AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Stefan Ahnhem (193)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La neuvième tombe

En Israël, une lettre part rejoindre son destinataire…

En Suède, le ministre de la Justice disparaît brutalement…

Au Danemark, la femme d’un présentateur TV est violée et assassinée…

Rien ne semble relier ces 3 affaires, et pourtant…

On retrouve le policier Fabian Risk, déjà rencontré dans « Hors Cadre », menant l’enquête en Suède, entouré de son équipe, miné par une famille qui vacille ; on fait également la connaissance de Dunja Hougaard, enquêtrice danoise de choc, mais harcelée par son supérieur hiérarchique… pendant que les meurtres se multiplient…

Les chapitres sont courts, donnant un ensemble globalement rythmé… les personnages sont bien construits, intéressants, on les suit avec plaisir et curiosité… les meurtres sont intrigants…

Néanmoins, le puzzle tarde vraiment à se mettre en place, on se perd parfois, à mi chemin entre Suède et Danemark. Ce roman est maîtrisé dans le style, dans les thèmes, mais moins dans la longueur, et aurait probablement été d’autant plus efficace avec 100 pages de moins (sur 670, ça devait être jouable…).

Commenter  J’apprécie          50
Moins 18°





L'auteur venu du froid nous transporte entre le Danemark et la Suède pour suivre en parallèle deux enquêtes particulièrement sordides.



Tout débute sur les chapeaux, au volant d'une grosse Berline qui poursuit semble t'il un chauffard qui ne doute de rien. Mais alors que la première voiture prend de la vitesse, la conductrice de la deuxième n'en croit pas ses yeux quand elle voit la voiture chuter dans l'eau.



Là on se sent impuissant et surtout on se demande où tout cela va nous mener...



L'autopsie réalisée sur le cadavre, repêché, va tout de suite vous plonger dans l'horreur mais surtout dans l'incompréhension.



Cet homme a été congelé plusieurs mois avant....Sauf que des témoins l'ont vu il y a peu de temps...











Un nouvel auteur nordique pour ma part, qui encore une fois apporte une belle note dans l'univers des polars scandinaves.



Les chapitres courts se suivent et maintiennent un rythme effréné. De nombreux indices sont mis à la disposition du lecteur qui devra peu à peu, essayer de dénicher lui-même la vérité.



Tout le premier tiers du livre, je me suis demandée où l'auteur voulait m'emmener tant l'histoire semblait incroyable. Aucun ménagement pour le lecteur, aucune pause, tout est délayé dans une cruauté abominable. L'entrée dans l'intrigue est lente mais faite à la manière d'un sable mouvant duquel on ne peut sortir, s'échapper.



L'intrigue autant que la personnalité des protagonistes est analysée et décrite à la loupe, avec tous les détails qu'ils soient ou non nécessaires.



L'auteur sait manier la psychologie des personnages mais également réussit à peaufiner une machination particulièrement odieuse et perverse.



Encore un excellent polar nordique.





Commenter  J’apprécie          50
Moins 18°

Rien de mieux qu’un polar nordique -ici suédois- pour me sortir d’une petite panne de lecture et de rédaction!



Moins 18° (2020) est le troisième roman de l’auteur et scénariste suédois Stefan Ahnhem après Hors cadre (2016) et Comme une tombe (2019). Si j’avais déjà repéré l’auteur l’année dernière, je ne l’avais pas encore lu et ignorais donc que Moins 18° est en réalité le troisième volet d’une série policière consacrée à l’inspecteur Fabian Risk. Les quelques allusions à des événements antérieurs ne sont toutefois pas gênantes et ne m’ont pas empêchée d’apprécier ce tome qui peut sans problème se lire de façon indépendante. La preuve en est qu’il a réussi à me sortir de ma panne de lecture et n’a pas fait long feu: 570 pages lues en moins de trois jours!



Moins 18° se déroule à la frontière entre la Suède et le Danemark, plus précisément des deux côtés du détroit d’Øresund, à Helsingborg du côté suédois et à Helsingør du côté danois. En Suède, une BMW avec à son bord la star nationale des technologies de l’information finit sa course infernale dans les eaux de Helsingborg. L’autopsie révèlera que la victime était non seulement déjà morte lors de l’accident mais qu’elle était congelée à -18° depuis deux mois! Au Danemark, une femme a été le témoin de l’agression abominable d’un sans-abri par un groupe d’individus « jaunes et joyeux » dont les méfaits rappellent dangereusement le « happy slapping » ou vidéolynchage qui a vu le jour en Grande-Bretagne.



