Yves Grevet

J'ai décidé de faire ma première critique sur ce livre, écrit par Yves Grevet, un auteur que j'apprécie particulièrement. Ma mère avait bien aimé ce tome, et je me suis donc lancée, même si ce n'est pas vraiment le style de livre que je lis beaucoup.



Au début, j'ai eu du mal à accrocher au livre, étant plutôt étonnée avec mes autres expériences de cet auteur, mais il faut avouer que je n'y mettais pas du mien non plus.

Avec un peu de persévérance, je suis entrée dans ce livre qui nous fait suivre l'histoire d'un adolescent qui enquête désespérément sur la mort de son père, mort d'un accident de voiture.

En parallèle, on suit la jeunesse de son père, alors qu'il enseignait en Turquie, et où tous les problèmes ont commencé.

Cette aventure est une réussite, et l'intrigue très bien construite, j'encourage tous ceux qui hésitent à aller le lire, même si ce n'est pas votre style de livre préféré.



En espérant que ma critique puisse vous être utile.

Très bon roman pour ado que j'ai lu en même temps que ma fille qui devait réaliser sa fiche de lecture en classe de 4ème. J'aime partager ses lectures et j'ai pu découvrir ici une histoire bien rythmée, intéressante car tirée en partie d'un personnage réel. L'intrigue est bien menée et nous tient en haleine avec une écriture agréable.

Après avoir lu toute la série, je relis à nouveau le premier et retrouve avec plaisir les personnages dont on fait ici la connaissance. Dans la maison, les règles sont strictes, et si on ne les comprend pas, il faut quand même les appliquer. N'y vivent que des garçons, enfants et adolescents, tous avec des prénoms latins, sous la direction et le contrôle des César. Ils suivent des cours, font du sport, mais personne ne sait ce qu'ils deviennent lorsque le temps de leur apprentissage est fini. Chaque âge porte une couleur, et quand un grand part, un petit arrive. Meto aimerait comprendre et percer les secrets de cette maison avant que son tour n'arrive de devoir la quitter.

L'univers dystopique est bien campé avec ses lois individuellement absurdes mais qui font sens quand elles sont considérées sous un autre angle. Les mécanismes qui président à la suite sont déjà bien mis en place et chaque personnage a son rôle à jouer.

C’est l’histoire d’une fille Tess qui se bat pour l’écologie de la Terre, son quotidien bascule lors d'événements étranges. Des aliments et médicaments disparaissent pendant la nuit et quand cela se produit elle ressent une présence.

Ce livre m'a plutôt plu, pour le côté étrange, mais je me suis perdue au milieu de l’histoire pendant des moments étranges et c’était difficile à comprendre. J’ai aimé quand la Terre commençait à aller mieux et que Tess a réalisé son rêve et aussi sa relation avec sa copine qui est gentille et douce envers elle.

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Recueil de nouvelles pour faire suite aux 4 tomes. Certaines nouvelles sont intéressantes, voir amusantes sachant que dans le même temps nos 4 héros vivent autour de ce qui arrive aux personnages que l'on redécouvre dans certaines de ces nouvelles.

Mais bon, je ne vois pas non plus l'intérêt si ce n'est d'en remettre une couche avec des personnages différents.

Quoiqu'il arrive, j'avais décidé d'aller jusqu'au bout un peu comme Koridwen. Elle dans son aventure chaotique, moi dans ma lecture.

Donc, un peu comme pour Stephane, j'ai trouvé la lecture moins niaise. Étonnamment, je trouve les romans mettant en scène les garçons un peu nunuches.

D'ailleurs, j'ai relevé une phrase de Koridwen qui explicite bien mon sentiment : "Et ne fais pas pleurer les garçons, ils ne l'ont pas mérité"

Ce qui me donne le sentiment final que les auteurs ont fait des personnages masculins faibles pour donner plus de force aux personnages féminins. C'est dommage, car inutile à mon sens.

Je trouve le personnage de Koridwen intéressant, la fin aussi est intéressante pour le coup c'est un des seuls volumes qui m'a tenu jusqu'au bout.

J’ai bien aimé ce livre parce que ça parle d’un ado. De plus, il y a beaucoup de suspens : allait-il réussir à sauver le monde ?

