Robert Galbraith

Et Strike !!!!!



Mais que c'est bon que c'est tordu que c'est sinueux ! Après avoir élucidé le meurtre de Lula , strike traîne sa jambe dans tout Londres pour retrouver Owen QUINE un écrivain vulgaire sans succès.



Tout le monde a l'air de détester ce mec et le dernier bouquin qu'il vient de finir. Mais les circonstances de son meurtre sont tellement sordides qu'on demande à creuser davantage.



Tellement de suspect mais combien de meurtrier ?



Glauquissime

Sang trouble est un roman policier addictif.

Cormoran et Robin sont deux détectives privés associés et surbookés qui vivent pour... travailler.

Des clients sollicitent leur agence pour prouver un adultère ou confronter un maître chanteur. Avec leur équipe, ils passent des heures, jour et nuit, à surveiller des hommes ou des femmes pour les photographier et constituer des dossiers à charge au bénéfice de leurs clients.

Embauchés par une jeune femme qui veut savoir pourquoi et comment sa mère a disparu 40 ans plus tôt, ils se lancent dans une enquête au long cours. Pendant un an, nous suivons les pistes et les impasses. L'auteure dresse une galerie de personnages fouillés et dévoile peu à peu les émotions intimes des deux détectives.

J'ai lu ce livre en version ebook. Sur mon smartphone, je n'avais pas d'info sur le nombre de pages : +900. Ce qui explique-sans doute-mon ressenti de digressions trop nombreuses autour de l'enquête principale.

Par contre, sans avoir lu un des tomes précédents, j'ai très rapidement et facilement été attachée aux deux héros. On peut lire cette enquête sans avoir suivi l'ensemble des aventures de Cormoran et Robin.

Ce policier de JK Rowling ( et oui elle signe ses œuvres avec des alias différents!) est très abouti et très agréable à lire. L'enigme est intéressante et l'écriture est fluide.

Me voici au tome 4 de cette série et encore une fois, la longueur souvent inutile des intrigues m'a rebuté de prime abord. Pour ceux qui lisent les critiques «avant» de choisir un livre, je ne peux que conseiller de prendre la version audio publiée chez Audible. Dès le tome 3, la narration confiée au comédien et directeur artistique belge Lionel Bourguet ne pouvait qu'éblouir par sa prestation haute en couleurs et rehausser un récit parfois lourd . La magie a de nouveau opéré et j'ai réussi à terminer les tomes 3 et 4 sans décrocher.

Personnellement je préfère de beaucoup les livres en audio justement pour cette raison. Une innovation technologique pour le grand public grandement appréciée. Un «must»!

Aucun correcteur ne doit plus oser s'en prendre à JK Rowling et c'est bien dommage ! Il aurait fallu supprimer je ne sais combien de passages, et le livre lui-même est bien trop long ; on en oublie qui est qui même pour les enquêtes secondaires, et sans intérêt d'ailleurs, que Cormoran et Robin mènent en plus de la principale sur une année. L'auteure essaie semble-t-il de garder le lecteur éveillé par des descriptions de meurtres sordides à l'emporte-pièce, vainement. Et pour terminer, l'épilogue est carrément irréaliste, digne d'un mauvais téléfilm.

Je l’attendais depuis énormément de temps, le roman papier étant sorti il y a quelques temps déjà. Il a eu du mal à sortir en version française et donc il a mis du temps à venir également en livre audio. Comme j’ai lu les précédents en livre audio, je voulais rester sur le même format. Il faut dire que Philippe Résimont est excellent comme narrateur. J’aime beaucoup le ton qu’il a, sa voix passe super bien et il arrive à nous faire plonger dans l’intrigue avec brio. Cette fois, on part dans une enquête sur une affaire classée, la fille de la personne disparue veut revenir sur la disparition pour que tout s’éclaire enfin et que la vérité éclate. L’auteur se penche nettement plus sur les rapports humains dans ce roman : Strike vit des moments difficiles avec sa tante qui est très malade, il a aussi des problèmes avec son vrai père, Robin, elle vit mal son divorce, les choses ne se passant pas comme elle le voudrait, en plus, elle a des problèmes avec son collègue un peu lourd et insistant. Et puis, bien entendu, il y a les relations entre nos deux héros qui ont du mal à avancer, pourtant, c’est enfin dans celui-là que les choses bougent ! J’ai trouvé que le roman trainait peut-être un peu trop même si j’avoue je l’ai adoré du début à la fin. Je suis bien rentrée dans l’histoire, l’enquête est prenante sachant qu’il y a plusieurs possibilités possibles et bien entendu on se fait promener à de multiples reprises.



