Éric Laurent

C'était l'un des brillant chef d'etat de l'histoire

il a un niveau intellectuel extraordinaire et a une politique objective

Hélas ce qu'on ne dit jamais sur le Maroc !!!!!!!!!!!!!!! la pauvreté des gens dans certains villages, comme Khouribga !!! les enfants crachent sur les ardoises et effacent la craie avec leurs doigts, l'école pour les petits est payante dès 3 ans et on dirait des grottes, c'est tout sombre et pas entretenu, ce n'est pas du tout comme le luxe de nos écoles en France !!!!! Il faut le savoir, je l'ai constaté, vu de mes propres yeux, ils n'ont pas de matériel, pas de beaux cahiers, etc....J'en passe et des pires !!!! Hélas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Une très intéressante d'enquête livrée par un l'éminent journaliste Eric Laurent sur le 11/09, notamment sur les transactions boursière douteuses (délits d'inities) qu'avaient touché la AA et U A du 06 au 10/09/2001.

"Frapper fort et symboliquement. Les bureaux de Morgan Stanley Dean Witter and Co,un des principaux établissement financiers de la planète, occupent 22 étages jusqu'au 110e de la Tour 2 du World Trade Center. Le vol United175 a percuté le building à peu près à l'emplacement de ces bureaux. Et je découvre en lisant les relevés que 2157options à la vente de Morgan Stanley ont été achetées dans les trois jours précédant l'attentat, alors que le volume ordinaire pour ces options se montait à seulement 27vcontrats par jour avant le 6 septembre 2001.L'action Morgan Stanley a chuté de 48,90cdollars à 42,50 dollars après le11septembre. Les spéculateurs ont empoché au minimum 1,2million de dollars. Scénario identique pour un autre géant de la finance, Merrill Lynch and Co, dont les siège est situé à proximité des Twin Towers .12215 options à la vente ont été acquises entre le 6 et le10 septembre. Auparavant, 1le volume des transactions tournait autour de 252 contrats par jour. Quand le marché a rouvert, l’action a glissé de 46,88 dollars à 41,50 dollars. Millions de dollars. Gain estimé: au moins 5.5 million de dollar " qui les en avaient soufflé l'information ? Ben Laden qui dans son trou à Tora Bora ne disposant même pas d'une télévision selon le témoignage de Eric Laurent ? Peu être oui ! Selon Eric Laurent certains hauts établissements des agences secrètes sont passés par les institutions financieres américains ! Était ce une coïncidence ? Beaucoup de vérités qui donnent à réfléchir sur l'ampleur, la complexité, les enjeux et les auteurs de l'hécatombe ! J'aurais aimé que l'auteur se soit focalisé dans la deuxième partie du livre sur la façon de la destruction des tours jumelles que selon des experts de la destruction tel que Mark Loizeaux de Controlled Demolition Incorporated qui parle d'un dynamitage contrôlé, et le grand énigme du bâtiment 7 qui a été détruit bien qu'il n'ait pas été percuté par aucun avion !!! Selon certains enquêteurs qui sont souvent taxés de conspirationnistes ce dernier aurait servi de QG pour la besogne et l’autre énigme du Boeing 757 du vol AA77 qui avait percuté le pentagone sans faire de dégâts énorme ni laisser de débris ! Bien qu'il ait des idées et des intentions criminelles, Ben Laden que les services secrets saoudiens, pakistanais et américains avaient conçu ne soit pas en mesure de coordonner une opération de telle ampleur dans le pays le plus sûr du monde que plus de 26 services secrets qui se gèrent à hauteur de 30 milliard USD entre autres services; la CIA, le NORAD qui détecte même les mouches dans les marécages, ,la NSA, le FBI et l'NRO. Selon certains analystes, l'industrie militaires US qui génère des milliards a toujours besoin d'être alimenter avec des guerres pour rester en vie ! Un autre facteur, le pétrole. Il n’est de secret que l'administration américaine est un conseil d'administration d'une multinationale, les bush, Cheney, Rice, Rumsfeld et d'autres sont tous actionnaires dans des multinationales pétrolières qui pour rester dominantes du marché n'hésiteraient pas à alimenter des guerres (Afghanistan , Iraq) pour contrôler les points stratégiques des gisements pour faire barrage au chinois, russes et indiens qui en ont besoin pour leurs industries .

