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Critiques de Roald Dahl (2389)
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James et la grosse pêche

Adaptation théâtrale du roman jeunesse du même nom, lecture commune avec ma fille de 11 ans.

Je n'avais plus trop en tête le roman, ça a donc été une redécouverte très agréable. Court, drôle, facile à lire et sans prétention : une bonne manière de finir une soirée.
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La Grande Entourloupe

Sur ces 4 nouvelles écrites avec beaucoup de talent, 3 sont coquines à souhait et vous feront passer chaque fois un très bon moment ; la quatrième est AMHA ratée.

15/20 c'est une TB note : j'aurais tant aimé l'avoir au cours de mes études et de ma vie adulte...
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Sacrées sorcières (BD)

Au départ, deux auteurs à succès : Pénélope Bagieu et Roald Dahl.

Je connais et j'apprécie la première par Culottées et California Dreamin, et je ne me souviens pas avoir lu un quelconque roman du second.



Mais là, je n'ai pas compris, j'ai trouvé cette histoire en BD horrible ! C'est sanglant, castrateur, morbide... Et ce qui m'étonne, c'est qu'on puisse s'extasier sur le sort du garçon.



Je n'aurais pas offert cela à un jeune de 8 ans. Même si on me dit que les enfants adorent.
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Matilda

Cinq ans , et Matilda est déjà une dévoreuse de livres .Après avoir engloutie tous les livres d'enfant de la bibliothèque , elle a lu l'intégrale de Charles Dickens et de Jane Austen , et elle se régale des textes de John Steinbeck et d'Ernest Hemingway .Mais ses parents sont loin d'éprouver de la fierté pour leur petit prodige . Le père est un concessionnaire automobile , la mère est incapable de passer une journée sans jouer au Loto ou sans regarder ses feuilletons à la télé .Matilda est l'objet de leurs continuelles moqueries . Haute comme trois pommes , elle n'en a pas moins du caractère et le sens de la justice .Elle décide de se venger avec des facéties d'enfants , en s'en prenant essentiellement aux cheveux de son père , avec de la glu , de la lotion décolorante .C'est à l'école qu'elle fait son génie . La douce institutrice , Mme Candy , a fort à faire pour la soustraire à l'acharnement de Mme Legourdin , la directrice de l'école .Mais les enfants le savent , les miracles existent .
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Kiss, kiss

Résumé

 

Kiss kiss est un recueil de onze nouvelles où cohabitent une logeuse qui empaille ses animaux de compagnie morts, un couple condamné par la science à rester uni pour le pire, un mari sournois qui empêche sa femme de prendre son avion pour Paris, une femme infidèle qui tente de cacher à son mari le manteau de vison que son amant lui a offert, un nourrisson alimenté exclusivement et excessivement à la gelée royale, un chat sauvage virtuose et adorateur des sonates de Liszt, deux champions du monde du braconnage aux somnifères, un curé antiquaire... 

 

Avis



Je n’ai jamais lu d’histoires de Roald Dahl destinées au jeune public. Je l’ai découvert d’abord sur écran avec la série télévisée « Alfred Hitchcock présente », dont certains épisodes sont des adaptations de ses nouvelles et avec le film Charlie et la Chocolaterie de Tim Burton.



On y aborde des thèmes variés tels que l’escroquerie, l’adultère, l’ambition, la folie du désespoir, la méchanceté. Mais ce qui revient le plus souvent dans ce recueil, ce sont les histoires de revanche au sein de couples bourgeois figés dans une atmosphère étouffante.

Tout au long de ses 11 histoires, Dahl nous mélange délicieusement l’ humour noir, le cynisme avec une touche d’absurde, très « british ». Les chutes sont inattendues mais pas toujours réussies, délivrant tout de même une morale fidèle à l’arroseur arrosé. Tel un virtuose, l’auteur nous parle avec précision et facilité de: chirurgie, meubles d'époque, apiculture, musique, réincarnation et braconnage.

