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Critiques de Serena Giuliano (2259)
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Ciao bella

Voici mon retour de lecture sur Ciao Bella de Serena Giuliano.

Anna a peur – de la foule, du bruit, de rouler sur l’autoroute, ou encore des pommes de terre qui ont germé… Et elle est enceinte de son deuxième enfant. Pour affronter cette nouvelle grossesse, elle décide d’aller voir une psy.

Au fil des séances, Anna livre avec beaucoup d’humour des morceaux de vie. L’occasion aussi, pour elle, de replonger dans le pays de son enfance, l’Italie, auquel elle a été arrachée petite ainsi qu’à sa nonna chérie.

C’est toute son histoire familiale qui se réécrit alors sous nos yeux…

À quel point l’enfance détermine-t-elle une vie d’adulte ? Peut-on pardonner l’impardonnable ? Comment dépasser ses peurs pour avancer vers un avenir meilleur ?

Mon ressenti

Ciao Bella est le premier roman de Serena Giuliano, mais j'ai découvert cette romancière avec son dernier roman : Luna.

Autant j'avais adoré Luna autant là j'ai eu un peu plus de mal à rentrer dans ma lecture.

Ici, nous découvrons Anna, une femme qui a peur de tout. Une femme touchante certes mais surtout, je l'avoue, un peu.. agaçante ! Elle craint tout ! OK elle a des bonnes raisons, mais j'ai trouvé ça un peu trop.

Elle m'a fait lever les yeux à plusieurs reprises, j'ai trouvé ses jérémiades un peu (beaucoup trop..) fatigantes.

J'ai terminé ce roman il y a quelques jours et je me rends compte que vraiment, j'ai eu du mal à apprécier Anna.

Bon point, il y a de l'humour, certains passages sont très touchants.

J'ai aimé découvrir ce qui concerne l'Italie, une autre culture que j'affectionne et un pays où j'aimerais aller un jour.

Mon avis est un peu mitigé à cause de la personnalité d'Anna, malgré tout j'ai bien aimé Ciao Bella.

Ma note : 3.5 étoiles.
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Luna

Tout comme Ciao bella Serena Guiliano nous emmène en Italie. Dans ses romans elle nous fait voyager et découvrir son pays. J’ai adoré suivre Luna dans son histoire personnelle ainsi que sa bande d’amie loufoque mais toujours là pour elle. Et que dire de Gina la cousine toujours présente, Filomena la voisine au grand cœur et sans oublier Anna et ses proverbes napolitains. Toute une palette de personnage qui rend ce roman touchant et émouvant. J’ai adoré ce livre j’aurais aimé que l’histoire se prolonge. Pour moi cette lecture est un coup de cœur.
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Mamma Maria

Ce roman, c'est la douceur de vivre à l'italienne , la dolce vita, Nous nous posons dans un petit village de la très belle côte amalfitaine. Ce roman est tout en ambiance : tempéraments fougueux et bruyants des italiens du Sud, la cuisine, le café, la scopa,le soleil, la mer et la musique d'Adriano Celentano que j'aime beaucoup. Nostalgie de ma jeunesse et de mes origines!

Ce roman a deux voix, Sofia , jeune femme retournant aux sources après un long séjour en France et Maria femme plus mature et patronne d'un bar, nous parle de tout et de rien, de la vie quoi. Je regrette seulement que les sujets de ce roman ( migrants, racisme, deuil, manque de confiance en soi) restent peu approfondis voire survolés au profit de l'aspect carte postale.
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Ciao bella

Le parfait Feel good book. Mais avec moi ce ne sera pas le coup de cœur. J'en ressors avec un avis mitigé car je pense être passée à côté.

Le premier roman de Serena Giuliano est très sympathique dans son ensemble. Il envoie plein d'ondes positives. Il véhicule beaucoup de messages forts. Mais j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Il m'a fallu un long temps d'adaptation, à comprendre dans quoi je m'embarquais. Je vois bien le retour de bâton, et oui je ne lis jamais la quatrième de couverture. Est-ce une faiblesse pour appréhender un livre? Parfois oui mais souvent il dessert le roman. Je me suis lancée dans cette lecture avec deux copinautes et j'ai vu de très bons retours de bloggeuses. Il m'a fallu une cinquantaine de pages pour bien rentrer dans l'histoire et comprendre l'héroïne et ses phobies.