En résumé, Sang trouble est encore un excellent roman de Robert Galbraith aka J.K Rowling. J’adore toujours autant cette version audio et les personnages de cette histoire. On est plongé dans une enquête vieille, classée et on ne s’ennuie pas une seule seconde malgré le fait que le roman traîne quand même en longueur. Il faut dire que ce 5e tome se focalise un peu plus sur les rapports humains entre collègues et surtout nos deux héros se rapprochent enfin ! Bref, je suis toujours sous le charme et j’ai hâte d’en avoir un sixième !
Lien : https://antredeluciole.fr/20..

Je pense que c'est plus gros des 5 tomes, enfin je dirais bien que c'est un pavé, mais l'ayant écouté en Audible, ça ne m'a pas choquée... Bon il fait qu'en même plus de 33 heures ce qui le rend très rentable.



Je ne vais pas vous mentir, les policiers et les thrillers, ce n'est pas ma tasse de thé... Et pourtant je n'ai pas pu m'empêcher de commencer cette saga il y a quelques années quand j'ai su que c'était l'auteure d'Harry Potter qui l'écrivait. Bien m'en a pris : je l'adore... La partie qui m'intéresse le plus c'est la relation entre Strike et Robin : un fil rouge subtile et tellement bien écrit qu'il me fait tolérer les aspects parfois gores du livre... La deuxième qualité importante de cette saga à mes yeux c'est qu'elle se passe à Londres... Cette ville que je porte dans mon cœur plus que toute autre.



Le rythme est parfait, sans longueurs, je ne devine jamais qui est "le meurtrier" (il faut avouer que je suis un peu bidon n'ayant aucune expérience en romans policiers) je suis donc surprise à chaque fois !



Les points qui me déplaisent plus sont, le nombre important de personnages (qu'on appelle parfois par leur nom, leur prénom, leur métier, leur signe du zodiaque, leur surnom... bref on me perd!) et les passages parfois hyper glauque. En même temps y'a souvent des tueurs en série sadiques dans ces romans et moi ça me rend complétement malade de lire les tortures infligées aux victimes.



Pour autant j'adore cette saga et je me fais une joie d'avance de lire le prochain opus.

Quel plaisir de retrouver le tandem Strike et Robin ! Et quel plaisir de retrouver la formidable et précise plume de J.K. Rowling !



Dans 'L’Appel du coucou', le premier volet de cette série d’enquête, j’avais été totalement séduit par l’écriture et un peu freiné par la lenteur de l’intrigue. Ici il y a un peu plus de dynamisme mais encore une fois c’est surtout par ses superbes descriptions et son travail des personnages que ce roman brille.



Délicieuse ambiance londonienne, personnages aux caractères bien définis, des détails sur chaque environnement, les rues, les bars, les plats et boissons, les vêtements, les mimiques. C’est immersif à souhait, c’est extrêmement vivant, souvent drôle et c’est surtout très juste.



Depuis l’enquête autour de la mort de Lula Landry magistralement résolue dans le premier opus, Cormoran Strike est devenu une pointure dans le milieu. Tout le monde s’arrache ses services de détective privé et les investigations se succèdent. Son assistante Robin est plus que jamais désireuse d’évoluer dans ce métier, malgré les risques et malgré la désapprobation de son fiancé.

Le duo fonctionne terriblement bien et l’on prend beaucoup de plaisir à les voir se côtoyer, se bousculer mais aussi s’apprécier et s’accorder de plus en plus.



Strike, à la fois bourru, blasé et enquêteur hors-pair, marqué par son passé d’ancien soldat, par l’amputation de sa jambe en Afghanistan, par sa rupture l’année dernière au sortir d’une longue relation aussi merveilleuse que toxique, est cette fois-ci contacté par la femme d’un écrivain disparu. À l’instar du premier volet où l’univers de la mode avait peu à voir avec celui qui est raconté dans les tabloïds, nous voici cette fois plongé dans celui de l’édition et ses faux-semblants.

Bombyx Mori, le Ver à Soie, c’est le titre du dernier ouvrage de l’écrivain disparu. Un roman malsain qui écorche toutes ses relations jusqu’au plus haut niveau et qui va déchaîner toutes les rancœurs et tous les non-dits. Qui avait intérêt à faire taire Owen Quine avant la parution de Bombyx Mori ?



Formidable intrigue, formidable immersion, formidables personnages, avec un regret : comme dans 'L’Appel du coucou', Cormoran Strike comprend beaucoup de choses et en confie parfois à Robin mais nous lecteurs sommes laissés dans le flou jusqu’à la fin. À la fois frustrant et engageant puisque c’est lorsque toutes les pièces du puzzle sont reconstituées que l’on se rend enfin compte de la complexité de l’enquête et du machiavélisme du ou des coupables.



Beaucoup de charme dans ce polar construit "à l’ancienne" et qu’une hâte, retrouver Cormoran et Robin dans 'La Carrière du mal'.

