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Citations de Serge Moscovici (18)


Tajfel: « La continuité entre psychologie sociale et psychologie individuelle ou générale. En psychologie sociale, la plupart des travaux, qui se situent dans le cadre d'une approche cognitive, se sont généralement contentés de formuler des lois ou relations concernant la nature cognitive en général et de les appliquer au comportement et à l'expérience sociale. Quelques-unes de ces généralisations et applications se sont révélées être fécondes. »
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« passage d'une psychologie bi-polaire (ego-objet) à une psychologie tripolaire (ego-alter-objet), mutation nécessaire parce que plus conforme à la réalité » Muscovici et Ricateau
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Zimbardo : « Je suis pour ma part convaincu que le but de toute étude du comportement humain (quelle que soit l'étiquette scientifique du chercheur) est finalement de préciser quelles sont les conditions qui accroissent la liberté d'un individu pour qu'il développe ses potentialités, de façon optimale, tout en améliorant du même coup la valeur globale de notre vie sociale.
De façon paradoxale, la recherche psychosociologique a contribué à ce but en faisant ressortir la facilité avec laquelle on peut manipuler et contrôler le comportement humain. Ces démonstrations ont été vues à tort comme des manifestations machiavéliques du pouvoir de l'expérimentateur sur la personne du sujet, ou comme des signes indiquant que l'homme est crédule, naïf et malléable. Tout au contraire, la recherche en psychologie sociale détermine, comme nous allons le montrer, les contraintes imposées à la liberté d'action et indique par là ce qu'il faut faire si nous ne voulons pas perdre notre liberté. »
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Comprendre son entourage implique que l’on range par catégories les gens et les choses que l’on voit, au lieu de les traiter en tant qu’absolument uniques. Par exemple, on catégorise les individus en tant que « Turcs » ou « Italiens », « hommes » ou « femmes », « jeunes » ou « vieux ». Tajfel a émis l’hypothèse que l’acte de catégoriser pourrait, dans certaines conditions, conduire à des distinctions cognitives de même espèce que celles des autoritaires se servant de clichés. Dans une expérience de laboratoire, Tajfel montre à des sujets 8 lignes de différentes longueurs. Chaque ligne est présentée séparément et les sujets sont invités à estimer la longueur de chacune. Dans une condition expérimentale, les 4 lignes les plus courtes sont étiquetées « A », les 4 plus longues, « B ». Tajfel a découvert que le seul fait d’étiqueter les lignes affecte le jugement des sujets. Ceux-ci ont tendance à juger les quatre lignes les plus courtes - les lignes « A » - de longueur plus semblable qu’elles ne le sont en réalité. Ils ont de même exagéré la similitude des lignes « B ». Par contre, ils ont eu tendance à exagérer les différences entre les lignes « A » et « B », en jugeant la ligne « A » la plus longue bien plus courte que la plus courte des lignes « B ». Bref, les sujets ont sous-estimé les différences entre les lignes de la même catégorie, et surestimé les différences entre les lignes de catégories différentes.

Ce que font ces sujets dans la situation délibérément artificielle du laboratoire ne diffère pas grandement de ce que fait celui qui pense par clichés lorsqu’il emploie des stéréotypes. Les sujets catégorisent des stimuli qui diffèrent pris un à un et sont ensuite influencés dans leur jugement de ces stimuli par la catégorisation. Tajfel a soutenu que ses résultats expérimentaux avaient des implications claires pour l’étude des stéréotypes. La simple existence d’une étiquette servant à catégoriser les gens (par exemple « Blanc »/« Noir », « Français »/« Allemand », « homme »/« femme ») pourrait affecter la façon dont on porte un jugement sur les gens catégorisés.
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Toute minorité qui provoque une innovation authentique doit se lancer et continuer pendant un certain temps sans qu il en résulte pour elle aucun avantage sur le plan du pouvoir, du statut, des ressources ou de la compétence
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Weber explique la naissance de cet « esprit du capitalisme » comme le résultat psychologique de la doctrine de Calvin. Tout particulièrement, en passant au crible les écrits des pasteurs puritains, il montre que leurs prêches visent à sanctifier le travail qui apaise le sentiment d'indignité et évite d'avilir nos brèves vies par le péché. Ils dressent la liste interminable des tentations dont on doit se garder : plaisirs mondains ou vaine conversation, sommeil prolongé et loisir oisif, jusques et y compris la méditation religieuse, si elle gaspille le temps qu'il faut donner à sa vocation, voulue par Dieu lui-même.