Une idée originale pour commencer avec des brides de conversation entre Anna et sa psy qui devient d'ailleurs un personnage secondaire fort attachant. J'ai eu du mal avec le personnage d'Anna et toutes ses peurs. Il y en avait beaucoup et certaines me sont passée à côté. J'ai eu du mal à assimiler toutes ses phobies. L'auteure a une plume très fraiche et plein de bonne humeur. Elle m'a rappeler un peu l'univers Virginie Grimaldi. Si je pouvais féliciter l'auteure, c'est d'avoir humanisé un psychothérapeute, rendre le sujet moins tabou. Pour avoir eu une psy, je l'avoue la mienne était moins funcky. L'auteure décomplexe complétement le sujet psy et elle le fait bien. Pas obligé de faire un roman larmoyant et bourré de drames avec une consultation psy. Cela passe très bien avec humour.

Je seras prête à lire les prochaines sorties littéraires de l'auteure. Elle a un joli coup de plume.
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Mamma Maria

Toujours en manque de livres lorsque je pars en vacances, je tombe sur ce livre de Serena Giuliano dont j’avais adoré Ciao Bella. L’histoire se passe dans un village italien avec beaucoup de clichés qui a priori sont plutôt réels donc! Des personnages hauts en couleurs, de bons sentiments, quelques pistes de réflexion sur l’accueil ou le manque d’accueil réservé aux migrants en Italie comme ailleurs, font que l’on passe un bon moment, parfait pour une lecture d’été . Mais j’ai moins aimé que le précédent que j’avais trouvé plus drôle et un peu moins caricatural. Un livre non prise de tête.
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Mamma Maria

Je ne vais pas révolutionner les avis déjà donnés sur ce roman aussi doux qu'un jour d'été face à la mer.



Serena Guiliano nous propose d'accompagner Sofia de Paris à son village italien posé sur une colline face à la mer. "Choisir c'est renoncer", Sofia veut Paris, sa grisaille, sa vie survitaminée et le farniente, la jovialité ou pas d'une Maria, intrusive, aux petits soins, de mauvaise foi, mais aussi tendre à l'intérieur qu'elle peut être cruelle parfois.



Une vie baignée de chaleur et d'absence, du petit bonheur de jouer à la Scopa avant l'heure de l'apéritivo. D'avoir Lella pour amie, comme une soeur qui la comprend, la soutient. Alors, lorsque Franco décide que non, le monde ne l'obligera pas à prendre une décision qui lui briserait le coeur, Sofia embarque dans sa galère et ne lui lâche plus la main.



Une bataille qui amènera Sofia à trouver son chemin mais je ne vais pas divulgâcher l'histoire si délicatement narrée par Serena Guiliano.



Elle nous offre un roman plein d'humanité, une bouffée de lumière de la côte Amalfitaine, une plongée dans les recettes de Maria. Sofia nous embarque, nous impose la question : "et moi, aurais-je su me comporter ?".



Cette histoire qui donne envie de s'asseoir en terrasse, devant un spritz, un limoncello ou le fameux amalfitano, est bien plus qu'une parenthèse ensoleillée qui chatouille les papilles.



Découvrez-le. Il nous laisse croire que nous pouvons dépasser nos inquiétudes pour être plus à l'écoute du monde qui nous entoure. Peut-être enverrez-vous plus de cartes postales désormais ?!



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Mamma Maria

Sofia, traductrice, est revenue dans le petit village où elle a grandi après s'être séparée de son compagnon parisien. Sous la houlette de Maria, la mamma du titre, gérante du café autour duquel s'organise la vie du village, elle tente de se reconstruire à coup de cafés et de cornetti. Mais quand débarque une mère et son enfant venus d'ailleurs c'est toute la vie du village qui va être bouleversée.