Ce quatrième tome est la suite des enquêtes de Cormoran et Robin. J'aime bien ce duo aux prénoms d'oiseaux, mais pas d'oiseaux de mauvais augure. L'ambiance est très british, et c'est sur fond de jeux olympiques dans le milieu politique que se déroule l'action. Le fait que Cormoran soit amputé d'une jambe donne un côté un peu fragile à ce détective empêtré dans des difficultés relationnelles avec les femmes. L'aristocratie anglaise , bien souvent fauchée, est un milieu très codifié mais n'échappe pas aux travers du commun des mortels : le paraitre, l'argent, la position sociale à préserver à tout prix.

Querelles de famille recomposées, manoir humides, presque en ruine, chevaux et belles voitures, tout y est.

L'intrigue est bien menée, difficile de savoir qui a fait quoi, on y trouve tout ce qui fait une lecture tranquille et prenante en même temps. A suivre, il y a un autre tome qui arrive

On se trouve un peu dans la suite des tomes précédents dès le début et on a du plaisir à retrouver Cormoran et Robin. Le récit est étoffé et on en sait plus sur la vie privée de Cormoran, ce qui amène une autre dimension à l'histoire. Je déplore tout de même quelques longueurs surtout dans le cold case qui est traité, on a du mal à suivre le fil. 4 enquêtes en cours, quelques rebondissements, un côté plus intimiste dans la relation entre Cormoran et Robin, mais rien qui ne fait vraiment palpiter. Ce qui sauve est la plume impeccable, les détails fournis, les indices apportés pour arriver à la solution à la fin. C'est bien mais à voir la suite, pour moi, ce tome aurait pu se faire en moins de pages, je m'attendais à plus de plaisir compte tenu des 4 autres tomes.

C’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé le duo d’enquêteurs que forment Cormoran Strike et Robin Ellacott. Pour la première fois ils vont devoir plancher sur un cold case, le Dr Margot Bamborough a en effet mystérieusement disparu un soir de 1974, alors qu’elle quittait le cabinet médical dans lequel elle exerçait. C’est à la demande de sa fille, Anna, que Strike et Robin vont accepter de remonter et démêler les fils de l’enquête.



Comme souvent quand on est confronté à une série, certains lecteurs peuvent se poser la question de la nécessité d’avoir lu les tomes précédents ou si cela reste accessoire. Très honnêtement, même si cela ne s’impose pas nécessairement, je vous invite à lire les précédents tomes de la série dans l’ordre. C’est la meilleure façon d’apprécier pleinement la situation des personnages.



Si les affaires sont plutôt florissantes pour nos deux détectives associés, d’un point de vue personnel ce n’est pas vraiment la joie. Galanterie oblige je commencerai par Robin, empêtrée dans un divorce qui n’aurait dû être qu’une formalité, mais c’était sans compter sur la fierté mal placée de son ex, Matthew, qui semble prendre un malin plaisir à faire traîner les démarches.



De son côté Strike n’est guère mieux loti. Il est au chevet de sa tante, qu’il considère comme une mère, atteinte d’un cancer en phase terminale. Un malheur n’arrivant jamais seul, il va aussi devoir composer avec les soudains élans familiaux de son géniteur et les états d’âme de son ex, Charlotte, plus suicidaire et pleurnicharde que jamais.



En plus de la disparition du Dr Bamborough, l’agence doit assurer le suivi des affaires en cours ; heureusement que Strike et Robin pourront compter sur leur équipe en renfort même s’ils devront parfois, eux aussi, mouiller la chemise. Des affaires qui sont bien plus que de simples digressions de l’intrigue principale, ce sont elles qui contribuent à faire bouillir la marmite et, pour certaines, elles sont loin d’être aussi anodines que l’on pourrait le supposer de prime abord.



Matthew étant moins présent dans le présent roman, on aurait pu craindre l’absence d’une tête à claques de service ; je vous rassure tout de suite, il a un trouvé un digne successeur en la personne de Saul Morris, l’un des enquêteurs sous-traitant de l’agence. Difficile, pour ne pas dire impossible, d’imaginer plus beauf que ce type.



En reprenant l’enquête sur la disparition du Dr Bamborough, Strike et Robin vont rapidement se retrouver confrontés à un enquêteur obsessionnel, convaincu que le coupable ne peut être que Dennis Creed, un tueur en série qui n’a pas encore livré tous ses sombres secrets. Une obsession qui le poussera à manipuler les témoins et à suivre de vagues pistes ésotériques afin que les faits viennent, envers et contre tout, corroborer ses soupçons.



Ne pouvant se fier au seul rapport d’enquête, Strike et Robin vont devoir interroger les témoins précédemment entendus par la police. À condition bien sûr que ceux-ci soient toujours en vie et de parvenir à leur mettre la main dessus. Les témoignages, parfois contradictoires, vont pousser les enquêteurs à examiner de nombreuses pistes, dont celle d’une famille qui régnait sur le crime organisé dans les années 70.



