Citations de Reinhard Kleist (43)
Tu rentres ? Moi, je rentre pas ! Je veux passer en Europe pour y travailler. Chez moi, c'est mort ! J'étais pêcheur dans le Somaliland. Mais il y a presque plus de poissons. Nos filets remontent à vide depuis que les gros bateaux européens raflent tout. Alors je vais là où vont les poissons. Si tous les poissons atterrissent là-bas, c'est qu'y doit y avoir du boulot, non ?
Je sens uniquement la pression de sa main humide de sueur sur la mienne. Tout ce qui est autour de moi perd de son importance. Chaque bruit s'étouffe.
Ces murs qui entourent chaque instant de ma vie semblent disparaître l'espace de quelques secondes, comme un mirage.
Dans ce moment ténu, il n'y a plus de place que pour lui et moi, et je n'arrive pas à lever les yeux ! Il m'est impossible de croiser son regard en cet instant. Il y a quelque chose émanant de lui auquel je ne peux rien opposer.
Je hurlai sans retenue, de fierté.
Oui. De fierté. Et, savez-vous, je suppose que c'est le seul sentiment de ceux ...
... qui ne vivent que pour atteindre la grandeur, qui, contre tous les obstacles, aspirent à la grandeur, quitte à la suivre jusqu'au tombeau.
- Rick [Rubin], t’es un sadique.
- Je suis un producteur.
- C’est ce que je dis. (p. 191)
- J’te dis pas, c’est sûr, ouais ! C’est quand même lui le King.
- Le King, c’est Elvis.
- Laisse tomber Elvis, c’est pas cet enfoiré qui viendrait jouer ici [Folsom]. C’est Cash, notre pote. Il sait ce que c’est de vivre l’enfer. (p. 15)
C'est bien que tu sois venu aujourd'hui. Un jour je te raconterai tout.
Mais s'entrainer décemment est devenu impossible car les fondamentalistes
musulmanes interdisent aux femmes de pratiquer une quelconque activité sportive.
Le coming-out tardif d’Emile Griffith, à l’âge de soixante-dix ans, soit cinq ans avant sa mort en 2013, est typique pour un sportif de sa génération. Il mérite un respect immense pour avoir supporté, sans se laisser briser, le double fardeau du racisme et de l’homophobie.
Condamnez-moi, peu m'importe, l'histoire m'absoudra.
D'une certaine façon, ça me soulageait de savoir qu'il y avait des gangsters juifs. (129)
À la fin, nous n'entendons plus que les soupirs des mourants sous nos pieds.
Il n'y avait plus de Dieu.
(47)
Y a rien de plus dangereux qu'un boxeur heureux de boxer.
Quand j'écris, je suis comme Dieu, le seigneur de mon propre monde. Quand j'arrête, tout n'est plus que sale réalité. Fini le rêve!
Retiens toi d'exploser lorsqu'il t'épinglera une décoration.
En vous racontant mon histoire, j'aurai en tête ce que me disait autrefois mon rédacteur...
Un reporter doit toujours rester neutre, ne pas juger et ne jamais prendre parti
À propos de Ring of fire (Cercle de feu), Johnny Cash :
- Assez psychédélique. Tu t’es envoyé des trucs ? Ha ! Ha ! Ha !
- Je suis sérieuse. Cette chanson représente beaucoup pour moi et je voudrais ton avis sincère. (June Carter)
- C’est une super love song. Celui à qui tu as pensé en l’écrivant peut s’estimer heureux.
- Je vois trop d’obscurité dans ce monde.
- Oh, alors, c’est pour ça que Monsieur s’habille toujours en noir ?
- Tu vois beaucoup de raisons de porter les couleurs de l’arc-en-ciel, toi ?
la peur est l'ennemi mortel de chaque révolution.
Je sais bien ce que j'ai dit mais faut que j'essaye...
Je ne suis pas toute seule, je suis avec tante Mariam, je peux pas rentrer à la maison, maman... comprends-moi s'il te plait...
Passe moi les petits, s'il te plait et ne pleure pas...
Je gagnerai assez d'argent pour vous faire venir en Europe et on pourra tous se retrouver.
Et on habitera tous chez Hodan en Finlande. Tut, tut, tut...
Fidel Castro : J'ai essayé de changer le monde... mais c'était une illusion. Mais s'il fallait tout recommencer, je reprendrais le même chemin. Mon destin n'est pas d'être né pour me reposer à la fin de ma vie.