Les ambiances varient entre « La logeuse » inquiétante, digne d’une nouvelle d’Edgar Poe et « Madame Bixby et le Manteau du colonel » au ton juste, aux dialogues vraisemblables et au rythme théâtral. De même, l’auteur nous fait habilement voyager de New York à Paris en passant par la campagne anglaise, permettant aux changements de décor bien pensés d’éviter la lassitude. J’avoue ne pas avoir aimé toutes les histoires mais certaines m’ont suffisamment marquées pour faire de Kiss Kiss un ouvrage de référence au même titre que Bizarre Bizarre (Someone Like You, 1953). Ce déséquilibre entre les histoires ne m’a pas dérangé dans le sens où le format de recueil de nouvelles permet de faire son marché, de laisser et de garder ce qu’on veut.



Je finirai avec un mot sur ma nouvelle préférée « Un beau dimanche » dont la chute m’a totalement bluffé. La tension que crée Roald Dahl dans la négociation entre l’antiquaire-faux curé et les propriétaires du meuble convoité est si parfaitement menée qu’à la fin, j’ai explosé de rire en me disant: rolala, il m’a bien eu là! La force et le génie de Roald Dahl consistent à ne jamais dire la fin, laissant le soin à la logique et à l'imagination du lecteur de compléter les histoires. Ainsi, les nouvelles prennent une dimension personnelle pour celui ou celle qui les lit. On se les approprie et on les racontent à un dîner, comme une anecdote sur un voisin ou un fait divers entendu à la télé. Il est vraiment le Roald de la nouvelle!

 

Liste des nouvelles

1. La Logeuse (The Landlady)

2. William et Mary (William and Mary)

3. Tous les chemins mènent au Ciel (The Way Up to Heaven)

4. Un beau dimanche (Parson's Pleasure)

5. Madame Bixby et le Manteau du colonel (Mrs. Bixby and the Colonel's Coat)

6. Gelée royale (Royal Jelly)

7. Pauvre George (Georgy Porgy)

8. Une histoire vraie (Genesis and Catastrophe: A True Story)

9. Edward le conquérant (Edward the Conqueror)

10. Cochon (Pig)

11. Le Champion du monde (The Champion of the World)

 

Adaptations à la télévision 

• 1960 : Mrs. Bixby and the Colonel's Coat (Le Manteau, série Alfred Hitchcock présente no 190 ; épisode 1 de la 6e saison).

• 1961: The Landlady (inédit en France, série Alfred Hitchcock présente no 208 ; épisode 19 de la 6e saison).

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Le Doigt magique

Voici le dernier classique du champion des histoires qu'il nous manquait !

Quelques titres de sa bibliographie nous ont encore échappé, mais nous avons fait le tour des plus connus.



Ce "Doigt magique" n'est clairement pas notre préféré du grand Roald Dahl, mais de fait cette lecture a pris une teinte particulière. C'est avec nostalgie que nous concluons une période de lectures partagées riches en fous rires.

On retrouve ici certains motifs d'autres romans. La chasse, l'enfant au centre du récit, du merveilleux... mais il nous a manqué une touche d'humour et la profondeur de l'histoire qui font le succès de ses titres les plus célèbres.



Cela dit, la lecture reste agréable et les illustrations de Quentin Blake sont toujours des merveilles vivacité !
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Kiss, kiss

Autant j'adore les livres pour enfants de cet auteur, autant j'ai détesté ce recueil de nouvelles pour adultes. J'ai mis un temps infini pour finir (enfin!) cette horreur de livres. Surtout que je pense que je l'avais déjà lu sous une forme ou une autre donc le suspense (car c'est souvent bien ficelé) tombait à plat. Les dialogues sont insipides et creux comme souvent dans ce genre de littérature. Vraiment, ce fut une torture pour moi que de le lire ce recueil. Heureusement, c'est fini. J'espère lire bientôt des livres un peu mieux car là j'ai eu ma dose de navets...
Lien : https://joy369.unblog.fr/
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Le Bon Gros Géant : Le BGG

Je n’y ai pas trouvé mon compte. Alors je pense que c’est un roman tout a fait adapté en première lecture de romans, vous voyez ce n’est pas une lecture pour les tout petits, je dirais à partir de 8 ou 9 ans, et pour ceux qui n’aiment pas lire.