À partir de là les enquêteurs vont s’engager dans un jeu de pistes labyrinthique dans lequel ils auront bien du mal à démêler le vrai du faux. Décortiquant chaque témoignage obtenu afin de le comparer à celui livré au moment des faits, au rapport d’enquête et aux notes (plus ou moins absconses) de l’inspecteur Talbot. De quoi s’arracher les cheveux et y perdre son latin… mais il faudra plus que ça pour décourager notre duo de choc.



Et au milieu de tout ça on suit l’évolution de la relation entre Strike et Robin, une relation sur fond de valse-hésitation, un pas en avant et deux pas en arrière ; tantôt on souffle le chaud, tantôt on souffle le froid. L’aspect personnel est encore fois (peut-être même plus que jamais) au centre de l’intrigue mais sans que cela ne vienne casser le rythme.



Niveau adrénaline, on ne peut pas vraiment dire que le palpitant et les nerfs soient mis à rude épreuve ; l’enquête se déroule sans grosse montée de stress pour nos deux enquêteurs, jamais ils ne se retrouveront réellement en danger.



Une intrigue rondement menée qui réserve quelques surprises (j’avoue que je ne m’attendais pas du tout au final), si l’adrénaline n’est pas au rendez-vous, l’ennui non plus. On se laisse volontiers entraîner par l’enquête et les déboires personnels de Strike et Robin, du coup les 900 (et plus si affinités) pages passent comme une lettre à la poste.



Bien entendu je serai au rendez-vous pour leur sixième enquête (prévue pour cette année en VO), en espérant toutefois quelque chose d’un peu plus nerveux.
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Quel plaisir de retrouver Cormoran Strike et son associée Robin Ellacott dans cette cinquième enquête. Notre duo de privés préféré se retrouvent confrontés à un "cold case". En effet, quarante ans plus tôt la jeune et brillante Margot Bamborough a disparu, entre le cabinet médical où elle exerçait et le pub où elle devait retrouver une amie. C'est la fille de Margot qui confie à l'agence de Strike cette vieille affaire, parce qu'elle a besoin de savoir ce qui est arrivé à sa mère ce soir-là de 1974.

Cormoran et Robin se plongent dans les vieux dossiers, et surtout les rapports de l'enquêteur de l'époque, convaincu alors de la culpabilité d'un serial killer (particulièrement horrifique), qu'il rédigé à la sauce astrologico-paranoïaques. Les privés londoniens s'efforcent par ailleurs de retrouver des témoins (encore vivants!) qui pourraient apporter une nouvelle lumière sur cette affaire.

C'est complexe, bien ficelé, parfois difficile à suivre quand les différents affaires de l'agence se superposent, mais toujours réussi dans les parties qui s'attachent à la vie personnelle de Strike et Ellacott. Que ce soient les histoires familiales de Cormoran qui assiste impuissant à la maladie de sa tante, ou les difficultés de Robin face à sa liberté retrouvée, Galbraith (alias JK Rowling) parvient avec émotion et nuance à incarner ses personnages.

Et toujours LA grande question qui me taraude : finiront-ils un jour à s'aimer ces deux-là? Même niveau d'attente frustrée qu'entre Rachel et Ross, c'est pour vous dire!! Il vous faudra lire cette nouvelle enquête pour le savoir!

Bref, j'ai passé un excellent moment avec ce dernier opus, une de mes séries policières préférées (à lire dans l'ordre of course!).

Mention spéciale aux petites virées de Strike dans les Cornouailles qui m'ont donné des envies de voyage!

Je sors de celle lecture non pas mitigée mais ennuyée, car j'ai à la fois adoré cette lecture et en même temps je me demande si l'auteure ne m'a pas prise pour une bille.



J'adore le duo Strike - Robin. Et dans cet épisode ci encore plus. J'aime leur dualité, leur rivalité, leur complicité , et tout simplement leur caractère.

Néanmoins je suis malgré tout dérangée une fois encore par leur vouvoiement. J'ai du mal à comprendre comment des associés se connaissant depuis quelques années, ayant vécu des aventures et voir plus, peuvent rester sur le vous . Je pinaille peut être et peut être est ce un soucis de traduction? Mais ça me dérange dans ma lecture.



L'écriture de Robert Galbraith est addictive, tout comme elle l'est dans les Harry Potter. Toujours agréable, avec une construction de chapitre qui te pousse à tourner la page et à entamer le suivant.



Par contre je dois avouer qu'a la fin du roman je me suis quand même dit tout ça pour ça. J'ai été ballottée entre différentes enquêtes, différents lieux pour arriver à un final plutôt basique .

Donc voilà pourquoi je suis ennuyée parce que j'ai passé un très bon moment de lecture, mais en même temps j'ai l'impression qu'on m'a un peu roulée dans la farine. Je ne peux donc pas dire que ce roman est superbe parce qu'il y manque quelque chose. Et puis j'ai l'impression que l'auteure a utilisé des raccourcis et des subterfuges qui me déplaisent un peu.



