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4,14

sur 1221 notes
isbn:9782290319024
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J'ai beaucoup entendu que les cavernes d'acier étai le meilleur livre du cycle des robots. Je ne trouve pas que ça soit le cas. Mais bon sang que j'ai aimé cette histoire, Asimov arrive toujours à me surprendre et à m'intéresser.
Ici nous suivons un nouveau personnage Elijah Baley que l'on suivra dans d'autres histoires. L'histoire prend place sur Terre mais bien bieeeeen. Après le tome précédent, des milliers d'années les séparent. On peut imaginer que les robots sont enfin accepté la société mais rien du tout. Il y en a même presque aucun sur Terre. Dans ces cas là on peut imaginer que les planètes de la galaxie ont été conquis comme les tomes précédents nous l'amorçait. Et bien non loin de là. Alors bon sang que c'est il passé ?
Les Terrien ont décidé de colonisé des planète mais ce sont retrouvés dans une situation critique. La population terrestre n'a cessé de grandir alors ils ont arrêté nette l'exploration de l'espace. Toute fois il y avait déjà des colonies sur ces planètes explorer que les Terrien ont implémenter. La planète terre a donc décidé de ne plus améliorer leurs technologies spaciale mais celle de la production de masse. Ainsi ils sont capables de nourrir des milliards d'habitants. le temps à passer et un jour les être des mondes extérieurs sont venus. On appelle comme ça les colonies fait par la Terre sur d'autres planètes. Et il y avait une différence de taille. Les mondes extérieurs sont très peu nombreux mais surpuissant technologiquement. La Terre elle a arrêté de faire progresser leurs armée depuis des siècles pour ce concentré sur le rendement. Et en à peine quelques jours la Terre a du admettre sa défaite. Une forme de racisme immense occupe l'esprit des Terrien vis a vis de ces maudits spaciens.
Mais dans tout celà où intervient Baley ?
Et bien il y a eu un meurtre à spacetown. La ville des spaciens. Cela est impensable qu'un terrien ai pu pénétrer sur le territoire par les axes principaux. Cela est même impossible les spaciens l'aurait vu. Il n'y a qu'une explication. L'intru s'y est rendu par l'extérieur. Mais cela est aussi inconcevable car aucun être humain pour l'amour de dieu n'irais en dehors des cité fermé. Personne n'as mis les pieds dehors depuis des siècles. Alors comment est ce possible ?
Pour cela Baley devra faire enquête avec Daneel Olivaw. En tout cas c'est de cette façon dont il est présenté. Son véritable nom est R. Daneel. ( R dans un nom signifie qu'il s'agit d'un robot ). Cela est inconcevable pour Baley d'enquêter sur un meurtre d'un maudit spaciens qui plus est avec un robot et pour couronner le tout ce robot est un robot spaciens. Alors comment vont ils pouvoir résoudre cette enquête.

Je ne peut évidemment que recommander cette lecture. Ce livre est une excellente continuité du cycle des robots et montre l'impact qu'Asimov a eu sur le monde de la science fiction.
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En découvrant le troisième tome du « Cycle des Robots : Les Cavernes d'Acier » d'Isaac Asimov, j'ai été immédiatement intriguée par l'univers proposé. L'introduction du livre a éveillé ma curiosité sans toutefois dévoiler tous ses secrets, laissant une part de mystère à l'intrigue. Les premières pages m'ont transportée dans un monde futuriste où les robots cohabitent avec les humains, mais où les tensions entre les deux groupes sont palpables.

Isaac Asimov, figure majeure de la science-fiction, situe son oeuvre dans un contexte où les avancées technologiques remettent en question les normes sociales et la nature même de l'humanité. Son exploration des dilemmes éthiques et moraux posés par l'intelligence artificielle s'inscrit dans un dialogue avec les questionnements contemporains sur l'avenir de la technologie. Ce livre a attiré mon attention en raison de ma passion pour la science-fiction et mon intérêt pour les récits explorant les frontières entre l'homme et la machine. Je fais aussi partie des personnes déjà conquises par l'ingéniosité des intrigues et la profondeur des personnages développés par Asimov via d'autres ouvrages.

Le style d'écriture d'Isaac Asimov, comme toujours, se distingue par sa clarté et sa concision, ainsi que par sa capacité à créer un monde crédible et cohérent. Ses descriptions évocatrices et ses dialogues percutants contribuent à immerger directement dans son univers. « Les Cavernes d'Acier » aborde une multitude de thèmes profonds, allant de la nature de l'intelligence artificielle à la question de l'identité et de la coexistence pacifique entre les différentes formes de vie. L'intrigue se déroule dans un monde riche en détails, où les enjeux politiques et sociaux se mêlent à une intrigue policière.

