Tillie Cole

Lors de ma lecture du premier tome de la série, j’ai été un peu déstabilisée par le comportement excessif voire dominateur et autoritaire de Rome. Et cela avait en partie contribué à la note moyenne que j’avais attribuée à ce premier livre. Mais maintenant que j’ai lu ce second roman, je comprends mieux son attitude. Je ne regrette pas de l’avoir lu malgré mes réticences.



Comme toujours le risque avec un roman qui raconte la même histoire d’un point de vue différent c’est de tomber dans le piège de la répétition et d’avoir le sentiment pour le lecteur de relire le même livre une deuxième fois. Mais je dois dire que sur ce coup là, Tillie Cole s’en est bien tirée. Elle a su apporter de nouveaux éléments à l’histoire et ne pas donner ce sentiment de déjà-vu. Avoir le point de vue de Rome a complètement changé ma perception du personnage. Celui que je trouvais autoritaire et désagréable m’est apparu comme sensible et meurtri. Maltraité depuis sa naissance par ses parents, Rome a du se forger une carapace pour essayer d’y survivre. Entre les paroles acerbes, les comportements blessants et les violences physiques, rien ne lui aura été épargné. Depuis tout petit, il est la marionnette de ses parents. Alors pour affirmer son caractère, il exerce son pouvoir dans la sphère intime où il se montre exigeant et dominateur. Il a besoin de ça pour supporter et évacuer la pression qu’il subit. S’il y a bien deux personnages que j’exècre dans ce roman, ce sont les parents de Rome. Comment deux parents peuvent-ils faire preuve d’une telle méchanceté, d’une telle froideur ?! Leur attitude froide, ignoble et calculatrice m’a révoltée.

Contrairement au premier tome, ce second livre m’a fait ressentir beaucoup plus d’émotions. Outre l’indignation face aux parents de Rome, j’ai également ressenti de la joie et de la tristesse. J’ai souri, j’ai ri mais j’ai également pleuré par moments. L’auteure a réussi à me toucher bien plus qu’avec le premier tome où certains passages m’avaient semblé trop mièvres.

Si j’ai aimé redécouvrir l’histoire de Molly et Rome du point de vue de ce dernier, j’ai été un peu déçue par la dernière partie de l’histoire. Celle sur le futur de Rome et Molly. Je l’ai trouvé un peu longue. Je pense qu’elle aurait pu être écourtée et simplement développée dans un épilogue plutôt que sur presque un quart du livre.

En bref, je suis plutôt conquise par ce deuxième livre. Il me tarde de découvrir le troisième avec l’histoire d’Austin, le meilleur ami de Rome et Lexi, la coloc gothique de Molly. Leur relation peut nous révéler de belles surprises.

Second tome de la saga Sweet Home, Sweet Rome nous offre le point de vue de Romeo sur sa relation avec Molly et nous conte en détail le récit de leur rencontre et l’évolution de cet amour inattendu.



Avant de me lancer dans ce livre, j’ai eu une petite appréhension, car il n’est jamais simple pour l’auteur de se réapproprier son histoire d’un nouvel œil sans tomber dans le rébarbatif. En tant que lecteur, on a peur de se retrouver avec exactement le même roman et l’on a du mal à comprendre la nécessité de ce genre de tome. Je vous rassure tout de suite Tillie Cole n’est pas tombé dans le piège. Elle a remanié cette relation de main de maître la rendant meilleure que l’originale.



En commençant ce livre, vous vous demanderez sûrement s’il est vraiment indispensable de repartir de zéro juste pour avoir les quelques éléments manquants. Vous vous rendrez alors rapidement compte que même si cette lecture n’est pas essentielle à la compréhension de ce livre, elle n’en reste pas moins addictive et remet beaucoup de choses en perspective. Le ton vous sera donné dès les premières lignes qui ne manqueront pas de vous replonger immédiatement dans l’enfer par lequel Molly et Roméo sont passés. Le jeune homme ne vous ménagera pas, il ne vous cachera rien de ses souvenirs haineux, de sa souffrance, du rejet dont il a été victime ou du dégoût qu’il a de lui-même. Sa version vous poignardera le cœur à plusieurs reprises vous rendant totalement impuissant face à la perversion et la cruauté des Prince. Vous ressentirez mille et une émotions durant sa narration passant de l’une à l’autre en un claquement de doigts et rassemblerez enfin toutes les pièces du puzzle complexe que représente Romeo. Les dernières pages apaiseront le feu qui s’est allumé en vous grâce à une fenêtre de vie inédite sur le futur de ces amants maudits.