Donc voilà, un cinquième tome qui se lit bien, mais cela s'arrête là.

Bien sûr je reste fidèle au couple de détective et je lirais la suite avec attention, en espérant qu'à force de se tourner autour ils finissent par se trouver ( ce dont je ne doute pas).

Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Sang Trouble ?

"Plus d'un an que j'attends la traduction de ce nouveau tome pour pouvoir retrouver ce duo d'enquêteurs que j'aime tant alors c'est peu de dire que j'ai sauté de joie quand je l'ai trouvé dans ma boîte aux lettres ! Je remercie d'ailleurs Grasset pour cet envoi."



Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

"Alors qu'il se trouve en Cornouailles, pour rendre visite à sa tante malade, une femme aborde Cormoran au pub et lui demande de retrouver sa mère disparue presque quarante ans plus tôt. Les chances de résoudre le mystère aujourd'hui sont quasi nulles mais le détective ne résiste pas à une cause désespérée."



Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

"Je garde le souvenir d'un tome précédent très long donc autant dire que lorsque j'ai vu que celui-ci ne comptait pas moins de 900 pages, j'étais un peu inquiète. Mais ici, JK Rowling trouve l'excuse parfaite pour faire traîner son enquête puisqu'il s'agit d'un cold case et c'est passionnant. Chaque élément du dossier va être passé au crible, décortiqué, chaque témoignage scruté à la loupe, chaque témoin recherché, réinterrogé. Personne n'échappera à cette analyse minutieuse en règle, ni le mari et la nounou qui se sont mariés depuis, ni le flic fou, ni le mafieux du coin, ni le tueur en série soupçonné depuis toujours...



Côté vies personnelles, parce que bien sûr, c'est aussi pour cela que l'on aime ces livres, on passe par toutes les émotions. Ça avance toujours au ralenti mais le paysage s'éclaircit peu à peu, avec beaucoup de moments très touchants."



Et comment cela s'est-il fini ?

"Si ce n'est que je me suis quand même fait la réflexion qui cette pauvre femme n'était entourée que de déséquilibrés, je me suis délectée de cette enquête. J'avais quelques soupçons sur l'assassin mais je me posais des questions sur d'autres personnages également et certains éléments m'ont vraiment étonnée ! Conclusion, j'ai déjà hâte de lire le prochain et il faut vraiment que je prenne le temps de découvrir la série."
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Dans cette troisième aventure je trouve qu'on change totalement de registre par rapport aux deux premiers tomes. On est à 100% sur du thriller (que je lis peu) par rapport aux autres qui était plus des polar. L'ambiance est beaucoup plus sombre, plus grave. Je suis assez mitigée sur ce livre on est directement embarqué dans l'action puisque l'intrigue démarre dès les premières pages et pourtant j'ai trouvé la première moitié très (trop) longue. On fait plus connaissance avec Strike et Robin mais j'ai trouvé qu'il y avait des passages pas franchement utiles et qui rallongent l'histoire. Cependant j'ai quand même pris plaisir à retrouver Cormoran Strike et Robin, je continuerai la suite de leurs enquêtes et j'aime beaucoup la série qu'à produite la BBC.

900 pages. Il faut être prévenu avant d’acheter ce roman fleuve. Beaucoup de critiques très élogieuses, j’avoue en être loin. 4 enquêtes en même temps et tout est fouillé, disséqué. Pourquoi pas mais du coup, c’est tout de même très long !

Je l’ai lu pour retrouver le binôme Strike et Robin, détectives privés et amoureux sans se l’avouer. Bien sûr, de livre en livre, nous les voyons traverser leurs aventures de vie personnelle mais là, j’ai vraiment envie de leur dire : bon, allez, quand est-ce que vous concluez ? mis à part ça, JK Rowling a le talent de faire vivre ses personnages dans toute leur complexité, tous très bien étudiés.

Là, l’enquête se porte sur un an, pour trouver le pourquoi de la disparition du Margo Bamborough, médecin disparue en 1974, laissant une petite fille et un mari éploré, mais surtout, disparue au moment où un tueur en série sévi dans le coin. Et tout porte à croire qu’elle en est la énième victime. D’interminables interrogatoires en filatures, l’enquête avance au milieu d’autres qui occupent nos héros à temps plein mais m’ont noyée.

Dommage, car j’ai beaucoup aimé « l’appel du coucou » et « le ver à soie ». Les 2 derniers m’avaient moins plu et celui-ci encore moins. Allez, un peu plus court, Robert, et ça devrait le faire.