J'étais un peu dubitative quant à la lecture de ce roman, prix Babelio 2020, encensé dans de nombreuses critiques et qui me semblait un peu trop feel good pour être honnête (j'ai beaucoup de mal avec ce genre qui me tombe généralement vite des mains). Les premières pages ont confirmé mes craintes : l'auteur nous décrit une Italie rêvée à coup de terrasses au soleil, d'ambiance méditerranéenne, de pâtisseries alléchantes et de couleur locale, c'est (un peu) cliché, (très) gentillet et surtout écrit de manière assez plate, presque naïve. Et puis étrangement la magie de ce roman a opéré sur moi aussi : j'ai laissé de côté mon esprit critique et mon ironie, et me suis embarquée pour un voyage en Italie aux côtés de l'auteur. Car oui, malgré tous les défauts que l'on pourrait trouver à ce roman, c'est une lecture particulièrement agréable dans laquelle on se glisse avec grand plaisir et qu'on savoure comme une bon apéro en terrasse.



Lu à une période où je n'avais pas trop le moral, ce livre m'a fait du bien, m'a fait voyager, m'a rappelé l'Italie que j'aime, sa cuisine, la beauté de ses paysages, son ambiance animée et tout son caractère. Alors oui, c'est sans doute cliché, oui c'est sans doute déjà vu ailleurs, oui c'est bien de bons sentiments mais ça marche. On s'attache aux personnages, on rit de leurs disputes, du choc des cultures quand le gang de papis italiens débarque en France sous la houlette de Sofia, on tremble pour cette maman qui a tout risqué pour sauver ses enfants. Et puis il y a Maria, ce personnage central, beaucoup complexe qu'il n'y paraît, Maria la grande gueule, Maria la générosité, Maria l'âme du village qui éclaire aussi ce roman et nous donne envie de trouver l'adresse du Mamma Maria pour aller y boire un verre.



Moi qui étais plutôt critique au départ, je ne peux donc que vous recommander ce roman au succès mérité ! Si vous avez envie d'un peu de dépaysement, d'une lecture facile et sentant bon le soleil et les vacances, n'hésitez pas, partez pour la côté amalfitaine en compagnie de Mamma Maria. De mon côté, je vais guetter à la médiathèque les autres romans de l'auteur car je me replongerais avec plaisir dans cette ambiance qu'elle sait si bien construire.
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Luna

Luna, trentenaire milanaise, se voit obligée de revenir dans sa ville natale, Naples, au chevet de son père malade.

Le problème, c'est qu'elle déteste désormais Naples, qu'elle ne parle plus à son père, que les Napolitains qui se mêlent de la vie des autres l'énervent et que Filomena, la chatte de son père, fait pipi dans son lit, dans ses chaussures, dans sa valise... pour lui montrer qu'elle est indésirable.



Mais Naples, les Napolitains, sa cousine Gina et la voisine - humaine celle-ci - Filomena, vont l'aider à cheminer pour s'éloigner de cette colère et trouver l'apaisement.



Voilà un roman léger, drôle, facile. Serena Giuliano y distille l'Italie, au travers de sa cuisine, de ses mots chantants, des proverbes Napolitains. Ça fleure bon les pizze frite et les sfogliatelle. C'est moins réussi que dans son opus précédent mais le dépaysement est agréable quand même.



Le roman est plein d'humour, dans sa façon de décrire les Napolitains, dans les déboires avec Filomena - la chatte, pas la voisine - et dans les échanges What's app avec les copines milanaises.



L'auteure aborde quelques sujets qui lui tiennent à cœur (le racisme, les réfugiés sans-abri, la mafia, la maladie ...) mais les sujets ne sont qu'effleurés et peinent donc à porter une émotion qui aurait pourtant été bienvenue.



Bref, un petit roman mignon et léger, qui ne crée pas la surprise mais qui donne bien ce qu'on attendait de lui : un moment de lecture sans prise de tête.