« Sur ce point, déclare Weber, l'ascétisme protestant n'a, en soi, apporté rien de neuf. Cependant il a sensiblement approfondi cette conception, et de plus, il a créé la seule norme qui fût décisive pour son efficacité : la motivation psychologique pour laquelle le travail en tant que vocation constitue le meilleur, sinon l'unique moyen de s'assurer de son état de grâce. »
En s'adonnant à leur besogne de toute leur âme, riches et pauvres étaient convaincus de pratiquer une forme de dévotion. Mais comment juger de son efficacité ? A ses fruits, bien sûr, signe qu'il agrée à Dieu. Le bénéfice et la richesse n'ont saveur de péché que s'ils détournent du labeur et conduisent à la jouissance. Ils prennent en revanche une valeur de confirmation religieuse s'ils encouragent à chercher le profit pour le réinvestir.

Le capitalisme puritain, donc, « s'opposa avec une grande efficacité à la jouissance spontanée des richesses et freina la consommation, notamment celle des objets de luxe. En revanche, il eut pour effet psychologique de débarrasser des inhibitions de l'éthique traditionaliste le désir d'acquérir. Il a rompu les chaînes [qui entravaient] pareille tendance à acquérir, non seulement en la légalisant, mais aussi, comme nous l'avons exposé, en la considérant comme directement voulue par Dieu ».
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Nous ne disons pas aux gens : " à bas ceci ou cela " , mais nous proposons
une valeur concrète à substituer à une autre valeur
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[Polarisation, taille et diversité du groupe]

Augmenter la taille du groupe serait une manière indirecte d’aiguiser le conflit, du fait qu’on augmente les chances d’y inclure des individus hétérogènes. L'expérience la plus connue est celle de Teger et Pruitt (1967) qui composent des groupes de trois à cinq personnes. La tâche proposée consiste à résoudre les dilemmes d’un protagoniste en optant pour une solution comportant un risque plus ou moins élevé. Les auteurs demandent à ces groupes de se mettre d’accord sur une alternative prudente ou hardie, soit en comparant leurs avis en silence, soit en les discutant à haute voix.

Le constat est simple : les choix communs sont beaucoup plus extrêmes dans les groupes de cinq personnes que dans ceux de quatre personnes, eux-mêmes plus extrêmes que les groupes de trois. En outre, ils polarisent davantage lorsqu’ils discutent entre eux que lorsqu’ils procèdent à un échange muet de notes.

Une autre expérience (Vidmar et Burdeny, 1963), appuie l’hypothèse qu’un groupe étendu doit inclure, statistiquement, une plus large gamme d’opinions qu’un groupe restreint. D’où la probabilité d’y rencontrer une opinion extrême qui aiguise les tensions. Ceci se traduit à son tour par des tentatives affirmées d’aplanir les différends au moyen de discussions plus intenses dans lesquelles chacun s’implique davantage. C’est un résultat inhérent à cette procédure que les décisions sont polarisées. Inversement, on peut exprimer ce résultat ainsi : en réduisant le nombre et la variété des participants au débat public, on augmente les chances d’aboutir à la modération et au compromis.

Nous disposons d’indications plus directes de ce que nous venons d’avancer. Au lieu de confier au nombre le soin d’accroître la diversité, il suffit de composer des groupes hétérogènes ayant les qualités voulues. Recourant au même type de questionnaire sur les décisions en matière de risques, Vidmar (1970) classe les individus selon le degré élevé, moyen ou faible du risque qu’ils prennent. Ainsi que vous l’imaginez, il forme ensuite avec eux des groupes de cinq personnes, les uns purs, comprenant des individus préférant le même niveau de risque (tous « audacieux » ou tous « prudents ») les autres mixtes, composés par exemple de deux « audacieux », un preneur de risques modérés et deux sujets « prudents ». Le groupe une fois constitué discute les divers dilemmes concernant la prise de risque qui devrait être conseillée à un personnage donné, et il se met d’accord sur une des solutions possibles. De manière surprenante, ce sont les groupes mixtes qui choisissent les solutions les plus risquées, alors que les groupes purs ne bougent pas et convergent vers une espèce de moyenne.