L’inspecteur suédois Fabian Risk, mari et père de deux ados, traverse une période compliquée entre sa femme qui s’éloigne de jour en jour toute occupée qu’elle est à percer enfin dans le difficile monde de l’art et son fils Theodor qui broie du noir et se retrouve malgré lui embrigadé dans une sombre histoire. De l’autre côté du détroit, l’ex-inspectrice danoise et désormais juge de paix Dunja Hougaard, grillée dans tout Copenhague suite à une grosse bourde commise deux ans plus tôt, ronge son frein en attendant de pouvoir s’emparer d’une affaire qui lui permettrait de récupérer enfin sa place au sein de la police danoise. Mais certains ont la dent dure et le bras long…



Alterner deux pays, deux flics (ou ce qu’il en reste) et deux enquêtes est toujours un pari risqué et ce d’autant plus lorsque, comme ici, l’auteur décide de ne pas s’en tenir uniquement aux enquêtes criminelles mais de s’intéresser également de près à la vie privée et familiale plutôt mouvementée de ses inspecteurs. Bien que les personnages soient nombreux et l’alternance entre les événement suédois et danois parfois très rapide, l’ensemble est maîtrisé et fonctionne parfaitement! Les rebondissements sont nombreux (quelle fin!), les personnages bien travaillés et les thèmes abordés intéressants. J’en redemande!


Lien : https://livrescapades.com
Commenter  J’apprécie          50
La neuvième tombe

Deuxième roman traduit de cet auteur mais chronologiquement il se situe avant le précédent "hors cadre". L'auteur les a écrit dans cet ordre a priori, ce qui est un peu surprenant puisqu'ici il nous raconte les événements qui ont conduit son héros, Fabian Risk, a venir se réinstaller dans sa ville natale.

Ici nous avons deux enquêtes menées en parallèle par Fabian Risk, inspecteur à Stockholm, et par Dunja Hougaard au Danemark. Aucun lien entre eux si ce n'est que la collègue de Fabien, enceinte de jumeaux, a recontré Dunja lors d'un colloque. Fabien enquête sur des disparitions, sur des viols et meurtres sanglants pour Dunja.

Evidemment tout cela finira par se rejoindre.

Les personnages sont plutôt bien batis (Fabian en plein déconfiture matrimoniale, se pose beaucoup de questions et hésite à succomber aux charmes d'une de ses collègues tandis que Dunja remet en cause elle aussi son couple).

Des incohérences dans l'intrigue, dans certains personnages comme celui de Malin (super woman enceinte (très) mais qui court, grimpe partout sans probléme et celui du meurtrier .

Vrai page turner malgré le nombre de pages et les incohérences déjà mentionnées. A lire.
Commenter  J’apprécie          50
La neuvième tombe

Sans doute un modèle du genre : de l'action, une affaire compliquée, des suspects qui disparaissent, des anciens criminels à qui "on" essaie de faire porter le chapeau, des enquêteurs plutôt sympathiques, le tout dans l'ambiance hivernale glacée de l'hiver suédois.

Tout ceci explique sans doute les critiques dithyrambiques à propos de ce livre, mais je n'ai pas accroché.

J'ai arrêté au milieu du roman. Feuilleter la suite et lire la conclusion, ô combien cynique, m'a suffit pour la deuxième moitié du livre. Je m'interroge également sur la pertinence des scènes vraiment gore qui n'inspirent que du dégout.

En matière de policier scandinave, il y a nettement mieux !
Commenter  J’apprécie          50
La neuvième tombe



Ce que je recherche dans un polar nordique, c'est d'accéder à des univers qui me sont inconnus, d'aborder des problèmes de société actuels, d'éprouver de l'empathie envers des protagonistes, d'être pris par une intrigue haletante et d'être ému jusqu'aux larmes par moment. Rien de tout cela avec la Neuvième Tombe.





Rien de tout cela, mais de la nausée, encore de la nausée avec des scènes telles que ‘Il enleva son dentier en haut et en bas et passa le bout de ses doigts sur ses crocs acérés, tout en faisant le tour de l'homme couché sur la table. Après deux tours complets, son choix s'arrêta sur la cuisse gauche, il se pencha, ouvrit la bouche et laissa lentement ses dents s'enfoncer dans la chair. le sang chaud afflua aussitôt, emplit sa bouche et coula sur son menton'. J'ai dû stopper ma lecture un moment pour récupérer.





Parlons de l'intrigue. Deux enquêtes parallèles l'une en Suède, l'autre au Danemark sur des crimes tous aussi affreux les uns que les autres. Beaucoup d'allers retours au dessus du détroit d'Oresund entre les deux pays. Beaucoup d'invraisemblances comme par exemple le cas de l'inspectrice Dunjaa Hougard, qui trouve la planque du criminel, chute de 5 mètres, se tord la cheville, perd connaissance, se fait enfermer par ce même criminel dans un coffre de voiture, s'échappe et au lieu de demander de l'aide à quelqu'un, prend le métro comme si de rien n'était et rentre chez elle, sans prévenir collègues et mari!?! C'est un peu difficile à suivre, pas très prenant et surtout c'est long, long… J'ai arrêté la lecture page 356 (sur 663), me fichant totalement de ce qui peut arriver par la suite.





