Citations de Virginie Grimaldi (4227)
Les relations humaines semblent bien compliquées. Chez elle, elle n'avait pas ce genre de soucis. Enfermée entre les quatre haies de sa maison de banlieue, elle n'avait de contacts qu'avec le facteur (quand il y avait un recommandé), la caissière d'Intermarché, Marinette, la vendeuse de laine, et Mme Salim, la voisine d'en face. Finalement, ses relations les plus poussées, elle les entretenait avec Rachel et Ross, Bree van de Kamp et autres Meredith Grey. Avec eux, c'était bien plus facile.
-si la veillesse etait douce a vivre, personne ne voudrait que ça s'arrete. le fait qu'elle soit si rude rend l'existence moins attachante. la veillesse a été inventée pour se detacher de la vie
mon pere etait mort, il n'existait plus.........il ne me pincerait plus la joue on m'appellant juju...il ne m'accompagnerait plus a l'autel. je ne verrais plus ses cheveux blanchir, , je ne grincerait plus en sentant sa barbe piquer mes joues.je ne dirais plus jamais papa
Que nous réserve l'avenir ? J'aimerais parfois passer la tête par une petite fenêtre ouverte sur le futur, savoir si nos rêves se sont réalisés
Bon, d’accord, on se dispute beaucoup (c’est normal, ma soeur a souvent tort et moi souvent raison, ça peut pas coller), mais je l’aime beaucoup.
- Mais, alors ça veut dire qu'il faut rester malheureux ?
- Pas du tout ! Ca signifie que quelle que toit la situation, le positif est là pour ceux qui savent le voir.
- C'est quand on est à l'apogée du malheur que l'on apprécie le plus le bonheur.
- Vous n'avez plus à craindre le malheur. C'est au plus fort de son étreinte que l'on apprécie le plus les choses positives. Lorsque le bonheur est normal, on ne le remarque pas.
On accepte plus facilement les choses que l'on sait que celles que l'on ignore.
On vivait la même douleur, mais on ne la partageait pas. A trop vouloir s'épargner, on s'était éloignés.
J'avais posé un pansement sur la plaie sans la nettoyer. Tu as arraché le pansement, maintenant je vais la laisser cicatriser à son rythme.
Est-ce que les enfants que nous étions existent encore sous toutes nos couches de protection ?
La douleur, c'est comme un boomerang. So on essaie de l'envoyer loin de soi, elle nous revient en pleine tête.
On peut faire comme si elle n'existait pas, essayer de la faire taire, mais elle reste là, tapie, latente, à attendre la moindre faille pour se diffuser dans nos veines.
Notre famille allait s'agrandir, notre cœur aussi. Le bonheur n'est jamais aussi grand que quand on s'apprête à le toucher.
Mon frère a appris ce soir-là que le bonheur des uns s'arrêtait là où la gêne des autres commençait.
Tu grandis tellement vite. Je ne peux pas étirer le temps mais je peux lui donner plus d'épaisseur.
Certaines personnes se lassent, ont besoin de ressentir encore et encore les frissons des premières fois. Moi, ce qui me donnait le frisson, c'était de partager mon quotidien avec l'homme qui me connaissait mieux que n'importe qui, qui n'avait aucun secret pour moi, que je comprenais d'un seul regard, qui était dans chacun de mes souvenirs. Quand j'imaginais ma vie sans lui, l'angoisse me coupait le souffle. Mais il suffisait d'entendre le sien, juste à côté de moi, pour être envahie de bonheur.
Tu étais heureux. Juste parce que je l'étais.
Quand on n'a plus assez force, on peut la puiser chez les autres.
C'est doux, c'est réconfortant, c'est comme si la petite fille en moi était venue faire un saut dans le présent.