D’ailleurs, je trouve que Roald Dahl fait très bien les romans pour les enfants qui n’aiment pas lire. Pour cela il a vraiment l'ame d’enfant qui fera sourire voire rire les enfants du début à la fin. Le bon gros géant c’est un peu cela, un roman marrant et facile à lire.

Alors autant j’ai adoré Matilda autant je suis un peu plus mitigée avec le bon gros géant.

Roald Dahl nous passe quelques messages, l’amitié, la tolérance, dans un univers très british, c’est un joli conte et même si quelques points m’ont un peu gêné, je pense que ce sont mes a priori d’adulte qui ont gâché un peu ma lecture...

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Matilda

Livre d'un des auteurs préférés de ma fille de 10 ans, elle m'avait chaudement recommandé de le lire et je comprends pourquoi elle a apprécié autant cette histoire. C'est frais, drôle, en plus ma fille s'appelle Mathilde, donc j'imagine qu'elle a pu facilement s'identifier au personnage.
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La potion magique de Georges Bouillon

Roald Dahl est tout-de-même doué pour créer des membres de la famille horribles ! (Il a forcément inspiré JK Rowling...) Mais je l'ai trouvé rigolote moi, cette grandma sorcière. Affreusement méchante et infecte mais rigolote. Surtout ses réflexions sur la poule !



Sinon, voilà un petit roman drôle, frais comme tout, avec toute l'innocence de l'enfance et hyper rapide à lire. Peut-être même un peu trop rapide, cela fait presque conte. Je n'ai absolument rien contre les contes mais je m'attendais à un format roman. Ayant lu James et la grosse pêche il y a peu, on était alors sur plus d'actions et de rebondissements.



J'émets également une petite réserve sur la fin : celle-ci m'a paru un peu dure pour la grand-mère, aussi terrible était-elle !
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Matilda

Il est toujours savoureux de replonger dans les livres qui ont fait le sel de notre enfance.

On les ouvre avec curiosité – se demandant si l'on sera à nouveau touché, si l'histoire et ses personnages auront bien vieilli et si la magie opèrera à nouveau – on lit les premières pages avec avidité, goûtant à la joie immédiate de l'enfance ressuscitée, et on dévore la suite, émerveillé·e de constater que le plaisir n'a pas fané.



C'est en écoutant l'autrice de bandes dessinées Pénélope Bagieu sur France inter, parler de Matilda comme du personnage de fiction de son enfance que j'ai eu envie, moi aussi, d'aller jeter un oeil du côté de mes plus jeunes années.

Je ne me souvenais plus de grand-chose, à vrai dire – je n'étais même plus certaine d'avoir lu Matilda - mais dès les premières lignes, c'est une kyrielle de souvenirs qui ont émergé de ma mémoire et se sont fracassés contre ma conscience : j'étais à nouveau en Bretagne – vacances d'été oblige – en haut de l'escalier raidissime qui menait à notre chambre, dans la maison de vacances de mes grands-parents, et j'avais, sur les genoux, un exemplaire de Matilda emprunté au CDI de l'école. Je me souviens très bien de sa couverture – la même que celle du roman glané ces derniers jours dans les rayonnages de la bibliothèque de mon village – et me suis surprise à ressentir la même gratitude en redécouvrant, non sans un pincement au coeur, les illustrations de Quentin Blake qui en émaillaient les pages jaunies. Tout y était : la sensation des feuillets tournés, leur odeur indéfinissable de papier fatigué et le soyeux de la tranche bleutée de l'édition spéciale folio.