Les personnages principaux, tels que l'inspecteur Elijah Baley et son partenaire robotique R. Daneel Olivaw, sont développés avec soin et nuance, ce qui contribue à enrichir l'intrigue et à susciter l'empathie. Leur évolution tout au long du récit apporte une profondeur supplémentaire à l'histoire et permet d'explorer les thèmes abordés sous différents angles. La structure narrative du livre est habilement construite, alternant entre moments de suspense et réflexions philosophiques. Les rebondissements inattendus maintiennent un rythme soutenu tout en offrant des pauses pour approfondir les thèmes abordés.

Ce livre suscite à coup sûr la réflexion tout en offrant une lecture divertissante. Les thèmes abordés et les réflexions philosophiques m'ont accompagnée bien au-delà de la dernière page, et je recommande vivement cette oeuvre à tous les amateurs de science-fiction. En conclusion, je donne à « Les Cavernes d'Acier » une note parfaite de 5/5 et je le recommande chaudement à tous ceux en quête d'une lecture stimulante et enrichissante.
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J'avais envie de me relancer dans cette série vu comme j'avais apprécié les 2 premiers tomes mais j'ai eu du mal à me mettre dedans. Les précédents étaient des nouvelles tandis qu'ici, on est vraiment dans une histoire complète. C'était aussi très compliqué de se situer dans le temps par rapport aux nouvelles. C'est une sorte de nouveau cycle. Une seule histoire et on suivra les mêmes personnages dans les prochains tomes.

Je ne me suis pas plus que ça attaché au personne de Lije mais il restait sympa à suivre. La relation qu'il a avec sa femme est assez particulière mais je pense que cela vient surtout d'elle, elle est très étrange et réagit bizarrement. On sent qu'il a bon fond, qu'il est loyal et dévoué à la société mais à même de réfléchir et avoir un esprit critique. Cela en fait un bon détective et malgré qu'il n'apprécie pas les robots, il va quand même accepter de travailler avec un.

New York ne donne pas envie d'y vivre du tout mais elle est tellement bien décrite qu'on a l'impression qu'elle existe quelque part. On découvre une ville à l'apogée de la technologie où chacun à sa place, malgré qu'ils soient 10 milliards (si je ne dis pas de bêtises). Les gens ont l'air plus ou moins heureux, du moins jusqu'à l'arrivée de robots dans la société. C'était très prenant de voir l'évolution de certains face aux robots, tant en bien qu'en mal mais aussi comment le robot s'est adapté à tout ce qu'il a vu et appris.

Finalement, je me suis laissée portée par l'histoire et j'ai bien apprécié même si j'ai pris bien plus de temps pour le lire que les 2 premiers tomes. Au moins pour la suite, je sais que ce sera d'autres aventures avec Lije et le robot Daneel. Et je me faisais la réflexion que l'auteur a écrit ses romans début 1970 et qu'actuellement, ils sont loin d'être démodé ni sur le fond ni sur la forme, ce qui est une belle preuve de talent je trouve.
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J'ai beaucoup plus apprécié ce tome que le précédent (et presque autant que le premier). J'ai commencé à être vraiment dedans à partir du chapitre 8 et j'ai beaucoup aimé suivre cette enquête.
Déjà parce que je n'ai pas souvent l'occasion de suivre des histoires de meurtres mystérieux dans un cadre de science fiction. Ensuite les enjeux sont assez colossaux, mais enfin et surtout on suit un enquêteur qui n'est pas parfait. Elijah fait des erreurs et commets même de grosses bourdes dans ses déductions. Ce n'est pas un Sherlock Holmes et c'est rafraichissant.
Et de façon générale, l'histoire m'a toujours surpris. Asimov a évité les "chemins narratifs" trop évidents pour le lecteur, l'identité du tueur est inattendue et il n'hésite pas à apporter une réponse tranchée sur certains questionnements importants.

Le style est toujours très froid et robotique, ce qui limite pas mal notre attachement aux personnages. Mais je m'y suis habitué et c'est un bon livre que je vous conseille.
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Le livre aborde des points qui font grandement écho aujourd'hui : il s'agit ici d'un robot venu enquêter sur un meurtre. C'est le dernier modèle, il est très ressemblant à un humain, si bien que tous les humains ne se rendent pas compte à quoi ils ont affaire. Certains, à force d'analyser ses expressions ou gestes, comprennent. On est en plein dans la uncanny valley (vallée de l'étrange) que nous laisse les VFX d'acteurs numériques ou d'images générées par les "IA" (qui n'en sont pas, bref !).
Ensuite, la surpopulation et pollution poussent les humains à une vie terriblement orchestrée pour subvenir au besoin de chacun (cantines distribuant des rations, logements distribués selon la taille des familles...)
Tout cela est fabuleux !
MAIS (il fallait s'y attendre !) le livre souffre de son époque : le sexisme à tout va (les femmes sont enfermées à la maison comme de bonnes ménagères et sont idiotes) et la morale / solution finale que l'auteur veut enfoncer dans le crâne du lecteur est à vomir.
SPOILER :

