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Critiques de Walt Whitman (63)
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Feuilles d'herbe, tome 1

Poète préféré de Marilyn Monroe, j’avais envie de découvrir ce qui avait fait vibrer l’une de mes idoles. J’ai bien fait, car j’ai passé un très bon moment, et lorsqu’on connaît la personnalité de Marilyn Monroe, on n’est pas surpris par le fait qu’elle aimait les écrits de Walt Whitman, qui semblait obsédé par l’idée de laisser une trace de son passage sur notre planète après sa mort. A titre personnel, c’est le poème Cet Engrais qui m’a le plus plu.
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Feuilles d'herbe, tome 1

En lisant Feuilles d'herbe, on comprend d'où vient une partie de l'inspiration d'un Bob Dylan?
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Feuilles d'herbe, tome 1

Walt Whitman est sans aucun doute - avec Emily Dickinson - le plus grand des poètes américains du XIXe siècle.

Précurseur des symbolistes français, il est très attaché à se séparer des conventions poétiques européennes pour produire une poésie authentiquement américaine. On trouve dans cette édition française qui s'appuie sur la première édition américaine de 1855, tous les ingrédients que Whitman veut développer à travers son oeuvre : la Nature, les rapports humains, une certaine idée de la transcendance, un universalisme américain.

Les poèmes ont aussi une très forte innovation (rupture des vers, nombreuses images) et une dose d'érotisme assez incroyable pour l'époque.

Un auteur qu'il faut avoir lu au moins une fois !



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Feuilles d'herbe, tome 1

Par forcément fan de ces envolées lyriques, enfin à dose réduite. Il y a de jolis textes mais il me semble qu'il a exploité le filon jusqu'à plus soif. Je ne me suis pas attardé sur l'écrivain mais il devait avoir une très haute idée de lui-même et de ses attributs masculins. Je suis resté sur ma faim.
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Feuilles d'herbe, tome 1

Ce n'est pas si courant d'avoir de la poésie en prose, revendiquée comme telle par son auteur. C'est le cas très appréciable des poèmes rassemblés dans Feuilles d'Herbe de Walt Whitman qui fait preuve à jet continu dans ce recueil conséquent d'un certain lyrisme, porteur d'une poésie originale autour de la ville (de New-York), de la nature, du monde matériel, de la guerre, de la vie et des qualités des Américains telles qu'il les ressent. On a souvent l'impression d'une certaine boulimie, Walt Whitman voulant embrasser l'ensemble du monde sensible et même de l'univers dans son élan poétique : tout passe en effet dans sa moulinette (si je puis utiliser ici cette image prosaïque). C'est au prix, souvent, de litanies assez longues mais qui finalement passent assez bien. Ce n'est pas mon cas ici mais tout cela gagnerait beaucoup à être lu à haute voix, comme certainement beaucoup de texte poétiques.

C'est sans doute subjectif, mais je ne trouve pas beaucoup d'émotion ni de sentiments dans le propos de l'auteur : il se livre plutôt, avec bonheur il est vrai, à une sorte de poésie objective et matérielle, ce qui semble presque contradictoire, mais il montre que c'est possible.

Cela n'exclut pas quelques contre-exemples, comme le texte que je préfère, "Issu de l'oscillante, l'incessante balance du berceau" dans "Drossé au sable", où il s'agit d'un oiseau moqueur qui cherche, attend et réclame sa compagne probablement morte ou tuée (d'ailleurs, s'agit-il du même oiseau moqueur que celui évoqué dans d'autres poèmes, et qui serait récurrent ?).

On y trouve beaucoup de louanges des États-Unis, dans leur acception géographique à travers leurs états, de leurs grands hommes, surtout de leurs grands généraux de la guerre de Sécession (plutôt côté nordiste), et beaucoup d'éloges aussi aussi des soldats de cette guerre (sans distinction de camp). C'est peut-être cette composante patriotique qui fait que Walt Whitman est si cher au cœur des américains.

Mission sans doute difficile de traduire une telle oeuvre, mais réussie ici avec Jacques Darras.

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Feuilles d'herbe, tome 1

C'est la place de l'Homme sur la Nature dans cette Amérique toujours en recherche de renouveau. C'est un peu comme une espérance dans ce monde de brut.