Critique de Philippe MOREAU DEFARGES, parue dans la revue Politique étrangère, n°2 de l'année 1985 :



« Les capitalistes nous vendront eux- mêmes la corde avec laquelle nous les pendrons » a écrit Lénine. Cette phrase est le fil conducteur de la passionnante enquête d'Eric Laurent : cerner le rôle exact des milieux d'affaires, surtout américains, dans le développement du communisme depuis 1917. La conclusion du livre est, a priori, sans équivoque : l'aide de certains capitalistes est intervenue de manière déterminante lors de chaque phase essentielle de l'histoire de l'URSS. Ainsi existerait une sorte de conjuration universelle entre les dirigeants soviétiques et quelques-uns des hommes les plus riches de la terre...



Mais ce livre séduisant, que le lecteur ne parvient pas à abandonner avant la dernière page, constitue en définitive un nœud d'interrogations.



Il appartient à un genre littéraire, très connu des Anglo-Saxons, celui des ouvrages fondés sur la théorie du complot : l'histoire serait faite par quelques individus cachés, tout puissants et unis par un seul but, la domination du monde. Cette vision obsède Balzac, mais aussi Hitler ou Staline, et tant d'autres.



Dans ce livre d'Eric Laurent, cette histoire prend une force particulière parce qu'elle se confond en fait avec un homme : Armand Hammer, âgé de 87 ans aujourd'hui, multimilliardaire américain, ayant assisté, en invité d'honneur, aux obsèques de Lénine... et à celles de Tchernenko.



Ce médiateur entre Reagan et Gromyko est-il Vautrin ou une marionnette ? Un homme d'argent ou un prophète machiavélique ? A l'issue du livre, le mystère demeure entier : que cherche cet homme : la puissance ou la certitude du mépris ? Peut-être la réponse ne sera-t-elle donnée que le jour où le dernier capitaliste, petit-fils ou arrière-petit-fils d'Hammer, tendra son cou et le glissera dans le nœud coulant de cette corde, dernière marchandise à vendre... Lénine a écrit quelque part : « Nous sommes tous des condamnés à mort », et son disciple Staline d'ajouter : « C'est toujours la mort qui gagne... ».



Philippe MOREAU DEFARGES.

Je suis Marocaine, et en lisant ce livre, je peux résumer mes sensations, mes réflexions,.. en 3 mots : "J'AI LA RAGE".

C'en est trop de cette monarchie prédatrice merdique !

Des informations intéressantes dans cet ouvrage.

Néanmoins, Eric Laurent ignorant tout des mécanismes du marché, ses analyses sont très discutables. Eric Laurent ne sait pas que les interventions des Etats qu’il appelle de ses vœux pour anticiper des pénuries, sont loin d’être la bonne réponse. Elles faussent les informations en introduisant des dysfonctionnements dans le mécanisme des prix et mènent ainsi aux résultats inverses à ceux escomptés.

Outre une analyse erronée, cette éternelle inclinaison en France pour un étatisme échevelé, présente le grave inconvénient (pour les citoyens, pas pour les hommes de l’Etat !) d’être justifiée par des idées fausses propagées dans tous les esprits.

Ajoutons que le livre a été publié au début des années 2000 et les prévisions alarmistes d’Eric Laurent (cela fait vendre) s’avèrent aujourd’hui inexactes.

mon avis ces informations mises en ce livre doivent être publiées avec leurs preuves

sinon il reste une marge de probabilité qui peut les nier

Je suis étonné de voir les critiques concernant ce livre qui pourtant si il ne résout pas l'énigme du 11 septembre apporte quelques lumières et dévoilent plusieurs mensonges. J'ai trouvé l'enquête sérieuse, j'ai même été étonné du nombre de personnalités qu'a pu rencontré Eric LAURENT au cours de ses investigations. La description du délit d'initié boursier avant l'attentat pose questions, en fait les découvertes des aspects cachés de cette affaire ouvrent bien des pistes. Ce qui est sur c'est que la vérité n'a pas été dévoilée et que le vrais visage des attentats du 11 septembre sont moins simples que les versions qui ont été fournies aux populations.

Après la face cachée du 11 septembre paru en 2004, Eric Laurent nous livre tous les secrets liés aux manipulations de cours et mensonges des compagnies pétrolières anglaises et américaines depuis le début de la période pétrolière . Son enquête nous permet de resituer le role du pétrole dans les grands conflits pour mieux comprendre les conflits politiques et géostratégiques. A lire

Bizarrement découpé mais très très riche, des infos lus nulle part ailleurs

Une vrai histoire cachée du pétrole et une vrai vision des perspectives (sinistres)

On reste un peu sur ça faim : certains points obscures du 11 septembre ne sont pas du tout traités, l'auteur s'en tient à une enquête géopolitique.