Je suis totalement comblée par ce tome. J’avais émis quelques réserves sur le précédent, notamment à cause du personnage de Cass qui me posait problème. Ici, ce n’est heureusement plus le cas et cela m’a permis de me délecter de ce roman, de m’abandonner à ses pages et d’en apprécier toutes les subtilités. J’ai aimé la profondeur et l’intensité que Roméo donne à cette histoire, j’ai frissonné face au sadisme qu’il subit depuis l’enfance, je me suis révolté face à ses gens qui sont prêts à tout pour sauver leur réputation et me suis effondrée lorsque le point de rupture a cédé. Les cent dernières pages m’ont prise par surprise et m’ont permise d’adoucir les moments difficiles que le couple a traversés.



Sweet Rome est bien plus qu’un simple point de vue. Certes, il n’est pas indispensable, mais il est tellement plus authentique, tellement plus intensif, qu’il serait bien dommage de passer à côté.



Le prochain tome portera sur la relation difficile entre Lexi et Austin. Rendez-vous le 25/08 pour savoir ce que ce nouveau couple nous réserve.
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J'ai adoré ce livre . Déjà le tome 1 était une tuerie et celui ci aussi. Ça fait du bien de connaitre le point de vue de roméo. Je trouve sa bien et l'histoire montre qu'il souffre vraiment et on le ressent. Je le recommande =)

Hors la loi est le premier tome de la série Hades Hangmen de Tillie Cole. Je n’avais jamais lu un livre de cet auteure, mais quand j’ai vu que l’histoire allait se dérouler dans le monde des bikers, je n’ai pas pu m’en empêcher. J’adore ce monde !



Hors la Loi met en scène River / Styx qui âgé de onze ans rencontre une enfant âgée de 8 ans, Salomé. Salomé est tenue enfermée dans un lieu gardé secret. Elle est au début terrifiée de rencontrer quelqu’un hors de son ordre, mais le courant semble bien passer entre les deux personnages. River/Styx est une personne qui a des problèmes d’élocution depuis sa naissance, alors il a du mal à se faire comprendre de la fillette. Seulement il se choque lui même en ayant la capacité de pouvoir lui parler, tout en bégayant, comme il le fait avec son père et son meilleure ami.



Quinze ans s’écoulent, River est maintenant appelé tout le temps Styx, il est le muet des Hangmen. Son père a été tué un an auparavant, donc il est maintenant le président du club des bikers. Un soir après une réunion, il découvre un corps près de son bâtiment, ce corps est celui de Salomé. Il la reconnaît tout de suite et se fait la promesse de la protéger quoi qu’il arrive. À son réveil, Salomé reconnaît instantanément Styx, puis elle devient Mae.







Salomé/Mae est une jeune femme abusée, terrifiée et ne demande qu’à sortir de l’enfer qu’elle vit dans sa secte. Quand elle rencontrera à nouveau Styx, elle changera et deviendra une jeune femme de nos jours. Elle apprendra que la vie en dehors de l’ordre, n’est pas ce qu’on lui a toujours appris, et elle aimera cette vie avec ses nouveaux amis et Styx.



Styx est un jeune homme qui malgré son handicap, est quelqu’un de très puissant physiquement et mentalement. Il n’a pas peur de se blesser pour protéger son club et ses membres, un club dans le monde des bikers est comme une famille. Il est connu comme le muet de la bande, et pourtant c’est ce qui le rend encore plus terrifiant. Mais sous cette façade d’homme implacable, capable de tuer, de faire souffrir, il se cache un homme qui n’a qu’un rêve, retrouver la fille qu’il a vu et embrassé quinze ans avant. Quand ce rêve se réalise, il protégera Mae comme jamais il n’a protégé quelqu’un, il l’aimera de tout son être et sera prêt à tout pour elle. Elle deviendra sa régulière dans le jargon des bikers, elle lui appartiendra, comme il lui appartiendra, au grand désespoir de certaines personnes, comme Rider.



Rider est un second personnage, mais tout aussi important. Il est un ancien de l’armée et docteur dans le club. Alors qu’il ne s’intéresse à aucune femme, il tombera vite sous le charme de Mae, ce qui fera enrager Styx plus d’une fois. Seulement Rider n’est pas vraiment ce qu’il prétend être et il est dangereux pour le club comme pour Mae.







Cette histoire nous met face à un amour renversent et passionnant, qui fait rêver. Mae croit en Styx plus que tout et, est certaine qu’il est l’homme de sa vie, l’homme qui l’a sauvé même sans s’en rendre compte alors qu’ils n’étaient que des enfants. Cet amour malgré tous les obstacles ne sera que renforcé. Styx voit en elle la troisième personne qui est capable de le guérir, plus que les autres n’ont pu le faire.



Ce livre est un réel coup de cœur pour moi, j’ai adoré la plume de l’auteure qui est simple, même en utilisant le vocabulaire des bikers, on comprend tout de même. De plus au début du livre, elle a inscrit un glossaire où elle explique les termes des deux mondes, celui de l’ordre et celui du club. J’ai trouvé ça très enrichissant tout comme le petit texte qu’elle a écrit tout au début, en mentionnant qu’elle s’est inspirée de faits réels pour écrire son histoire. Et je me demande aussi, si elle ne s’est pas inspirée de la série Sons Of Anarchy, car en effet, tout du long de ma lecture, j’ai perçu l’environnement de la série que j’ai adoré haha. C’est ce qui m’a encore plus fait aimer cette histoire.