Ce même été, je m'en souviens maintenant, je lisais également Zazie dans le métro de Raymond Queneau, le mystère de la chambre jaune de Gaston Leroux et Les lettres de mon moulin d'Alphonse Daudet. – Rien que pour le plaisir de ce voyage dans l'enfance, soit dit en passant, relire les livres se notre jeunesse devrait nous occuper autrement plus que ce dont nous avons coutume.



Mais revenons à Matilda !

Avant même d'avoir cinq ans, Matilda sait lire et écrire, connaît tout Dickens, tout Hemingway, a dévoré Kipling et Steinbeck. Pourtant, son existence est loin d'être facile entre une mère indifférente, abrutie par la télévision et un père d'une franche malhonnêteté. Sans oublier Mlle Legourdin, la directrice de l'école, personnage redoutable qui voue à tous les enfants une haine implacable.



*



Je crois que si le personnage de Matilda m'a autant plu – et me plait encore – c'est parce que je me suis beaucoup retrouvée en elle. Et si je ne lisais pas Dickens ou Hemingway à cinq ans, les seuls souvenirs que j'ai conservés de mon enfance sont liés à des livres : Jane Eyre, L'assommoir, Miss Charity, Lettres d'amour de 0 à 10, Soldat Peaceful, Je suis une esclave… À chacun de ces romans, je peux associer un lieu, une époque, un vêtement, une odeur.

J'étais une lectrice aussi avide qu'insatiable. Je trouvais dans les livres un immense réconfort et passais – plus ou moins – mes journées entre leurs pages : je lisais en marchant pour aller à l'école, dans le bus, à la cantine parfois, sur mes genoux pendant les cours, dans les vestiaires de la salle de sport, entre deux morceaux derrière mon pupitre pendant les répétitions d'orchestre.

Comme Matilda, la lecture était mon trésor, mon échappatoire, ma grande aventure à moi.



M'enfoncer dans les pages du roman de Roald Dahl à vingt-neuf ans, c'était revivre cette époque. J'y ai retrouvé l'intelligence, la truculence et la finesse des héro·ïnes de l'auteur britannique, le plaisir de ses histoires pleines de magie, les joies du manichéisme franc qui caractérise ses récits et la candeur de ses univers colorés. Et c'est un grand bol d'enfance parsemé de benco que j'ai eu le sentiment d'avoir bu en en refermant les pages.



Je ne peux que vous inciter à relire les textes qui ont fait de vous les lecteur·ices que vous êtes. C'est heureux, vivifiant et salvateur, surtout lorsque vous tentez de retrouver l'enfant que vous avez été pour comprendre la personne logée dans votre peau aujourd'hui.
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La potion magique de Georges Bouillon

Encore une histoire farfelue de Roald Dahl !

Mais une histoire plus facile à lire que la plupart des autres livres de l'auteur. Ce récit est assez court et a du rythme, le lecteur ne s'ennuie pas et est entraîné dans un tourbillon d'événements.

La fin est toutefois un peu abrupte je trouve.
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Charlie et la chocolaterie

"Moi, Willy Wonka, j'ai décidé de permettre à cinq enfants de visiter ma chocolaterie cette année. Ces cinq chanceux seront initiés à tous mes secrets, à toute ma magie"



Un livre initialement écrit pour des enfants mais qui plaira tout autant aux plus vieux. Aussi bien écrit qu'il en est facile à lire, Charlie et la chocolaterie est un livre émouvant, hilarant et avec de superbes morales.

Que vous ayez vu le film avant de lire le livre (comme c'est mon cas) ou inversement, vous aimerez l'un comme l'autre, car si Ronald Dahl a su nous inventer une histoire complète loufoque et pourtant si merveilleuse, Tim Burton a reprendre l'histoire dans intégralité sans la "mâcher", et en s'octroyant quelques petites libertés qui rendent le film aussi incroyable et aussi incontournable que le livre

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James et la grosse pêche

Relecture au hasard de ce roman trouvé dans une boîte à livres de la ville.

