Pierre Bailly

Petit Poilu de Pierre Bailly et Céline Fraipont est une bande dessinée sans texte a destination des enfants à partir de 3 ans. L'histoire est très simple, facilement compréhensible. En plus, visuellement, l'univers est très accessible sans beaucoup de détail et de nuance dans les couleurs. Ainsi le primo-lecteur n'a pas trop d'information à enregistrer et peut se concentrer  aisément que sur l'histoire. Une très jolie construction avec du rythme, des rebondissements et de l'humour. Une première lecture qui ne peut que piquer la curiosité des plus jeunes. Car cette bande dessinée les considère capable de comprendre avec un véritable récit et les incite à lire tout seul comme des grands. 
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Les pas du Petit Poilu le conduisent à un ascenseur qui l'entraîne dans un hôpital où opère un étrange docteur bicéphale. Il diagnostique un méchant virus au Petit Poilu et le confie à deux infirmières. Il nous amitié avec un autre jeune patient mais quand le blues s'installe, une photo de sa maman est toujours le remède adéquat.



Une histoire du Petit Poilu assez usuelle, finalement.



Nous avons trouvé ce docteur assez inquiétant. Idem pour les infirmières. Il est sans doute possible qu'une telle aventure puisse dédramatiser une hospitalisation. Mais ce docteur Toc-Toc peut aussi perturber les enfants.

Petit Poilu et une petite fille rencontrée au sortir d'un étrange bain à bulle sont confrontés à Miss Divine. Celle-ci poursuit une étrange expérience... sorte de mélange entre les études d'obéissance de Milgram et les pensées secrètes de Christine Boutin... le rose pour les filles et le bleu pour les garçons... bien sûr... le ballon pour les garçons, la poupée bébé pour les filles... Mais non! Petit Poilu et son amie ne se conforment pas au schéma imaginé par Miss Divine et les chantres des codes de genre... Ils mélangent les jeux et réinventent les codes... ou plutôt ils les envoient balader les codes...



Oui, les enfants ont le droit de poser des choix. C'est ce que nous disent les auteurs, qui ont (encore une fois) bien raison.



Une histoire du Petit Poilu que nous avons bien aimée, mais qui fera sans doute grincer bien des dents... Mais on s'en fout !

Comme d'habitude, un scénario extrêmement clair et didactique, allié à des dessins minimalistes, sans chichis, mais très beaux, font de ce nouvel album de petit Poilu un compagnon d'apprentissage très utile ! Parfait pour les plus petits !




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Après la traditionnelle première planche où Petit Poilu se lève, déjeune, se brosse les dents et dit au revoir à sa maman, c'est une tornade qui emporte le sympathique héros vers... un endroit énigmatique qui se révèle être un chapeau haut de forme. Le genre de chapeau qui habituellement laisse s'échapper un lapin blanc, pas un Petit Poilu.



Une amitié va naître rapidement entre Pignouf le clown et Petit Poilu. Ce qui ne sera pas du goût de Félicien, le Monsieur Loyal. Pignouf va alors essayer de former Petit Poilu aux arts circassiens. Mais pas de chance, c'est bien compliqué, alors il persévère et ne lâche rien. Le rire du public et le respect de Félicien seront sa rétribution.



Petit Poilu s'envole dans une bulle de savon avant de retrouver les siens et de prendre un bon bain moussant.



Encore une histoire qui nous a ravis, transportés, émerveillés.

Amis jeunes lecteurs, disons amis parents lecteurs, car je crains que vos petits bouts ne maitrisent pas encore l’art de la lecture



Si je vous dis un gros nez rouge , un mignon personnage attachant avec un petit air farfelu et des grands poils noirs ...Evidemment, vous pensez à petit poilu , un héros qui plait au tout petit , qui évolue dans un univers fantastique, magique plein de couleurs gaies, voyantes, pétillantes, acidulées et à qui il arrive des aventures amusantes, drôles.

Une bd sans parole qui laisse vagabonder l’imagination et qui permet aux enfants de s’exprimer avec leurs mots ....

Des histoires que les petits croquent à pleines dents.