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Mamma Maria

Ce livre est une petite pépite de bonheur ! Il donne envie de prendre un billet simple pour l'Italie, de découvrir toutes les gourmandises et tous les paysages décrits par l'auteure, mais surtout d'aller prendre un café en terrasse de ce bar le Mamma Maria. Les personnages sont très attachants, l'histoire est belle et prenante. Il m'a donné envie de lire le premier roman Ciao Bella. Un excellent livre pour l'été, pour voyager avec les cartes postales de Sofia l'héroïne.
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Luna

Ce roman est un bonbon tantôt acidulé, tantôt sucré.



Luna est une jeune Napolitaine énergique et spontanée. Milanaise depuis que sa mère l'a emmené enfant loin de son père et de la superbe villa qu'ils occupaient.



Enfant, elle a d'abord quitté le quartier animé où elle vivait avec sa cousine Gina pour une maison cossue face à la plage et au Vésuve. Elle en veut dès lors à son père de l'avoir privée de cette cousine meilleure amie, de son absence.



Lorsqu'il tombe malade, Luna se sent obligée de venir à son chevet le temps de sa convalescence.



Luna se redécouvre durant son séjour Napolitain. Naples prend corps et vie sous la plume de Serena Guiliano.



Ce roman est une invitation au voyage et à la cuisine italienne, comment ne pas saliver en regardant Luna et ses amies se goinfrer de gourmandises. Un hymne à l'amitié, à l'acceptation de soi, une dose d'antiracisme et de bonne humeur qui mettent les zygomatiques en position haute.



Les personnages secondaires sont délicieux. Luna et ses émotions contradictoires emplissent le coeur de tendresse.



Sous des dehors de sucre et de miel, des thèmes profonds sont abordés : l'écoute, le pardon, la solidarité, le racisme, l'acceptation de soi, un joli moment de lecture.



Une bulle d'évasion qui fait un bien fou en cette période grise de pandémie.

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Mamma Maria

Allez, on se fait plaisir ! Une petite bouffée d'humanité. Un café, des visages, des voix, des vies. De la musiqiue, de l'amour, des chagrins, des deuils, des enfants, des apéros, des drames. La vie, l'amour, la mémoire, les souvenirs. Une belle histoire comme il est toujours très reposant et très plaisant de se voir conter. Un espace où rien n'est parfait, mais où, pour peu qu'on écoute un peu son coeur, tout commence bien. C'est beau, plein de saveurs, plein de gens. Petit coup de coeur pour ce joli roman qui en ces moments féroces qui nous grignotent nous fait du bien, nous rafistole, nous rappelle à la beauté des choses.

Astrid Shriqui Garain

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Mamma Maria

Une lecture sympathique. Sofia a eu besoin de retrouver ses racines et a décidé de rentrer en Italie, loin de Jérôme.

En quête d'elle-même, elle va se découvrir grâce à de nouvelles rencontres qui vont lui permettre enfin de savoir qui elle est et ce qu'elle veut.

Un moment de lecture agréable, une lecture un peu 'feel good' (c'est comme ça qu'on dit ?). Pas le genre de lecture que je préfère mais il faut reconnaître que ça se lit facilement et que les personnages sont attachants.

Pour moi, meilleur que Ciao Bella, plus abouti.
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Un coup de soleil

Envie de légèreté, d'évasion, de bons sentiments, de beauté, d'amour et où même ce qui pourrait être moche et triste ne le sera pas ?

Alors vous avez choisi le bon roman.



Eléonore est séparée de Sacha. Mais ils se sont séparés intelligemment en gardant à l'esprit que le plus important c'est leurs jumeaux Andrea et Élise.

Sacha est marié, a une petite fille et de l'argent.

Éléonore est femme de ménage et galère pour boucler ses fins de mois.

Elle ne se remet pas d'une relation avec le beau Marco et ne peut se passer de le suivre sur les réseaux sociaux.

Ses semaines se suivent et se ressemblent chez ses clients.

Entre le Docteur célibataire, la douce mamie qui a surtout besoin de compagnie, la femme qui cherche à donner son amour, la voyante et la coincée du --- et celui qu'elle n'a jamais vu.