Il y a aussi des passages drôles quand le prénom Thésée rime : « Thésée ! Taisez-vous! ». J’ai trouvé que ce livre était simple à lire mais un peu trop long.

Naël

Yves Grevet est un magicien des mots. A chaque nouvelle lecture je me laisse emporter par ses personnages et ses histoires. Dans le cas de C'était mon oncle, il s'agit de la réédition de son roman, paru en 2006, ici en format dyschool. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s'agit d'un roman "adapté", de par la présentation, la police d'écriture et plusieurs autres éléments, à un public de jeunes lecteurs dyslexiques. Une façon de leur faciliter la lecture, de la rendre abordable et possible. Et je trouve que c'est formidable. Il y a la liste des personnages au début, les mots difficiles dont la définition se trouve en bas de page et une police d'écriture adaptée et plus aérée. Tout est fait et pensé pour donner accès à la lecture au plus grand nombre.



Venez, je vous parle de cette histoire très touchante, très courte (160 pages) mais très poignante dès les premières lignes.



Noé Petit est un ado qui, se trouvant un soir à la maison, apprend à la suite d'un coup de téléphone le décès d'Armand Petit. On lui indique qu'il s'agit de son oncle. Or Noé n'a jamais entendu parler de lui. En discutant avec son père, il va apprendre qu'il s'agit du frère ainé de ce dernier qui s'était marginalisé depuis une quinzaine d'années. Armand avait décidé un beau jour de faire son baluchon et de vivre ailleurs, loin, et de ne plus donner signe de vie à sa famille. Epris d'aventures, de liberté et de grands espaces, il comptait faire sa vie loin des siens et de sa ville natale.



Le père de Noé qui était très proche de lui à une époque en a été affecté de même que leur mère. Mais, bien que rentré en France à un moment donné, Armand n'avait jamais pu se résoudre ni se réadapter à une existence sédentaire. Et sa mère, de même que ses frères, le voyait régulièrement faire la manche, en compagnie de plusieurs autres sans domicile fixe près de la gare ou sous un abribus.



Noé, ado solitaire qui s'ennuie beaucoup dans la grande maison, à la campagne, loin de tout, où il a emménagé avec ses parents est en quête d'aventure, d'occupation. Du haut de sa jeunesse et son insouciance il ne peut se résoudre à se satisfaire de cette version sur cet oncle mystérieux. Il décide donc de partir à la recherche de la vérité sur son parent, aidé en cela par les poètes et ouvrages que ce dernier affectionnait tant, en particulier Boris Vian.



J'ai beaucoup aimé ce roman pour la plume délicate et sensible d'Yves Grevet. L'auteur fait découvrir à son personnage l'empathie et les situations complexes qui peuvent exister entre adultes. Les secrets de famille, les non-dits. La grand-mère de Noé sera en quelque sorte son guide, pour l'aider à louvoyer entre tout cela. Notre jeune héros est pour la première fois confronté à la marginalisation, à la différence et à l'acceptation (ou non) de cette dernière. Tout cela est amené de façon pudique et invite à la réflexion plutôt que le jugement, sur notre société et la place que chacun y occupe.



Un roman à lire absolument et à faire lire autour de vous.. aux ados, jeunes lecteurs, mais également aux adultes. Un roman nécessaire dans l'idée du mieux vivre ensemble, en essayant de comprendre les accidents de la vie, de parcours que certains ont pu connaître plutôt que se poser en moralisateur.



Bonus : la bibliographie en fin d'ouvrage contenant les titres des ouvrages et des poètes cités tout au long du livre
Lien : https://mgbooks33.blogspot.c..

C'est l'histoire d'un collégien nommé Thésée qui vit une vie paisible d'adolescent. Mais un jour, un Alien a échangé son corps avec Thésée et celui-ci est resté coincé dans le corps de Thésée. Que va-t-il se passe ensuite ?



J'aime bien l'histoire, on s'attache aux personnages rapidement et le suspense est toujours marrant. Je pense que l'auteur essaye de nous envoyer un message, qu'il faut faire attention aux personnes qui nous entourent et qu'on ne sait jamais ce qu'il arrivera dans le futur.



