Mince... Horreur et putréfaction... je me suis fourvoyée lors de la dernière sélection de Masse critique graphique (d'ailleurs au passage, merci à Babelio et aux éditions Omaké manga, et encore désolé de cette erreur de casting)...
Je pensais postuler pour faire la critique d'un manga genre ero-guro, ou horreur fantastique façon
Junji Ito ou Maruo... et non... me voilà avec un pur manga façon "grands yeux" et frénésie de bruitages qui parasitent la lisibilité du dessin déjà limitée par les lignes de mouvements des personnages.
Bref, en clair, je n'arrive pas à lire ce manga, je me perds dans les personnages, qui bien sur, se ressemblent tous mis à part la couleur des cheveux... Non, ce MonsTaboo n'est pas pour la vieille créature que je suis... Pourtant l'histoire m'intéressait, une jeune fille en a marre des agresseurs et des pervers qui plombent la ville. Un monstre-lapin va l'aider à traquer ces monstres libidineux... Mais finalement ça sera sans moi. Je retourne à mes
Junji Ito et autres senseis de l'ero-guro que j'affectionne tant.