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Critiques de Yves Sente (752)
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Omula et Rema, tome 1 : La fin d'un monde

Romulus et Remus revisité mais par des femmes. Et dans des mondes que tout éloigne. Sur une planète lointaine il va falloir envoyer une expédition dirigée par les parents d’Omula chercher un nouveau monde où vivre. Ils ont tous des clones au cas où.
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Cinq branches de coton noir

Excellente BD avec un scénario très original mêlant différentes époques de l'histoire américaine, de la période d'indépendance à la seconde guerre mondiale. Suite à la découverte d'un manuscrit datant de 1776, des soldats noirs partent en mission lors de la seconde guerre mondiale. Et en toile de fond ce racisme qui n'en finit pas à travers les époques. Récit passionnant, scénario bien construit et dessins et couleurs à la hauteur.
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Cinq branches de coton noir

Le destin tragique de la communauté afro-américaine des États-Unis.



1944. Dans une base militaire américaine à Douvres, des officiers noirs se sentent frustrés : engagés pour servir leur pays, ils ne sont consignés qu'à de basses besognes et doivent en outre subir les railleries et les insultes racistes de leurs compatriotes blancs. L'un d'entre eux, le soldat Lincoln, reçoit une lettre de sa sœur Johanna : elle lui annonce avoir retrouvé les mémoires de leur tante Angela Brown, un témoignage qui pourrait bien être d'une valeur historique exceptionnelle.



Avis :

Une histoire remarquable autour du premier drapeau des Etats-Unis et de ses treize étoiles blanches, derrière lesquelles se cache peut-être un symbole pour rendre hommage à la communauté noire et à ses souffrances dans la construction de la Grande Nation de la Liberté.

A partir de 12 ans.
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Thorgal, Tome 30 : Moi, Jolan

Et bien, je ne m'y attendais pas mais j'ai bien aimé.

Déçue au plus haut point par les tomes qui avaient suivi l'arc de Shaigan-sans-merci, j'avais fait autrefois une croix sur Thorgal. Quand j'ai relu la saga, j'avais établi le même constat décevant et j'ai été, à nouveau, tentée d'arrêter au même moment. Finalement, je me suis dit : encore un petit tome, pour voir...pour tester ce que Sente a écrit. Pour voir si passer à un auteur qui, peut-être, voudra revenir à ce que Thorgal était avant que Van Hamme ne commence à s'ennuyer (c'est mon opinion personnelle) et puis, peut-être qu'une aventure ayant Jolan comme héros, laissant Thorgal se reposer changera la donne.

Et bien oui.

On retrouve ici les ingrédients qui avaient fait les meilleures heures de la saga. Un peu de magie une histoire qui traverse le temps, une quête, des épreuves, des compagnons.

Reste à voir si ce ressaut fera long feu...

Côté dessin, ce n'est plus ce que j'aimais dans le dessin de Rosinski, c'est différent, mais c'est bien.

A suivre, donc.
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Blake et Mortimer, Tome 16 : Les Sarcophage..

Les seizième et dix-septième albums de la série Blake et Mortimer constituent un double album dont la parution remonte aux années 2003 et 2004. Au cœur de leur intrigue est une menace qui plane sur l'Exposition Universelle de Bruxelles, en 1958. Dédié aux sciences et à la culture, cet événement pacifiste accueille les pavillons de nombreux pays du monde, depuis les deux superpuissances que sont les États-Unis et l'URSS jusqu'aux nations européennes, en passant, évidemment, par les nouveaux pays libérés du joug de la colonisation (le Congo par exemple). Les Britanniques, en collaboration avec l'Inde, ont mis en place une expérience scientifique inédite, qui propose de relier en temps réel, grâce à des ondes radios, le pavillon bruxellois aux bases indo-britanniques du sixième continent, l'Antarctique. Mais cette expérience, supervisée par le professeur Mortimer lui-même, est en réalité utilisée par un obscur personnage qui, sous les traits de l'antique empereur Açoka, est déterminé à utiliser les ondes radios pour de biens sombres desseins. Cette aventure, qui visite quatre continents - l'Antarctique, l'Asie, l'Afrique et l'Europe -, se réclame résolument de la série d'E. P. Jacobs, qu'elle densifie, tout en lui apportant, une fois n'est pas coutume, une dimension politique intéressante. Le double album fait toutefois la part belle à l'action, grâce à une rythme narratif marqué par les retournements de situation (par les traîtrises supposées et les traîtrises surprises), un jeu sur le rôle et l'identité des personnages (en premier lieu, Açoka et Olrik) et une patte graphique qui rassure le lecteur fidèle de la série. L'Inde, notamment, est alors le prétexte à de superbes planches qui mettent en valeur les soleils couchants ou encore les contreforts forestiers de l'Himalaya.



