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Usagi Yojimbo tome 10 sur 33
EAN : 9782888901396
142 pages
Paquet (24/01/2007)
4.21/5   12 notes
Résumé :
Exorciser des démons et combattre des ninjas est le quotidien d'Usagi Yojimbo, un samouraï sans maître qui erre à travers le Japon féodal pour combattre l'injustice et cultiver ses talents guerriers et spirituels. Alors qu'il voyage par monts et par vaux, traversant villes et campagnes dans sa quête de l'harmonie, Usagi est confronté à toute une galerie de personnages tous plus particuliers les uns que les autres : un village de cultivateurs d'algues, un marchand de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Ce tome 10 regroupe les récits suivants :

Dans "Kaiso" (août 1995), Usagi est hébergé par un cultivateur d'algues et l'auteur se fait une joie de nous expliquer tous les tenants et tous les aboutissants de cette activité professionnelle métier traditionnel... La tension est vive entre les deux villages voisins et concurrents qui s'accusent mutuellement, et Usagi le justicier errant qui n'est pas né de la dernière pluie identifie immédiatement le fauteur de troubles avant de lui tendre un piège !

Ah ça, on n'est dans le marchandising de chez Mickey Mouse hein !

Dans "Deux inconnus se rencontrent" (octobre 1995), Usagi est la cible de tueur engagé par le bankster du récit précédent et l'artiste martiale dénommée Inazuma lui sauve la mise en guise de remerciement pour un bon geste qu'il avait eu en sa faveur. Nous sommes dans le foreshadowing puis la géniale épéiste est appelée à devenir un personnage récurrent, mais pas seulement : entre le bankster qui ne pense qu'à l'argent (pognon, pognon, pognon !) et son sbire qui ne parle que d'argent (pognon, pognon, pognon!) nous sommes peu ou prou dans la caricature des années fric !

Dans "L'Âme noire" (avril 1995), Keiko et son grand-père sont brutalités par des malfrats sans foi ni loi. le grand-père est assassiné et Keiko s'apprête à devenir leur victime quand survient Jei, le nettoyeur des dieux qui fait place nette mais qui décide ensuite d'épargner Keiko... le démon a-t-il conservé en son coeur un part d'humanité où le maître vient-il de trouver son apprenti (car toujours par deux les Siths vont ^^) ?
https://www.youtube.com/watch?v=9sGdpCt168M

Dans le récit en deux parties "Noodles" (avril/mai 1996), Usagi retrouve la voleuse à temps partielle Kitsuné qui désormais fait équipe avec un géant muet mentalement déficient. Par de chance pour eux, la ville est victime d'une troupe criminelle couverte par un notable corrompu souhaitant renflouer ses finances, mais la grogne montant chez les marchands le magistrat met la pression sur ce dernier déjà bien pressuré par ses créanciers. le notable corrompu s'empresse de faire crucifier le pauvre Noddles comme bouc émissaire et Kitsuné qui lui avait promis de le délivrer mais qui s'est fait prendre de vitesse est anéantie... Quand la justice est impuissante à condamner les puissants (« forte avec les faibles, faible avec les forts » : telle est la devise de la justice officielle qui depuis le temps semble être de classe), il reste toujours la vengeance ! Quand il n'y a plus rien à attendre des autorités qui s'acharnent contre les voleurs de poules en couvrant les voleurs de chevaux et en cirant les pompes des voleurs de terres, il faut s'en remettre aux hors-la-loi : entre Robin des bois et Arsène Lupin nous sommes dans la grande tradition des romans populaires quand Kitsuné et Usagi organisent la chute du notable corrompu !

Dans "Les Démons de la forêt hantée" (juin 1996), Usagi retrouve les démons de forêt de "La Bobine de fil emmêlé" (voir tome 7) qui hantent une jeune fille qui l'a traversée... Il organise la lutte contre les créatures de la nuit mais attention un yôkai peut en cacher un autre ! ^^

Dans "L'Histoire du Bonze" (juin 1996), le prêtre Sanshobo raconte à Usagi la tragédie qui l'a fait passé de guerrier à moine car l'auteur veut approfondir ce personnage qui est appelé à devenir récurrent...

