En tournant les pages, je me demandais jusqu'où irait l'horreur !
L'adage "profites de la vie, elle n'est pas éternelle" est foulé aux pieds
dans ce texte où la mort parait plus vivanle que la vie elle-même.
Les personnages sont enfermés dans leurs vies et leurs souffrances et
le cimetière, acteur principal de la nouvelle, est la porte vers la
délivrance.
Le style de
Louise Aubyn est puissant, presqu'oppressant tant ces
mots nous emmènent à ne pas lâcher le livre avant la fin !