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EAN : 9782494109018
472 pages
Editions Hurlevent (12/10/2022)
4.35/5   84 notes
Résumé :
Angleterre, 1841. Elena Quincy, fille du comte de Winchester, mène une existence paisible au cœur de la campagne anglaise, dans un écrin de verdure qu’elle se plaît à parcourir à cheval, au détriment de ses leçons d’étiquette dont elle se passerait volontiers. Mais le calme de son quotidien est brisé lorsqu’elle assiste dans la ville de Southampton à une scène d’une rare violence entre un maître d’œuvre et son employé, un enfant d’à peine dix ans.
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Critiques, Analyses et Avis (45) Voir plus Ajouter une critique
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Angleterre, 1841. Elena Quincy, fille du Comte de Winchester vit à la campagne avec ses quatre frères, Jack, Joshua, Charles et Dominic. Elle aime la vie au manoir, en pleine nature ainsi que les moments de liberté qu'elle s'octroie lors de balades à cheval.

Un jour, elle accompagne la gouvernante de la famille dans la ville de Southampton pour y effectuer des achats. Elle assiste alors, en pleine rue, à une scène terrible. Un enfant d'une dizaine d'années est violenté et battu par son maître, aux yeux de tous.

Personne n'intervient. Cet événement trouble la jeune femme qui décide d'en écrire un article pour dénoncer cette violence qui règne dans les rues des grandes villes. L'article sera publié dans le Chronical, le journal le plus lu en Angleterre. Il y fait la une, tout le monde le lit. On en a même connaissance à Buckingham Palace.
A la suite de cela, la Reine Victoria demande à la rencontrer. Elena se rend à Buckingham et découvre tout un univers qu'elle ne connaît pas. La Reine souhaite qu'elle devienne sa dame de compagnie, une proposition qui ne se refuse pas. L'idée est de l'aider dans son combat pour la protection des enfants et surtout de la tenir à l'oeil.

Ce roman est le premier des éditions Hurlevent que je lis et j'ai tout simplement adoré. L'autrice nous emmène tout droit au sein de la Cour d'Angleterre, dans l'entourage de la Reine.

Elena y rencontre beaucoup de personnalités. Elle se fait des alliés en les personnes de Charlotte et de Mr Osborne mais également des ennemis qui souhaitent lui mettre des bâtons dans les roues.

De son côté, la jeune femme découvre les mondanités de la Cour et essaie de trouver sa place et de tenir un rôle entre l'aristocratie, le personnel et la Reine elle-même.

Complots politiques, histoire d'amour, et attentes d'un peuple au bord de la révolte sont au programme.

Un roman qui m'a fait penser à ceux de Dickens dans son atmosphère, traitant de l'enfance et de la pauvreté existante en Angleterre au 19ème siècle.

"La duchesse de Buckingham" est aussi la rencontre avec une héroïne au grand coeur, courageuse, téméraire et dévouée.

Une très belle découverte des éditions Hurlevent.

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Certaines lectures laissent une empreinte indélébile dans notre coeur, pour de multiples raisons : des personnages authentiques et terriblement attachants ; une intrigue haletante ; une plume envoûtante ; des dialogues d'un réalisme fou ; ou encore une myriade d'émotions ressenties au fil des pages… « La Duchesse de Buckingham » fait partie de celles-ci. Alors que j'avais déjà été séduite « le Choeur singulier de Milly Davis », j'ai eu un vrai coup de foudre pour ma dernière lecture des éditions Hurlevent, publiée en 2022.

Si j'ai autant aimé ce roman, c'est avant tout car il nous transporte en plein coeur de l'Angleterre victorienne, au plus près des intrigues de la Cour, de ses faux-semblants, des rumeurs (souvent fausses) qui y pullulent, par le biais du destin de son héroïne, la jeune Elena Quincy, issue d'une famille noble mais portée par une soif d'humanité et de justice envers la population infantile exploitée, violentée, ignorée. A la suite de la publication d'un article dénonçant les terribles conditions de travail des enfants, Elena est mandée afin de devenir l'une des dames de compagnie de la Reine Victoria en personne -cette dernière pouvant par la même occasion garder un oeil sur la jeune femme. Si Elena y fait des rencontres marquantes, à commencer par l'homme qui bouleversera sa vie, elle devra également se méfier de certaines personnes malveillantes qui pourraient bien nuire à sa réputation…

Honnêtement, je n'ai trouvé aucun défaut à ce roman qui se savoure tel le plus délicat thé anglais, profitant de chaque ligne, chaque dialogue, chaque description, tout en tournant les pages avec avidité et le coeur battant… J'ai bien évidemment succombé à la délicieuse histoire d'amour « enemies to lovers » digne d'un roman de Jane Austen, entre l'ardente Elena et un admirable représentant des héros victoriens ! Enfin, les thèmes évoqués m'ont tous passionnée, des coulisses du règne de Victoria, aux revendications des chartistes en passant par la lutte des classes.