Dans "Les Chauve souris, la féline et le lapin" (juilet 1996), Chizu est poursuivie par les ninjas komori (= chauves-souris) qui veulent lui dérober le secret d'un nouvel explosif surpuissant et le lapin rônin prend la défense de la très féline kunoichi (= femme ninja). Pour la sauver, Usagi est obligé de remettre la formule à ses ravisseurs mais faute d'en connaître la clé orale leurs ambitions récoltent un grand BOUM meurtrier... Et au final, Chizu vole encore un baiser à Usagi : quel tombeur notre lapin rônin ^^

Dans "Le Col des chrysanthèmes" (août 1996), des partisans du Seigneur Hijiki ont mis un contrat sur la tête du Seigneur Miyagi et Usagi se retrouve prix à parti. Est-ce qu'un kagemusha suffira à tromper les ninjas Mogura (= taupes), un sniper décidé et assassin déguisé en vieux marchand de médicaments. Usagi est sur ces gardes certes, mais l'intérêt du récit est qu'il est davantage raconté du point de vue des assassins que du justicier errant (héritage "Lone Wolf et Cub" !).

Dans "La Foudre frappe deux fois" (octobre 1996), Inazuma raconte sa vie passée avec Hirashi le jeune et beau samouraï avec lequel elle s'était enfuie... et qui aurait pu être celle de Kinuko et d'Usagi si les choses avaient tourné autrement (voir tome 9). le manque d'argent détruit leur couple, et tandis qu'Hirashi se perd dans on addiction aux jeux de hasard au point de se faire tué par le dirigeant d'un tripot Inazuma devient une artiste martiale suffisamment accomplie pour venger la mort de son mari... Et c'est ainsi que le personnage qu'elle interprétait dans la rue est devenu réalité ! La chute est inattendue et surprenante, quoique non nécessaire pour le récit soit intéressant en lui-même...
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Ce tome comprend les épisodes 15 et 16 de la série Mirage, initialement publiés en 1995, ainsi que les épisodes 1 à 6 de la série suivante publiée par Dark Horse, en 1996. Tous les épisodes sont écrits, dessinés et encrés par Stan Sakai. Ils sont publiés en noir & blanc. Il est possible de lire ce tome sans rien connaître du personnage. Ce tome comprend plusieurs histoires complètes. Il commence par une introduction dithyrambique de Kurt Busiek, l'auteur de Marvels (avec Alex Ross) et de la série Astro City (par exemple Des ailes de plomb).

Dans la première courte histoire, Jei (un rônin macabre) sauve Keiko d'une bande de malfrats, mais son père périt sous ses yeux. Sur la route, Miyamoto Usagi rencontre un paysan chargé de branchage. Il l'aide à porter son fardeau et l'accompagne jusqu'à son village. Les habitants sont en fait des pêcheurs qui cultivent des algues rouges (nori) qui, après séchage, sont vendues sous forme de kaizo, les algues séchées pour la cuisine. Usagi aide ces villageois à trouver une entente avec ceux du village d'à côté, soupçonnés de voler leur récolte d'algues.

Par la suite, Miyamoto Usagi bénéficie de l'aide d'une rônin appelée Inazuma, pour se tirer d'affaire contre une bande d'hommes de main recrutés par un homme d'affaires souhaitant se venger. Dans le village suivant, il retrouve Kitsune (une voleuse au grand sourire) avec Noodles un simple d'esprit qu'elle a pris en charge. Ils doivent se sortir des griffes d'un responsable de la police, coupable de prévarication. Il aide une femme alitée dans une auberge, et accablée par un démon (qualifié de Nue). Il fait équipe avec Chizu, une ninja, contre le clan ninja des Komori. Enfin, il fait une partie de chemin avec Icho, un apothicaire itinérant.

Cette série met en scène un rônin, effectuant une forme de pèlerinage spirituel (Musha shugyō), dans le Japon du début du dix-septième siècle. Stan Sakai a pris le parti de représenter ses personnages sous formes d'animaux anthropomorphes, à 4 doigts (ainsi Usagi a la forme d'un lapin). Il adopte une narration tout public, portée par des personnages mignons, sans représentation des blessures à l'arme blanche. Toutefois les sabres servent bien à se battre, et à tuer ; les personnages meurent sous les coups.

Une fois que le lecteur s'est acclimaté aux spécificités de la narration de Stan Sakai, il prend grand plaisir à retrouver ce personnage courageux et décidé, de tome en tome. Malgré tout, Miyamoto Usagi ne peut pas être réduit à l'archétype du héros. Il n'hésite pas se servir de ses sabres quand il est provoqué, et à tuer ses adversaires. Il tolère que Kitsune exerce le métier de voleuse, sans chercher à l'appréhender. Il est incapable de mettre un terme aux exécutions réalisées par Chizu. Bien souvent, il se retrouve simple individu au milieu d'enjeu qui le dépassent, et dont la résolution ne dépend pas que de lui. Par là-même, l'auteur adopte un point de vue plus adulte qu'enfantin puisque le monde ne tourne pas autour de son personnage principal qui se retrouve dans une position parfois secondaire, voire de simple figurant.