Bref, je déconseille.
Commenter  J’apprécie          510
La neuvième tombe

Stefan Ahnhem vit à Stockholm. Son premier roman, « Hors Cadre », publié en 2016 aux éditions Albin Michel met en scène l’inspecteur Fabien Risk confronté à un tueur en série dans sa ville natale d’Helsingborg. La 9ème tombe est son second roman.



Fabien Risk, le personnage principal, est à première vue un peu cliché dans l’univers du polar. Un flic bourru de travail qui délaisse sa femme et ses enfants pour se plonger à corps et à cris dans ses enquêtes ce n’est pas le summum du renouveau. Pourtant, comme pour tous les autres personnages, ce qui va lui donner son originalité c’est le détail et la densité avec lesquels sa personnalité est modelée.



Dans ce roman, ce n’est pas une mais deux enquêtes parallèles que vous allez suivre pour traquer un tueur fou. Une en Suède l’autre au Danemark. Aussi bien du côté suédois que danois, l’atmosphère est très vite immersive. Le roman est extrêmement visuel, sans temps mort. Des chapitres courts, alternés entre les différentes enquêtes. Tout est là pour tenir le lecteur en haleine et j’ai plongé tête la première dans cette histoire.



⭐️ En bref ⭐️

« La 9ème tombe » est un roman qui n’est pas exempt de défauts mais qui fonctionne très bien dans sa globalité. L’intrigue est bercée de rebondissements permanents qui m’ont tenu en haleine tout au long des 700 pages. Les personnages, bien qu’un peu clichés, n’en sont pas moins attachants et j’ai vite succombé à l’atmosphère glaciale et envoûtante du récit. Si l’ambiance est belle et bien nordique, aucun doute là-dessus, le rythme de l’histoire m’a beaucoup rappelé les polars américains. Un mélange de styles au résultat très cinématographique qui fonctionne vraiment bien.



Ce roman est un « polar-bonbon » comme je les aime. Une intrigue solide, un tueur manipulateur et des enquêteurs qui foncent tête baissée. Si vous chercher un thriller policier qui se dévore comme un blockbuster alors il est là 😊. Je recommande !
Lien : https://culturez-moi.com/la-..
Commenter  J’apprécie          50
La neuvième tombe

Après la lecture d’un prologue très intriguant, nous laissons de côté ce premier personnage pour rencontrer deux enquêteurs dans deux pays différents mais à la frontière commune, la Suède et le Danemark. Le suédois Fabian Risk est chargé d’enquêter sur une affaire de corps atrocement mutilés de l’autre côté la danoise Dunja Hougaard est elle aussi sur une piste. Nous allons voir tout le talent de l’auteur pour mettre en scène des intrigues qui ne demandent qu’à être reliées par le lecteur qui en tire un plaisir certain. L’auteur saute d’un point de vue à l’autre, de Stockholm à Copenhague et nous fait vivre la position des enquêteurs de Police et des victimes bien entendu. Cette partie où l’on est dans la tête des victimes qui tentent de comprendre ce qu’elles sont en train de vivre est émouvante, d’autant plus que la suite de l’histoire nous force à trouver un nouveau sens à leur épreuve. Ce thriller est tout à fait fascinant et pendant un long moment je me suis demandé où il voulait nous emmener avec cette double temporalité qui fait douter d’un lien entre l’histoire d’aujourd’hui et celle d’hier. Puis lentement (le livre est long), la tension monte et la chasse au tueur devient passionnante. Malin, l’assistante de Fabian est l’un de mes personnages préférés, j’ai aimé son humour et son détachement certainement dus au stade de sa grossesse. Les personnages sont brossés avec un grand réalisme qui fait ressortir leurs traits de caractère et nous les font apprécier encore davantage. L’intrigue est d’une merveilleuse complexité, écrite avec un soin particulier. Les chapitres sont très courts et donnent une énergie vibrante. Le personnage de Dunja est formidable, une femme à la foi forte et vulnérable qui malgré les obstacles qu’elle rencontre ne se laisse pas détourner de son instinct. J’ai hâte de lire un prochain livre ou Fabian et Dunja travailleront ensemble et non en parallèle. Bonne lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..
Commenter  J’apprécie          50
La neuvième tombe

Merci aux éditions Albin Michel et à Babelio pour cette escapade policière en Scandinavie, genre que j'ai apprécié grâce aux romans de la suédoise Kristina Ohlsson et que j'ai actuellement le grand plaisir d'approfondir avec le danois Jussi Adler-Olsen (dont il est d'ailleurs fait mention dans le présent roman). Pure coïncidence, Stefan Ahnhem fait le lien entre ces deux pays au travers d'une enquête si complexe qu'en réalité on pourrait facilement compter cinq affaires. Y-a-t-il un lien ? Si oui, lequel ? Quelles sont les bonnes et les mauvaises pistes ? Quel est le fin mot de l'histoire ? Autant de questions dont vous trouverez la réponse au bout de six cent et quelques pages !