Je recommande cette histoire si vous voulez découvrir quelque chose d’assez nouveau, avec une histoire basée sur les différences entre secte et club de bikers. De plus ce n’est pas tous les jours qu’on lit une histoire avec une personne qui bégaye. J’ai adoré ce style de récit, et j’avoue que j’étais si imprégnée de l’histoire et touchée par Styx, que je bégayais avec lui quand je lisais ses répliques.
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Je vous propose un avis assez mitigé sur cette auteure que je découvre. Oui, je sais sur ce coup là je nage à contre courant.



J'avais repéré Tillie Cole depuis quelques années déjà. Il faut dire que le livre est sorti en VO depuis pas mal de temps. Le sujet bien que noir m'intéressait beaucoup. Elle était donc en tête de ma wish list.

Après avoir lu Hades Handmen, je ne qualifierai pas ce livre de noir mais plutôt de glauque.



Qu'on se comprenne, je ne peux peux pas vous déconseiller cette lecture. La structure du récit est bonne. La forme est très bien maîtrisée et donne un livre qu'on dévore. Pour le fond, je suis beaucoup plus perplexe même si les personnages sont très bien construits et charismatiques.



Styx est le président d'un club de motards les Hades handmen à qui on doit le nom de la série. On est dans un univers très similaire à celle de Madeline Sheehan, les Hell's Horsemen dont j'avais lu également le premier tome . J'ai retrouvé tous ceux qui m'avaient déplus...



On est dans le sud de l'Amérique. Celle que j'apprécie si peu. Les motards sont dépeints comme des machos (et encore, je pense que c'est un terme un peu trop romantique...) qui classent les femmes selon deux possibilités : les régulières et les putes. En aucun cas, elles ne sont vu comme des égaux. Ce sont des « meufs »...

Je ne pense pas être une féministe mais je ne peux pas cautionner ce type de vision rétrograde des femmes. Il n'y a rien de romantique dans cette vision. Alors certes, le héros est obsédé par sa dulcinée mais ce n'est pas pour autant qu'il lui promettra fidélité. Le respect est un concept extra-terrestre pour ces bikers.



Alors Tillie Colle propose un héros solaire et l'alchimie qu'il entretient avec Maé est très forte mais je ne peux pas trouver cela beau.

D'autant que Styx, elle loin d'être un enfant de chœur, vous vous en seriez douté mais il a vraiment tout du psychopathe. Il y a des scènes de torture dans livre qui m'ont franchement donné la nausée.

Maé pourtant accepte le comportement de Styx. Il faut dire que la belle s'est échappée d'une secte où de telles pratiques n'auraient pas choqué.

J'ai trouvé très intéressant dans un premier temps que l'auteure plante le décors de ce livre dans ce monde. Cependant on sent trop le parti pris et l'effet racoleur de la démarche. Je ne vais pas cautionné les sectes, loin de là mais on ne montre que le côté fanatique, fou et pervers de ses membres. Je pense que si les choses étaient aussi franches, il n'y aura pas autant de personnes qui se tourneraient vers elles. L'auteure choisit de ne parler que de leur déviances sexuelles. Je pense qu'il aurait fallu donner plus d'explication sur le fonctionnement de la communauté et la difficulté d'en sortir.



Cela a discrédité une partie du livre. Ainsi le personnage principal a vécu l'enfer dans son enfance. Elle a survécu à des sévices qui auraient rendu fous la majorité d'entre nous. Pas elle. Pourquoi ?



Spoiler :

Ainsi, elle a été violé enfant et cela pendant des années. Ses viols étaient accompagnés d'actes de torture mais elle arrive à être sexuellement attiré par le héros dès le premier regard...Exit son passé, elle est devenue en deux pages, une femme épanouie sexuellement...J'ai trouvé que cela n'était pas du tout crédible !

Fin du spoiler



Je suis mitigée. J'ai continué à lire ce livre même si de nombreux éléments me déplaisaient. C'est donc la preuve que les ingrédients sont bons. Cependant cet univers glauque ne m'attire pas outre mesure et je ne pense pas me jeter sur la suite de la série.
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D'ordinaire ce n'est vraiment pas mon genre de lecture. Je vous assure !



Pourtant je ne sais pas, quelque chose me retient dans cette série, elle a des petits airs de reviens-y. Je me retrouve donc à enchaîner les tomes, en VF puis en VO, et ce sans vraiment savoir pourquoi.



Ceci étant dit, ce tome m'a bien plu. Un peu plus que cela même.