Quand j’ai vu le nombre de pages du nouveau roman de Robert Galbraith (pseudo de JK Rowling), je me suis demandé si je devais le lire d’une traite ou prendre mon temps et le déguster de temps à autre. Finalement je l’ai lu d’une traite car Galbraith réussit à nous scotcher en mélangeant affaire principale -découvrir ce qui est arrivée à Margot Bamborough- et routine de l’agence avec des enquêtes annexes sans oublier de nous faire vivre les coups durs vécus par Cormoran et Robin. La tante de Cormoran est en train de mourir d’un cancer et sa mort prochaine affecte beaucoup Cormoran. Et quand il ne pense pas à sa tante, c’est son ex-femme qui lui fait du chantage à l’affection. Les seuls moments où il se sent bien c’est quand il se trouve avec Robin mais -hélas pour nous- il ne lui révèle que parcimonieusement ses sentiments. A ce rythme, Cormoran et Robin ne seront ensemble que dans une dizaine de romans…



Mais revenons sur l’enquête principale : Cormoran se voit confier une affaire qui a défrayé la chronique dans les années 70, celle de la disparition d’une femme, médecin travaillant dans un cabinet avec deux autres associés. Elle a disparu un soir en se rendant à un pub, le policier chargé de l’enquête ayant sombré dans la folie, un autre policier avait repris l’affaire mais sans rien trouver. Cormoran et Robin acceptent de fouiner tout en sachant d’avance qu’il y aura de nombreuses difficultés : certains témoins sont morts, d’autres sont partis vivre ailleurs, le carnet d’enquête du premier policier n’est qu’un ramassis (aux yeux de Cormoran) de propos délirants s’appuyant sur l’astrologie. Bref il faudra du temps pour tirer peu à peu les fils de cette histoire, un an durant lequel de fausses pistes en fausses pistes, ils parviendront enfin à découvrir la vérité. Alors certes, le roman compte 921 pages, il y a parfois des flottements dans la narration, on se perd un peu dans les personnages d’autant que, parallèlement, les détectives ont d’autres contrats sur le feu (des noms et des surnoms en plus !) mais mon intérêt n’a pas faibli et la fin m’a surprise, je ne m’attendais pas à un tel dénouement. Je vous le conseille !



Challenge Pavés 2022

Challenge Multi-défis 2022

Cinquième tome des aventures du privé boiteux Cormoran Strike et de sa pétillante associée Robin Ellacott !



La fin du tome précédent nous laissait une Robin déterminée à reprendre sa vie en main, ce qui incluait un divorce. Nous retrouvons une Robin engluée dans une procédure qui dure, et pour être passée par là, je reconnais que la lassitude décrite par l’auteur(e) sonnait avec beaucoup de sincérité ! Professionnellement parlant, Robin se montre une digne associée pour Cormoran, qui l’apprécie toujours autant mais qui est toujours aussi empoté quand il s’agit de le lui montrer !



On pourrait croire que je vous raconte l’histoire d’un homme et d’une femme en plein questionnement sur leur devenir et leurs sentiments, et ce n’est en fait pas faux ! C’est ce qui rend les livres de « Robert » (qu’on connait tous sous les traits de J.K. Rowling) très différents des polars habituels : l’auteur prend son temps (croyez-moi, le bouquin fait pas loin de mille pages !). On ne manque pas de descriptions, de petits retours en arrière, de réflexions profondes… On ne ressent pas d’urgence dans les résolutions des enquêtes, que l’on suit toutes avec plus ou moins de profondeur, l’accent étant particulièrement mis sur celle qui concerne la disparition tragique, quarante ans plus tôt, du docteur Margot Bamborough. Sa disparition a été attribuée à un tueur en série qui sévissait à l’époque et dont certaines victimes n’ont pas été retrouvées. Bien décidé à torturer psychologiquement les familles de ces victimes-là, l’assassin n’a jamais rien révélé de concluant pour lever tout doute. Et ces doutes, justement, ils tiraillent la fille de Margot, ce qui la décide à engager Robin et Cormoran pour résoudre ce cold case et retrouver sa mère, où qu’elle (ou sa dépouille) soit. Ils ont une année pour y arriver.



Une année qui ne sera pas de trop pour venir à bout de ce mystère, et parallèlement, une année qui sera riche en événements privés, surtout pour Strike, dont la tante est mourante, l’ex plutôt tenace et le père résolu à nouer une relation jusqu’alors inexistante.