C'est un roman où la gentillesse, l'empathie, la solidarité coule à flot.

Sans surprise.

Même ce qui pourrait être grave fini sur de la légèreté.

Vol, violence, détresse, déprime, un coup de Giuliano et il n'y paraîtra plus.

Même l'ex est tout douceur, l'appelle "ma puce", lui propose de l'argent, de l'amener avec eux en vacances !



Attention l'abus de bisounours Giuliano peut-être mauvais dans la vie réelle car comme dit l'adage "l'important ce n'est pas la chute, c'est l'atterrissage".



Je pense que Serena en a mis trop d'un coup.



Il reste quand même les bons petits plats fait en Italie qui font saliver.

Serena m'a cette fois trop décrit les gens et pas assez les paysages.

Ce voyage est un peu décevant, pour moi, mais je suis certaine que ses autres lecteurs trouveront leur bonheur entre ces lignes.
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Sarà perché ti amo

Une lecture qui respire le soleil, les vacances, l'amour et l'amitié.



Ile de Procida, Italie.

Alba et Valentin fraichement parents viennent passer 2 semaines de vacances avec Emma leur bébé sur cette île qui a vu grandir Alba. Nino un ami d'enfance doit les rejoindre. Pour la première fois il viendra accompagné.

Gabrielle la compagne de Nino manque cruellement de confiance en elle et appréhende un peu ces vacances. Sera t-elle à la hauteur des amis de Nino ?



Alba est mal dans sa peau. Elle n'a pas perdu tous les kilos pris durant la grossesse, elle est fatiguée et en vient à se poser des questions sur son couple.

Valentin est très attentionné avec Alba et Emma, mais cette tendresse ne suffit pas à rassurer Alba.



Gabrielle est à l'affut de l'approbation de Nino pour tout ce qu'elle entreprend. Cette soumission est de plus en plus visible et commence à inquiéter Alba.



Alba et Gabrielle vont progressivement s'apprécier et se faire confiance. Chacune révélant bientôt à l'autre que la façade qu'elle donne à voir est loin de la réalité. Elles vont partager leurs doutes, leurs incertitudes et chacune aidera l'autre à sa manière à retrouver le chemin de l'apaisement et de la confiance en soi.



Roman choral, les chapitres sont courts et le récit alterne par les voix d'Alba et de Gabrielle.

Pendant quelques heures j'ai été immergée sous le soleil de l'Italie avec l'impression d'écouter 2 amies me raconter leurs vacances.

Un chouette moment !



Un grand merci à l'opération Masse Critique, à Babelio, pour cette découverte et aux éditions Robert Laffont.









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Ciao bella

Cela faisait longtemps que j'avais envie de lire ce roman et voila c'est chose faite. Je ne connaissais pas cette autrice mais quelle belle découverte. J'ai trouvé l'histoire d'Anna, complètement phobique, touchante et émouvante. J'ai adoré suivre son évolutions et son changement de vie. La plume de Serena Giuliano est drôle, agréable, fluide et addictive. Ce livre est un beau message d'espoir et qui transmet un beau message qu'il faut toujours croire en soi.
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Ciao bella

Anna, c'est une dose de Lemon Sherbet Fizz ! Acidulée dans ses réparties, consolée par la douceur du sorbet et picotée par le Prosecco, pétillante de vie. Anna est enceinte de son deuxième enfant, cela la mène chez une psy !



Elisabeth, sa psy, comprend vite que cette Maman survitaminée n'est pas seulement hypocondriaque, flippée, débordante de vitalité. Elle a besoin de parler, d'être entendue, rassurée.



Comme toujours derrière l'humour se cachent les failles, pour Anna c'est San-Andréas, longue et profonde.



266 pages à avoir envie de la bousculer, à sourire de ses réparties, à découvrir ses amies de toujours, son passé. Anna donne envie d'appeler les copines, de faire un apéro même virtuel pour combler la distance...



Anna est tendre, joyeusement déjantée mais elle va affronter ses peurs. On l'admire pour son dépassement de soi, sa résilience. L'auteur nous dépeint une femme de son temps, fragile et solide à la fois avec tendresse et humour.