C'est beau mais c'est rude.
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Feuilles d'herbe, tome 1

Je crois que c'est Saint Augustin qui demandait qu'on se méfiât de l'homme d'un seul livre. Walt Witman fut pourtant cet homme puisque son recueil de poèmes « Feuilles d'herbe »[Leaves of grass), même s'il ne fut pas son œuvre unique [Il est moins connu pour Good by my Fancy, Spécimen Days and Collecte...], il reste qu'il est surtout célèbre pour ce recueil de textes souvent remaniés et réédité neuf fois de son vivant, parfois sans l'aide d'un éditeur. On ne sait d'ailleurs pas s'il s'agit de prose ou de poésie, tant sa prosodie emprunte la forme nouvelle pour son époque du vers libre, pourtant le film « Le cercle des poètes disparus » de Peter Weir [1989] a remis à l'honneur un de ses poèmes, écrit à la suite de l'assassinat d'Abraham Lincoln [Oh capitaine, mon capitaine]. Son style est à la fois baroque et les grandes envolées lyriques voisinent avec des banalités étonnantes et quotidiennes. Son écriture passe sans grandes transitions de phrases prétentieuses voire pédantes, à l'usage de mots argotiques, abstraits, voire des néologismes ou des mots créés à partir de langues étrangères ou d'onomatopées, pour repartir en évocations mystiques, usant d'une langue faite d'éléments hétéroclites donnant au lecteur une impression mitigée, déconcertante même, sans réelle différence entre la langue parlée et la langue écrite. C'est un peu comme si l'auteur se sentait grisé par les mots et leur musique. On a voulu en faire le précurseur des symbolistes en ce qu'il a voulu exprimer l'inexprimable puisqu'existe dans sa créativité des correspondances entre le monde matériel et spirituel. On a même été jusqu'à voir en lui l'annonciateur des surréalistes. C'est dire l'importance de cet écrivain qui ne laisse personne indifférent.

On a beaucoup parlé de Witman, et il est vrai qu'il s'agit d'un grand poète américain, autodidacte et humaniste. L'expression peut d'ailleurs surprendre chez un peuple traditionnellement plus attaché à la recherche du profit et à la réussite sociale qu'à la culture et qu'à la poésie dont on sait qu'elles ne rapportent rien ou pas grand chose, mais c'est ainsi! Ce fils de fermier de Long Island s'est très tôt tourné vers l'écriture, comme journaliste d'abord, comme homme de Lettres ensuite. Il reste un écrivain spécifiquement américain qui croit en l'homme, en ses capacités de construire l'avenir dans le respect de la démocratie et la foi dans le bonheur sur terre et l'égalité entre hommes et femmes. Il était en cela tout à fait en phase avec son temps, mais aussi un précurseur notoire.

C'est vrai qu'il a été un auteur controversé, mais il a évoqué l'humanité toute entière, ce qui a fait de lui un poète universel. Il a été un être complexe, comme nous le sommes tous, à la fois poète de la terre, du peuple, célébrant les valeurs physiques, celles du travail, de la vie au grand air et volontairement oublieux des barrières sociales, mais étonnamment moderne et intellectuel. Pour autant son écriture trahit un être angoissé, désespéré parfois ou bizarrement optimiste, mais sans la souffrance et le mélange de sentiments que seule nous inspire la vie, il n'y a pas de création artistique, d'autant que son existence ne fut pas exempte de passions tumultueuses [on a même évoqué l'homosexualité] dont il parla.

En cela, Witman était un être humain, avec ses passions, ses contradiction, ses doutes, ses espoirs et ses découragements. Il fut à la fois un écrivain mythique et mystique en ce sens qu'il parla de la vie sous toute ses formes, évoqua Dieu, source de toute création mais aussi force qui donne l'impulsion à toute l'humanité. Pourtant il n'était pas chrétien, mais célébra l'âme comme intimement liée au corps, aux sens. Il fut un visionnaire, chantre de la liberté et de l'égalité entre les hommes, désireux de voir d'avènement de « l'homme moderne »mais étonnamment individualiste, voire anarchiste parfois, un romantique et un prophète aussi!