A bien des égards, Les sarcophages d'Açoka s'inscrivent pleinement dans l'univers de la série Blake et Mortimer. D'abord parce que les références aux autres albums sont nombreuses : des personnages vus dans d'autres albums apparaissent et campent des rôles principaux ou secondaires. Ainsi le major Varitch, croisé dans La machination Voronov, qui est le contact soviétique d'Açoka ; ainsi le professeur Ramirez, aperçu dans L'étrange rendez-vous ; ainsi le professeur Labrousse, qui tient un rôle déterminant dans ce double album et que l'on avait vu dans S.O.S. Météores. Tissant ainsi des liens avec les autres albums de la série, Les sarcophages d'Açoka densifie la série, lui faisant gagner en cohérence. Là où la série gagne en densité avec ce double album, c'est, bien-sûr, avec l'exploration de la jeunesse indienne du professeur Mortimer et celle du capitaine Blake. Mortimer a grandi dans le nord de l'Inde, à Simla, où son père était médecin militaire. Blake lui doit d'être sauvé d'un lynchage alors qu'il rend visite à son propre père, colonel dans l'armée britannique. Le retour de Mortimer dans le pays de son enfance, à la veille de la guerre, est certes l'occasion de voir le futur professeur en jeune homme de bonne famille, soumis aux ordres de son père - dont il se démarquera justement en adoptant sa barbe typique - et aux affres de la jeunesse : l'amour, fugace et dramatique, qu'il connaît avec la princesse Gita - la fille d'Açoka : cette romance tragique est à l'origine de la haine tenace que lui vouera Açoka, reprochant à Mortimer d'avoir causé la mort de sa fille -, l'amitié déçue avec Sushil, la rébellion quant à l'état du monde, et notamment quant au traitement réservé par les Britanniques aux Indiens.



Là est sans doute l'originalité des Sarcophages d'Açoka : le double album prend un écho résolument politique. De cette jeunesse indienne, il ressort effectivement cette grande inégalité de traitement entre les Britanniques et les Indiens. Les jeunes Blake et Mortimer s'en rendent vite compte, et cela leur paraît insupportable. Comment expliquer sinon qu'à la fête d'anniversaire de Philip Mortimer, fête organisée par ses parents, aucun de ses amis d'enfance indiens ne soit présent ? Les Indiens, comme d'autres populations colonisées dans le monde, sont les dominés des sociétés coloniales, et d'aucuns veulent changer cela. Gandhi, par la non-violence, est le reflet inversé d'Açoka, qui appelle aux actes de violence contre les Britanniques en particulier, et les Occidentaux en général. Cette inégalité dans les rapports selon la couleur de peau - qu'on dénommera aisément racisme - éloigne les amis même les plus proches : ainsi Mortimer et Sushil, qui symbolisent à eux deux leur pays, le Royaume-Uni et l'Inde, dont l'éloignement idéologique conduit à la fin des amitiés. La décolonisation, événement historique de l'après-guerre, rencontre dans ce double album la Guerre Froide naissante, dont le tiers-monde est une conséquence et l'Inde une figure de proue. Açoka, comme Gandhi, apparaît comme une figure historique - certes fictionnelle - majeure de cette Inde nouvellement indépendante ; les deux dénoncent l'exploitation des ressources des pays d'Asie et d'Afrique par les antiques puissances coloniales - ainsi l'uranium congolais nécessaire aux fameux sarcophages -, cependant que cette exploitation, cela est dit de façon sous-jacente par la révélation des desseins bien sombres d'Açoka, semble toujours être réalisée pour des fins bien peu honorables.



Le double album exploite d'autres thèmes, notamment ceux liés à la science qui ont fait la renommée de la série. D'abord les sarcophages du titre, qui sont à proprement parler des tombeaux renfermant le corps - et non l'esprit, qui vadrouille lui sur les ondes - du malheureux Olrik, lequel se retrouve dans la position bien étonnante d'être obligé de faire le mal pour sauver sa peau. Cette position lui vaudra d'ailleurs de devoir nouer un alliance fort inattendue. Ces sarcophages permettent ainsi de projeter les ondes du cerveau du cobaye dans le monde physique des ondes électriques, et d'occasionner ainsi de terribles dégâts, notamment, pour commencer, sur les pavillons soviétiques et américains de l'Exposition Universelle. Deuxièmement, cette thématique de la science-fiction se retrouver dans le Subglacior, mis au point par le professeur Labrousse, lequel véhicule permet de circuler au cœur de la glace antarctique. Enfin, l'émetteur que transporter Mortimer fait furieusement penser à un téléphone portable, lequel permet, à ses dépens, la géolocalisation du professeur britannique. Il ne manquait plus à ce double album, pour qu'il soit parfaitement complet, de faire un clin d’œil à la capitale mondiale de la bande-dessinée, Bruxelles, qui met à l'honneur, sur ses murs, les grandes œuvres du neuvième art. Quelques sentences bien senties relatives à une ville qu'il faut apprendre à découvrir pour en trouver les richesses finissent de nous convaincre : Les sarcophages du sixième continent a tous les ingrédients pour être un bon Blake et Mortimer, mais aussi une bonne bande-dessinée.
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Mademoiselle J, tome 2 : Je ne me marierai ..

