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Citations de Sandrine Beau (229)


J'ai fait mes devoirs là-bas et je lui ai demandé si je pouvais me doucher chez elle, parce que j'avais eu vraiment chaud en sport.
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C'est une ogresse, et son plat préféré, c'est la soupe de CP !
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A chaque fois que je vois quelque chose qui me tente, je me demande si j'en ai vraiment besoin. En y réfléchissant, y a des tas de trucs pas indispensables à la vie.
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Le problème avec cette histoire de pétition, c'est que ça a commencé à diviser les parents.
Et du coup, à l'école, on a vu apparaître des clans
Pourtant, à part la Grande Zaza qui ne se privait pas d’une réflexion dès qu'elle le pouvait, tout le monde s'était habitué à Manolo et à ses dialogues silencieux avec la maîtresse.
[…]
Les parents de Loris avait signé et Loris pensait qu'ils avaient raison. Évidemment, la Grande Zaza applaudissait. Chez Nathan, par contre, tout le monde avait refusé de signer, et Nathan affirmait que c'était ses parents qui avait raison. Louis ne voulait pas prendre parti. Élise s'en moquait comme de son premier tube de colle à paillettes et Aurore refusait d'en parler. Le papa de Romane avait signé, mais sa maman avait refusé, et Romane, elle, continuer à se poser des questions. Matéo était très en colère parce que ses parents avaient signé et qu'il n'était pas du tout d'accord avec eux. Alors que Maélyne pensait que ses parents avaient tort d'avoir refusé de signer.
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C'est son truc à lui d'inventer des mots, plutôt que d'en dire des gros. Il traite un chauffard de "cornichon poilu !", une personne désagréable de " concombre à moustaches ! " ou hurle " cucurbitacéééééééééé !" quand le marteau atterrit sur son doigt.
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Bref, j'en étais là de mes interrogations et de mes sueurs froides quand miraculeusement, un matin, en essayant de me regarder une fois de plus sous toutes les faces, je me suis rendu compte que ça y était ! A droite aussi, le petit pois commençait à pointer le bout de son nez.
Ouf ! J'allais avoir DEUX seins !
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"Obéir vous rend libres. Prenez le Parti de la Liberté !", tu parles. A chaque jour de la semaine correspond une couleur, un menu alimentaire, des activités autorisées...
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« Simon non plus n’a rien vu venir. Il a entendu les infos à la radio, de loin en loin, mais il n’y a pas prêté attention, trop occupé à pleurer sa vie perdue. »
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« Ca s’est mis en place petit à petit, on n’a rien vu venir. Tant qu’on n’est pas concernés, tant que ça se passe chez le voisin, on fait le dos rond, nous les premiers. »
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« On ne peut quand même pas changer de peau ! »
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Je voudrais le faire changer d'avis. Lui expliquer que la différence, c'est justement ce qui est beau
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-Mais....il a une arme!
-Il a un flingue , oui...mais nous aussi.
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Et voilà quelle fait un remix du Cluedo : le Colonel Moutarde, avec le chandelier, dans le salon, c'est elle !
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Linus n'est pas comme ça. Il n'arrive pas à mépriser les gens, ni à se moquer de ce qui leur arrive. Beaucoup trop de compassion. Beaucoup trop d'empathie.
Il sait que ça lui joue des tours.
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Si seulement il réussissait à parler de tout ça. A trouver le courage. Mais c'est comme si un Scotch invisible scellait sa bouche. Il se sent tellement minable. Tellement nul de ne pas arriver à se défendre tout seul.
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-Tu peux me parler, tu sais. Je peux tout entendre.
Théa s'était sentie glacée. Elle avait tiré sur ses manches un peu plus fort, pour cacher ses bras en entier.
Je suis un petit soldat. Je me débrouille toute seule.
Il ne faut rien dire. Elle le sait. Il n'a même pas eu à menacer. De toute façon, c'est impossible de parler de ces choses-là. Elle aurait honte, elle se sentirait encore plus sale. Coupable de sa pauvre et horrible petite vie. Elle ne veut pas de ça. Et puis, on ne croit pas les enfants. Alors, elle rit plus fort encore.
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Minuit vingt-cinq.
Mamillia
ne comprend pas ce qui se passe. Elle vient de se réveiller
brutalement. Bien sûr, à soixante-dix ans ça lui arrive plus
souvent qu’à son tour d’avoir des insomnies. Mais cette nuit,
c’est différent. Alors qu’elle dormait profondément, elle a
senti son cœur se serrer tout à coup et ses yeux se sont aussitôt
ouverts. Elle a l’esprit clair, comme en plein jour, et son cœur
ne se calme pas : il bat à tout rompre. Qu’est-ce qu’il se
passe ? Pourquoi son corps réagit comme ça ? P.33


Citation choisie par Sangoku
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Je déteste les crétins qui font du mal aux autres sous prétexte de kilos soi-disant en trop, d'oreilles sois-disant décolées ou de jupes soit-disant trop courtes.
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Comme si le fait d'être gros faisaient de nous des affameurs d'enfants.
lafilledu95
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Mamilia au voleur : « Essaye de bouger. Pour voir … JE suis allée à la chasse avec mon père, quand j’étais gamine. Tu vois, c’est un truc qu’on fait, nous les bouseux de la cambrousse. Et j’ai dézingué quelques sangliers … Alors, c’est pas une bastos dans un genou qui me fait peur. Mets-toi bien ça dans la cafetière ! »
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