Un poète disparu et injustement oublié!

© Hervé GAUTIER - Décembre 2007.
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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Feuilles d'herbe, tome 1

Longue lecture, des mois dans l'âme d'un homme, qui est plus qu'un homme, qui est l'univers, qui est l'Amérique, écrivant l'épopée de ce pays neuf, immense, infini. La poésie de Whitman est heureuse, et c'est ce qui déconcerte. Le poète n'est pas maudit, il est béni. Et il bénit. Il bénit le monde, dans de longues listes qui donnent, brut, le réel au lecteur. Il chante la vie sous ses formes multiples, universelles, immuables et changeantes. Il célèbre la guerre et la paix, l'homme, la femme, le corps, la pensée, Walt Whitman, la démocratie. Il ennuie un peu, car son invention est sans adieu, elle se développe sans cesse, et le temps qui tue est le seul point final du déroulement perpétuel de la poésie totale. Plus personne ne place si haut la poésie, qui est devenue une langue morte.

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Feuilles d'herbe, tome 1

Vous connaissez ce poète américain, j'en suis presque sûre. "Le Cercle des poètes disparus", ça vous parle ? Que répétait le professeur Keating ? "Ô Capitaine, mon Capitaine !" Eh bien voilà, nous y sommes ! Il s'agissait d'un poème de Whitman dédié à Abraham Lincoln.



Dans ce recueil, cet écrivain du XIXe siècle va surprendre par les thèmes traités. En effet, là où il était bon de faire dans le romantique, le symbolique, le métaphorique, le spirituel, bref, tout ce qui définissait un poème dans la norme, Whitman va s'attaquer au moins noble, au moins pur : le quotidien, le matériel, la chair... Le style est plutôt vindicatif. On sent qu'il veut révolutionner la poésie "pompeuse" pour en faire quelque chose de plus moderne. D'entrée de jeu, le ton est donné dans ce petit texte intitulé "Mon Legs" :





A vous, qui que vous soyez, (en baignant de mon

souffle cette feuille-ci, pour qu'elle lève — en la

pressant un moment de mes mains vivantes ;

— Tenez ! sentez à mes poignets comme bat mon



pouls ! comme le sang de mon cœur se gonfle et

se contracte !) Je vous lègue, en tout et pour tout. Moi-même, avec

promesse de ne vous abandonner jamais,

En foi de quoi je signe mon nom.





Provocateur, il précise dans sa "Chanson de l'Universel" :







Viens, me dit la Muse

Chante-moi un chant qu'aucun poète ne m'a encore chanté,

Chante-moi l'universel.

Au cœur de cette vaste terre

Au fond même des grossièretés et des scories

sûrement enseveli dans son cœur,

germe le grain de la perfection.







J'ai découvert très récemment ce poète et j'avoue que ce côté rebelle m'a plu.


Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Feuilles d'herbe, tome 2

C'est par Jean Giono que mon attention fut attirée sur ce poète américain considéré comme un classique dans son pays. Il partage avec le maître de manosque l'amour de la nature et une ardente sensualité. Par contre j'ai été surpris par des poèmes très va-t-en guerre alors que Giono était une pacifiste intransigeant. Une oeuvre à connaître tout de même cat elle fait écho à de nombreux thèmes actuels ( Nature, homosexualité...) .
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J'ai entendu le savant astronome

BD jeunesse avec le texte de Walt Whitman et les illustrations de Loren Long.

Ultra rapide à lire, elle raconte l'histoire d'un jeune garçon qui assiste à la conférence d'un astronome, qui se sent pris d'un malaise, se sauve de la conférence, et se retrouve la tête dans les étoiles.



Tout cela pour montrer que "l'imagination est plus importante que le savoir. le savoir est limité. L'imagination englobe le monde entier." (Albert Einstein)



Belle leçon de vie avec une histoire très courte et des dessins de qualité.