Rider (ou Caïn comme vous voulez) n'y est pas étranger. Ce personnage que je pensais ne pas pouvoir apprécié m'a vraiment marqué. Son évolution est vraiment prenante.

Et que dire de Harmony ? Femme forte et courageuse, surprenante et douce à la fois. Sa grande gueule était franchement attendue et nécessaire. Marre des petites nanas qui obéissent sans discuter ! Cet aspect de la saga m'a toujours profondément agacé. "Les femmes ne se mêlent pas des affaires du club." Ce que c'est agaçant ! Horripilant même ! Néanmoins l'amour présent dans les couples était si fort, le respect également, que j'ai réussi à faire fi de ce "détail". Et c'est là où Harmony met les pieds dans le plat. Elle l'ouvre. Elle n'a pas peur et remet à sa place tous ces p'tits mecs. Et ça ça fait du bien. Son soutien sans failles à Rider est vraiment éblouissant. Et sa scène de "retrouvailles" (surprise, surprise) vraiment touchante.



Encore une fois certains passages sont très durs, très trash, une lecture réservée, donc, à un certain public.
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Mon tome préféré et de loin !



Si jusque là je ne faisais que "survoler" la saga, ni à fond, ni totalement désintéressée, je dois dire que ce tome m'a tout bonnement scotché.



(Et ce malgré le fait que je l'ai lu en VO, c'est pour dire !)



Flamme m'a tout de suite intrigué. Un personnage si torturé, si étrange ne peut simplement pas vous laisser de marbre. Impossible. Encore moins quand il apparait qu'il n'est qu'un petit garçon piégé dans un corps d'homme, ayant souffert le martyr. Tout comme Maddie. Et que dire de Maddie si frêle et courageuse... A eux deux ils se complètent, apaisent leur blessures, à eux deux ils sont beaux. Je ne saurai qu'ajouter tant il faut lire ce livre pour ressentir toutes leurs souffrances, tout leur amour mutuel.



Une lecture forte, néanmoins violente et parfois dérangeante.

Âme sensible s'abstenir.


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Molly, brillante étudiante d'Oxford, n'a plus d'attache, ni plus rien à attendre de sa vie en Angleterre. Elle décide de s'envoler pour l'Alabama. C'est le dépaysement total pour elle, ici tout est tellement plus vivant. C'est aussi lors de son premier jour à la faculté, qu'elle rencontre Roméo Prince, le Quaterback au corps d'Apollon de l'équipe Tilde et aussi mascotte de l'université. Cèdera-t-elle au charme de Roméo ?



Molly est une jeune femme que la vie n'a pas épargnée, après les drames qui ont jalonné sa vie, notre héroïne s'est consacrée exclusivement à ses études. J'ai n'ai pu qu'être séduite, charmé, et être ému par cette héroïne qui mal grès les aléas de la vie à trouver à travers ses études, le moyen de garder la tête hors de l'eau et puis j'ai été surprise et ravi de la voir sortir de sa réserve et tenir tête à Roméo, lorsque ce dernier entre dans sa vie tel un boulet de canon, prêt à tous pour exploser une à une les briques que Molly s'est forgée autour d'elle.



Roméo, c'est le héros sportif populaire, dont j'ai pensé au début qu'il allait en faire voir de toutes les couleurs à notre héroïne, eh bien, je me suis trompé, c'est un homme charmant, sexy, je n'ai pu que le trouver encore plus charmant lorsqu'on découvre peu à peu ce qu'est sa vie qui n'a rien à envier au passé de Molly, car ses deux-là, on beaucoup morflé et beaucoup de personnes n'auraient pas eu leur force pour affronter ces épreuves et je dois bien avouer qu'il m'a séduite et prise dans ses filets.



Ce roman m'a tellement envoûté, scotché, captivé, surprise et stupéfaite que je n'ai pas pu détacher de ma lecture avant de savoir le dénouement, de plus la plume de l'auteur est tellement addictif, bluffante et prenante que je n'ai pu qu'avoir un méga coup de cœur pour l'histoire de Roméo et Molly, les Roméo et Juliette de notre époque.
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Une belle histoire, pleine d'émotions. Ce livre donne à réfléchir et m'a touché. Poppy nous y livre une belle leçon de courage et de vie.

Petit bémol : Je suis restée un peu en retrait et n'ai pas réussi à m'identifier aux héros à cause de leur jeune age.

J'ai eu un véritable coup de coeur pour ce roman, il ma fait pleurer, rire, il ma fait du bien. Je l'ai lus en deux aprèm des que j'avais du temps, je n'arrivais pas pas à le lâcher. Je le recommande vraiment.

O Roméo ! Roméo ! Pourquoi es-tu Roméo ? Étrange début de chronique me direz-vous ? Et bien pas tant que cela puisque Tillie Cole revisite le dramaturge de Shakespeare de manière assez déroutante.