Je recommande ce livre pour les personnes qui aiment bien la Sci-FI, les enquêtes et les livres faciles a lire.

Eftelya

Dans un futur proche, Tess, une adolescente de 16 ans et ses amis, voient le monde changer et sombrer dans la pollution. L'auteur de ce roman est Yves Grevet, il veut montrer l'évolution de la planète. Ce livre est destiné aux jeunes lecteurs et aux adolescents. Le but est de montrer l'avenir de monde dans la pollution et ce livre est une prévention. L'histoire de Tess est une histoire fantastique et de mystère. Les adolescents de nos jours se moquent de la santé et de l'avenir de la planète. Tess est une fille très investie pour l'écologie, à elle seule, elle veut changer le monde! Tess est très heureuse d'apprendre que le monde va mieux. La Terre va mieux depuis que les gisements de pétroles, les voitures ne peuvent plus roulées donc il y a moins de gaz libérer dans l'air, tout ce qui est nocif pour la planète disparait.

Ce roman ne reflètent pas la réalité car il y a trop de fantastique et de mystère. Je l'ai trouvé imaginatif, mais assez complexe et lent à lire, d'autant qu'il est riche en vocabulaire. Le personnage Tess est étrange mais petit à petit on arrive à apprendre à la connaitre , ce livre est je pense apprécié des personnes qui aiment la science-fiction. Ce livre est une réussite de fiction , interresant, mais ce livre est difficile et lent à lire. Il n'y a pas d'image, mais un bon sujet

Que de lenteurs et d'incohérences dans ce roman post-apocalyptique.



Koridwen, c'est une jeune adolescente bretonne qui est la seule survivante de son hameau.

Pour s'occuper, elle continue à entretenir la ferme et chouchouter les animaux.

Jusqu'au moment où elle décide de prendre au mot un mail énigmatique d'un certain Khronos, tout droit sorti d'un jeu vidéo.

Croyant aussi aux croyances de sa grand-mère, elle se met alors en tête qu'elle peut changer le monde, qu'elle peut revenir en arrière, avant ce terrible virus qui a tué presque tous les adultes.

On voyage donc avec Kori et son cousin Max, ayant un handicap mental, à travers la campagne pour une destination finale : Paris.

De nouveaux dangers se dresseront.



Chaque chapitre est un nouveau jour, nous commençons le 7 Novembre, et nous terminerons ce récit le 25 Décembre.

Jour après jour, nous apprenons à connaître cette jeune fille, assez hautaine et directive.

Je n'ai pas du tout réussi à rentrer dans son personnage de super-héroïne / apprentie-sorcière, et j'avoue que sa « bonne étoile » m'a un peu tapée sur les nerfs !

Nous ressentons cependant une certaine angoisse par rapport à l'environnement, on peut facilement imaginer ce nouveau monde.

Mais il manque d'un petit quelque chose pour rendre cette lecture plus captivante… On s'ennuie tout de même beaucoup, on a souvent l'impression de relire les mêmes chapitres, que de répétitions…

Et surtout, le plus gros point négatif, le récit n'est pas crédible.

Grâce au prologue, nous prenons connaissance que le virus U4 s'est déclaré vers le 20 Octobre. Or, pendant toute la traversée de Kori, nous avons une grande impression que tout est déjà bien en place depuis un certain temps.

Un moment, ils parlent même que, "avant", les groupes se respectaient pour ne pas empiéter sur les autres territoires, on imagine alors que des mois et des mois se sont écoulés, ce qui n'est pas le cas du tout.

Et puis des adolescents qui perdent toute leur famille, et ils ne sont pas plus dévastés que ça, ils se sont ressaisis très vite et partent « à la guerre des territoires »... aucune crédibilité, on manque d'émotions, on ne ressent pas leurs détresses.

Ce qui m'a empêché d'abandonner ma lecture, c'est la curiosité de savoir ce qu'il va enfin se passer le 24 Décembre, mais là aussi quelle déception… La fin est bâclée.

Ce n'est malheureusement pas un roman que je garderai en mémoire.