Pour moi qui avais envie de découvrir Walt Whitman et son recueil de poésie Feuilles d'herbe, cela est un bon amuse-bouche !
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Lincoln

DE LA VIE A LA LÉGENDE D'UN GRAND HOMME



Le 14 Avril 1865, moins de deux mois après son investiture à la Maison-Blanche, suite à une réélection plus que confortable avec 56 % des voix, -contrairement à la première, en 1860, qui fut très compliquée -, l'homme qui avait toujours souhaité, contre vents et marées, l'abolition de l'esclavage, celui dont l'élection fut le déclencheur aussi involontaire que malheureux, bien que prévisible, de la sécession des sept états esclavagistes du sud, le géant dégingandé d'un mètre quatre-vingt-treize qui serait aux commandes, dans la douleur mais sans vergogne, de l'entrée et la conclusion de cette fameuse Guerre de Sécession, Abraham Lincoln, seizième président des Etats-Unis d'Amérique venait d'essuyer des coups de feu, tandis qu'il assistait de sa loge à une représentation théâtrale - l'une de ses passions - à Washington.



Lincoln mourrait d'une balle tirée en pleine tête par un partisan sudiste, John Wilkes Booth, le lendemain même du drame et sans jamais avoir pu reprendre connaissance, le 15 Avril 1865 à 7h22.



Ainsi s'achevait la carrière d'un grand homme d'état américain.

Ainsi pouvait naître une légende !



C'est sous la plume de Walt Withman que celle-ci, entre autres thuriféraires, va prendre forme.

Le poète des Feuilles d'Herbe, texte qu'il n'a cessé de remanier de sa publication originelle en 1855 à son ultime réédition en 1891, un an avant le décès de l'auteur, n'aura de cesse tout au long de sa longue vie, de partager ses souvenirs et ses pensées liés à cet homme d'état passablement hors-normes.



Qui ne se souvient de cette scène finale inouïe et tellement émouvante du film "Le cercle des poètes disparus", durant laquelle les jeunes élèves du professeur Keating, bouc-émissaire absolu d'une Amérique blanche, arrogante, raciste, réactionnaire, pétrie de certitude et dénuée de tendresse ni d'humanité, se lèvent sur leurs tables de travail et entament le célèbre poème de Walt Withman : "O Captain ! My Captain !" en signe de respect et de courage à leur ancien enseignant ?

Bien entendu, les jeunes américains et leurs aînés le savent pour beaucoup, mais c'est une chose moins connue, chez nous, que ce texte puissant était l'hommage du poète au président. Et ce poème participa grandement à la postérité du vainqueur du camp confédéré.



Withman avait, de son propre aveu, eu l'occasion de rencontrer Lincoln une petite trentaine de fois. En revanche, il est parfaitement honnête : sa description des minutes du drame, il les a retranscrite selon ce qu'il a pu en lire dans la presse du moment, n'étant aucunement témoin direct de l'attentat.

En revanche, il avait compris toute l'importance de la destinée de cet élu tellement atypique, fait le tour de la grandeur du personnage et de ce qu'il représentait, pour ainsi dire à lui seul, de cette démocratie américaine toujours plus ou moins à la recherche d'elle-même, l'épisode sanglant, mais pas si surprenant que cela, de la guerre civile tout juste achevée l'attestant.



Ainsi, les éditions La Part Commune, par le choix de ces textes - notes, conférence - et la traduction dus à Thierry Gillyboeuf, bon connaisseur de la littérature américaine du XIXème siècle, de l'oeuvre de Henri David Thoreau en particulier, nous proposent-elles de découvrir le lien intime entre ces deux immenses personnalités, Whitman estimant par ailleurs que Lincoln était une sorte d'âme sœur. En quelques mots bien compris, l'auteur des Feuilles d'Herbe permet aussi de mieux comprendre la portée, l'importance, la syncrétisation de l'essence d'une Nation, la sienne, dans le creuset de la destinée d'un seul homme, mais quel !



Petit volume d'une lecture rapide et sans doute assez anecdotique malgré les personnalités en présence, il sera le bon complément de tout passionné de l'oeuvre du poète, de la biographie du politique ou de l'histoire des USA.
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Manuel d'Amérique (suivi de) Recueil

L'auteur de Feuilles d'herbe, fondateur de la poésie américaine moderne, était aussi un théoricien généreux, dont on redécouvre ici la pensée.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Paroles du Nouveau Monde



Merveilleux petit condensé de poésie et de philosophie .Difficile à trouver cependant.