Pour moi qui dévore les thrillers, le rythme de ce livre est particulièrement lent, mais comblé par les vies des protagonistes à qui j’ai fini par vraiment m’attacher (forcément, après autant de tomes !). Dès lors, c’est plutôt l’écriture de « Robert » qui constitue, à mon sens, la principale qualité de ce roman. Je dois dire également que j’adore particulièrement Strike et ses répliques qui piquent. Il n’a pas de filtres, allant même jusqu’à dire à sa sœur que l’un de ses gosses est un pleurnichard, tandis qu’un autre est un sale con. Non mais vraiment, qui n’a jamais rêvé de pouvoir balancer ce qu’il pense vraiment sans prendre de gants, particulièrement s’agissant de gosses invivables qui fichent une pagaille pas possible à chacun de leurs passages sans que cela semble tracasser leurs parents ? Avouons quand même que le « sale con » en question s’est tiré avec la prothèse de Strike…



Donc, cette balade dans Londres m’a plu, même si j’avoue que j’ai eu un peu de mal à venir à bout de cette brique, surtout le premier tiers qui me semblait un peu tiré en longueur. Cependant, chaque ligne a son importance ! C’est un des autres atouts de l’auteur(e) : distiller des indices qui surviennent en pleines introspections, par exemple ! Ce qui implique que, bien qu’il faille avaler pas loin de mille pages, la lecture en diagonale n’est pas une option, sous peine d’être rapidement perdu !



En définitive, j’ai une nouvelle fois beaucoup apprécié cette nouvelle enquête des attachants privés londoniens, dont la relation n’évolue vraiment que par trèèèèèèès petites étapes ! M’enfin, si cela nous permet de les suivre encore de longues années, qu’ils prennent leur temps, je n’y vois pas d’objection !



Je remercie au passage NetGalley et les éditions Grasset car, bien que j’aie acheté le livre dès sa sortie, la taille et le poids m’ont poussé à solliciter le titre sur la plateforme afin de pouvoir disposer d’une version numérique, bien plus agréable à manipuler durant les insomnies !
Lien : https://lecturesdudimanche.c..

C'est avec plaisir après une longue attente - presque trois ans depuis la sortie en français du tome précédent - que j'ai retrouvé Robin Ellacott et Cormoran Strike pour leur nouvelle enquête. Dans ce tome, ils sont amenés à travailler sur un cold-case - la disparition dans les années 70 d'une docteure, peut-être victime d'un tueur en série, - tout en menant de front les petits dossiers de l'activité courante de l'agence (adultère, chantage, etc.). J'ai particulièrement aimé que l'on s'attarde - il y a finalement assez peu d'action - sur tous les détails de ce jeu de piste (analyse du dossier de police, recherches entreprises pour retrouver des témoins près de 40 ans après les faits, recoupement des différents témoignages...) et sur la vie de tous les jours des deux associés et de leur agence. Je me serais en revanche bien passée de certains détails glauques voire gore - j'ai trouvé que J.K. Rowling/Robert Galbraith en rajoutait un peu pour donner un côté sombre et "réaliste" au roman - notamment sur les agissements particulièrement horribles de la pègre et du tueur en série sur lesquels Robin et Strike sont amenés à enquêter. J'ai tout de même lu ce pavé - de plus de 900 pages ! - en seulement quelques jours tellement j'étais impatiente d'en connaître le dénouement.

Trois ans. Trois ans !

Un peu plus de mille et une nuit donc que j'attendais de retrouver Strike et Robin dans une nouvelle affaire, et avec « Sang Trouble », ils font dans mon coeur et ma bibliothèque un retour complètement fracassant et si passionnant que j'en viens à penser de ce cinquième opus des enquêtes des détectives de l'agence de Denmark Street qu'il est le meilleur de la série, car le plus abouti et le plus machiavélique…

C'est bien simple, j'ai dévoré les neuf-cent pages de « Sang Trouble » en un temps record, dérobant au quotidien le temps de frissonner et de m'imaginer capable de résoudre l'énigme de la disparition de Margot Bamborough, éclaboussant mes nuits d'insomniaque des brumes londoniennes et de la lumière des Cornouailles, me coulant confortablement dans la noirceur et la virtuosité de l'intrigue et d'autant plus douillettement qu'il y a quelque chose de profondément satisfaisant à se plonger dans un récit angoissant, macabre et qui fait la part belle au pire de l'humain quand on le fait depuis une couette moelleuse ressemblant à s'y méprendre à un cocon. Et puis, Robert Galbraith, alias J.K. Rowling n'a vraiment pas son pareil pour créer une ambiance, une véritable atmosphère servie par une plume déliée, riche et vraiment jouissive, des personnages particulièrement attachants qu'on retrouve comme de vieux amis et une intrigue tortueuse à souhait !