Une lettre sans adresse s'envole d'un fourgon en Jordanie, une femme est enlevée lors de son examen gynécologique, le ministre de la Justice suédois disparaît mystérieusement et la compagne d'un célèbre présentateur danois meurt d'une manière atroce. Si tout cela semble beaucoup pour un seul roman, ce ne sont là que les premiers chapitres sur les 117 que compte le roman. Bien évidemment, ces chapitres sont courts mais cela n'atténue en rien le caractère dense de ce récit. Comme je le mentionnais un peu plus haut, le nombre d'affaires à suivre est important et ce n'est rien comparé à la multitude de personnages qui s'accumulent au fur et à mesure que l'on avance. En dehors des protagonistes récurrents, il est assez difficile de tout retenir. Pour compliquer un peu plus la chose, les chapitres alternent constamment entre divers points de vue que ce soit ceux des deux enquêteurs principaux, Risk et Hougaard, où de personnages très secondaires que l'on ne reverra parfois plus.



Ces pelotes de laine toutes emmêlées forment un véritable page-turner, ce qui n'aide absolument pas à palier la problématique mnésique, bien au contraire ! L'auteur est agaçant mais efficace dans sa manière d'amener le suspense et la tension. En ce sens, il fait très bien son boulot pour nous amener toujours à poursuivre. En revanche, c'est beaucoup trop long ! A deux ou trois reprises, j'ai eu envie de lâcher l'affaire voire de sauter des chapitres. Mais d'un, j'étais curieux de connaître la solution de l'histoire et l'explication du titre ; de deux, j'avais peur de plus rien comprendre en faisant l'impasse sur le moindre chapitre. En fin de compte, je suis plutôt content d'être resté puisque j'ai bien aimé le fin mot de l'histoire. Par contre, avec le recul, je ne suis pas certain d'avoir tout saisi, même en ayant persisté dans ma lecture complète de l'ouvrage. Mais comme je l'ai déjà répété, il y a trop d'informations à traiter et retenir…



En dehors d'une ou deux pertes de rythme, les trois quarts du roman sont intéressants. En tout cas, ceux qui se concentrent sur les enquêtent. Le contexte personnel des personnages oscille entre deux extrêmes : bien trop développé et artificiel pour Risk et pas assez approfondi pour les autres. Pour être franc, le flic qui travaille trop au risque de bousiller sa famille, c'est trop classique pour me tenir en haleine. Quand en plus ce même flic me gonfle avec ses tracklists permanentes (j'ai bien saisi que l'auteur songeait déjà à la soundtrack de l'adaptation…), j'ai du mal à m'attacher. Mais quand sur la fin il se dégonfle totalement, c'est mort pour que je poursuive une saga centrée sur ce personnage. Je lui ai préféré sa collègue Malin, un brin caricaturale en femme enceinte qui en a ras-le-bol de sa grossesse, mais elle a réussi à me faire rire et en plus elle gère ! D'ailleurs, au-delà de quelques clichés et caricatures, c'est le casting féminin qui s'en sort le mieux ici.



Le dernier quart, disons dès lors que le mystère est levé, les longueurs se font d'autant plus ressentir que l'on n'a presque plus de suspense pour nous tenir en haleine. Stefan Ahnhem étire la confrontation à l'extrême de sorte que j'aurais tendance à clairement dire que j'en ai strictement rien à fiche quant au différend opposant deux ambulanciers lambdas sur Codplay. Tout ça pour décrire une scène inutile et prévisible qui sera résumée un ou deux chapitre plus tard. Voilà un exemple parmi d'autres de longueurs qui ne passent plus à cinquante pages de la fin. Autant de lignes qui auraient pu servir à développer le background de certains personnages. Mais j'imagine qu'une femme enceinte et amoureuse de son mari, c'est trop lumineux à développer dans un roman qui parle de corps démembrés et de viols avec mutilations… Alors qu'un flic au bord du divorce et qui frappe ses enfants, déjà, c'est plus dans l'ambiance…



En somme, un roman plutôt efficace mais trop long et trop copieux. La trame sous-tendant l'ouvrage est intéressante jusqu'à un final exagéré et bâclant ses personnages. Si j'ai bien apprécié la conclusion propre à la trame principale, le reste est trop vite expédié. Notons que Mais ne soyons pas de mauvaise foi, l'ultime chapitre vient préparer le terrain pour le prochain tome et très certainement que le personnage aura de quoi faire avec sa culpabilité. Reste la problématique du chapitre 1 qui, au vu du développement final, prend l'aspect d'une forme de tricherie… Alors est-ce propre à la version française ? Je ne connais pas suffisamment la grammaire suédoise pour le savoir. A moins, bien évidemment, que je ne fasse pas le bon lien…



Challenge PAVÉS 2019

Challenge MULTI-DÉFIS 2019 : Un livre édité en 2019
Commenter  J’apprécie          50
La neuvième tombe

J’ai reçu les épreuves non corrigées de La Neuvième tombe dans le cadre d’une masse critique Babelio que je remercie : cela m’a permis de découvrir un nouvel auteur suédois et j’en suis ravie car j’affectionne les polars du Nord. La date de parution officielle est proche : la 4 septembre.