Mais l'approche géopolitique a du bon aussi, les rôles se trouvant redistribués (entre Arabie Saoudie/Pakistan et Aghanistan/Irak).

Certains informations glanées sur le terrain sont aussi fort utile pour démontrer que la version officiel n'est que mensonges (ex : les grottes de Tora Bora)

En janvier et en février 1991, les pays les plus engagés militairement contre l'Irak, sont: les États-Unis, la Grande-Bretagne, et la France. Le 28 février Saddam Hussein cesse le combat, cette guerre a montré la supériorité technologique des États-Unis : avions furtifs, missiles Patriot et à porté un coup sévère à l'économie irakienne aggravée par un embargo en août 1990 et qui n'était pas levé à la fin de l'année 1996. Les destructions qui ont eu lieu lors du conflit irakien ont laissé des blessures irréparables. Comment ne pas citer l'exceptionnelle richesse du patrimoine culturel de l'Irak, ce berceau des civilisations mutilé lors de cette terrible Guerre du Golf, laisse encore la communauté scientifique internationale sous le choc, et une population irakienne exsangue. Tout cela pour l'or noir: le pétrole.

L'auteur nous dévoile mensonges et silence encore officiels qui entourent la tragédie du 11 septembre au terme d'une enquête troublante aux states, au quatar, au pakistan et près du refuge d'Oussama Ben Laden. Ses révélations battent en brèche les versions officielles et démasquent les transactions douteuses sur les marchés financiers dans les semaines qui précedent l'attentat ou encore le rôle de l'adminisration américaine qui défendent les interets de multinationales directement impliquées.

Très intéressant, cet ouvrage développe la mainmise du roi sur l'économie du pays via les participations qu'il détient dans la plupart des grandes entreprises marocaines ; participations souvent forcées par des pratiques qui feraient hurler de rage tout adepte de la libre concurrence...Entre délits d'initiés et pactoles ramassés suite à une entrée en bourse, hausse minime des prix de biens primaires augmentant sa fortune, argent public dédié à ses fonctions et développement d'une cour de patrons et d'économistes dont le statut de favori peut basculer d'un instant à l'autre, l'empire du souverain marocain peut faire bondir. Si le roi est considéré comme ayant beaucoup contribué à la réussite et à la croissance actuelle du pays, on ne peut que rire jaune devant le bénéfice qu'il a réalisé de son côté, et les sommes qui pourraient bénéficier au peuple marocain dont une partie vit encore dans la précarité.

Ce qui fera surtout bondir de l'autre côté de la Méditerranée, ce sont les avantages consentis par la France et par les entreprises françaises qui, pour la plupart, acceptent cette situation de fait sans remettre en cause la corruption ou les sommes démesurées investies dans certains projets dont on ne peut que douter de la pertinence...

La première guerre du Golfe, déjà...

Si on aime le thriller, l’espionnage c’est un livre plaisant, agréable à lire, mais ce n’est pas un livre transcendant… L’action est rondement menée, le style est clair et agréable, mais Le Troisième Fléau sent le déjà-vu. Bref, j’ai trouvé ce livre assez classique et sans grande originalité…

Une plongee dans les relations troubles entretenues par la famille bush,qui a donne deux presidents aux États-Unis et le clan ben laden,d'abord allie commercial puis ennemi jure.Un livre bien étayé,bien documenté,et qui se lit comme un roman policier.N'en attendez pas trop quand meme nous restons ici sur du livre sans portee litteraire assumee.

Un livre dans lequel on s’attend à avoir beaucoup de réponses face à de nombreuses interrogations mais malheureusement il n’y en a pas ; non pas parce que luvre ne répind pas aux attentes mais parce qu’il est très difficiles de savoir.

De nombreuses études très poussées, très sérieuses ont apporté des idées mais cela reste dans le vague.

Beaucoup d’enjeux politiques sous cela

Très instructif sur les dessous de la politique pétrolière (des USA en particulier). Ecrit en 2006 mais presque prophétique.

La conspiration imaginée par Eric Laurent joue avec nos peurs : mainmise de la Chine sur le monde, marchés financiers grippés et hors de contrôles, une Europe faible exclue de la scène politique internationale.

Ce thriller financier propose une intrigue à la fois plausible et effrayante qui laisse au lecteur un goût amer. La prédominance d'une atmosphère lourde et pesante, un rythme lent contribuent à figer les personnages dans une position de faiblesse où ils n'ont plus guère prise avec leurs destins...