Je l'ai lu et grandement apprécié il y a presque 20 ans maintenant (aaah, ça fait mal de s'en rendre compte !).



Entre temps; j'ai revu son adaptation cinématographique par le grand Tim Burton, qui, est d'ailleurs une très bonne adaptation et très fidèle au roman.



J'avais oublié à quel point Roald Dahl était barré, j'ai bien rigolé avec cette relecture. J'ai aussi apprécié le coté éducatif, qui explique que les insectes sont nécessaires à notre écosystème, sauf le mille-pattes (qui n'en a que 42 finalement, de pattes) le nuisible, fière de l'être et musicien de fortune.



J'espère que les futures générations continueront de lire les romans de Roald Dahl.
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Sacrées sorcières

Quel que soit le roman pour enfant de Roahl Dahl que vous choisirez, vous êtes sûrs que ce sera une réussite auprès des enfants. J'ai lu ce roman enfant, j'ai eu peur, j'ai ri, j'ai imaginé, j'ai eu les mêmes réactions que les personnages principaux (enfin, pas les sorcières !), et 30 ans plus tard, je me souvenais encore de comment on peut démasquer une sorcière.



Alors je l'ai lu à mes enfants, et elles ont eu peur, elles ont ri, elles ont devancé les questions que se posaient le héros, et ça a même été très difficile pour elle d'attendre la suite ( deux chapitres lu par soir uniquement), mais comme pour Matilda et le BGG, elles ont adoré.



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Un amour de tortue

Gros coup de coeur d'un petit garçon de 8 ans ! Mon fils a lu ce roman d'une seule traite. Pourquoi ? Parce qu'il se demandait jusqu'où M. Hoppy était prêt à aller par amour pour Mme Silver. Parce qu'il a trouvé ces deux héros très attendrissants. Parce qu'il a trouvé la stratégie de M. Hoppy très judicieuse et qu'il avait naturellement envie de savoir ce qu'il allait advenir d'Alfred après les formules magiques... et peut-être aussi tout simplement parce qu'il avait envie de vous partager sa lecture coup de coeur ❤️ ! Bravo Monsieur Roald Dahl !
Lien : https://cafenoiretpolarsgour..
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Bizarre ! bizarre !

Je continue, avec bonheur et délectation, la découverte et la lecture des merveilles de la "short storie" anglaise.

... Et c'est Roald Dahl, auteur de certain Charlie et la chocolaterie, dans lequel je me suis plongé le temps de quinze nouvelles de haute tenue!

Aucun doute: Dahl est le digne continuateur du maître Saki trop tôt disparu.

Entre vengeances, folie douce,méprises, arnaques et autres cruautés, Roald Dahl déploie son art avec maestria. Il est aussi servi par une excellente traduction.

De quoi ne pas s'ennuyer, surtout en vacances, et donner l'envie de lire les autres oeuvres deRoald Dahl.
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Matilda

J'avais lu Mathilda à l'école primaire, j'en gardais un bon souvenir. Je l'ai relu plus grand et ça c'est confirmé, c'est effectivement drôle, plein d'aventure et de magie. Un livre pour enfant qui permet de mettre le pied à la lecture et ça , ça fait partie des talents de Roald Dahl.
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Sacrées sorcières

Je l'ai lu quand j'étais en 6e alors je mets l'avis que j'ai écrit en 6e x)

J'ai beaucoup aimée le livre mais il y a quelques petits passages que je ne comprenais pas. J'ai beaucoup aimée le lire, pas que le découvrir, il était intéressant, drôle et je rentrais bien dans l'histoire.
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La Grande Entourloupe

C’est un recueil de nouvelles dont le sujet est plutôt coquin.



On retrouve ici la légèreté et l’humour de Roald Dahl.



C’est divertissant. À noter la présence dans deux nouvelles du fameux Oncle Oswald Cornelius, héros du roman « Mon Oncle Oswald ».
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