L'action de ce le livre se passe majoritairement à Paris dans les années 2000 environ. Tess, une militante écolo de 16 ans, est heureuse car le monde va mieux. Une mystérieuse bactérie s'est développée dans le pétrole, le rendant inutilisable, et les océans de plastique ont disparu. Les aliments nocifs et certains médicaments disparaissent également. Tess et son ami Nagaï participent à un mouvement appelé planète Reboot et militent au nom de l'écologie. Lors d'une manifestation, Tess fera la rencontre de Léonor qui deviendra sa future petite amie. Tess semble avoir un don quand une disparition de médicaments a lieu, elle sent des présences et une mystérieuse odeur chimique. Elle semble être la seule à sentir ces phénomènes. Elle rentrera en contact avec Jennifer, une policière affectée à l'enquête des disparitions surnaturelles.

Le roman est écrit comme un journal intime car les chapitres ont des dates et des heures en guise de titre et le livre est écrit à la première personne.



J'ai globalement aimé ce livre, il a su capter mon attention tout au long de l'histoire. Plus la fin approchait et plus j'avais envie de connaître les réponses aux questions que je me posais. Mais j'ai quand même trouvé que le livre était un peu trop centré sur les sentiments de Tess et que l'auteur aurait pu développer un peu plus le côté surnaturel. J'ai aussi beaucoup aimé le côté enquête avec Jennifer, même si à mon avis il manque des réponses. Je trouve également la fin un peu rapide et j'aurais aimé une plus longue explication.



“Quel intérêt avez-vous à restaurer notre planète ? On le fait parce que l'entraide est une loi naturelle. On doit aider les autres espèces. Et pour vous, les Terriens, il y a urgence. Si on ne fait rien maintenant, bientôt ce sera trop tard. Vous mourrez tous.”



Je trouve que ces phrases résument très bien le message que l'auteur veut faire passer dans son livre, les personnages parlent d'entraide et d'écologie et ils disent que si on ne fait rien, la terre est perdue.

J'ai beaucoup aimé ce roman. Je le conseille à des lecteurs qui aiment les livres fantastiques ou de science-fiction. Ce livre est destiné à un public adolescent. Hugo R.

Cette troisième histoire, la plus réussie, fait un beau portrait, touchant, d?un garçon seul face à un face État totalitaire où règnent la délation et la peur, contrebalancées par la solidarité de ce groupe de résistants. Le dessin semi-réaliste accentue l’ambiance sombre et oppressante fidèle au roman.




Lien : https://cnlj.bnf.fr/fr/conte..

« U4 - Koridwen » est un roman écrit par Yves Grevet.

Il fait partie d’une série de 4 livres, qui ont tous été écrits par un auteur différent mais qui envisagent une même situation : une pandémie. Ce livre a reçu 14 prix littéraires. La série a été écrite avant la crise du Covid 19

Les personnages principaux de cette histoire sont Koridwen, une fille de 16 ans, et son cousin Max. L’intrigue se passe à notre époque. Koridwen vit avec sa famille dans une ferme en Bretagne avant qu’un terrible virus ne vienne tuer 90% de la population mondiale !

Koridwen, en tant qu’experte en jeux vidéos, reçoit un message du maître du jeu de WOT. Elle doit le rejoindre le 24 décembre sous la plus vielle horloge de Paris. La jeune fille décide de s’y rendre, mais bien sûr, le voyage ne sera pas de tout repos ! elle devra changer souvent de cachette, mais elle se fera aussi beaucoup d’amis et même un petit ami.

J’ai bien aimé ce livre même si j’ai été un peu déçu par la fin. Je recommande ce livre aux bons lecteurs (il est assez long et parfois un peu difficile à suivre) et à ceux qui aiment les aventures, le suspense et les histoires d'amour.

Axel

Merci aux éditions Syros pour cette nouvelle édition en format dys du roman "C'était mon oncle" d'Yves Grevet.

Noé Petit est un adolescent solitaire dont la vie tranquille à la campagne est bouleversée par la découverte de l'existence de son oncle, Armand Petit, un SDF dont il ignorait tout jusqu'à présent. Cette révélation le perturbe émotionnellement et l’amène à se poser de nombreuses questions.



