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Citations de Vi Keeland (323)


Je le regarde passer la porte. Il se retourne et m'adresse un dernier signe avant de disparaître. Et là, je me mets à pleurer comme un bébé.
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Lorsque nous arrivons près du gîte, Carter semble se rendre compte de mon silence depuis le départ.
- A quoi penses-tu ? Tu sembles complètement ailleurs.
- A la vie, en général.
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Enfin.
J'ai trouvé l'homme de mes rêves. Et cette fois-ci, il n'a rien d'un fantasme d'adolescente. Il est là, bien réel.
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- Je suis fou de toi depuis la première minute. Fou de toi, je n'en peux plus.
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Je suis l’équilibre de son déséquilibre. Il est le courage de ma peur.
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J'ai fait un bon entrainement et j'ai mal partout, mais c'est une sensation que je savoure. "On n'a rien sans mal", dit le proverbe, et c'est en grande partie vrai.
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- Tu ne vas pas tout simplement user de ton charme et lui sauter dessus comme d'habitude ? s'étonne Lily, qui n'exagère pas vraiment.
- Non, parce que celle-là, il faut la mériter.
Lily secoue la tête et marmonne quelque chose d'indistinct tout en s'éloignant.
- Et merde, frangin, t'es foutu ! Celles qu'on doit mériter, ce sont celles qui te possèdent.
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En rentrant hier soir, j'avais réussi à me dominer. J'avais raisonné ma gaule tout le long du chemin et elle avait fini par comprendre. Qui aurait cru qu'on puisse parler à une érection ? C'était bien la première fois que je tentais le coup. En tout cas, ça avait marché.
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Il souffle bruyamment, hoche la tête, et me serre contre lui. Nous nous faisons nos adieux et il me relâche.
Il me faut alors toutes mes forces pour lui tourner le dos et sortir de la pièce.
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-Des lèvres qui donnent envie de se jeter dessus. Ah oui ! Il m’a léchée.

-Pardon ?

-Discrètement. Il a embrassé le dos de ma main, mais j’ai senti sa langue. Ça m’a fait crépiter la peau. Comme si on jetait de l’eau dans une poêle brûlante.

-Ouuuuuuh. Ça c’est le genre craquant, qui fait monter la température. Continue ! Et son cul ?

Sadie ferme les yeux comme si elle était en train d’imaginer l’homme que je décris.

-Bien ferme et rebondi.

-Ses bras ?

-Il portait une chemise, alors je n’ai vu que ses avant-bras.

Les yeux toujours fermés, elle m’encourage.

-OK, alors ils étaient comment ?

-Masculin, sexy.

-Et sont torse ? poursuit-elle, le timbre voilé.

-Large. Des épaules musclées. La taille mince.

Sadie ouvre brusquement les yeux et je me demande ce qui a bien pu interrompre son fantasme, dans ma description.

-Quoi ?

-Mais s’il existe, comment se fait-il que tu sois encore ici ?

Je me mets à rire – puis je me souviens. Je m’appuie contre le dossier en soupirant.

-En plus, il m’a invité à dîner.

-Et ?

-J’ai refusé.

-Pourquoi ?

-Tu sais bien ! Le contrat !

-On se fout du contrat, bordel !
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Je me lève à cinq heures tous les matins. Enfin tous les matins, sauf aujourd’hui. J’ai mal dormi, mon corps me torture, je vais exploser. J’ai tenu ma promesse toute la nuit. Et pourtant, tout ce que je voulais, c’était la soulever dans mes bras, l’emmener dans ma chambre et la prendre d’un coup, la posséder. Et puis, elle m’a embrassé. Je sais qu’après ça j’aurais pu aller plus loin. Mais avec Ella, je ne veux pas qu’une nuit. J’en veux bien plus. Je ne sais pas pourquoi mais c’est comme ça. Oui, j’en veux plus…

En rentrant hier soir, j’avais réussi à me dominer. J’avais raisonné ma gaule tout le long du chemin et elle avait fini par comprendre. Qui aurait cru qu’on puisse parler à une érection ? C’était bien la première fois que je tentais le coup. En tout cas, ça avait marché.

Mais quand je suis arrivé dans mon loft, j’ai senti son odeur. Et tout ce raisonnement s’est envolé par la fenêtre. Je ne pouvais pas dormir avec une barre à mine dans le calbut, alors j’ai pris une douche froide. C’était raté : je suis resté là, avec mon manche levé, les yeux grands ouverts. Je m’agitais dans mon lit et devant mes yeux, Ella me regardait en souriant. J’avais fait le con et elle se moquait de moi.
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Elle se met à pleurer. C'est comme ça qu'elle réagit à ma déclaration d'amour, à mon discours de grand débile amoureux. Ses joues sont inondées et même si elle sourit, j'ai envie d'essuyer ses larmes et de les faire partir.
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J'aimerais tant pouvoir dire que mon passé ne me suit pas partout, telle une ombre dont je ne pourrais me détacher, même en courant.
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-Tu ne peux pas aimer deux femmes en même temps.
-Si. Simplement, pas de la même manière. Si tu tombes amoureux de quelqu’un d’autre, la personne que tu aimais avant, que tu aimes encore, n’était pas faite pour être à tes côtés pour toujours.
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Les gens sont jaloux quand ils veulent quelque chose que possède quelqu'un d'autre. Ils sont possessifs quand ils protègent quelque chose qu'ils ont déjà.
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Regarder ce papillon mener Birdie droit au cheval avait vraiment été magique. C’était comme si l’univers était intervenu pour me prouver que si je pensais pouvoir tout contrôler, je me trompais lourdement
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On ne dit plus rien, parce que c'est trop cool de rester ensemble en silence, durant notre dernière nuit. Peu à peu, je m'endors au rythme des battements de son cœur.
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Un bon négociateur sait quand se taire : gênés, ses adversaires rempliront le silence à sa place
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- Je suis impatient d'être en toi. Je suis plus dur que la pierre.
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–Entre !
J’ai dû le crier sans me retourner car j’achève de nouer ma queue-de-cheval devant la glace de la chambre d’amis.
La porte s’ouvre.
– Comment ça, « entre » ? Arrête de dire des cochonneries alors qu’on s’apprête à passer la soirée au milieu d’une centaine de retraités !
Je ris.
– Entre, ça n’a rien d’une cochonnerie. C’est ton cerveau, le cochon, Carter.
Il entre et se plante derrière moi, s’adressant à mon reflet.
– Je te conseille d’éviter certains mots, ce soir, comme « entre » et quelques autres.
– Lesquels, par exemple ?
– De but en blanc ? Suce, lèche, branle, trou, chevauche, bande, avale, pénètre, chair, noix, déguste, goûte, dévore, bois, tire, arrache, chaud, tiède, humide, mordille, frémis, baise, dépucèle, défonce, mange, brûle, nique, pousse, tire, éperonne, cul, sale, laboure, fourre et remplis.
– Tu as tout ça à la fois dans la tête ?
– Ouais, et je ferais bien d’ajouter tête à cette liste.
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