Vous l'aurez compris : « La Duchesse de Buckingham » est un immense coup de coeur, une belle réussite de l'année littéraire 2024 !
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S'il y a des romans qui me donnent envie de voyager dans le temps, La Duchesse de Buckingham écrit par Shannen Malka en fait partie. En refermant ce manuscrit, pléthore d'images me viennent en tête : un cheval lancé au triple galop les sabots heurtant avec majesté l'herbe humide d'une aurore naissante, un pli écrit à la va vite scellé d'un cachet de cire encore brûlant, une danse accordée lors d'un bal aux multiples chandelles faisant scintiller de mille feux les toilettes choisies avec soin, la porte d'une bibliothèque qui grince malgré toute la discrétion déployée, l'art de discourir entre porte cochère et salon cosy aux entrées réservées, un regard échangé au détour d'une révérence, l'effervescence des cuisines à l'heure d'une réception dans des sphères inégalées, la douce cadence de talons fins sur les pavés de la ville qui s'agite ...

Ces sensations, ces impressions, ces visions vives et fugaces nourrissent ce roman de la plus pure et la plus belle des façons. L'époque Victorienne est derrière chaque page dans ce qu'elle a de plus contrasté et riche à la fois. La Reine Victoria, femme de pouvoir et de caractère est à l'image d'Elena Quincy, le personnage principal de cette épopée romanesque. Entre elle et Elona Holmes, soeur cadette de Sherlock créée par Conan Doyle - auteur de l'époque - il n'y a qu'un pas. Fougueuse, libre, aventureuse, têtue et indépendante, Elena a grandi entourée de figures masculines : son père et ses quatre frères, Charles, Jack, Joshua et Dominic. Issue d'une famille aristocratique dont le domaine et le château n'ont rien à envier au château de Highclere, elle n'a que faire de la bienséance, du qu'en dira-t-on, de sa réputation et de celle de sa famille. Elle veut la liberté, elle veut pouvoir se mouvoir sans contrainte et clamer haut et fort ce qu'elle pense. Ses prédispositions à la révolte prennent leur envol alors qu'elle est confrontée à une scène de violence infantile, une scène qui va dévoiler toute la monstruosité du genre humain. Elena, choyée et protégée, bercée dans un cocon de velours, découvre alors qu'au-delà des limites du domaine familiale, la vie est toute autre. Elle va alors pousser son premier cri du coeur. A partir de cet instant, sa soif de justice sociale ne va pas défaillir depuis les rues de Winchester jusqu'aux bas fonds de Londres, elle va utiliser sa position nouvellement acquise à la cour de la reine pour changer les choses.

La Duchesse de Buckingham est le roman de toutes les dualités : celle d'un rang à tenir et de convictions à explorer, celle d'une amitié fraternelle évidente et d'un amour inattendu, celle d'une autorité défiée et d'une famille à protéger ... L'auteure nous offre un personnage tiraillé et nous-même lecteur le sommes à notre tour. Nous grinçons des dents à maintes reprises, retenons notre respiration plus d'une fois ... Elena c'est l'essence même de ce roman, sa colonne vertébrale, c'est elle qui fait pulser chaque mot, chaque sentiment, c'est elle qui nous fait vibrer, qui nous entraîne inlassablement dans sa soif de justice sociale. Avant-gardiste, elle prend plaisir à partager son tea time avec Charlotte, sa gouvernante, elle fréquente le petit personnel et éprouve un réel intérêt pour eux, pour leurs aspirations et leur vie. Elena Quincy ne renonce jamais et ne pense pas aux conséquences de ses actes. Elle agit avec ses tripes et non avec sa tête. Elle apporte une vraie fraîcheur et une naïveté qui rend ce roman si envoûtant et percutant à la fois. Tout n'est que passion dans ce manuscrit avec un pan plutôt politique qui n'ignore rien de la révolution sociale anglaise menée tambour battant par les chartistes et un autre pan plus romantique jouant sur cette figure à la Darcy de l'homme détestée et détestable.

L'écriture de Shannen Malka ne s'encombre pas de fioritures inutiles, elle nous sert avec justesse et fluidité la richesse d'un règne qui prend toute la mesure de ses limites. Et c'est sous ce regard attendrissant d'Elena que nous prenons toute la mesure des enjeux d'une époque.
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C'est avec un immense plaisir que je me suis plongée dans cette nouvelle parution des éditions Hurlevent, entreprise que je suis heureuse de soutenir et dont je salue chaleureusement le travail de publication de grande qualité.