 Dans cet opus Mic-Mac chez monsieur Range-tout, petit poilu se lie d’amitié avec monsieur Range-Tout , monsieur fort agréable et sympatique , mais totalement maniaque. Il lui communique sa passion pour le rangement , pour que tout soit trié et en ordre ....Quand surgit le singe Mic MAC tonitruant arrive avec une machine totalement délirante capable de fusionner deux objets , je laisse aux petits découvrir ça .... Et la suite de l’aventure ... Mais il me restera en mémoire l’objet que mon fils de sept ans à surnommer un biyon ( mi biberon mi crayon ) ....



Un moment de plaisir pour nos petits chéris, un apprentissage de la lecture pour certains , un livre ludique avec à chaque fois une petite morale que je vous conseille et merci aux éditions Dupuis pour ce clin d’œil sur l’enfance et cet envoi à l’approche de Noel ..

Aaaaah, le Petit Poilu... non ce n'est pas la dernière chanson de Pierre Perret... mais cette BD incontournable car tendre, comique, originale et addictive.



Ici, Petit Poilu est emporté par une vague gigantesque sortie d'un buccin et qui le transporte de la neige hivernale vers un paradis terrestre... Mais dans ce paradis, une pirate rousse flamboyante le nomme second et ils partent à la recherche d'un trésor. Récupérer le coffre va demander de l'ingéniosité, mais cela ne suffira pas.



De retour à la maison, bien réchauffé, Petit Poilu découvre qu'il y a du poisson au menu. Pierre Bailly et Céline Fraipont manipulent avec une belle efficacité l'art du détail qui enlumine les histoires...

Bande dessinée jeunesse sans texte mais, très pédagogique !

Cette histoire sympathique aborde les thèmes de la persévérance et de la témérité.

Dédramatiser par l'humour, ridiculiser les personnages qui suscitent la peur en découvrant d'autres facettes de leur personnalité.

La colère et la rage sont des sentiments humains qui ne sont pas toujours faciles à maîtriser.

Toujours aussi poilant ce petit poilu !!

Comment rester ouvert face aux inconnus sans leur faire trop vite confiance ?Comment oser réagir face à un adulte trop autoritaire ? Le thème de cette histoire est un bon support pour en parler avec votre enfant.

Le prince des oiseaux est une histoire lyrique et poétique qui raconte habillement la dépression, l'emprise négative, les idées noires, mais aussi la liberté, la créativité et le bonheur de vivre.

Tous les ingrédients du Petit Poilu sont là. Le réveil, le bisou à maman, le petit couac qui entraîne Petit Poilu hors de son chemin (ici, une moissonneuse batteuse qui coince Petit Poilu dans une botte de paille), des péripéties et le retour à la maison.



On apprécie toujours autant les clins d'oeil, comme le fait qu'au repas du soir il mange du maïs, après avoir baguenaudé à la ferme pendant la journée. Kramik, le gros matou retors de la ferme, est assez peu sympathique et Petit Poilu prend un petit poussin en amitié. C'est tendre, mais on a trop le sentiment de répétition par rapport à l'épisode chez les Bonapéti, par exemple.



Un tome qui nous a laissé sur notre faim, un peu décousu et sans trop de relief.

C'est l'hiver, voilà Petit Poilu parti dans la neige après le traditionnel bisou à maman (et le nettoyage des oreilles). Mais une cigogne arrive, qui emporte Petit Poilu et le droppe dans une cheminée.



Il se retrouve dans les cadeaux destinés à une petite fille que l'on ne peut vraiment qualifier de charmante. Gâtée, pourrie, capricieuse... oui, da ! Alors elle emmaillote Petit Poilu après l'avoir talqué, puis lui donne sa panade qu'il recrache. Le voilà jeté dans le placard, où se trouvent les jouets condamnés au rebut.



Mais qu'à cela ne tienne, les jouets s'animent et finissent en sarabande qui part jouer dans la neige... La petite Jacinthe suivra-t-elle? Et sa "tutûte", la gardera-t-elle?



Encore une très belle réussite pour ce sixième tome des aventures de Petit Poilu. Le dessin est juste comme il faut et de menus détails apparaissent de-ci de-là pour agrémenter le tout. Mes loulous ont pris un immense plaisir (et ils aiment quand il y a un nouveau Petit Poilu au menu du coucher).

Dans ce tome 5, on retrouve tous les repères habituels du Petit Poilu. Il se lève, prend son petit-déjeuner, embrasse maman et part. Et là survient le petit couac qui projette Petit Poilu hors de sa réalité.