Un joli moment de lecture.


Lien : https://mespetitesetagerespa..
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Felicità

Como, Italie. Valentina est organisatrice de mariages sur le lac de Côme, un endroit idyllique et romantique, qui attire de plus en plus de monde. Très active dans sa vie de tous les jours, ce travail est fait pour elle, elle aime son métier par-dessus tout. Elle est très bien entourée et rencontre du monde. Il lui arrive aussi d'affronter des situations très improbables, parfois délicates.

Valentina mène une vie heureuse.



Seulement, un drame se produit. Azzurra, sa meilleure amie, son âme sœur, meurt dans un tragique accident. Le deuil semble impossible. Valentina peine à se remettre de cette absence. Si elle tient le coup, c'est grâce à ses amis et surtout à sa petite nièce, Bianca, la fille d'Azzurra.



“Felicità” est le sixième roman de Serena Giuliano et le tout premier que je lis. Lorsque je l'ai vu en librairie, la couverture m'a tout de suite fait de l'œil. Et, la première phrase, en quatrième de couverture, a suffi à me convaincre. Aussitôt acheté, aussitôt lu. J'ai beaucoup aimé cette lecture.



Malgré les thématiques de la disparition et du deuil, c'est une très belle histoire d'amitié féminine, agrémentée d'une bonne dose d'humour.



Les lieux invitent au voyage. La région des lacs italiens est une de mes destinations préférées. Je n'ai pas eu beaucoup de mal à me projeter. C'est un roman qui se lit au son des expressions italiennes et qui sent les bons petits plats que l'on retrouve un peu partout au fil de la lecture.



On se laisse entraîner dans le monde de cette héroïne grâce à la plume sensible, drôle et touchante de Serena Giuliano.

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Un coup de soleil

Un livre agréable, frais, avec de jolis sentiments et de belles valeurs.

L'écriture fluide et les chapitres assez courts, qui représentent chaque jours de la semaine apportent du rythme.

J'ai également bien aimé "l'épilogue", difficile à expliquer, qui est écrit en parallèle de l'histoire.

Par contre, j'ai vraiment eu une sensation d'inachevé, ça manque d'un je ne sais quoi.

L'autrice aurait un peu plus approfondir, 25-50 pages de plus auraient été les bienvenue.
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Mamma Maria

Un seul regret, ne pas avoir commencé ce livre par la fin... De ce fait, j'aurai pu voir la playlist présente, cela aurait amplifié mon escapade italienne...



J'ai passé un agréable moment auprès de Maria, la mamma italienne, et de son fameux bar, le Mamma Maria, si convivial et vivant. Nous y ferons diverses rencontres, dont celle de Sofia, en quête d'elle même, qui on la comprends si bien viens se ressourcer auprès de ses proches et de sa terre natale.



Joli voyage en Italie, tout y est bien décrit entre autres grâce aux cartes postales numériques envoyées par Sofia, une vraie bouffée d'air rafraîchissante qui donne envie de siroter un limoncelli.

Des sujets tels que la tolérance, le racisme, la clandestinité, la solidarité et le deuil y sont traités.



Bref, je ne peux que vous le conseiller, la lecture est rapide et remplie d'humanité, un doux moment.

Hâte de lire d'autres romans de cette auteure.
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Sarà perché ti amo

Grosse déception pour ce livre. Habituellement l'autrice arrive à me faire prendre en aller simple pour l'Italie. Ici je n'ai pas réussi à embarquer. Je n'ai pas retrouvé l'humour, l'humanité, les belles "morales " des précédents romans.

Les personnages manquent cruellement d'âmes, de piments, de finesse. Le manque de finesse est d'ailleurs le plus gros défaut de l'intégralité de ce livre.

La structure du livre donne plus l'impression d'une suite de moments de vie mis bout à bout pour former une histoire.

C'est difficile de faire une mauvaise critique d'une autrice que j'apprécie, mais l'hypocrisie ne fait pas partie de mes traits de caractère.
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