La barre était haute suite au volume 1 "Il s'appelait Ptirou" qui était un petit chef-d'oeuvre. Et bien les auteurs Verron et Sente ont admirablement bien relevé le défi du volume 2! Les dessins sont toujours aussi magnifiques, le scénario étoffé (quoi qu'un peu improbable par moment), et les personnages toujours aussi profonds et attachants. Une formule qui fonctionne bien!
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Mademoiselle J, tome 1 : Il s'appelait Ptirou

Cette bande dessinée est réellement un petit chef-d'oeuvre comme on en rencontre rarement. Les dessins et les teintes sont magnifiques et accentuent la nostalgie de l'album. le scénério, qui remonte aux sources les plus profondes de la création du personnage de Spirou, est excellent et touchant. On n'aurait pas pu trouver une meilleure façon de rendre hommage à Rob-Vel, le créateur de Spirou, ainsi qu'à Spirou lui même. En prime, de beaux clins d'oeils à d'autres personnages de la série (particulièrement Poildur) ainsi qu'à l'histoire du Titanic. Et surtout, la création d'un nouveau personnage attachant, celui de la charmante Juliette, dont les aventures se poursuivront semble t-il. Je ne crois pas avoir versé quelques larmes à la fin de la lecture d'une bande dessinée depuis avoir lu la version noir et blanc du "Lotus bleu" d'Hergé. du grand art.
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Blake et Mortimer, tome 26 : La Vallée des Im..

J'avoue que je suis un peu perplexe avec ces deux tomes-ci, ni bons, ni mauvais. Certes on retrouve tous les protagonistes chers au regretté Edgar P. Jacobs, Olrik, bien sûr car un Blake et Mortimer sans lui, c'est comme un Tintin sans Milou, Basam-Damdu et d'autres mais l'esprit est absent d'après moi, il manque du liant. En fait si j'ai lu à peu près le premier tome, je me suis arrêté de lire à la page 10 du second. J'ai fini l'album en regardant les vignettes et les dessins. Il y a entre 12 et 14 vignettes par page, c'est trop, beaucoup trop, les personnages deviennent riquiquis et peu intéressants.

J'ai trouvé ces deux tomes fatigants trop bavards, trop, trop d'écritures, il en faut mais une BD n'est-ce pas l'alliance du verbe et du crayon? Et non un mauvais amalgame de trop d'informations?

Enfin bref grâce à Philip Mortimer on aura évité la 3ème guerre mondiale et c'est déjà énorme.

Bref n'est pas Edgar P. Jacobs qui veut, même avec le talent d'Yves Sente!
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

Du classique, proprement mené, bien servi par Jigounov qui s’y connaît en matière soviétique. Mais le trait, moins versé dans le design, comme le scénario, un peu trop dans l’explication, ne vibrent pas avec la même intensité que le duo Vance-Van Hamme. Est-ce le lecteur ou le sujet qui est fatigué ? Les deux peut-être…
Lien : https://www.actuabd.com/XIII..
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Blake et Mortimer, tome 14 : La machination..

En lisant cette aventure de Blake et Mortimer, je me suis vite fatigué et ennuyé. Je me suis surpris à sauter la lecture de certaines bulles pour vite arriver à la fin de l’histoire .

Le début laisse présager une bonne histoire d’espionnage mais elle sombre très vite dans la banalité.

Si l’univers de Jacobs est respecté, les dessins laissent malheureusement à désirer.

Cette reprise est un échec.
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

Cuba, où tout à commencé, oui, mais ce n’est qu’une partie de la fable. Le prochain volume intitulé en bon français Moscow – Space House indique que la suite se passera à l’Est. Que de mystère à venir !
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Blake et Mortimer, tome 23 : Le bâton de Plut..