"La Duchesse de Buckingham" est un roman historique se déroulant à l'époque Victorienne. La jeune Elena Quincy, jeune femme impétueuse et rebelle, assiste un jour à une terrible scène alors qu'elle est en ville avec sa gouvernante : un jeune enfant, la peau sur les os, se fait battre jusqu'au sang par son employeur. Voulant lutter contre les conditions horribles du travail infantile, les pas d'Elena la mène à Buckingham où elle a l'opportunité de servir la reine Victoria, et d'oeuvrer pour de meilleurs lendemains.

J'ai beaucoup aimé l'atmosphère du roman ; l'autrice est historienne de l'art, et cela se ressent. le mobilier, les toilettes portées par ces dames, les bâtiments : on a une image très nette de l'environnement.
Les références à "Oliver Twist" de Charles Dickens sont très agréables et donnent à l'intrigue une approche originale.
La plume est également très fluide : il ne m'a fallut que quelques jours pour lire le roman, les pages défilaient avec beaucoup de facilité.

Je dois admettre toutefois avoir rencontré une difficulté importante dans cette histoire, qui tempère quelque peu ma lecture : les personnages.
Je n'ai pas reussi à m'attacher à Elena. C'est une femme moderne pour son époque, et impulsive, "vraie" dans ses émotions. Toutefois, l'impulsivité, ou même la naïveté ne sont pas synonymes de "bêtise". Or, à de nombreuses reprises, c'est de bêtise dont Elena fait preuve. Elle agit sans penser aux conséquences de ses actes, faisant payer aux autres le fruit de ses actions. Elle dessert, constamment, sa propre cause : je me rappelle même d'une ligne de dialogue de la reine Victoria lui disant distinctement que ses projets auraient pu voir le jour, si seulement elle avait fait preuve de patience et de tempérance. À de nombreuses reprises, nous comprenons qu'Elena est novice dans le domaine de la politique et a peu de connaissances : mais à aucun moment le personnage ne m'a donné l'impression d'apprendre réellement de ses erreurs, continuant de tempêter sur la reine d'Angleterre ou de bafouer les règles. Elle fait ça avec les meilleures intentions du monde : mais cela ne justifie pas tout, notamment dans le cadre d'action politique se voulant durable. Elle se fait mener par le bout du nez à plusieurs reprises (et même, à deux occasions, par le même personnage...). Et malgré ses erreurs, parfois très graves, personne ne lui en veut vraiment ; elle a, en quelques sortes, le "beau rôle" à chaque fois. En fait, ce qui m'a gêné avec les personnages, c'est qu'un grand nombre de situations auraient pu être évitées si juste... ils se parlaient entre eux. Alors oui, il n'y aurait pas d'histoire autrement, mais j'y ai vu pas mal de facilités.
À termes, je crois que j'ai davantage eu de sympathie pour la reine Victoria qui s'échinait à trouver un juste milieu entre ce qui pouvait et devait être fait, entre la stabilité du royaume et la justice devant être appliquée.

Peut-être ai-je également mal compris un élément de l'histoire, mais avec le recul je ne saisis pas le titre, "La Duchesse de Buckingham" ? Elena n'est pas duchesse de Buckingham, et le seul personnage me venant à l'esprit ayant cette fonction dans l'intrigue est un personnage secondaire ?

Qu'on ne se méprenne pas : malgré cette absence d'alchimie entre les différents personnages et moi-même (point qui reste très subjectif au vu des autres reviews que j'ai pu lire), j'ai passé une très bonne lecture et recommande chaudement cet ouvrage à tous les amoureux des rues londoniennes, et des intrigues de cours...

