Bon, Tchen-Qîn sort du "ventre du dragon", et
Cothias nous fait le coup de l'amnésie.
Vraiment, avis à tous les réalisateurs de films, les auteurs, les scénaristes de BD : il faut arrêter avec l'amnésie. Je sais que c'est bien commode, mais on a vraiment fait le tour du sujet, là.
On continue à découvrir les moeurs a priori plutôt débectantes des seigneurs japonais du moyen-âge.
Quelques maladresses qui relèvent presque de l'amateurisme, comme un bout de phrase qui ressemble fort à une note de bas de page, mis directement dans un phylactère.
Quelques moments poignants aussi, comme les échanges entre Maître Oda et ses ouailles, ou avec Mara la réprouvée.
Une note d'ensemble mitigée, en bref.
Alors que je viens de sortir d'une relecture complète des 7 vies de l'épervier du même scénariste, cette relecture-ci n'est pas loin de me décevoir.