23 ème tome des péripéties de Blake et Mortimer et prequelle de leur première aventure.

c'est dans l’ordre chronologique que j'ai choisi de lire les 28 tomes plutôt que dans leur ordre de parution car beaucoup disent avoir été gênés et parfois perdus parles allers-retour dans le temps.

Blake et Mortimer se retrouvent après des années et commencent à travailler ensemble en plein cœur de la seconde guerre mondiale.

A force de persévérance ils mettront à jour un complot et des espions pour enfin gagcette guerre.

Des dessins très géométriques, rectilignes qui dénotent une certaine ancienneté.
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Cinq branches de coton noir

Cinq branches de coton noir, c'est un bout de tissu caché dans l'un des plus beaux emblèmes de la nation américaine.

C'est pour cette étoile que Lincoln et ses amis, qui se morfondent dans un camp militaire en Europe à la fin de la Seconde Guerre mondiale, vont risquer leur vie.

Ils rêvent de prendre les armes pour chasser l'Allemand.

Ils veulent contribuer à la libération.

Problème  ?

Ils sont noirs.

Et l'armée américaine, ne leur donne que des tâches subalternes.

Pas question de les imaginer briller au combat.

L'Amérique de la ségrégation a débarqué son racisme avec ses troupes.

Pourtant, avec l'aide de sa soeur restée au pays, Linc va se voir confier une mission périlleuse.

Voilà donc le sujet de ce magnifique et incontournable album signé Steve Cuzor (dessin), Yves Sente (scénario) et Meephe Versaevel ( couleurs) qui ont su formidablement mettre en images une histoire qu'on aurait aimée réelle.

Alors, oui, c'est de la fiction, presque une légende, même, mais l'important, c'est le message qui est envoyé, un nouveau pavé dans la mare du racisme.

Et évidemment, on s'attache aux personnages qui luttent pour exister dans un monde qui, au-delà de la guerre, les méprise.

L'émotion est au rendez-vous de ce roman graphique totalement réussi.
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

Ce tome commence avec notre amnésique par sa mémoire rechargée est sous le contrôle de la Fondation Mayflower qui a de nouveaux objectifs pour les prochaines élections présidentielles de trouver un hacker spécialisé dans la manipulation des votes détenu à Cuba. Mais des Russes du GRU y sont intéressés et font tout pour le récupérer. Mais on sera assez déçu par des passages rocambolesques comme la tentative d'assassinat de Jones et Carrington par les mercenaires de l'USAFE, la méfiance affichée d'Allerton envers Janet Fitzsimmons qui a de trop grandes ambitions, la scène de l'infirmerie de la prison à Cuba. Yves Sente joue toujours avec les nerfs des lecteurs alors que le second cycle est loin d'être achevé. Là encore, ça perd un peu du charme qu'il avait auparavant. Espérons que le prochain tome sera plus divertissant.
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

Cette fois-ci il aura fallu attendre deux années avant de connaître la suite des aventures de XIII. Le délai de parution entre deux albums semble ici raccourcir mais, il faut bien reconnaître que, Mémoire rechargée nous avait laissés dans une situation d’attente très inconfortable.



Nous replongeons donc dans cette ambiance nouvelle. Celle-ci aurait pu ressembler à de la science-fiction mais malheureusement le scénario est devenu une sorte d’intrigue peut-être pas aussi irréaliste. Drôle de monde...



Le titre annoncé a été changé et il faut bien reconnaître qu’il est autrement plus alléchant que celui qui était prévu, bien qu’un brin racoleur il reste fidèle au programme. Oui XIII ira bien à Cuba, oui, il va y avoir des révélations sur son passé (ce qui n’est plus arrivé depuis plusieurs albums maintenant) mais tout n’est pas dit pour autant.



Le rythme est ici intense, il y aura de nombreux clins d’œil, et des surprises. Bon, certaines sont clairement attendues, mais qu’importe, cela fait partie du jeu. De nouveaux personnages feront ici leur apparition et ceux-là sont clairement dans le ton de la série qui renoue ici avec son héritage.



Les dessins sont toujours aussi bons, efficaces et adaptées. Le changement de théâtre d’opérations sera ici clairement bénéfique.