Sweet Home est une ode à la vie, une ode à l’amour et au lien puissant qui unit deux personnes. Molly et Roméo pourraient sans aucun doute rejouer plusieurs scènes de la pièce des amants maudits tant leur passé est marqué par la douleur, tant la souffrance imprègne leur vie, tant leur destin semble semé d’embûches. Ce couple que tout oppose va devoir franchir les obstacles un à un, faire fi de la haine, passer outre la jalousie des autres pour entrevoir l’espoir tant attendu. Ils sont l’image même de l’amour véritable celui qui soulève des montagnes.



Ce roman possède énormément de qualité à commencer par les émotions brutes qu’il provoque chez le lecteur, la facilité avec laquelle il nous fait passer d’un extrême à l’autre. La profondeur des personnages est captivante tant ils sont assaillis de sentiments conflictuels. De la colère à la culpabilité en passant par le désir, Molly et Roméo sont submergés par leurs sens. Mais ce qui fait la beauté du récit c’est la manière dont malgré les épreuves ils comblent chacun le manque de l’autre, s’accrochent et souffrent ensemble, liés envers et contre tout.



Ce livre est truffé de références faites à tragédie de Shakespeare. Tillie Cole a rempli son récit de citation, poussant son admiration pour le poète jusque dans les noms de ses personnages. J’ai beaucoup aimé toutes ces petites touches apportées au texte et les correspondances que l’on peut faire avec le célèbre couple durant la lecture.



Néanmoins, il y a un gros point noir, de ceux qui sont rédhibitoires pour moi, il s’agit de la vulgarité dans les dialogues. Au début, j’ai trouvé que ça apporté une image assez réaliste au contexte dans lequel ils évoluent jusqu’à ce que Cass entre en scène et que je me retrouve à redouter ses répliques. C’est la principale raison pour laquelle je n’ai pas mis de coup de cœur à ce tome.



Heureusement, ce n’est qu’une infime partie du roman, car l’intensité du lien entre Molly et Roméo reprend très rapidement ses droits. Je suis restée bouche bée face à la perfidie de certains personnages, face à la cruauté et la violence dont ils ont pu faire preuve et je suis extrêmement sensible de la façon dont l’auteure à aborder le thème de la maltraitance. Cette histoire a remué énormément de choses en moi.



Sweet Home est un livre qui se ressent, qui se vit avec ses tripes tant il nous déstabilise. Je suis juste déçue par le manque de tact dans les discussions qui vont un trop loin à mon goût. Cependant, je reste subjuguée par le talent de Tillie Cole dont j’ai hâte de découvrir le prochain opus consacré au point de vue de Roméo en personne.
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Chronique e Diana :



Je pense que je n'accrocherais pas avec cette saga. Je sais que de nombreuses lectrices ont aimé voir adoré mais c'est loin d'être mon cas et je vais vous expliquer un peu ma vision des choses.







Je ne vais pas vous dire que l'auteure n'écrit pas bien ou que cette saga ne vaut pas le coup mais personnellement j'avoue qu'elle manque beaucoup trop de crédibilité pour que j'arrive à m'attendrir ou même encore à me laisser emporter.







Le milieu des bikers n'est pas ce qui me dérange le plus. Ils sont certes je trouve stéréotypés mais pas plus que dans d'autres sagas avec ce genre d'anti héros. Ce qui me gêne plus c'est la message qu'elle tente de passer. L'amour guérit de tout. Alors oui mais pas par l'opération du saint esprit. On parle ici d'une secte, des fous de dieu. Qui sous couvert de prêcher la bonne parole, violent, tuent, maltraitent des jeunes femmes.







Et là j'ai du mal sur la véracité des faits. Alors oui, vous allez me dire c'est une fiction mais tout de même il faut quand même créer un univers plausible pour se sentir transporter par une lecture. Là rien. Des viols mais pas de grossesses ? En 10 ans rien ? Ça ne tient pas la route. De même que sortir d'un tel environnement demande plus que l'amour d'un biker. Un petit tour dans un hôpital ne serait-ce que pour faire des examens et constater les nombreuses sévices et une aide psychologique.







Le reste de cette romance alterne entre glauque et amour dégoulinant de niaiserie (et là la rupture entre les deux c'est juste irrécupérable en ce qui me concerne). L'intrigue est plus que prévisible et du coup on s'ennuie et la suite est tellement mise en évidence qu'en se qui me concerne je vais m'arrêter là.







Vous l'aurez compris je n'aime pas du tout. Je sais que l'auteure doit sortir sous peu une autre saga et je vais lire les premiers tomes en espérant avoir une jolie découverte cette fois-ci.







Je passe probablement à côté avec Hades Hangmen mais je ne recommanderai pas cette série de romans.
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Chronique de Diana :



Ce n'est définitivement pas un roman qui me laissera un souvenir impérissable. J'étais pourtant enthousiaste au vu du nombre de chroniques positives le concernant. Et pourtant je n'ai pas vraiment matché avec ma lecture.







