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Critiques de Simonetta Greggio (358)
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Les mains nues

Vétérinaire de campagne, Emma vit seule. Giovanni, 14 ans, vient de fuguer. Et c'est chez Emma, qui l'a vu naître, qu'il trouve refuge. Nait entre eux une véritable histoire: amour, amitié, tendresse? Un mélange de sentiments un peu confus. Le passé entre Emma et les parents de Giovanni est toujours présent en sa mémoire. C'est pour cela qu'elle veut qu'il parte. En vain. Lorsque la mère de l'adolescent vient le chercher, elle suppose et croit comprendre. Sa colère de mère s'ajoute aux blessures non cicatrisées du passé. Alors elle agit.

Jusqu'où peut-on aller pour se venger? A quel point la rancune et la veangeance peuvent-elles intervenir? Quels sentiments peuvent exister entre un adolescent et une femme d'âge mûr?

Autant de sujets délicats traités avec finesse dans ce livre. Un roman qui peut déranger, mais qui reste sincère.
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L'odeur du figuier

J'ai acheté ce livre, car la couverture et le titre du livre me faisaient déjà m'évader. Je pensais au ciel bleu, soleil, et grillons.

Envie de légèreté, de joie de vivre.

J ai pris mon livre dans mon sac de piscine, ravie de me plonger dans une ambiance estivale avec les premiers rayons de soleil.

Mais quelle déception! Si le décor est bien posée, les histoires ne m'ont pas accrochées, trop tristes, pesantes, je ne m'attendais pas à cette noirceur.

Je ne le recommanderai pas!
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L'homme qui aimait ma femme

Profondémenr ennuyeux;je me suis arretée à la page 50 sans avoir trouvé un quelconque inerêt à ma lecture
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L'homme qui aimait ma femme

Un début qui m'a vraiment emballé, des personnages complexes, des parallèles avec Jung... Et puis, cela devient fouillis, on se perd dans les multi voix. Et surtout, le personnage d'Allis m'a vraiment paru de trop, narrateur-auteur de ce récit... Elle rajoute un peu de son histoire ce qui pour moi, n'a vraiment rien apporté à l'histoire principal du trio amoureux...
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Dolce Vita: 1959-1979

Pour comprendre l'Italie, il importe de lire deux romans. le premier est un grand classique: Le Guépard de Lampedusa. Ce livre met en scène la création de l'Italie, sous la férule de Garibaldi et de ses chemises rouges. Cela se passe à la fin du 19ème siècle.

Le second roman est celui de Simonetta Greggio: Dolce vita 1959/1979.

Là, on assiste à l'évolution brutale de l'Italie. On est est aux premières loges pour assister au basculement du pays. 1959, c'est encore le miracle économique. Le pays se modernise. Il y a une certaine joie de vivre. cela se traduit dans l'age d'or du cinéma... Mais en filigranne, se profilent des tensions latentes... les nantis en profitent, et font main basse sur les grands leviers de l'Etat. le petit peuple lui, trime dans les usines de Fiat, ou dans les ateliers de Vespa... cela se traduit par des luttes politiques fortes. Les communistes revent de gagner les élections... Les bourgeois complotent.... sans compter la Mafia entre les 2. A partir de là, le pays va glisser vers les Années de Plomb. Assassinats de grands capitaines d'industrie, de cinéastes. D'hommes d'Etat. Avec sans doute la complicité de la CIA et du KGB.

Ce roman est donc très prenant. C'est un témoignage qui prend tout son sens à l'heure ou Berlusconi tente une nouvelle fois de revenir...

Certes, le style est parfois à la traine... De la à se demander si l'auteur ne voulait pas écrire un essais. Mais afin de ne pas devenir une cible, elle a sans doute écouté les conseils de son éditeur... Elle a recyclé sa documentation sous la forme d'un roman. Sous l'étiquette Fiction, c'est plus prudent. Cela ne vexe personne. Et pourtant...
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L'odeur du figuier

5 petites nouvelles de qualité inégales mais tout à fait savoureuse. de quoi donner goût aux maux de Simenetta Greggio !
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L'odeur du figuier

L'odeur du figuier de Simonetta Gregio, un titre qui nous fait comme un sentiment de détente . Une douce mélodie sortis d'Italie qui s'est imprégnés de ce livre . Sous une avalanche de poésie, on retrouve des sujets pas forcément d'un calme plat ; l'amour , le chagrin, l'obésité et les problèmes de couple .

