• « 𝕯𝖊𝖚𝖘 𝕯𝖊𝖔𝖗𝖚𝖒 » 𝖉𝖊 𝕮é𝖑𝖎𝖒 𝕸𝖆𝖓𝖎, 𝖕𝖚𝖇𝖑𝖎é 𝖈𝖍𝖊𝖟 𝕷𝖎𝖇𝖗𝖎𝖓𝖔𝖛𝖆.
• 𝘝𝘪𝘯𝘨𝘵-𝘵𝘳𝘰𝘪𝘴𝘪è𝘮𝘦 𝘭𝘦𝘤𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘦𝘯 𝘵𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘮𝘦𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥𝘶 𝘑𝘶𝘳𝘺 𝘥𝘦 𝘭𝘦𝘤𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘓𝘪𝘣𝘳𝘪𝘯𝘰𝘷𝘢, 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘦 𝘤𝘢𝘥𝘳𝘦 𝘥𝘶 𝘗𝘳𝘪𝘹 𝘥𝘦𝘴 é𝘵𝘰𝘪𝘭𝘦𝘴 𝘓𝘪𝘣𝘳𝘪𝘯𝘰𝘷𝘢 – 𝘗𝘳𝘪𝘹 𝘭𝘪𝘵𝘵é𝘳𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭'𝘢𝘶𝘵𝘰é𝘥𝘪𝘵𝘪𝘰𝘯.
[𝐋𝐞 𝐥𝐢𝐯𝐫𝐞]
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Deus Deorum, c'est le livre qui dans ces premières lignes m'ennuyait à mourir, et qui me donnait cette impression de vouloir être gore pour être gore. Et puis au fil des chapitres, j'ai commencé à moins repéré ces étranges effusions d'hémoglobine et j'ai commencé à m'intéresser à cette histoire totalement démente.. Je suis arrivé à la fin de cette aventure diabolique avec un revirement total de mes impressions du départ. Oui, j'ai finalement beaucoup apprécié ce premier roman de
Célim Mani.
• le récit de notre écrivain en herbe est très complet, avec ces 367 pages, il nous fait parcourir l'Enfer et ses démons sous toutes ses coutures. Je dis l'Enfer, mais en réalité, ce sont plusieurs religions et leurs créatures qui peuplent les pages de ce livre, allant du christianisme, à la mythologie grecque, mais également la mythologie égyptienne (de façon moindre toutefois). Étant assez friand d'histoires mettant en scène des créatures et personnages mythologique, je n'ai pu que finalement me régaler face à tant d'apparitions et de lore. le récit oscille entre passages dramatiques et humoristiques pour détendre l'atmosphère suffocante du mythique combat de notre héros.
• Ce livre regorge de moments forts et de rebondissements inattendus. le lecteur qui a su s'accrocher au départ de cette aventure, n'en ressortira pas indemne, cette lecture marquant un tournant dans son parcours. Beaucoup n'aimeront pas, et je les comprends, j'ai moi-même été franchement étonné d'apprécier à ce point ce délire divin. Ce qui casse vraiment l'histoire selon moi, ce sont les passages que j'évoquais en tout début de ma critique, ces scènes de violences et de pouvoirs toujours plus grand qui sonne comme une exagération et qui perde le lecteur dans le rapport de puissance des personnages.. C'est la deuxième partie du roman qui a pour moi été son apothéose.
• Les personnages sont nombreux, traités de façon assez inégale, mais cela apporte vraiment beaucoup à l'oeuvre. J'ai détesté le premier personnage principal, et j'ai été surpris du choix du deuxième qui a su petit à petit offrir un vrai dynamisme à l'histoire, à l'aide de ses compagnons de route. Les divinités mises en scène sont très intéressantes, les personnages qui sont selon moi les plus charismatiques et agréables à suivre.
• Il ne faut pas oublier les illustrations présentes dans le livre, celles-ci dépeignant visuellement le manoir au centre de cette grande histoire. Elles ne sont pas époustouflantes, mais apportent un petit plus à l'ensemble. L'auteur a eu la bonne idée d'y ajouter un effet et un cadre de photographie ancienne, qui colle parfaitement au reste.
[𝐋𝐚 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐢𝐧]
• Cette critique est très en retard, et c'est pour cela que celle-ci ne reflète pas assez les qualités de ce roman. Ce roman est une expérience à part, et je comprends aisément le fait que celui-ci sorte par le biais de l'auto-édition. Je ne sais pas si je dois le conseiller, mais si vous recherchez une lecture vraiment atypique, celle-ci fera parfaitement l'affaire.
𝕷𝖊 𝕻𝖍é𝖓𝖎𝖝 𝖓𝖔𝖎𝖗 𝖘'é𝖛𝖊𝖎𝖑𝖑𝖊𝖗𝖆 à 𝖓𝖔𝖚𝖛𝖊𝖆𝖚, 𝖎𝖑 𝖊𝖒𝖇𝖗𝖆𝖘𝖊𝖗𝖆 𝖑𝖊 𝖈oe𝖚𝖗 𝖉𝖊𝖘 𝖍𝖔𝖒𝖒𝖊𝖘 𝖊𝖙 𝖉𝖊𝖘 𝖋𝖊𝖒𝖒𝖊𝖘 𝖕𝖔𝖚𝖗 𝖑𝖊𝖘 𝖈𝖔𝖓𝖋𝖔𝖗𝖙𝖊𝖗 𝖉𝖆𝖓𝖘 𝖑𝖊𝖚𝖗𝖘 𝖕é𝖈𝖍é𝖘.