Le résumé donne envie de plonger dans l’enquête : par une nuit froide, le ministre de la Justice disparaît à Stockholm. La même nuit, au Danemark, l’épouse d’un célèbre présentateur est violée puis assassinée. Bientôt, d’autres corps terriblement mutilés apparaissent dans chacun des deux pays. Fabien Risk en Suède et Dunja Hougaard au Danemark mènent l’enquête mais ne se doutent pas encore de ce qu’ils mettront au jour.



L’écriture de ce roman est agréable : bien que n’ayant jamais lu d’oeuvre de Stefan Ahnhem, je n’ai eu aucun mal à entrer dans l’histoire, tous les éléments dont nous avons besoin nous sont donnés, les rappels sont faits. Par contre, certains passages sont un peu salés, notamment les descriptions de crimes passés et présents et les agissements de l’assassin. Âmes sensibles s’abstenir!



Ce roman est un joli pavé de presque 700 pages qui nous entraîne dans une enquête des plus complexes sans nous laisser de répit. Entre crimes effroyables, violence débridée, mobile en apparence inexistant, enquêtes qui s’entremêlent, s’enferrent et s’embourbent en fonction de l’ego de certains enquêteurs, le lecteur est maintenu en haleine. En effet, même si j’ai compris la motivation du tueur lorsque certains indices sont apparus, j’ai été surprise par son identité, par sa ressource et par son plan. Ainsi, il n’y a pas eu de déception liée à la figure de l’assassin. Elle est particulièrement travaillée. Le coupable est à la fois méthodique, organisé -presque calculateur – et son brio macabre est tout à fait bluffant. Le lecteur n’a de cesse de lire, de suivre les avancées, de s’étonner et de chercher la cohérence d’ensemble. La lecture est donc résistante et prend du temps. Cette densité n’est pas du tout rébarbative, au contraire, et les chapitres concernant Efraim intriguent encore davantage car ils semblent de prime abord complètement déconnectés du reste. Enfin, les enquêtes sont vraiment intéressantes. L’auteur ménage des fausses pistes et des renversements de situation savamment construits. Il y a là un vrai montage romanesque étudié, préparé et ciselé pour tirer un maximum de saveur de la complexité. L’ensemble est efficace.



Pourtant, le revers de cette inextricable pelote est facilement décelable : nous avons tendance à nous perdre dans les personnages qui foisonnent. Il faut un peu de temps pour se familiariser avec les enquêtes, et même lorsque c’est fait, j’ai eu parfois du mal à ne pas confondre les enquêtes suédoise et danoise. Certains détails m’ont un peu gênée aussi parce qu’ils ne sont pas très crédibles. Le personnage de Malin est attachant, mais la voir courir après un bus sur trois arrêts alors qu’elle est enceinte jusqu’aux yeux me paraît exagéré, je ne suis pas certaine non plus qu’une femme enceinte participe à une interpellation possiblement dangereuse sur le terrain… mais n’étant pas réellement compétente sur ce domaine, je m’abstiendrais de commentaire plus précis.



Les personnages sont intéressants. J’ai apprécié que la vie des enquêteurs et la vie de la brigade affleure, cela apporte une épaisseur et permet de donner du réalisme. Fabian est un policier compétent, la plupart du temps, et dépassé par sa vie de famille qui part à vau l’eau. J’ai aimé l’esprit combatif de Dunja : contre vents et marées, elle se démène pour résoudre son enquête, fait appel à ses homologues étrangers, suit son intuition et flaire le coup monté. C’est un personnage attachant, les embûches qu’elle rencontre dans le monde professionnel sont malheureusement réalistes. Ces enquêteurs sont épaulés par leurs collègues d’où l’abondance de personnages. Mais en réalité, les deux brigades sont construites en miroir inversé et se font donc cruellement écho : celle de Fabian et Malin est soudée et travaille de concert malgré un grain de sable dans l’engrenage, celle de Dunja est un vrai nid de guêpes qui lui met des bâtons dans les roues et la met carrément en danger. J’ai néanmoins un bémol concernant les personnages. J’ai trouvé le personnage de Niva caricatural : autant, elle est brillante et indépendante, ce qui est toujours agréable chez un personnage féminin, autant la facette « belle femme, croqueuse d’hommes, intéressée par la séduction et le sexe » m’a vite agacée. Je n’ai pas réellement vu l’intérêt de ce pan de sa personnalité, hormis le fait que cela insiste sur le couple en sursis de Fabian Risk.