Cet album n’est clairement pas l’un de ceux qui marquent un terme mais il n’en demeure pas moins efficace et donnera immanquablement envie de lire la suite. Encore faut-il supporter l’attente…
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

XIII est de retour et il est - encore - amnésique mais cette fois ci cela a été provoqué par Janet Fitzsimmons, tête pensante de l'organisation Mayflowe, devenue sa femme. Elle souhaite en faire le prochain président des USA quitte à tuer quelques personnes pour cela. Totalement soumis et surveillé via des lunettes et un garde du corps geek, elle décide de l'envoyer à Cuba pour récupérer un hacker de génie emprisonné. Lui seul pourrait truquer les futures élections. Mais celui ci qui a travaillé pour les russes, a réussi à leur transmettre sa position pour qu'ils viennent les chercher. Une fois arrivé à Cuba, contrairement à ce que souhaitait Janet, les souvenirs d'une partie de sa vie vont lui revenir, période où il se faisait appeler Kelly Brian alias le Cascador. Des anciens amis vont pouvoir lui raconter une des périodes de sa vie dont il ne s'est jamais souvenu.

Que dire? Cela reste intéressant et bien mené, même si le coup de l'amnésie, celui de la rebellion de Carrington, de la trahison systématique, cela déjà était fait plusieurs fois dans la saga XIII. Une escale à Cuba, c'était plutôt interessant mais finalement cela reste un huis clos dans une prison et des complots de tout coté, russe contre américain avec des cubains en arbitre.

Le dessin est précis, élégant. Rien à redire.

Cela se lit bien, mais les rebondissements sont un tantinet excessifs. La prochaine étape se déroulera en Russie, peut être un vrai renouvellement?
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

Cuba, où tout a commencé est une bonne lecture, un bon divertissement, même si le récit n'est pas des plus originaux. Néanmoins, nous passons un bon moment en compagnie de XIII et les dernières cases donnent envie de découvrir la suite, qui nous entrainera à Moscou.
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

J'ai toujours été fan de cette série. Le titre nous rappelait que celle-ci avait débuté à Cuba. Je m'attendais à quelque chose d'assez puissant et évocateur de ce passé.



Malheureusement, le déclic ne s'est pas produit. Le récit patine autour d'une salle d'infirmerie et d'ancien personnages assez pathétiques qui reviennent à la charge. Le second souffle n'a pas vraiment eu lieu. Par ailleurs, c'est du réchauffé car on nous refait le coup de l'amnésique !



Evidemment, je suis un peu déçu par ce tome qui promettait. Je pense que les séries à rallonge ne sont jamais une bonne chose surtout pour les fans. Il faut passer parfois à autre chose. La saga XIII en prend un coup. Certains clameront que XIII est mort et enterré sur le mode comment tuer la poule aux œufs d'or. On peut les comprendre.



Je pense réellement que cette BD mériterait une conclusion digne de ses débuts et plutôt rapide. Bref, sans vouloir faire de méchant jeu de mot sur l'amnésie, on peut oublier ce tome !
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

XIII a toujours la mémoire qui flanche, une habitude mais des lueurs de temps en temps. Belle escapade sous-marine ce qui n’empêche pas comme dans le précédent album qu’on piétine un peu. Une réunion de vieux copains qui certes est sympathique.
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XIII, tome 28 : Cuba, où tout a commencé

XIII est une série que je suis par habitude plus que par envie. Le premier cycle jusqu'au tome 12 (le jugement était excellent), le tome 13 instructif puisqu'on y retrouve bon nombres d'explications sur la conjuration. S'ensuite quelques récits assez variables pour conclure au tome 19 (le dernier round). 



On croyait l'aventure définitivement terminée mais les éditeurs ont choisi de relancer la série avec un nouveau scénariste… bienvenu à la conjuration du Mayflower! Dans cette nouvelle séquence XIII va retourner dans des endroits parcouru dans le passé sur la piste de ses origines. Bref, un retour en arrière avec des nouvelles aventures tantôt palpitantes tantôt passables.

Avant de commencer ce nouvel album, j'ai relu les 2 précédents tomes. Et franchement il faut arrêter ça tourne et tourne en rond avec encore et toujours la même chose. 

Quelle excellente idée (attention spoil) de manipuler la mémoire du héros et de lui implanter une puce dans le cerveau pour le grand méchant en face ce qu'il veule. Grand méchant qu'on sait lui-même manipulé. XIII est sauvé, oh zut il a perdu (à nouveau) une partie de la mémoire et se souvient au contact d'une personne d'anciens souvenir qui vont le mener vers d'autres aventures. 

J'avoue que c'est extrêmement résumé. Surtout que j'avais trouvé le tome 27 plutôt bon mais à un moment il faut la conclure la série ! Il faut arrêter de revenir tout le temps avec les mêmes ingrédients ! 

Donc pour moi ce sera STOP je n'irai pas au delà de ce nouvel album qui n'apporte pas grand chose hormis de relancer éternellement la série. 

Bref, je passerai mon chemin pour le futur et ce sera quelques euros d'économisés pour lire une autre série. 



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