J'ai tenu une centaine de pages. Je me suis accrochée au maximum, il fallait bien la perspective de lire un roman du Nicaragua pour me motiver à dépasser la page 22 !!
Ce roman m'a fait penser à Cent ans de solitude de Marquez (que je me suis battue pour finir) et aux Groseilles de novembre de Kivirähk (que j'ai bien aimé). Il y a ces familles tentaculaires, ces relations entre villageois, ces anecdotes qui s'égrènent.
Mais ces phrases qui sont des paragraphes. Mais cette multitude de personnages dont plusieurs qui portent le même nom et dont on ne sait plus quelles sont les relations. Mais les histoires qui s'emboîtent comme des poupées russes, brouillant le fil principal et la chronologie.
Bref, j'étais totalement perdue et j'ai continué du mieux que j'ai pu.
La littérature des pays d'Amérique centrale est difficile à trouver et je suis déçue que la première incursion que j'arrive à faire dans cette région du monde se soit si mal passée ! J'espère que ça ira mieux pour les prochains – j'avais déjà du mal à trouver des romans qui me tentent et qui soient « trouvables », cette déception ne va pas arranger les choses…
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En medio de gran entusiasmo compartido en todos los estratos sociales, fue absuelta por el tribunal de jurados sorteado al efecto, doña María Luisa vda.de Oliú. La gentil dama, quien pese al cautiverio sufrido luce siempre bella y juvenil, como pudo comprobarlo la nutrida concurrencia que se dió cita en el juzgado, fue procesada por asesinato en la persona de Jerónimo Montes, quien a su vez había asesinado al marido de doña María Luisa debido a una vieja enemistad por asuntos de negocios. Hace tres meses, ésta última le disparó toda la carga de un revólver que llevaba oculto en su cartera cuando el jurado de conciencia conocía del proceso contra Montes por el asesinato del señor Oliú; la viuda, desconfiando de la justicia, la tomó por su propia mano y ahora fue absuelta entre nutridos aplausos y los parabienes de sus amistades, a los cuales se agregan los nuestros Le dernier cri de la mode americaine lo encuentra en LA CASA DE LOS BOTONES, Calle de Candelaria: preciosidades en botones de fantasía y adornos para vestidos de señoras, señoritas y niñas) PASAJEROS DEL AIRE: en el avión de la Taca llegaron ayer los siguientes pasajeros: de El Salvador, Juan Wassmer; de Tegucigalpa, Edward C. Walterman; se fueron a San José, Dora Santisteban y una niña; Francisco Amighetti, Flora de Amighetti ¡JUSTICIA SOCIAL!