On respire l'été dans ce recueil, la nostalgie, d'enfance et l'amour. Ce mixte fait un délicieux mélange !

5 nouvelles qui se trouvent liés entre elles forment ce magnifique ouvrage ! Que dire ? La plume de Miss Greggio n'est plus qu’entraînantes !

Les personnages souffrant chacun de l’absence d'une personne , du manque d'amour et leur soupir qui n'en font qu'un au final . Le désir de liberté, d'aller plus loin, pourquoi on ne peut pas obtenir ce que l'on veut ?

Au fond , le lecteur se sent attiré par les personnages et il a envie de les voir respire cette odeur qui semble flotter dans l'air jusqu'à ce qui'ils la respirent et partent . Le lecteur a envie de les voir changé et c'est ce sentiment que -à ce que je pense- l'auteur a essayé de nous faire ressentir .

Trouver notre voix . C'est ce qu'on essaye de nous dire à travers les mots de l'auteur . On observe ces personnages mais on ne sait jamais vraiment qui ils sont , mais l'on est acteur de nous-même . CE livre n'est pas là pour nous faire réfléchir mais pour nous dire d'oser , d'insister et aller plus loin !

Un mélodrame sentimentale et poétique , L'odeur du figuier nous conquit de toute part .
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Dolce Vita: 1959-1979

Du réseau Gladio, préambule à l'ère berlusconienne.
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L'homme qui aimait ma femme

Grâce à l'alternance habile des narrateurs, Simonetta Greggio aménage le suspense, chaque chapitre, riche en rebondissements, déclinant, sur fond de XXe siècle finissant, la vibrante symphonie des émotions.
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La Douceur des hommes

"Ma vertu, c'est les hommes. Mon rythme, c'est eux. Leur douceur. Il faut juste leur en laisser la possibilité, tu sais, le droit de l'être. C'est si dur de devenir un homme : c'est pour ça qu'il leur faut cacher cette douceur."



Une rencontre sur la terrasse d'un restaurant, friture de poisson et vin blanc. Une jeune et une vieille femme. Rencontre entre une "voluptueuse avec sagesse" et une silhouette traversant les pays sans véritablement se connaître. Fosca et Constance. Elles parleront, jusqu'à tard dans la nuit, et décideront d"un voyage. Constance nous dit ce voyage, le dernier pour Fosca, son premier vrai voyage, pour elle.



Durant ce périple, Fosca raconte cette douceur, cette douleur heureuse d'aimer, d'avoir été aimée par ces quelques hommes, ces hommes qui ont façonné son corps, ce corps auquel elle accordera bientôt le repos. Confession, bilan, journal intime à retardement, mais surtout, un hommage. Ce voyage prend pour Constance une autre allure que ceux qu'elle effectue pour son travail. "Testeuse" de sites touristiques pour un tour operator : "Mes chambres d'hôtel". Fosca lui permet cette pause qu'elle ne s'est jamais accordée. Fini le jet-lag, "je n'ai jamais été de nulle part, j'ai été partout de passage, jusqu'à Fosca". Comme une halte, Un pied-à-terre.



C'est dans l'une de ces chambres que Fosca la quittera, lui donnant un nair de mausolée : "La souffrance, ma Constance, vient de la résistance au changement. Je vais me laisser glisser, ne rien faire pour me retenir, même si je devais durer quelques heures de plus, quelques heures de trop". C'est ainsi je pense, qu'elle souhaitait mourir, un lieu qu'elle connaît, qu'elle aime, mais qui n'est pas chez elle. Ne pas laisser le poids de la mort hanter sa maison, dans laquelle retournera Constance. Ne laisser aucune ombre sur le souvenir.

Sur la table de la cuisine, une lettre, pour elle, qui balaie tout sur son passage : "comme si soudain un grand coup de vent avait soulevé toutes les feuilles mortes que nous avions soigneusement mises en tas dans un coin de notre jardin."

Chez Fosca, elle découvrira des centaines de cahiers de recettes, si particuliers. Mais surtout, un "journal-correspondance". Elle finira ainsi l'histoire que n'a pu achever Fosca de vive voix. Elle découvrira le secret de Fosca, de la vie, cette philosophie positive qu'elle imposait, qu'elle s'imposait. Pourquoi. Pourquoi elle. Pourquoi ce voyage... :

"Chagrins, nuits d'amour, secrets de Polichinelle, de feuille morte, de morte-eau, de morte-saison... Il y a des choses que l'on ne peut faire que dans l'aile sombre de la nuit : retrouver les caresses, renouer les mains qui ont été séparées, remonter le cours des larmes".