Enfin, jusqu’aux cent dernières pages, je pensais que mon avis serait exclusivement positif… pourtant, la fin me laisse un petit goût un peu amer. Je ne suis pas particulièrement adepte des happy end et ici nous avons tout ce qu’il nous faut en terme de drames, de rebondissements et de tension. Jusqu’à l’épilogue, j’ai été tenue en haleine et j’ai été surprise par les réactions des personnages. J’aurais parfois préféré qu’ils agissent différemment, mais malgré tout, cela fonctionne. Ce qui m’a réellement dérangée, c’est le chapitre intitulé « X ». Je ne comprends pas le lien avec le reste. J’ignore de qui on nous parle et je l’ai relu deux fois sans en comprendre l’intérêt par rapport à ce qui précédait. Je vois bien venir l’amorce du tome suivant, bien entendu, mais placé ainsi, en fin d’ouvrage, cela a juste réussi à me déconcerter et à me laisser sur ma faim en brouillant un dénouement qui, par ailleurs, était plutôt efficace.



La Neuvième tombe est donc une bonne lecture. L’enquête est résistante à souhait et nous glace par l’horreur qui se dégage d’entre les pages. Néanmoins, des détails m’ont titillée et expliquent que je ne sois pas totalement séduite.
Lien : https://lesreveriesdisis.com..
Commenter  J’apprécie          50
X raisons de mourir

J'ai lu avec avidité tous les romans de Stefan Ahnhem. J'ai mis du temps à lire celui là car il s'est retrouvé au fil de mes achats sur ma liseuse, en 2ème ou 3ème page. Bref, pas d'excuse, je l'ai oublié. Peu importe, la sortie du 3ème opus me l'a rappelé à mon bon souvenir.



Et bien voilà, voilà...



Je suis assez mitigée sur la satisfaction de ma lecture.

Pour commencer, vous devez absolument avoir lu moins 18°, sinon vous n'allez rien comprendre. Et en effet, l'ayant lu il y a au moins 120 autres livres, (donc, pauvre de moi, j'en ai oublié la moitié), j'ai du vraiment faire un gros effort de mémoire pour tout remettre dans le contexte.

Ensuite, j'ai trouvé certains passages malaisants pour ne pas dire que j'étais totalement horrifiée à l'idée que quelqu'un puisse lire au-dessus de mon épaule ce genre de scène. C'est pas tellement les descriptions des orgies mais cette sensation de voyeurisme malsain. Bref, je n'ai pas toujours été à l'aise au cours de ma lecture, notamment quand il s'agit d'enfants.



Autant, je suis impatiente de lire ce qu'il se passe en parallèle des enquêtes principales, autant les affaires que traitent l'équipe de Fabian Risk ne m'ont pas du tout happées. Ça part dans tous les sens, je me perds avec les noms, et j'ai eu du mal à m'impliquer dans ma lecture.



Je vais quand même me risquer (sans mauvais jeu de mots) à lire la suite parce que je veux quand même savoir ce qu'il va se passer pour nos héros mais j'ai moins l'impatience de mes débuts.

Commenter  J’apprécie          43
X raisons de mourir

C'est le tome 4 de la série Fabian Risk qu'il faut absolument lire dans l'ordre car les enquêtes ne sont pas toutes clôturées à la fin de chaque tome. Cette équipe ne chôme pas, ils sont sur tous les fronts, tueurs en série, racistes, sans compter leur vie personnelle qui est très compliquée. Pas de repos pour les braves, mais là, c'est peut-être un peu trop !

C'est addictif, cela se lit vite, mais comme je n'ai pas lu les tomes dans l'ordre, il y a des moments où je suis un peu perdue par tous les personnages. En plus, chaque roman met quelques années à sortir, on a le temps d'oublier les personnages !
Commenter  J’apprécie          40
Moins 18°

Ici, point de longues descriptions, S. Ahnhem va droit au but, sans toutefois oublier de laisser une bonne place aux états d’âme de ses personnages, qui sont loin d’être des super héros, ce qui permet de s’attacher à la plupart d’entre eux. Deux enquêtes captivantes dont on suit les avancées de façon alternée, avec des revirements de situations et des rebondissements, qui donnent un bon rythme.
Commenter  J’apprécie          40
X raisons de mourir

Je lis le quatrième tome du saga policière sans le savoir (oups), mais j'ai passé un super moment et j'ai presque envie de rétropédaler pour lire les 3 précédents !



Nos enquêteurs ont de gros problèmes personnels : une cure de desintox à l'alcool, une fille dans le coma, mais qu'importe, cette enquête affreuse a besoin d'eux. Les crimes sont nombreux, divers et variés et semblent tous motivés par un sadisme pur et dégueulasse. Ce roman nous fait découvrir une noirceur bien plus profonde que ce qu'on croit...



En plus de l'enquête, nous suivons des histoires parallèles avec la vie de nos enquêteurs et leurs "autres" enquêtes un peu plus privées. J'ai aimé cela, mais si ça n'est pas joyeux non plus, cela permettait de souffler un peu des actes extrêmes auxquels on fait face.