Hâte de me plonger dans la prochaine aventure Hurlevent !
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Après une tribune dénonçant la maltraitance envers les enfants défavorisés, Elena, fille de comte est invitée à Buckingham pour devenir l'une des suivantes de la Reine Victoria. Elle découvre alors les codes et manigances de la Cour royale d'Angleterre et devra apprendre à y faire face.
Ce roman historique fut plaisant à lire, dans la digne lignée des Juliette Benzoni où l'Histoire est assez romancée pour la rendre accessible et agréable à lire. Nous ne sommes donc pas dans un roman historique pur où tout est sujet à en apprendre plus sur l'époque. Ici, on a juste ce qu'il faut pour cerner les enjeux politiques de la période et l'atmosphère de la Cour Royale d'Angleterre du milieu du XIXe siècle. Mais – car il y a un petit mais – je regrette juste que certains aspects se règlent un peu trop rapidement. Ainsi, la crédibilité de l'ensemble en pâtit un petit peu. Elena, en quelques mois, parvient à obtenir ce qu'elle veut de la part de la Reine, un orphelinat, alors que d'un autre côté on insiste sur le fait que changer les moeurs de la société est un travail de longue haleine. Cela paraît si simple d'un côté que l'on ne comprend pas vraiment pourquoi les choses n'évoluent pas plus vite. Mais, comme je le soulignais plus haut, ce roman est avant tout une histoire de femme qui se déroule dans un contexte historique plutôt qu'un traité sur l'Angleterre du XIXe siècle. Je lui pardonne donc ses quelques facilités mais cela m'empêche quand même de lui donner une meilleure note.
Du côté des personnages, Elena est agréable à suivre. Certes, l'autrice nous sert l'archétype du personnage féminin « pas comme les autres femmes » : elle fait preuve d'une empathie exceptionnelle, elle s'intéresse aux enjeux politiques, elle aime la nature, se préoccupe peu de son apparence etc. Des traits de caractère qui font qu'elle se fait remarquer par un lord ombrageux mais qui est meilleur homme que la plupart. Encore une fois, c'est agréable à lire mais c'est un trope tellement utilisé dans ce genre de littérature que l'ensemble n'est pas vraiment original.
Par contre, j'ai beaucoup apprécié la manière dont l'autrice dépeint le personnage de Victoria. J'avais peur que l'on ait droit à un portrait idéalisé de la souveraine mais l'autrice est parvenue à la rendre assez complexe pour que ce soit une Reine crédible. Ainsi, elle arrive bien à rendre la dichotomie de Victoria, reine qui se soucie de son peuple mais qui reste une femme qui a son caractère et ses intransigeances. Je trouve que c'est l'élément le plus réussi du roman.
En conclusion, ce roman fut sympathique, dans la droite lignée de ce qui a du succès en ce moment dans la littérature dite « féminine » : le destin d'une femme hors du commun pour son époque. Malgré quelques facilités qui peuvent entacher la crédibilité de l'ensemble , la lecture fut agréable. En clair, ce n'est pas un roman fait pour les férus de l'Histoire avec un grand H qui s'offusquent à la moindre erreur de date. Non, cette oeuvre est écrite pour celles et ceux qui, comme moi, aiment l'Histoire romancée et facile d'accès.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Il y a deux jours que j'ai terminé ce livre et je n'en reste pas moins chamboulée.

J'ai fortement été touchée, happée par ce roman historique.

J'ai tant aimé passer mon temps au côté d'Elena.
Cette femme admirative tant par sa détermination, sa ténacité son culot même.
Je n'avais vraiment pas envie de la quitter.

J'ai également découvert une reine Victoria attachante, dont j'avais une image scolaire, de par les manuels d'histoire que je trouvais à l'époque antipathique à souhait.

Tant d'émotions ressenties lors de la lecture, captivée, emmenée par la plume de Shannen, perdue même dans mes jugements de certains protagonistes que j'ai aimé détester (hashtag maso bonjour 😬).

J'ai beaucoup appris historiquement parlant, ce livre est une mine d'informations, des us et coutumes de la royauté, mais également de la culture en elle même.

Des annotations faisant référence à des faits, ouvrages à l'appuis) l'autrice à fait un travail de recherche titanesque pour mener à bien ce livre employant vocabulaire et descriptifs qui ne pouvaient que nous emporter dans l'histoire.

Cette lecture commune à été organisée par les @editionshurlevent
Que je remercie tant par leur gentillesse, que par la découverte d'autres passionnées de lecture donnant naissance à des sniffeuses de livres expertes 😉.

Et parlons également de ce magnifique ouvrage, une reliure esthétique et un choix d'autrices à ce jour parfaites à mes yeux.

Merci Shannen pour ce voyage, ce partage, cette histoire touchante, cette invitation musicale au fil des chapîtres nous plongeant encore plus dans les faits.
Tu m'as donné envie de découvrir cette reine que j'avais mal jugée.

Hâte de lire tes prochains ouvrages.

Pour moi c'est un coup de ❤️

Et un 🌕🌕🌕🌕🌕/5

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Au-delà des hôtels particuliers et des maisons cossues, là où les cheminées des usines rejetaient leur fumée, Elena devinait les rues lugubres polluées par la crasse, les mendiants qui erraient comme des âmes en peine, les enfants qui travaillaient pour espérer gagner un morceau de pain qui les maintiendrait en vie jusqu’à leur prochaine journée de travail.
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Elena retourna dans ses appartements après sa balade matinale, ses joues rosies par le soleil et la fraîcheur de Londres à peine éveillé. Ces courts instants de splendeur solitaire avaient ravivé en elle une quiétude absente depuis la veille. À la manière d’un chef de fanfare martelant son tambour pour insuffler le rythme et la détermination à ses camarades, le bruit des sabots de sa jument lui avait donné l’envie de d’avancer malgré tout.
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C'est en laissant sa chance aux autres que l'espoir renaît, même lorsqu'on pense que la vie nous a abandonné.
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J’ai vécu mille morts en étant si éloigné de vous.
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