La vie ne se réduisait pas au bonheur de servir les autres. Il arrivait toujours un moment où il devenait nécessaire de penser à soi.
Trop souvent, les femmes se préoccupaient des autres plus que d’elles-mêmes. Or, ce n’était pas le meilleur moyen de commander le respect.
Il n’y a pas de femmes frigides, seulement de mauvais amants.
La lecture, c’était ce qu’il y avait de mieux, pour s’échapper.
On devenait plus égoïste avec l’âge.