Tout d'abord, le contexte. Le milieu des sectes fanatiques et des différents abus qu'ils imposent à leurs disciples sous prétexte de parole divine, je trouve ça vraiment très glauque et encore je suis loin d'exprimer le fond de ma pensée.







Et ensuite la construction et le développement de certains personnages me laisse perplexe. Mae est une héroïne avec qui j'ai trouvé des atomes crochus. Malgré les traumatismes et ils sont nombreux, elle est positive et pugnace pour s'émanciper et vivre sa vie pleinement. Elle est aussi dévouée à ses soeurs et ce côté empathe ne fait que confirmer son capital sympathie. Là où je ne comprends pas trop c'est avec Styx, c'est pourtant le président, le muet que tout le monde craint mais on ne voit pas d'évolution (du moins dans le décryptage et son évolution poussée) alors que Rider lui est bien exploité. Ce dernier personnage est très important, se dévoile peu à peu et nous laisse encore de nombreuses interrogations.







J'ai aussi relevé quelques incohérences rien de dramatiques car certaines se rattrapent avec l'avancée dans la trame alors que d'autres non.







Donc entre beaucoup de violence gratuite (et attention je savais qu'avec le milieu des bikers je ne serais pas en compagnie d'enfants de cœur) et un décors des plus sordides je ne suis pas réellement convaincue par le premier tome de cette saga.







Je dois bien pourtant reconnaitre que le style de l'auteur est agréable et que son récit bien rythmé ne laisse pas d'attente aux lecteurs. Je vais tenter le second tome, en espérant y trouver plus d'éléments me permettant d'accrocher et me donnant envie de persister avec cette saga.
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Plus qu'intriguée par le résumé de ce premier tome, je me suis lancée dans cette histoire qui m'a énormément troublée ! Il est difficile de vous en parler étant donné qu'un second tome ne va pas tarder à sortir ...



J'ai fait la connaissance de Salomé alias Mae et River alias Styx.

Elle est prisonnière d'un monde renfermé sur lui-même.

Il est le président du gang des bikers Hangmen.

Il souffre d'un trouble d'élocution.

Elle est "la maudite " future épouse de son prophète.

Tout les oppose et pourtant le destin fait en sorte que leurs chemins se croisent à deux reprises, pour une brève parenthèse lors de leur enfance et de nouveau aujourd'hui, quinze ans après ...

Une rencontre que Styx n'a jamais réussi à oublié bien qu'il ignore tout de cette charmante enfant.

Ses yeux de loup hantent sans arrêt ses pensées ..

Pourquoi Styx avait-il réussi à parler à Mae malgré son handicap ?

Que s'est-il passé durant ces quinze années ?!

Vous ne trouverez guère la réponse dans cette chronique !!



Tillie Cole m'a de nouveau séduite. Pas de la même manière que pour Mille baisers pour un garçon ... mais quand même !

L'histoire est poignante, véritablement, et d'autant plus que, malgré la fiction de la romance, les faits sont basés sur des témoignages d'anciens membres de certaines communautés religieuses.



Suite de la chronique sur ce lien :

Second tome de la série des Hangmen dont j’avais adoré le premier : Hors la loi. Une vraie belle découverte mais un second tome un peu en dessous. L’univers est toujours aussi plaisant. Les personnages sont toujours aussi addictifs et intéressants. Cependant, je déplore pour cette histoire un héros un peu trop vulgaire et porté sur le sexe. Le vocabulaire est vraiment cru par rapport au premier tome. J’espère que le troisième sera plus soft car c’est celui que j’attends avec grande impatience.



Pour ce tome-ci, l’histoire se poursuit à la suite de la fin du premier. Les Hangmens ont délivré Mae, Lila et Maddie de l’emprise de la secte de Zion. Un nouveau prophète a été élu et il est à la recherche des trois maudites. Mae essaye d’aider ses sœurs à s’habituer au club et à ses occupants. Maddie reste prostrée dans sa chambre tandis que Lila découvre le monde extérieur grâce à Ky. Bien entendu, le plus chaud lapin des Hangmens a l’interdiction formelle de la toucher. Ce qui est très difficile car la jeune femme est très désirable et lui fait tourner la tête.



Ky est un héros arrogant et un peu trop sur de lui. Il ne pense qu’à s’envoyer en l’air ce qui est vite ennuyeux au fil de la lecture. Lila m’a un peu tapé sur les nerfs avec sa croyance en son prophète. L’endoctrinement de cette secte lui a certes pourri la vie, mais elle en fait parfois trop. Ky comme Mae ont beau lui démontrer que cette secte n’est qu’une infamie, elle continue à croire en son rédempteur. Cette note religieuse m’a un peu, beaucoup ennuyé. Cependant, la pseudo romance entre les deux personnages reste mignonne. Je regrette que le dénouement de cette romance arrive un poil trop rapidement. Ils se tournent autour longtemps et pas tac, ils couchent ensemble et sont amoureux. En l’espace de un ou deux chapitre. C’est le seul point négatif que je regrette. (suite sur le blog
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Hades Hangmen, voilà une saga bien addictive ou l’auteure à tout mis en œuvre pour retenir le lecteur coûte que coûte. Avec ce second opus, Tillie Cole m’a de nouveau plongé dans l’univers de ses bikers hors-la-loi dont l’existence fait froid dans le dos.



