Les ombres des magies enfantines, la fugacité, toute musicale, que révèlent les fragiles enchantements capturés dans ces belles nouvelles d'une facture à l'évidence quasi classique. de ces dix-huit nouvelles, outre la musique qui les relie, se dégage une très fine relation de l'enfance, ses liens compliqués à la réalité adulte, celle sans doute dont, habilement, l'auteur dévoile la perte, sa souriante mélancolie surtout. Györgi Dragomán charme avec ce Choeur des lions d'une grande maîtrise dans l'évocation des sentiments, dans notre incapacité à les entendre, dans cette capacité que seule la musique aurait à communiquer leur heureuse dissipation.
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