C'est en voyant associés les noms de Kenneth White et de Thoreau que j'ai craqué ! Ils ont une bonne place parmi mes poètes-routards préférés (avec Abbey et Muir bien sûr !)



C'est un ouvrage étonnant. Hors du temps.

Quand on l'ouvre, c'est une explosion de couleurs : à chaque page ou presque, des reproductions d'une nature luxuriante, oeuvres de peintres du XVIII ème et XIX ème siècle alternant avec les poèmes de Thoreau , d'Emerson ou Whitman.

Cependant, la "maigreur" de l'ouvrage m'a étonnée .De la taille d'un carnet ,il n'a que 53 pages.

Mais, outre son charme , ce livret a aussi vocation de découverte .





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Paroles du Nouveau Monde

connaissez-vous Walt Whitman de nom peut-être, si je vous cite ceci " ô capitaine mon capitaine " ça vous dit quelque chose.

henry David Thoreau et Ralph Waldo Emerson, pour les profanes comme moi sont les poètes emblématiques des États Unis du 19 eme siècle.

ce livret est donc un condensé de leurs écrits, agrémenté de très belles peintures paysagère de la nouvelle Angleterre.

j'ai deux remarques à faire, la première je suis resté sur ma faim, en effet c'est trop court, moin de cinquante pages, le deuxième bémol, pour moi la poésie est autant féminine que masculine, je trouve qu ´Emily Dickinson avait sa place dans ce livre, ainsi le cercle des poètes disparus aurait fermé la boucle.

au risque de décevoir les futurs lecteurs cette édition est épuisée, mon exemplaire vient de la bibliothèque de Montréal où il a été retiré de la collection.

vous pourrez toutefois trouver ces poètes humanistes dans toutes les bonnes librairies.

Bonne lecture à toutes et tous
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Paroles du Nouveau Monde

Les auteurs choisis sont magnifiques mais leurs citations (on peut les compter)bien que misent en valeur par des illustrations prestigieuses paraissent isolées et perdues au milieu des œuvres prolifiques de leurs géniteurs. Je reste sur ma faim heureusement le journal de Thoreau m'attend sur ma table de chevet.
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Paroles du Nouveau Monde

Un livre qui procure le bonheur . La maestria des mots , la force des idées , la puissance des pensées . Cet opus qui regroupe tant de textes majeurs de ces auteurs incroyables s'avére étre ni plus , ni moins , qu'un refuge dans le monde dela pensée quand cette réalité qui voit tf1 au sommet devient trop dure à accepter . Immense tout simplement .
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Poèmes de Walt Whitman

Ce n'est pas si courant d'avoir de la poésie en prose, revendiquée comme telle par son auteur. C'est le cas très appréciable des poèmes de Walt Whitman qui fait preuve à jet continu d'un vrai lyrisme presque incantatoire, porteur d'une poésie originale autour de la ville (de New-York), de la nature, de la vie et des qualités des Américains telles qu'il les ressent. L'auteur n'hésite pas à faire preuve d'une certaine transgression dans les thèmes qu'il aborde, malgré la société très puritaine dans laquelle il vit.

Un vrai bonheur que ces poèmes qui, il est vrai, gagnent à être lus à haute voix.

Traduction agréable de Léon Bazalgette
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Tant que durera la guerre: Lettres à sa mère pe..

Le spécialiste de Thoreau Thierry Gillybœuf publie des écrits de l’auteur de "Feuilles d’herbe" sur la guerre de Sécession.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Vie et aventures de Jack Engle

Roman inédit de Walt Whitman, grand poète des pulsations des Amériques naissantes, sous sa charmante brièveté, sa mordante ironie, Vie et aventures de Jack Engle révèle une sensibilité à l'essai, un jeu sur les codes éditoriaux de ce roman-feuilleton. Au-delà de son histoire d'un orphelin en quête de ses origines, on découvre déjà la fraternité, la grandeur des plus humbles mais surtout cette volonté de dire le prophétiser le présent au cœur de Feuilles d'herbe, l’œuvre décisive de Whitman.
Lien : https://viduite.wordpress.co..
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