Pas de tergiversation, pas d’hésitation, dès les premières lignes on est aspiré par l’histoire qui reprend exactement là les avait laissé. Ce qui est éclatant, en commençant la lecture, c’est que malgré la similarité de la trame de fond, Dalila est bien plus coriace que Mae. Elle se raccroche de toutes ses forces à sa foi, se cramponnant à l’espoir de revoir le prophète, bannissant l’existence que sa sœur a choisie. Il faut dire que contrairement aux autres maudites, Lila n’a jamais demandé à partir, elle a perdu depuis tous ses repères. La seule chose dont elle est certaine c’est qu’elle doit être purgée de sa beauté.



On prend conscience page après page de l’emprise profonde qu’exerce les sectes sur leur disciple, de la souffrance, des traumatismes subis sans oublié les stigmates qui marqueront à jamais leur corps et leur esprit. Dalila a vécu un enfer qu’elle est persuadée de mériter, imaginez alors la répulsion qu’elle éprouve de se retrouver libre au milieu de ses hommes.



Kyler est le VP des Hangmen. Beau comme un Dieu et conscient de l’être il profite de tous les avantages qui en découlent. C’est un pervers qui ne s’en cache pas. Il vit dans la débauche la plus totale et aime cela plus que tout au monde. Alors lorsque son ami d’enfance lui demande un service qu’il ne peut refuser, son existence va prendre une tout autre tournure. Lui qui m’avait semblé être le plus sympathique de la bande m’a montré sa véritable nature et je peux dorénavant dire que le danger exulte de cet homme par tous les pores.



Comme je vous le disais, le début de cette nouvelle aventure ne dévie guère de la première. Le schéma de la jeune femme totalement naïve trimbalant son passé chaotique et du Biker d’une virilité extrême est encore de mise ici ce qui m’a un peu peiné en début de lecture. Là où les similitudes s’arrêtent, c’est qu’à aucun moment Lila ne lâche le morceau. Jusqu’au bout son formatage agit sur sa vision des choses. Ajouter à tout cela le retour de Landry chef Ultime du Klu Klux Klang et l’arrivée au pouvoir du prophète Caïn et vous obtenez un livre qui carbure à l’adrénaline dont il est difficile de se détacher.



Malgré la ressemblance sur le fond de l’histoire et la foi un peu lourde de Dalila, j’ai lu ce roman d’une traite, car Tillie Cole a vraiment joué sur tous les tableaux. Elle nous retourne le cerveau, joue avec nos émotions et fait grimper notre tension. Elle laisse également entrevoir la suite des événements avec un Flamme plus remonté et fou furieux que jamais et un AK qui semble très intéressé par une certaine rousse interdite. Je n’ai qu’une chose à dire : VITE LA SUITE !!
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ATTENTION SPOILE



tout simplement vous dire que j'ai adoré ce livre !!!! En lisant certains commentaires , je me suis rendue compte que ce livre avait beaucoup plu à énormément de personnes ! je trouve que l'on ressent toutes les émotions citées dans ce roman .

C'est précisément quand Rune découvre le cancer de Poppy que j'ai été le plus émue car on découvre que cet adorable garçon est devenu un mauvais garçon qui fume , se drogue , ... Mais lorsqu'il apprends sa maladie , on se rend compte que même s'il est devenu assez bizarre , il a beaucoup de sentiments pour cette fille et qu'il est près à mourir pour elle ainsi que l'aider à réaliser tous ses souhaits avant de mourir . Lorsqu'elle pert connaissance c'est vraiment là que je me suis rendue compte qu'il était juste amoureux et il ne pensait à rien d'autre qu'à la survie de sa bien-aimée ... Mais il se rendra vite compte compte qu'il n'y a plus d'espoir et qu'il est bientôt temps de partir ... Mon personnage en dehors de Rune et Poppy est sans aucun doutes Jorie . Je la trouv adorable , assez tête en l'aire mais vraiment mignonne et elle ferait également tout pour Poppy et pour essayer de lui faire vivre les plus beaux moments de sa vie ! Quand à Avery , alors là je dis non! Désolé mais je connais assez de fille dans son genre et honnêtement , elle n'a été que gentille avec elle lorsqu'elle a appris sa maladie et est vraiment une sale peste ! mais sinon ce roman à été le plus roman d'amour que je n'ai jamais lu .

