Bon, mais ses propriétaires, lorsqu'ils venaient la voir en été, étaient si enchantés de la solitude qui l'entourait qu'elle aussi était contente pour eux. C'était une maison aimable, pas contrariante pour un sou, qui s'égayait à la seule idée qu'on pût aimer ce qu'elle offrait. Et son plus beau cadeau, paraît-il, était le silence. (p.14)