Stan Sakai

« Les paysans aussi ont le sens de la loyauté et de l’honneur, Usagi. » (p. 173)

« Bon ! Je n’ai jamais fait preuve d’aucun bon sens… » (p. 8)

« Je ne peux pas être responsable de tous les malheureux de ce monde. J’ai ma propre vie. Je ne peux pas veiller sur quelqu’un d’autre. » (p. 85)

« Usagi est un ami du clan Geishu et nous a aidés bien des fois. » (p. 89)

« Je méprise cette politique de nous séparer des étrangers. Pensez à tout ce qu’on pourrait savoir en plus si on pouvait échanger nos connaissances. » (p. 112)

« Te mêle pas de ça, samouraï ! Ce ne sont pas tes oignons ! / Si on menace un enfant, c’est les oignons de tout le monde. » (p. 34)

« Oh non ! Ce regard, je le connais ! Tu vas encore intervenir, pas vrai ? Tu fourres toujours ton nez là où il ne faut pas ! » (p. 17)

« Je déteste les belles journées. Elles finissent toujours par mal tourner. » (p. 56)

« Nul n’est au-dessus des lois ! La justice est à tout le monde ou à personne ! » (p. 93)

« La tyrannie militaire s’est abattue sur notre pays à la disparition de l’épée sacrée. Lorsque l’empereur aura en sa possession le dernier des trois trésors divins, ce sera aux yeux du peuple le signe que les dieux souhaitent son retour au pouvoir. » (p. 79)

« Laissez-moi parcourir un bout de chemin avec vous. Une bonne compagnie et aussi enrichissante pour l’âme que les beautés de la nature. » (p. 152)

« Après le dîner, je vous raconterai la fois où j’ai rencontré l’infâme vagabond au fromage fondu ! » (p. 78)

- Où est ton coéquipier ?
- Il a été tué.
- C'est le destin d'un bon ninja !

Le shogun n'avait pas encore fermement établi son règne... et ceux qui se languissaient de pouvoir étaient prêts à tout pour l'obtenir. C'était une époque de guerre imminente, d'agitations politiques, d'intrigues et d'assassinats...

Même les fauves se font surprendre par derrière !

- Comment vaincre une telle créature ?
- Il faut avoir la foi !

Les tengus sont célèbres pour leur maîtrise de l'épée.

- Il faut être un peu bizarre pour devenir prêtre ! Tu crois qu'une personne sensée prononcerait ses vœux ?

- Monseigneur !
- Lève-toi, Inushiro. Je ne suis plus un seigneur à présent... mais un paysan. Je suis content de te revoir mon ami. Mais tu voyages avec compagnons intéressants... deux samouraïs... et un ninja neko. Dans quoi t'es -tu fourré, Inushiro ?

Les ninjas neko sont au-dessus de des émotions inutiles.