Une écriture personnelle, ciselée, joueuse aussi. Romantique aussi, sans être romanesque, ni romancée. Une traversée de la vie, de l'amour, un brin philosophe, tendre, sans regret. Tout un poème : "Pendant mon rêve, j'ai découvert où vont les vagues quand elles meurent sur la grève et la flamme d'une bougie quand on la souffle. Où vont les vieilles chansons dont on a oublié le refrain.Où vont les amours impossibles et aussi les amours vécues et finies. les baisers non donnés. Les caresses et les regards incompris..."
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L'homme qui aimait ma femme

La romancière rappelle les temps forts de quarante ans d'une certaine histoire de France, de Mai 68 à la récession d'un XXIe siècle (mal) naissant, en passant par les paillettes du néolibéralisme des années 1980
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Dolce Vita: 1959-1979

Simonetta Greggio n'épargne personne sans que pour autant le sarcasme politique prenne le pas sur le roman. Il y a un évident sens du rythme et un côté feuilletonesque, une capacité à intégrer une documentation très précise et abondante dans la fiction. C'est fluide, efficace, intelligent et trépidant
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L'homme qui aimait ma femme

Simonetta Greggio explore ici les affres amoureuses de personnages pris dans le tourbillon de la passion, conduits à la trahison et à la destruction.
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Dolce Vita: 1959-1979

Greggio est à la hauteur de ses ambitions et voltige du roman noir au documentaire politique sans se perdre en chemin.
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Dolce Vita: 1959-1979

Constitué de petites scénettes de quelques pages, avec en fil conducteur les repentances d'un prince, ce livre offre un visage de l'Italie entre 1959 et 1979 (âge d'or du cinéma, brigades rouges, lien entre la MAFIA et le pouvoir...)
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Étoiles

Étoiles nous parle de la séparation, et plus précisément de la fin de la vie telle qu’elle existe au sein du couple, de la nécessité de se reconstruire. Ce thème, qui n’aura de cesse de tourmenter certains esprits, est pour la plupart du temps abordé dans le sens du déchirement, de la haine et autres émotions négatives. Au contraire, Simonetta Greggio prend cette situation subie comme l’occasion d’un nouveau départ...

Lire la suite : http://www.bizzetmiel.com/2011/08/simonetta-greggio-etoiles.html
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L'odeur du figuier

Des thèmes récurrents : l'amour, la séparation, la douceur, les morsures du couple, la solitude éternelle et puis l'Italie d'hier à aujourd'hui, avec sa tendresse, sa gourmandise, sa saveur juteuse et molle, comme une figue mûre : Simonetta Greggio montre une fois de plus son talent de narratrice, écrit un français soigné et savoureux [..]. Voilà une incontestable réussite du genre.
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Dolce Vita: 1959-1979

C’est pourtant de la première projection privée de ce film de Fellini que tout découle dans ce roman historico-journalistique retraçant une histoire de l’Italie entre 1959 et 1979.

Le prince Malo et le jésuite Saverio se parlent pendant 400 pages. De leur histoire intime et commune finalement assez peu, mais Saverio entend l’étrange confession de Malo, qui à 85 ans, s’approche de la mort après avoir non seulement mené grand train mais surtout goûté à tous les plaisirs et vices qu’offre le monde.

Vingt ans vus sous le prisme de cette Dolce Vita, de l’Italie comme on la rêve et que S. Greggio nous dévoile à revers, mêlant mafia, complots politiques, terrorisme de droite et de gauche, la fameuse loge P2, mais aussi l’histoire occulte et les pratiques toujours sombres du Vatican.

Comme une espèce de point commun à ces visions diamétralement opposées du monde mais qui se ressemblent et se rassemblent, plus qu’on ne l’imagine.

Un roman policier presque, une enquête quelques fois, mais plus encore des faits mis bout à bout et qui glacent le sang. L’Italie, un pays qui n’aurait pas soldé toute son histoire sombre et continuerait de vivre au cœur de ces dépendances mafioso-vaticanes ? Peut-être. Est-ce bien le seul pays en ce cas ?

Un très bon moment en tout cas et lu pendant un de mes séjours italiens, une envie folle de voir le film et de me jeter dans la Fontaine de Trevi.

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