Nous rentrons dans la tête de ces criminels, et dans leurs façons de prévoir les horreurs qu'ils vont commettre, c'est horrible et tellement efficace pour garder le lecteur accroché à son livre.



Bref un super thriller, je suis ravie de découvrir cette plume que je relirai à coup sûr !
Commenter  J’apprécie          40
X raisons de mourir

Trois ans après Moins 18° (2020), voici enfin le retour de Stefan Ahnhem!



X raisons de mourir (2023) est le quatrième volet d’une série policière que le scénariste et romancier suédois Stefan Ahnhem (1966) consacre à l’inspecteur de la Criminelle de Helsingborg Fabian Risk, après Hors cadre (2016), La neuvième tombe (2019) et Moins 18° (2020).



En ce mois de juin 2012, la région frontalière entre le Danemark et la Suède est une nouvelle fois confrontée à une série de crimes odieux. La petite ville suédoise de Helsingborg située sur les rives du détroit d’Øresund doit en effet faire face à une vague de crimes sanglants qui donnent du fil à retordre à la petite équipe de la brigade criminelle locale malheureusement amputée de la moitié de ses membres. En congé maladie longue durée en raison d’importantes difficultés familiales, Fabian Risk n’a bientôt d’autre choix, face à la gravité et la complexité des affaires en cours, de reprendre du service actif. Quant à la cheffe de la brigade criminelle, Astrid Tuvesson, elle décide d’interrompre sa cure de désintoxication à l’alcool pour rejoindre et soutenir son équipe.



Le meurtre barbare d’un petit garçon syrien, des représailles sous forme d’incendies criminels, à la fois dans les locaux des Démocrates de Suède -un parti de l’extrême droite abritant en son sein de nombreux néonazis- et dans un centre d’hébergement pour migrants, le meurtre d’une jeune femme célibataire aisée ainsi que celui d’un homme en plein supermarché défraient, entre autres, la chronique. A tout cela s’ajoute l’enquête officieuse que Fabian a récupérée à la suite du suicide de l’un de ses proches collègues qui soupçonnait l’un des leurs de double jeu.



Stefan Ahnhem excelle non seulement à jongler entre les différentes enquêtes criminelles parallèles et la vie privée et familiale très compliquée de Fabian mais également à jeter un éclairage nuancé sur les diverses affaires en cours en se positionnant successivement du côté des policiers, de Fabian et des tueurs.



X raisons de mourir est bien écrit et traduit, rythmé, très efficace et hautement addictif. Un excellent moment de lecture!



A lire également sur le blog.
Lien : https://livrescapades.com/20..
Commenter  J’apprécie          40
Moins 18°

Des crimes (lecteurs sensibles s'abstenir) sont commis de chaque côté du détroit d'Øresund, qui sépare la Suède du Danemark. Côté Suède, des riches sont sauvagement assassinés, pour usurper leur identité et s'accaparer leurs biens, mobiliers et immobiliers. Côté Danemark, les pauvres sont visés, pour débarrasser le paysage de la "vermine". Deux pays, deux mentalités, mais l'auteur ne s'arrête pas à cette vision manichéenne d'une réalité sociale certainement beaucoup plus complexe. Stefan Ahnhem ne délivre aucun message, seule l'horreur des crimes et la complexité des enquêtes étant au centre de ce polar noir, très noir, aux multiples personnages tant criminels que policiers. Hélas, si l'on peut à la rigueur apprécier l'action pure, bien rendue par une écriture efficace, il faut admettre que la fin est bel et bien bâclée comme si l'auteur, emporté par son imagination galopante, s'était brusquement aperçu qu'il fallait conclure, laissant irrésolues plusieurs intrigues menées de front. Dommage…

Commenter  J’apprécie          40
La neuvième tombe

je viens de terminer ce pavé et à l image des autres lecteurs je suis tres partagé entre 5 etoiles et 0 étoiles . Ma seule cetitude est que publier une trilogie en vous vendant le tome 1 pour le tome 2 ,c'est plus que moyen et malheureusement ne plaide pas en faveur de celui-ci. Comme j'ai adoré " Hors-Cadre" je vais donc me plonger dans "Moins 18°" en esperant que c'est bien le 3eme tome.
Commenter  J’apprécie          40
Hors cadre

Au bord de la rupture conjugale, l’inspecteur Fabian Risk (la petite quarantaine) quitte Stockholm en compagnie de son épouse Sonja et de leurs deux enfants, Theodor et Matilda. Installé à Palsjögatan en ce début de juillet, il dispose de six semaines de vacances avant d’intégrer la brigade criminelle de Helsingborg, lieu de son enfance … Pour l’anecdote, Helsingborg se trouve dans le Détroit de l’Oresund (Suède), juste en face de Helsingor (Danemark …)