Le péril d’extrémisme, si souvent mentionné, ne vient pas, si l’on se fie à ces observations, des opinions outrancières, excessives, des individus, mais simplement des différences qui les séparent. C’est précisément pour conjurer ce péril lointain que les sociétés ont créé et ordonné des disciplines militaires et religieuses. Elles n’ont pas pour but de supprimer, comme on le prétend, le déviant et l’excessif, mais d’organiser la création difficile de ressemblances à un type, extrême ou moyen, peu importe. Est-ce une affirmation vague et gratuite ? Nous allons en juger sans nous laisser rebuter par les études ingrates. Voyons donc le parallèle établi entre la tendance à prendre des risques et les interactions des membres d’un groupe. A savoir : plus le nombre de fois où la discussion est relancée augmente, plus on prend des risques élevés. Proposition parfaitement raisonnable et confirmée à plusieurs reprises. Ainsi, selon le procédé décrit, Willems et Clark (1971) composent des groupes mixtes et des groupes purs réunis dans deux conditions différentes. Dans la première, les individus échangent des informations sur leurs positions respectives ; dans la seconde, ils discutent ensemble. Employant le même matériel que les auteurs précédents, ils observent que les groupes mixtes, plus divers, font preuve de choix plus extrêmes dans l’une et l’autre condition que les groupes purs. Ce résultat semble assez bien établi, de sorte que les auteurs peuvent suggérer que : « le degré de diversité d’opinions dans un groupe est en fait une condition nécessaire pour le déplacement vers le risque observé dans les groupes. Quand les membres du groupe sont d’accord, on n’observe pas de déplacement ; mais quand ils font preuve d’un désaccord substantiel, un déplacement substantiel vers le risque est observé ».
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Le second effet négatif qu’un style rigide de comportement peut avoir sur son influence est donc un effet déplacé qui intervient là où on l’attend le moins. Ceci vient de ce que, même lorsqu’une personne souhaite tomber d’accord avec un autre individu ou un autre sous-groupe sur un sujet, la rigidité du comportement de cet individu ou de ce sous-groupe peut avoir un effet suffisant de répulsion pour empêcher cette personne de réaliser son souhait.
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A cette occasion, j’appris combien il est difficile de faire partager une expérience particulière à celui qui ne veut la voir qu’en termes généraux. J’appris surtout combien il est blessant, combien on se sent aliéné, lorsqu’une expérience vécue comme unique, qui nous a personnellement atteint, nous est renvoyée à titre d’exemple. Seule une expérience partagée a du prix. L’explication qu’en donne l’autre ressemble à un refus, une marque d’indifférence.

Plus tard, je sus que la plupart des communistes eurent la même attitude face aux souffrances de tant d’hommes. Et leur vision de l’holocauste en a été faussée pour toujours. J’ai compris que celui qui se glisse dans le lit d’une doctrine est un homme et celui qui en sort est une idée. Puisque notre communauté était une idée pour Crâciun, les meurtres et les persécutions n’étaient pas des crimes envers des hommes, des femmes et des enfants, mais les conséquences les plus logiques du monde, qu’il fallait accepter, même si on devait s’en indigner.
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Trois principes interviennent donc dans la définition d'un mouvement social : le principe d'identité, le principe d'opposition et le principe de totalité. Ces trois principes doivent être définis d'une manière relationnelle : « Le principe d'identité est la définition de l'acteur par lui-même. Un mouvement social ne peut s'organiser que si cette définition est consciente ; mais la formation du mouvement précède largement cette conscience. C'est le conflit qui constitue et organise l'acteur... On doit définir de la même manière le principe d'opposition. Un mouvement ne s'organise que s'il peut nommer son adversaire, mais son action ne présuppose pas cette identification. Le conflit fait surgir l'adversaire,
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Quand on s’interroge sur le grand et le petit, que voulons nous ? La massification, c'est-à-dire la concentration de tout le monde dans des énormes villes ? Quand on parle de la pollution, à Paris, mais surtout à Mexico avec ses 20 millions d’habitants, le problème fondamental, c’est celui de la massification. Poser le problème de l’agriculture et de quel type d’agriculture. Des inégalités. Mais prenons un autre problème, celui du temps. Le problème du temps, les cycles, c’est important dans le rapport à la nature, c’est quand même aussi le bien-être physique des gens qui est en question. Je pense que nous sommes peut-être parmi les premiers à avoir proposé la semaine des 32 heures. Mais quand on pose la question de la semaine de 32 heures, est-ce que c’est un problème quantitatif ou d’organisation de la vie ? De même, on sait aussi que grâce à l’hygiène, aux découvertes de la science, on arrive à un rallongement de la vie. Les gens se demandent si on aura de l’argent pour payer les retraites mais il faudrait se demander ce que sera la vie pour quelqu’un qui vit en bonne santé jusqu’à 80-90 ans. Que vont faire les gens arrivés à un certain âge ? Vont-ils tous devenir téléspectateurs ? De même, il faut poser la question de la famille. Celle de la ville. Et pas seulement comme question une question d’architecture, il faut penser le problème urbain en soi. Je pense que les écologistes doivent penser à tout ça en introduisant quelque chose auquel les gens ne pensent pas : le problème du rythme et du temps. Les gens pensent uniquement dans l’«espace ». Il y a énormément de problème sociaux qui ne sont pas que quantitatifs…
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Il faut être deux pour faire une vérité
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Pourquoi les protestants prenaient-ils tellement au sérieux l'idée de prédestination ? Qu'est-ce qui leur rendait si insupportable la dissonance avec l'idée de vocation ? En effet, beaucoup d'individus et de groupes se sont accommodés de telles doctrines. Et nous tolérons souvent ce genre de dissonances et de conflits sans chercher à les résoudre à tout prix. Les chrétiens en ont supporté de semblables, pendant des siècles, sans chercher à forcer la solution. Par elles-mêmes, idées et croyances ne provoquent pas une incertitude ou une tension intolérable. Nous nous accommodons aujourd'hui fort bien de la dissonance entre la liberté et l'égalité, qui provoquait des affrontements sanglants il y a moins d'un demi-siècle.