Le principe de samouraï errant donne une grande liberté à l'auteur pour balader son personnage d'une situation nouvelle à une autre. Comme souvent il en profite pour inclure des éléments culturels ou historiques. Dans ce tome, le lecteur peut donc découvrir la récolte d'algues rouges à cette époque. À nouveau, il peut constater que Stan Sakai ne se contente pas d'évoquer vaguement une pratique piochée à la va-vite dans un manga. Il intègre de manière organique cette culture à son intrigue, en en faisant un constituant central. Il ne transforme pas son récit en un cours sur ces récoltes. Par contre il donne envie au lecteur d'aller se renseigner sur l'utilisation de ces algues dans la cuisine japonaise. Comme d'habitude également, les dessins simples (mais pas simplistes) permettent de se faire une idée concrète des installations de pêche en un coup d'oeil, sans non plus avoir l'impression d'un dessin de technicien.

D'un point de vue historique, l'auteur évoque également en filigrane les relations avec les européens dans le cadre du commerce, et l'enjeu que constitue la poudre explosive. À nouveau cet élément est intégré avec naturel dans le récit. Un lecteur habitué des mangas de sabre comprend mieux la réaction horrifiée d'Usagi devant cette avancée technologique, puisqu'elle marquera le début de l'obsolescence de l'art du sabre, et donc des samouraïs.

Le traitement réservé aux ninjas peut déconcerter le lecteur. Stan Sakai a choisi de représenter leurs capacités de camouflage, de dissimulation, et d'utilisation d'armes spécifiques. Il leur a donné l'apparence de chauves-souris anthropomorphiques, avec des ailes, et une capacité de vol autonome. le lecteur est invité à l'interpréter comme une licence artistique pour donner à voir les capacités d'espion des clans de ninjas. En plus de l'effet déstabilisant de voir ces chauves-souris anthropomorphes, le lecteur constate qu'une fois encore il s'agit de ninjas incompétents, incapables de mener une mission à bien, et succombant en grand nombre sous les coups de Miyamoto Usagi et de Chizu.

Ces ninjas ne constituent pas le seul élément surnaturel du récit puisqu'Usagi se bat également contre une créature surnaturelle, issue du folklore japonais. C'est là encore le choix de l'auteur de mettre en scène des monstres du bestiaire folklorique, comme s'il s'agissait de créatures ayant réellement existé. Finalement il prend au pied de la lettre les croyances et légendes de l'époque, ce qui est une interprétation vivante et légitime dans le cadre d'une bande dessinée, cohérente avec le reste des choix narratifs. Les chauves-souris sont peut-être plus difficiles à accepter car elles assimilent les ninjas à des entités surnaturelles, alors que leur existence à un fondement historique.

En fait ces 2 éléments (chauves-souris, manifestations surnaturels) déconcertent de prime abord, parce que le reste du récit est enraciné dans des faits concrets et réalistes. Miyamoto Usagi se trouve confronté à des individus abusant de leur force dans une société rurale où le voisin habite loin, où les forces de l'ordre sont éparpillées. Il se retrouve mêlé à des intrigues politiques où l'assassinat est un outil comme un autre, et à des manigances d'individus cupides. Ces motivations terre à terre donnent une dimension adulte aux aventures de ce rônin, retenant l'attention des lecteurs adultes.

Dans un premier temps, l'adulte peut dédaigner la lecture de cette série, sur la base de l'apparence des dessins. Ils semblent à la fois simples, un peu mignons, avec des expressions de visage exagérées pour être comprises plus facilement. La lecture montre que Stan Sakai a délibérément choisi une approche graphique simple pour s'assurer être plus facilement compris de tous, mais sans sacrifier la précision et l'intelligence de ce qui est représenté. Pour commencer, la reconstitution historique est fidèle à l'époque, qu'il s'agisse des constructions, des tenues vestimentaires, ou encore des occupations et des métiers des habitants. de la même manière, la représentation en arrière-plan de la société féodale de l'époque ne se limite pas à des caricatures de caste, mais comprend également les valeurs qui y sont associées.

L'investissement de l'artiste dans la dimension visuelle se retrouve également dans les scènes d'affrontement physique. Sakai ne se contente pas d'accoler quelques cases où les individus se tapent vaguement dessus. Il s'assure que le déplacement des adversaires d'une case à l'autre est cohérent (que le lecteur peut rétablir leurs mouvements d'une case à l'autre), et qu'ils prennent en compte les caractéristiques du lieu où se déroule la confrontation (à commencer par les obstacles, mais aussi le relief du terrain). de ce point de vue, la mise en image de Stan Sakai est plus adulte que bien des comics de superhéros où les personnages se tapent dessus dans des cases vides d'arrière-plan, comme s'ils étaient sur une scène de théâtre sans incidence de l'endroit où ils se trouvent.