Le résumé m'a tout de suite plu ainsi que la couverture du livre.



*Rune est un garçon qui déménage de son pays natal et se retrouve au Etats-Unis avec ses parents, il fait la connaissance de Poppy, sa voisine dont il tombe amoureux...



*Poppy est une jeune fille qui habite au Etats-Unis.

Sa grand mère mourante, va alors lui donner un bocal contenant mille cœurs en papier pour qu'elle notera sur chaque bout de papier les baisers qu'elle aura avec le garçon qu'elle aimera.



Rune déménage à 5 ans au Etats-Unis où il fit donc la rencontre de sa voisine, Poppy.

Ils vont ainsi tomber amoureux.



A 8 ans, Poppy va ainsi apprendre que sa grand mère est mourante et elle lui donne ce bocal remplis de petits bouts de papier.



A 15 ans, Poppy et Rune toujours amoreux, remplissent petit à petit le bocal des mille baisers(car oui elle pense,non elle en est sûr que Rune est l'amour de sa vie).



Une mauvaise nouvelle va alors arriver pour Rune: Il va devoir quitter les Etats-Unis et retourner dans son pays natal... Sans Poppy...



Même avec la distance, ces deux là vont toujours continuer à se parler.

Jusqu'au jour où Poppy ne donne plus de nouvelle...



2 ans s’écoulent et Rune revient habiter au Etats-Unis et revoit Poppy.



Poppy lui annonce alors pourquoi elle a disparut pendant tout ce temps, ne lui donnant plus de nouvelle...



Qu'a t'elle donc à lui annoncer?



Je peut vous dire qu'en écrivant cette chronique, j'ai le cœur serré et les larmes qui menace de couler...

Donc préparez une bonne dose de mouchoirs quand vous le lirez!



J'ai commencé le livre en me disant que tout irait pour le mieux mais ce n’était pas le cas...



C'est assez fou à quel point un livre peut nous rester en mémoire de cette façon...



j'ai jamais autant pleurer pour un livre...



L'amour de Rune et de Poppy est si intense. On peut vraiment voir que se n'est pas un simple amours de jeunesse...



Ce livre est bouleversant,magnifique,déchirant que je n'ai même plus les mots pour le plus le décrire...



A la fin du livre, l'auteur a mis la playlist des chansons qu'il lui on inspiré, et qu'elle surprise de voir le titre d'une chanson que j’écoute sans cesse depuis un moment que me met la chair de poule...


Lien : http://mademoisellelitterair..

Un livre d'une émotion insoutenable , rempli de suspens , de passion , d'intensité et de rebondissements ! Un livre Que je conseille vivement ! Tilie Cole a encore réussir à me faire succomber à sa plumes

J’ai eu un coup de cœur pour ce livre au niveau esthétique en effet il m’a attiré avec sa couverture attrayante mais son résumé m’a aussi énormément intéressée et ce coup de cœur c’est confirmé à la lecture.

Je l’ai littéralement dévoré un en minimum de temps et je crois que ce livre m’a vraiment marqué au plus profond de moi. Je pensais partir sur une histoire d’amour tranquille comme je les aime et en fait j’ai utilisé pas mal de mouchoirs (je pleure facilement). C’est la lecture qui m’a le plus ému de toute, elle est à la foi profonde, triste et merveilleuse. Tellement que je ne sais pas trop comment vous en parler.



La clé de l’histoire est un bocal de verre contenant 1000 papiers où l’on doit marquer ses plus magiques baisers avec un garçon. C’est romantique mais le livre y est encore plus.

Il raconte l’histoire de deux adolescents, Poppy et Rune, ils sont amoureux depuis toujours et partagent tout. Mais un jour Rune est obligé de partir dans son pays natal : la Norvège. Après ce départ leur vie change mais pas leur amour pourtant Poppy coupe tout contact avec Rune qui du coup souffre beaucoup de cette situation. Mais Pourquoi Poppy fait-elle ça ? Pourront-ils s’aimer de nouveau un jour ? Lorsque Rune revient il va essayer de répondre à ces questions mais la réalité risque d’être difficile à accepter.



La base de ce roman est assez simple puisqu’il s’agit d’une histoire d’amour entre deux adolescents malheureusement la vie est cruelle, ses épreuves vont leur tomber dessus. Dans ces épreuves Poppy m’a marqué de par son optimisme à toute épreuve, son courage, sa sagesse et sa simplicité. Il montre aussi qu’une personne peut avoir deux facettes de personnalité extrêmement différentes en fonction de la personne qui se trouve devant lui.

Le fait que les points de vue des deux personnages principaux soient alternés est très intéressant pour comprendre en profondeur les sentiments de chacun sans être influencé par le jugement de l’autre.

Ce livre est semblable Nos étoiles contraires de John Green, mais en plus délicat.



Bonne lecture !