« Sang Trouble » s'ouvre en Cornouailles. Alors que Cormoran, faisant fi de sa proverbiale misanthropie, passe du temps en famille, une inconnue l'aborde, un peu fébrile. Elle a besoin de lui et de ses services afin d'élucider la disparition de sa mère, le docteur Margot Bamborough disparue en… 1974. Strike n'a encore jamais travaillé sur une affaire classée… et dans le cas de celle-ci, c'est un bond de quarante ans dans le passé qu'il va falloir faire. Les chances de trouver la clef du mystère sont minces voire inexistantes, pourtant le détective, assisté plus que jamais par son associée Robin Ellacott va se lancer. Un an. Ils se donnent un an pour résoudre cette énigme labyrinthique qui va les mener sur les traces d'un sérial killer terrifiant, d'une enquête autrefois bâclée à grands coups de préjugés et de recherches astrologiques, de chausse-trappes en fausses pistes… Encore une fois, le duo d'enquêteurs (dont la relation complexe n'a de cesse d'évoluer et qui d'un point de vue narratif fonctionne de mieux en mieux, avec de plus en plus de fluidité et de profondeur), secondé efficacement par une équipe haute en couleur va aussi se retrouver confronté à toute la noirceur de l'âme humaine, à toutes ses turpitudes et sa complexité. Il en ressort une enquête rien de moins que vertigineuse, intense, heureusement émaillée par le récit des affaires annexes traitées par l'agence qui contribue au rythme et à la réussite de la narration ainsi que par celui des trajectoires personnelles de nos personnages (cette fin en forme de charbons ardents !) qui contribuent grandement à la réussite du roman.

Cerise sur le gâteau, « Sang Trouble » ne se contente pas d'être un excellent roman policier prompt à donner la chair de poule (et à vous faire quitter la chaleur de votre lit pour aller vérifier la fermeture à double tour de la porte d'entrée), c'est aussi un ouvrage clairvoyant qui met à nue les maux de la société, la petitesse des individus et qui pose un regard sans concession, cynique même sur ses contemporains, un livre d'une ironie mordante et parfois dérangeante. Personne n'est épargné (et c'est exquis, vraiment) sauf peut-être le personnage de Brian Tucker, extrêmement poignant ; c'est également un roman noir et ce dans tous les sens du terme, ce genre qu'on a trop longtemps dit « populaire » sans voir tout ce qu'il pouvait dire de la société, dans la plus pure tradition qui dénonce autant qu'il distrait.

Et c'est un délice.

Relecture de ce roman policier écrit par JK Rowling sous le pseudonyme de Robert Galbraith.

Si à la première lecture j’ai été déstabilisée en découvrant le nouvel univers créé par l’auteure, ne retrouvant plus les codes et le style qui me plaisaient dans la saga Harry Potter, une deuxième lecture, où j'ai réussi à me détacher complètement du travail de JKR sur le petit sorcier à lunettes, m’a permis de réellement apprécier ce roman.



Cormoran Strike, ancien soldat britannique blessé pendant la guerre, est détective privé mais rien ne va plus. Son affaire commence à sombrer, il vient de se séparer de sa fiancée, se retrouve obligé de dormir dans son bureau et est criblé de dettes. Par chance, un homme va lui demander d’enquêter sur le supposé suicide du célèbre mannequin Lula Landry. Cette affaire pourrait relancer sa carrière professionnelle et il sera aidé par Robin, sa nouvelle secrétaire intérimaire, qui rêve secrètement de devenir détective et qui va se révéler particulièrement débrouillarde et très utile à Cormoran.



Ce qui saute aux yeux dès les premières pages c’est le niveau de détails et de descriptions présent dans le récit. Comme je l’ai déjà dit dans d’autres critiques de livres, je ne suis pas fan des descriptions à rallonge mais celles-ci nourrissent l’histoire et permettent de se plonger au plus près de l’atmosphère de ce roman. Les détails très fournis donnent une impression cinématographique à l’ensemble, on n’a ainsi aucun mal à imaginer la scène et le ressenti des personnages.

En parlant d’atmosphère, l’auteure qui m’avait habitué à l’ambiance magique, enfantine et chaleureuse des Harry Potter, a réussi à se réinventer avec un roman résolument adulte, réaliste et parfois cru sur les tourments d’un détective aux nombreuses blessures physiques et psychologiques.

L’autre force du roman est l’écriture des personnages. C’est l’un des points forts de l’auteure qui avait écrit des personnages marquants et aux multiples facettes (Severus Rogue, je pense à toi) et il en est de même ici. Les personnages principaux sont charismatiques, ils sont loin d’être parfaits (surtout Cormoran) et on s’attache facilement à eux et leur vie pas franchement rose bonbon. Les personnages secondaires sont tous différents et on a beaucoup de mal à les cerner.

Concernant l’enquête à proprement dit, malgré quelques longueurs, j’ai beaucoup aimé cette plongée dans le monde de la mode et des célébrités traquées par les paparazzis. A ma première lecture, je n’ai pas trouvé le meurtrier tout de suite et d’énormes soupçons sont apparus dans la dernière partie du roman pour me mener brutalement à la révélation finale.



En conclusion c’est un très bon roman, si on arrive à se détacher du travail précédent de l’auteur. J’ai eu beaucoup de mal à refermer mon livre avant la fin malgré le nombre important de pages.

Je ne vais pas tarder à me jeter sur la suite.