Oui, mais voilà : absolument rien ne va se dérouler comme prévu ! Et quand la commissaire Astrid Tuvesson vient frapper à sa porte (une heure très exactement après leur arrivée) avec une photo d’un groupe d’élèves de 3ème (sur laquelle il figure) et dont l’un d’eux (Jorgen Pälsson) vient tout juste d’être sauvagement assassiné, Fabien Risk comprend rapidement que tous ses beaux projets viennent de s’envoler en fumée … Il va devoir se replonger dans les lointains souvenirs des trois années écoulées au collège Fredriksdal, quand bien même une certaine « estime de soi » s’en trouverait inévitablement ternie … Et faire très vite connaissance de ses nouveaux collègues, au titre de collaborateur-enquêteur aussi bien que de présumé suspect …



D’autres victimes suivront (on se demande si toute la classe va y passer ?! …) Et dès le début des investigations, Fabian Risk semble avoir une idée très précise du nom du coupable …



Stephan Ahnhem va mener son intrigue « tambour battant » mêlant vie privée et vie professionnelle de son principal protagoniste, qui ressemble plutôt à un anti-héros qu’à un brillant détective. L’auteur nous conduit habilement dans une direction – afin de mieux nous égarer – pour brusquement prendre une autre piste : serait-ce dans le but caché de s’assurer qu’aucun de ses lecteurs ne lâchera son récit avant l’épilogue ? Si c’est le cas, il y parvient à merveille ! C’est violent, relativement anxiogène et surtout très accrocheur ! Un bon moment de lecture, qui donne vraiment envie de savoir ce que Fabien Risk et sa petite famille vont devenir dans le prochain opus !
Commenter  J’apprécie          40
Moins 18°

Tout commence en Suède, par une course poursuite impromptue entre la commissaire Astrid Tuvesson et le conducteur d'une BMW qui termine sa course folle au fond de l'eau, entraînant le décès du conducteur.

La victime était dans un état d'ébriété avancé, mais surtout... congelé au moment de l'accident... depuis environ 2 mois.

Une nouvelle enquête de haut vol s'annonce pour l'inspecteur Fabian Risk.

De l'autre côté du détroit d'Øresund, au Danemark, nous retrouvons Dunja Hougaard, devenue gardien de la paix.

Pour elle, tout commence par le signalement d'une femme couverte de sang en pleine rue piétonne.

Une affaire qui laissera des traces...



J'ai eu un énorme coup de cœur pour ce thriller. J'ai pris une claque. C'est magistral ! Je l'ai dévoré et vous le recommande chaudement. Bluffée je suis par cette lecture à la couverture mystérieuse et attirante. J'ai été baladée au fil des pages, me prenant rebondissement sur rebondissement. À la fin, on ne sait plus à quel saint se vouer, c'est vraiment excellent ! Moi qui adore tenter de deviner, là, je n'ai pas réussi.



C'est un très bon polar nordique avec de bonnes descriptions (glaçantes à souhait), qui se lit avidement. La raison ? L'alternance des personnages et enquêtes au fil des chapitres. Quand l'action devient haletante, c'est une véritable torture de ne pas savoir immédiatement la suite, surtout après une révélation de taille.

J'ai beaucoup aimé les différentes personnes que l'on découvre au fil des pages. Enquêteurs, mais aussi médecin, membres de la famille ou encore victime, se succèdent. On ne s'ennuie jamais !



"Moins 18°" est un thriller absolument grandiose, un véritable page turner où quand y en a plus, y en a encore, où le lecteur n'a pas de répit, où l'auteur ne nous lâche pas ni ne nous épargne.

Bref, du grand art !
Commenter  J’apprécie          40
La neuvième tombe



Ce qui se passe dans ce volume se passe avant ce qui est raconté dans Hors cadre. Il s'agit des faits de Fabian Risk, flic à la place pas très élevée dans la hiérarchie et pourtant au flair incontestable.



Son profil ne s'éloigne pas assez, pour moi, du stéréotype du flic voué à son enquête et délaissant sa famille. Par ailleurs l'auteur semble prendre plaisir à décrire à chaque fois des assassinats sophistiqués sans que cela apporte un avantage à l'intrigue. Au contraire, en l'occurrence cette particularité laisse pressentir la résolution de l'enquête (d'autant plus que l'on a toujours dans un coin de l'esprit le premier chapitre que l'on cherche désespérément à relier à l'histoire).



Commenter  J’apprécie          40




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Stefan Ahnhem (908)Voir plus

Quiz Voir plus

Harry Potter, Livre I à VII [Difficile]

Par combien de salles la pierre philosophale se trouve protégée dans le premier tome ?

4 salles
5 salles
6 salles
7 salles
8 salles

9 questions
609 lecteurs ont répondu
Thème : Harry Potter, tome 1 : Harry Potter à l'école des sorciers de J. K. RowlingCréer un quiz sur cet auteur

{* *}