Suite et fin de l'adaptation du célèbre roman. Graphiquement, rien n'a changé depuis le premier opus. Les couleurs restent bien maîtrisées. J'avoue avoir été bien moins séduit par la mise en oeuvre du scénario qui se limite à une succession de scènes de ... de quoi? Impossible de trouver le mot : bataille? cannibalisme? goûter?
Puisque la frontière entre humain et animal est devenue floue dans ce roman, les mots deviennent difficiles à trouver. Un retour à l'original me semble plus conseillé.
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Dans ce deuxième et dernier tome de L’île du Docteur Moreau, Edward Prendick mesure les conséquences du projet du savant fou, lequel hybride des bêtes et des hommes.
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Tamaillon a réussi à garder le suspense jusqu'au bout.
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Loin de la multitude des villes, je consacre mes nuits à observer le ciel. Les étoiles chassent pour un temps les figures menaçantes tapies dans une ombre ou la forme d'un nuage.
Les doutes, les tourments et les péchés des hommes apparaissent bien futiles au regard des vastes lois éternelles de la matière.