Or cette supposition est fort simple. Comme toutes les minorités et tous les hérétiques, pour éviter le doute, le découragement, les protestants sont forcés d'adhérer à leur croyance comme une huître à son rocher. L'adhésion est fortifiée par un consensus que ces groupes s'imposent et ont tendance à surestimer. A cette condition, leurs membres acquièrent un caractère bien trempé et ils triomphent de l'hostilité du monde extérieur. On peut dire de nombreuses communautés puritaines ce que l'écrivain américain Arthur Miller disait de celle de Salem au XVIIe siècle :

« C'était cependant une autocratie de consensus, car ils étaient unis du sommet jusqu'à la base par une idéologie commune dont la perpétuation était la raison et la justification de toutes leurs souffrances. Aussi leur abnégation, leur détermination, leur suspicion envers toutes quêtes vaines, leur justice à la poigne de fer, étaient des instruments en tout point parfaits pour la conquête de cet espace si hostile à l'homme »
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Attitudes centrales - Morales Valeurs – Langage, Style - Tradition Modernité :

- Idéalisme, Pessimisme (8%)
Morale stoïcienne Valeurs : l’amour-passion, quête d’absolu, anticonformisme social, amour courtois
Culture littéraire, style classique ou romantique
Eléments de traditionalisme prédominants
Rejet de la modernité ambiante

- Idéalisme spiritualiste, romantique, optimiste (32 %)
Morale à la fois de la transcendance et de l’excès, de la transgression
Langages poétique, hyperbolique, lyrique, emphatique
Amalgame de la mythologie occidentale avec le modèle américain de la new chastity, rejet du modèle de la révolution sexuelle

- Idéalisme, Rationaliste, Volontariste (25 %)
Morale de l’équilibre, du compromis, de la tolérance, de la lucidité
Langage souvent philosophique ou psychosociologique plutôt neutre, terne, concis
Eléments de modernité : aspiration à la positivité ; volonté d’expérimentation ; rejet du verbiage abscons et du manichéisme systématique

- Relativisme, Réaliste, Positiviste (11%)
Eléments de modernité : « neutralisme » psychologique ; intellectualisation de l’affectif ; indifférence aux valeurs morales

- Hédonisme, Sceptique, Anti-romantique, Pessimiste (12%)
Morale du plaisir, de la jouissance immédiate
Langage peu construit, argotique, elliptique, parfois familier ou humoristique
Adhésion aux valeurs de la révolution sexuelle, insertion dans le courant moderniste dominant

Environ 12 % des sujets expriment un sentimentalisme vague, à travers des réponses brèves, sans implications psychologiques ni idéologiques assignables.

Ces images et ces discours se distinguent significativement de ceux d’un échantillon d’adultes dont la majorité définit l’amour, non en référence à l’absolu mais par la réciprocité dans l’échange et l’intimité heureuse, tout en insistant moins que les jeunes sur l’exclusivité et le rôle de l’imagination.
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Attitudes, types, discours amoureux

D’autres travaux induisent des typologies plus complexes qui distinguent six cas :

- Eros, l’amour passionnel, souvent consécutif à un « coup de foudre » ;
- Mania, l’amour possessif, alliant jalousie et anxiété quant à l’amour du partenaire ;
- Ludus, l’amour ludique - ni intensif, ni exclusif, parfois papillonnant ;
- Storge, l’amour-amitié, sans passion mais tendre et durable ;
- Pragma, l’amour raisonnable, soucieux de trouver un partenaire capable et bien assorti ;
- Agape, l’amour désintéressé, altruiste jusqu’à l’abnégation.
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Le terme de conversion peut à la fois désigner un changement d'opinion ou de croyance, le passage d'une croyance considérée comme fausse à une vérité présumée, et un changement de conduite, l'abandon de pratiques considérées comme condamnables en faveur de pratiques meilleures.
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"Après la dépression, on entre dans une quatrième dimension. On bascule dans le manque de confiance et d'estime de soi, l'épuisement psychique vous submerge et ce qui se passe à l'intérieur, mentalement et physiquement, prime sur tout le reste" (page 342)
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