Le roman propose une réflexion à hauteur d’enfant sur le problème des sans-abris, avec beaucoup de pudeur. Yves Grevet réussit à sensibiliser les jeunes lecteurs, et les invite à porter un regard différent sur les personnes marginalisées, à cultiver l'empathie et à chercher à comprendre plutôt que de juger.

"C'était mon oncle" est un livre qui, malgré le temps qui passe (2006 pour la première édition est toujours d’actualité. L’écriture fluide et accessible en fait une lecture facile, et offre l’occasion de discuter avec les enfants d’un sacré problème de société.

Cette nouvelle bd publiée dans l'univers de Meto d'Yves Grevet fait le pont avec le roman sorti en 2023 : La Zone Noire.

On découvre un nouvel adolescent, Joe, qui mène une vie paisible jusqu'à ce que les conséquences de la surpopulation s'abatte sur sa famille et lui, et qu'il soit enlevé par les forces de l'ordre.

Je n'en dirai pas plus de peur de trop en dévoiler mais c'est la bd que j'ai préféré dans le trio d'histoires parallèles aux romans originaux. Elle permet de mieux comprendre la géopolitique de ce monde dévasté ainsi que les différents personnages que l'on a pu croiser au fur et à mesure.

Du côté des dessins, on retrouve les mêmes dessinateurs que dans le reste de la série ce qui donne un sentiment d'ensemble.

Malgré tout, la bd peut tout-à-fait se lire de manière indépendante.

Sable bleu est un livre de Yves Grevet , j’ ai choisi de lire ce livre car pour moi la 4 -ème pages de couvertures nous fait penser que le monde va mieux . On a l’ impression que le livre parle d’ aventure et d’enquête policière avec des disparitions de jeunes âgés de 15 à 25 ans . Pour moi ce livre m’a beaucoup plu car j’aime les histoires d’amour , d’ aventure et un peu d' enquête policière .



Cependant ce livre manque un peu de suspense à mon goût .

Roman pour la jeunesse qui raconte l’histoire d’un jeune garçon qui veut sauver le monde de l’invasion des extraterrestres. Il y en a un qui a pris son corps. C’est une aventure qui est plutôt drôle avec pleins de rebondissements. Le héros et l’extraterrestre sont amusants et les situations sont pleines d’humour. Les personnages cherchent tout le temps à se piéger l’un l’autre.

Le lecteur est plongé dans une intrigues de sciences fiction, on a envie de connaître la fin.

C’est une lecture longue plutôt pour les bons lecteurs qui ne se découragent pas car il n’y a pas beaucoup d’illustration.

J’ai adoré ce livre car il y a une intrigue qui est drôle. En plus l’histoire nous parle car elle se passe dans un collège, ça aurait pu nous arriver.

Aaron

Plongez dans ce roman à la découverte de la langue de Shakespeare. Trois histoires courtes pour commencer une conversation en anglais. Les histoires sont réussies, sur des sujets vastes comme celui de la famille ou de l’amitié, avec une pointe d’enquête et d’aventure. Les textes sont en français majoritairement, mais les auteurs distillent petit à petit un contenu en langue anglaise pour appréhender des mots ou des expressions en se plaçant dans l’esprit de leur héros qui découvre petit à petit cette nouvelle langue. Les adolescents déduisent, supposent ou procèdent par correspondance pour décoder les mécanismes de cette langue qui leur est inconnue. Le but est bien de comprendre les rouages et les origines des mots. Certains très proches du français, d’autres plus éloignés, mais qu’on déduit par les situations ou les contextes. Peu à peu l’histoire se dessine et le contexte s’éclaircit pour chacun des personnages de ces histoires. Trois jeunes adolescents qui vont aimer parler anglais, découvrir cette nouvelle langue au travers d’énigmes et de mystères. Entrez dans l’univers de Jeanne, Blanche Neige ou Florimond. Ils ne sont peut-être pas bilingues, mais ils vont beaucoup apprendre de ces expériences. Un roman qui se lit vite et qui apprendra aux jeunes lecteurs quelques rudiments d’anglais. Quelques bases pour commencer une conversation, se faire comprendre et s’apercevoir que ça n’est pas si compliqué une langue étrangère. Une belle découverte !
Lien : https://cafenoiretpolarsgour..