Il fait tellement chaud, qu'il rencontre la jungle et des lianes préhensiles. Puis il joue avec une petite fille, saute sur un tigre, évite des piranhas... non, ne cherchez pas, il n'y a que chez Petit Poilu que des piranhas vivent au même endroit que les tigres.



Et il aboutit dans une tribu de cannibales. Voilà rapidement Petit Poilu paré pour le court-bouillon.



Qu'à cela ne tienne, un coup d'oeil à une photo de maman et cela repart. Plutôt que de servir de repas, voilà Patit Poilu qui prépare le repas... Quelle aubain pour les cannibales. On ne mange pas le cuistot, c'est bien connu.



Quelques péripéties plus loin, voilà Petit Poilu qui réintègre ses pénates.Tout est bien qui finit bien.

Comme tous les matins, Petit Poilu se lève, prend un solide petit-déjeuner, embrasse maman et part à l'école. En chemin, il rencontre un papillon et en essayant de le photographier, il tombe dans un trou.



Il creuse, et débouche dans un potager où les habitants (puceron, coccinelle, etc.) sont victimes des assauts d'une guêpe. Faites la mouche pas la guêpe, selon le dicton.



Petit Poilu se fait piquer le nez, mais tout finit par s'arranger, il devient l'ami de la guêpe et rentre chez lui avec un dessin de tous ses nouveaux amis.



On est (à notre avis, mes deux loulous et moi) très en-dessous des deux tomes précédents. Pas de frisson, très peu de magie, les rouages récurrents tombent un peu à plat et c'est moins envolé. Mais Petit Poilu reste très attachant quand même.

Comme à chaque fois, mais à chaque fois c'est un peu différent tout en étant la même chose, Petit Poilu se lève, prend son petit déjeuner, s'apprête, dit au revoir à sa maman et part vivre une folle aventure... comme tous les bambins.



Ici, un brouillard épais entoure Petit Poilu et il se retrouve dans une maison hantée... une souris fantôme munie d'un aspirateur le poursuit. Il rencontre un vampire qui est tellement étrange et mal "attifé" que Petit Poilu se marre. Il commence ensuite à raccommoder les habits du vampire, il le coiffe, lui brosse les dents...et là, Petit Poilu a peur. le vampire va d'ailleurs le poursuivre, avec une chouette, une chauve-souris... Petit Poilu se cache et comme d'habitude il trouve le réconfort dans une photo de lui avec sa maman.



Attendris, les monstres le bordent et le veillent, puis jouent avec lui et lui sauvent la vie. le vampire lui fera don de ses dents, que Petit Poilu mettra au moment d'aller au lit.



Très belle histoire d'amitié, qui a fait rire et sourire mes loulous qui se sont bien reconnus dans les peurs et joies de Petit Poilu. Tendresse et bonheur au rendez-vous.

Petit poilu est tiré brutalement du lit par son réveil-matin. Il se brosse les dents puis prend son petit-déjeuner... hum, je préfère faire l'inverse. Il embrasse maman et s'en va...



Ce début est identique (peu ou prou) dans tous les épisodes du Petit Poilu. Mes enfants se sont reconnus.



Ensuite, il pleut et bientôt voilà Petit Poilu qui nage sous l'eau et se fait avaler par une sirène gigantesque aux poumons "de la même couleur". A l'intérieur de la sirène Petit Poilu va faire des rencontres. Il se liera d'amitié avec un marin avec qui il va pêcher.



La sirène avale tant et si bien qu'elle finit par vomir. J'espère que mes loulous ont compris le message... Le marin choisit de rester et réintègre l'estomac de la sirène. Comme à chaque fois, il donne un présent à Petit Poilu qui rentre chez lui. L'eau régresse, le soleil donne... comme dit Voulzy.



Et chez lui, Petit Poilu mange des saucisses. On fera l'impasse sur le poisson pendant un moment.



Une histoire du Petit Poilu, simple, directe, avec quelques petits détails par-ci par-là qui permettent aux jeunes lecteurs d'exercer leur talent d'observation. Cela dit, le côté "je gloutonne puis je vomis" a modérément plu à mes loulous et la sirène est très effrayante avec ses yeux noirs et ses dents pointues.