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Citations de Roger Zelazny (471)


C'était un fils de pute blond et baraqué ,il portait une chemise jaune , un pantalon et des bottes noirs et il était bardé de lames en tous genre. le médaillon au Lion éventrant la Licorne rebondissait sur sa large poitrine.
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On t'a quand même laissé le choix -entre ce couloir et l'autre ,le ténébreux.
Exact
Alors,pourquoi as-tu jeté ton dévolu sur celui-ci?
Parce qu'on n'y voyait mieux.
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L'argent permet d'acheter des choses. Le pouvoir les provoque .Si tu as un jour le choix ,opte pour ce dernier.
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Je longeai les rues d'une Ambre en ruine ,sous un ciel de plus en plus bas .Un ange estropié marchait dans les hauteurs qui me surplombaient ,en abattant son glaive de feu de tous côtés.
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A cet instant ,le bras droit de Bénédict ,cet appareil étrange arraché à ce lieu fait d'ombre ,d'argent et de rayons de lune ,jaillit comme un serpent attaquant sa proie.
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Tu te souviens de quoi elle avait l'air ,cette toile d'araignée brûlante qui n'était pas vraiment une toile d'araignée et qui ne brûlait pas ?
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Tes yeux viennent de contempler le plus beau des spectacles qu'ils verront jamais...Gardes!Emmenez Corwin à la forge ,et qu'on lui brûle les yeux !
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L'amour est une Forme négative de la haine
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"Bonsoir, Pol Detson", déclara-t-il en levant la main gauche avec laquelle il exécuta une série de mouvements rapides et saccadés, "et adieu""
Pol tomba à genoux, le visage soudain empourpré. Mousegrove fit le tour du bureau et, saisissant une des statuettes qu'il brandit comme un gourdin, il s'avança vers l'inconnu en manteau brun.
Celui-ci fit un geste brusque de la main droite; arrêté net, le voleur tournoya et se trouva rejeté brusquement contre le mur de gauche. La figurine lui échappa des doigts tandis qu'il s'effondrait.
Pendant ce temps, Pol leva les mains vers ses joues puis fit un geste de rejet. Il se remit sur pird, cependant que son visage commençait à reprendre son teint normal. "Je pourrais vous demander pourquoi", dit-il en faisant à son tour des gestes en direction de l'autre - ses mains tournant en sens contraire.
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"- On dirait que le faire évader va être délicat, dit Luke. Et tu penses que ta mère est derrière tout ça ?
- Ouais.
- Je croyais être le seul à avoir ce genre de problème avec sa mère. Mais ça se tient, puisque c'est la tienne qui a tout appris à la mienne.
- Comment se fait-il que nous soyons restés si normaux ?"
Il se contenta de me dévisager pendant quelques secondes. Puis il éclata de rire.
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Je dis "C'est agréable d'être là, comme ça avec toi, même si ce n'est pas pour longtemps. Ça me rappelle des souvenirs."
Elle eu un charmant sourire.
"C'est vrai, dit-elle en vidant son verre. J'ai presque l'impression d'être en Ambre depuis que tu es là." Je faillis laisser tomber mon verre.
Ambre! Ce mot m'avait traversé la colonne vertébrale comme un coup de foudre!
Elle se mit à pleurer. Je me levai, lui entourai les épaules pour la consoler.
"Je t'en prie petite fille, ne pleure pas, dis-je doucement. Ca me rend malheureux, moi aussi." (Ambre! Il y avait là quelque chose, quelque chose d'électrique et de puissant! "Il y aura d'autres jours heureux.
- Tu le crois vraiment?
- Oui, dis-je avec force. Oui, je le crois!
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Quand je me retournai, une fois arrivé au sommet, la maison semblait avoir rapetissé, dans l’obscurité, être devenue un élément de la désolation, comme une canette de bière vide jetée sur le bord de la route. Je descendis le versant opposé, puis coupai à travers champs jusqu’à l’endroit où j’avais garé ma voiture en regrettant de m’être retourné.
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- Vous ne me mentiriez pas, dites?
- Mais non, jamais de la mort! Vous pouvez me faire confiance, allez, psalmodia Azzie en utilisant le mantra majeur, qui rend dociles jusqu'aux plus soupçonneux et aux plus belliqueux.
- Vous devez bien comprendre que je vais être plutôt inquiet. En renaissant pour ainsi dire.
- Il n'y a pas de quoi avoir honte...Nous y voilà...Merci mon Satan! ajouta Azzie à part lui.
Il était toujours nerveux quand il parlait aux humains. Ces gens-là tournaient tellement autour du pot! Les Pères Démons avaient proposé un cour sur la Tergiversation humaine, à l'université, mais c'était facultatif et il ne s'y était pas inscrit. La Dialectique fallacieuse lui avait paru plus intéressante, à l'époque.
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Je partis à la recherche de Graymalk. En vain. Elle était introuvable. Les chats ne sont jamais là quand on a besoin d'eux.
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Vous êtes un exemple vivant de l'absurdité des choses.
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C'était seulement un sourire, quelque part, un peu au-delà de la frontière où les choses ont un sens.
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Un éclair de soleil, des soleil par éclair. Danse des étoiles.
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- Qu'est ce que vous avez-vu ?
- Des chauves-souris aussi grandes que cette cuisine qui rôdent toujours de l'autre côté de Missus Hip. Et je sais qu'il y en a de plus grosses encore. Saint Louis en est infesté.
- Qu'est ce que vous avez fait ?
- Je les ai abattues. Brûlées. Je leur ai foncés dessus.
- Et quoi d'autre ?
- Des lézards. Des maousses. En technicolor. Des bestiaux de la taille d'une grange. Des Dust Devils - des mégatornades qui ont aspiré l'une des bagnoles. Des montagnes aux sommets de flammes. D'énormes ronces qu'il a fallu cramer. J'ai traversé quelques tempêtes. Des plaines dont le sol ressemblait à du verre. J'ai essuyé un tremblement de terre. Contourné des cratères radioactifs.
- J'aimerais bien faire tout ça un jour.
- Qui sait? Ça viendra peut-être.
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Quand elle se trouve en exil, l'aristocratie a toujours tendance à conserver certains signes démontrant son rang.
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Ces politicards me débectent. Tous des faux derches.
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