Alors que le lecteur pourrait éprouver un a priori négatif au principe d'itinérance de Miyamoto Usagi, il se rend compte qu'il est très agréable de cheminer à ses côtés. Là encore, c'est dû à la mise en scène de l'auteur qui sait montrer les contraintes liées aux nuits passées à la belle étoile, que tous les déplacements ne se déroulent pas sous un ciel clément, et que les voyageurs sont contents d'arriver dans un village pour se restaurer de manière plus diversifiée et pour se reposer dans le confort d'un lit. La constance avec laquelle l'artiste représente les arbres et la flore (de façon simple mais régulière) participe également à donner cette impression de randonnée dans une nature peu touchée par la civilisation humaine.

Enfin Stan Sakai n'a pas son pareil pour faire exister les personnages. Ils ne disposent pas d'une psychologie très fouillée, par contre ils éprouvent des sentiments que l'auteur transcrit avec efficacité au lecteur. Ce dernier ressent l'état d'esprit de Miyamoto Usagi quand il est énervé ou inquiet, d'Icho quand il montre une curiosité un peu appuyée, du cultivateur d'algues quand il s'indigne contre l'injustice de se faire voler sa récolte par le village voisin, etc. À nouveau ces émotions sont assez basiques pour parler à de jeunes lecteurs mais aussi assez justifiées pour être partagées par des lecteurs plus âgés.

Dans ce tome, Stan Sakai s'exprime avec toute la sensibilité qui lui est coutumière. Il emmène le lecteur pour un voyage dépaysant et mouvementé dans le Japon du dix-septième siècle, aux côtés d'un rônin courageux, mais pas commode, pour des aventures mêlant tradition, politique, légendes et folklores, dans une narration tout public. Les plus âgés pourront un peu tiquer à l'inclusion d'éléments surnaturels.
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Le dixième album s'ouvre sur le fier Miyamoto Usagi qui se tient face au monde, les oreilles dans le vent (et il est franchement sexy !). Il croise le chemin d'un paysan kaiso, qui cultive des algues pour en faire des feuilles de nori. Au hasard de cette rencontre, le lecteur découvre une technique traditionnelle, et c'est toujours passionnant d'apprendre de cette façon. Après avoir réglé un conflit entre villages, Usagi-San reprend sa route. « Laissez-moi parcourir un bout de chemin avec vous. Une bonne compagnie et aussi enrichissante pour l'âme que les beautés de la nature. » (p. 152)

Entre retrouvailles et nouvelles rencontres, le samouraï porte toujours haut les valeurs d'honneur et de justice, même s'il désespère parfois de trouver enfin la paix et un lieu où vivre sereinement. « Les gens comme nous ne sont pas faits pour vivre heureux. Les dieux nous ont faits uniquement pour s'amuser avec nos vies ! » (p. 72) Quand il ne met pas en déroute des brigands, il se bat contre un tigre à la queue de serpent ou affronte les ninjas Komori (chauve-souris), Neko (chat) et Mogura (taupe). Avec ses lames affutées et son sixième sens imbattable, le lapin samouraï est toujours vainqueur et fait triompher le bien. Bref, un sacré héros et un vrai bon gars !
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
- Vous n'approuvez pas ce que je fais, n'est-ce pas ?
- Je ne pas dire le contraire. C'est criminel.
- Je vole seulement à ceux qui peuvent se le permettre. Les marchands et les seigneurs qui gagnent de l'argent sur le dos des pauvres... C'est eux les criminels !
- Vous ne me devez pas de justification .
- Je sais. C'est pour cela que vous êtes mon ami, Usagi... Car vous me prenez comme je suis !
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- J'étais petite, mon père m'appelait bara-no-hime (princesse rose). « Tu es tendre comme une rose », disait-il... avant de se tourner vers les autres et d'ajouter en riant : « mais il faut faire gaffe à ses épines ! » car j'avais sale caractère.
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- J'espère qu'un jour quand nous serons suffisamment riches, Noodles et moi pourrons laisser tomber les villes et les villages et nous installer pour de bon dans une petite ferme loin de là et vivre paisiblement. Ha ! Que dis-je ? Les gens comme nous ne sont pas faits pour vivre heureux. Les dieux nous ont fait uniquement pour s'amuser avec nos vies !
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« Les gens comme nous ne sont pas faits pour vivre heureux. Les dieux nous ont faits uniquement pour s’amuser avec nos vies ! » (p. 72)
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« Laissez-moi parcourir un bout de chemin avec vous. Une bonne compagnie et aussi enrichissante pour l’âme que les beautés de la nature. » (p. 152)
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#Netflix #InstantShôjo #LaGrossesseDeMHiyama #HesExpecting
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