé) mais à qui la vie n'a jamais fait de cadeau. En effet, le 23 juin 1993 sa vie bascule lors de son accident, et, le 3 mai 1996 sa femme Béatrice décède d'un cancer le jour de la Saint Philippe.

La suite sur mon blog
Lien : http://histoires-de-livres.o..

Vous avez vu le film Intouchables et vous espérez vous offrir une bonne tranche de rigolade en lisant le livre qui l’a inspiré ? Ne faites surtout pas ça ! Vous allez vous retrouver avec le moral dans les chaussettes. Je ne sais pas comment un livre aussi sinistre a pu donner l’idée à quelqu’un de faire un film drôle. On me l’a mis dans les mains au moment où le film faisait la une de l’actualité cinématographique et j’ai été bien étonnée de la noirceur du propos. En outre, même si je n’ai rien contre les histoires véridiques au thème peu réjouissant - en l’occurrence le calvaire d’un parapentiste qui par suite d’un accident se retrouve tétraplégique avec des douleurs à hurler -, j’ai été déçue de ma lecture et les deux principaux protagonistes m’ont été aussi antipathiques l’un que l’autre. La découverte du film sur le petit écran quelques mois plus tard fut une bouffée d’air frais. Vous voilà prévenus…

Un coup de coeur!!

Très touchant, on sent la difficulté et une réelle envie de s'en sortir par moment.
Lien : http://bullesdidee.blogspot...

Ce livre m'a émue au possible.. que de souffrances pour ce pauvre homme.. La difficulté de sa femme à tomber enceinte et garder l'enfant, les fausses couches successives, la découverte du cancer de sa femme, son accident.. les mots me manquent pour définir exactement mon ressenti tant je suis chamboulée...

La 1ere partie du livre nous dévoile l'enfance de Pozzo. Tous ses souvenirs sensoriels au il perdra quelques années plus tard. Il nous raconte sa jeunesse dorée, ses nobles ascendants, leur Histoire, son histoire, ses premiers émois, ses premiers internats, ses cousins, ses frères, ses parents, en un mot sa première vie.



La seconde partie du livre relate de la rencontre d'avec Béatrice, qui deviendra son épouse bien aimée, son aimante, la prunelle de ses yeux. Puis la maladie, leurs difficultés à fonder une famille, leurs tragédies, mais toujours unis par une force inconditionnelle : l'amour qu'ils se portent.



Le troisième chapitre revient sur l'accident et son abominable suite, les hôpitaux, l'État physique de Pozzo, son combat, son mal être, le soutien indéfectible de son épouse. Sans oublier sa rencontre avec Adbel.



Le reste des chapitres, je vous les laisse les découvrir, comme moi avec une attention toute particulière.

Ce témoignage m'a complètement bouleversée, il est si humain, si douloureux, si beau! Philippe Pozzo ne nous ménage pas, décrit ses douleurs tant physiques que son mal être psychique, ses souffrances insupportables, de son handicape mais aussi de la perte de sa bien aimée.



Ne vous attendez pas en lisant ce livre revivre par écrit le magnifique film interprète par Omar Sy et François Cluzet, non, l'auteur, et donc le principal intéressé a je pense voulu écrire la "vraie" histoire, pas celle romancée pour les besoins d'un film, si magnifique soit-il. Ce livre est sombre, dur, injuste mais en même temps il nous délivre une tel espoir de la vie!


Lien : http://emysbooks.blogspot.fr/

Un livre que j'ai eu envie de lire suite au film et je n'ai pas été déçue. Il se lit très vite et l'écriture est agréable, fluide. Pas de voyeurisme, pas d'apitoiement sur lui même, l'auteur nous fait découvrir l'envers du décor si je peux dire. On y découvre le quotidien de cet homme au destin tragique mais on en ressort avec une leçon de courage, d'optimiste exceptionnelle. Cette amitié improbable a sauvé les deux compagnons, j'ai beaucoup aimé ce livre et on ne peut que "tirer son chapeau" à cet homme que rien ne semble détruire. Un grand respect et une immense leçon de vie.

Ce livre, je suis tombée par hasard dessus sur un site de seconde main. Ayant vu et apprécié le film Intouchables, je me suis dit que le livre pourrait être très intéressant.

Au final, j'ai mis un mois avant de me résigner à ne pas finir ce livre. Je m'attendais à un livre sur une relation fabuleuse entre Philippe Pozzo et Abdel, une fabuleuse histoire de résilience. Quelle déception !

L'auteur a la plume lourde ! Usant d'un langage soutenu qui n'est pas à la portée de tout le monde. De plus, il aura fallu près de 90 pages avant qu''on évoque l'accident dont a été victime l'auteur. La présence d'Abdel y est à peine évoquée ! Même apres la description de l'accident... par contre, on a droit en long et en large à la famille issue d'une classe aisée de l'auteur.

Au final, l'écriture ainsi que la déception m'a fait abandonné ma lecture.

J'ai pris la peine de livre seconde partie du livre "le diable gardien" pensant qu'elle répondrait plus à mes attentes... là encore, ce fût une déception... On évoque un peu plus Abdel, l'écriture est à peine plus légère...

En bref, je ne vous le conseille pas, à moins que vous ne souhaitiez vous dégoûter de la lecture.

À ne pas comparer avec le film, ici il n'y a rien de marrant. Bien au contraire, on se rend compte des souffrances auxquelles P. Pozzo doit faire face, dont le décès de sa femme qui ne l'aura pas aidé...



J'ai eu beaucoup de mal avec le style d'écriture, notamment dans la seconde partie qui, par moment, n'est pas claire du tout : j'ai dû m'arrêter sur certains passages, les relire, pour en comprendre le sens ou pour être sûre d'avoir compris. Je ne regrette pas l'avoir lu, car tout témoignage est instructif.



[Lu en août 2019]