La Terre est surpeuplée et polluée, le monde décrit ne donne envie à personne d'y vivre (aucune liberté, toute la consommation est contrôlée, évidemment), la nature n'existe plus, les humains vivent totalement cloitrés dans des villes bétonnées et des tunnels.
La solution à cela ? Ne surtout pas arrêter de se reproduire comme des champignons sur un plat avarié, mais de continuer à vivre en consommant à tout va et déménager vers d'autres planètes et jeter la Terre comme un détritus. Et les robots feront les bases besognes pendant que les humains seront tous ingénieurs ! C'était les années 70, on peut presque pardonner cette vision à l'auteur. Ce qui est triste, c'est qu'il a sans doute grandement influencé la pensée de "penseurs" d'aujourd'hui qui croient dur comme à fer à ces inepties.
On n'est pas sorti de la décharge !
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On continue le cycle des robots, mais avec quelques nouveautés !

Tout d'abord, l'on quitte le format nouvelles pour aborder un roman. Il ne s'agit donc plus désormais d'une compilations d'histoires différentes, mais d'une seule histoire plus dense.

Ensuite, nous entrons dans un nouveau cadre spatio-temporel : nous suivons la vie du détective Baley, dans une futur plus éloigné encore, de notre époque bien sûr, mais également de la dernière nouvelle concernant les robots.

Le changement de format n'est pas désagréable, même si on appréciait quand même le côté abondant du format nouvelles.

L'on découvre une humanité qui a évolué (ou pas !) avec le robot, et les changements de mentalité (ou pas !) qui vont avec.

Les références à notre époque actuelle sont amusantes et bien intégrées, le fossé est clairement établi entre ces deux époques.

L'intrigue en elle-même est sympathique, sans pour autant être un polar exceptionnel. La curiosité qui nous prend à connaître le meurtrier l'emporte facilement, et on se prête au jeu des hypothèses.

L'évolution du personnage de Baley est particulièrement intéressante. Sans entrer dans les détails, il est en train de vivre un changement radical dans sa vie et sa façon de pensée, et l'on ressent bien cette évolution dans le récit, rien n'est soudain, rien ne sort de nulle part.

Il y aurait peut-être 2-3 trucs à pointer du doigt au niveau du scénario, mais cela peut s'expliquer SI l'on prend la peine de regarder avec les yeux du détective Baley.

Bref, un moment sympa, même si j'ai préféré les recueils précédents.

Ma note : 15/20

Bonne lecture !
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J'avais énormément apprécié Fondation, mais j'ai fini par m'essouffler dans la lecture des nombreux tomes. C'est pourquoi j'ai cherché un nouvel élan en commençant (presque) par le début. Je pense qu'Asimov est victime de son succès. Les règles de la robotique qu'il pose, et par extension tout son monde futuriste, sont devenues des standards de la science-fiction. Si bien que l'on a sans cesse l'impression d'un déjà vu. Un lecteur contemporain doit donc garder à l'esprit le côté innovant pour 1954. D'ailleurs, certaines de ses trouvailles sont encore tout à fait inexploitées, notamment sur sa vision des déplacements urbains. (On ne voit plus les tapis roulant de la même manière après cela !). Malgré tout, j'ai trouvé ce roman un peu simpliste, en particulier dans le dénouement de l'intrigue policière…. Fondation me semble plus complexe et raffiné, je suis donc un peu resté sur ma faim… mais sans doute l'ai-je lu trop tard (vieux!).
(Chronique complète sur Instagram)
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Alors que les deux premiers tomes du "Cycle des robots" sont des recueils de nouvelles, "Les Cavernes d'acier" est un roman d'un seul tenant. Dès le premier chapitre, le cadre est posé : une société futuriste où les Terriens ont pour voisins les Spaciens, une société idéale où les maladies ont été éradiquées et où les robots font partie de la vie courante. du côté terrien, les individus sont séparés en classes qui leur donnent accès à plus ou moins de privilèges comme des places assises dans les transports, de la nourriture plus variée, l'accès à des activités diverses, etc. Cette structure sociale se retrouve dans de nombreux ouvrages de Science Fiction comme "Le Meilleur des mondes" d'Aldous Huxley.

Le contenu du roman est connu car il a servi d'inspiration, avec d'autres textes d'Isaac Asimov, au film "I Robot" : un enquêteur terrien doit collaborer avec un robot pour résoudre l'énigme de la mort d'un sociologue Spacien qui travaillait à l'établissement d'une société où humains et robots pourraient vivre en harmonie. Les soupçons se portent sur les Terriens, particulièrement hostiles à la robotique, et en particulier sur les groupes médiévalistes qui appellent de leurs voeux le retour à un passé fantasmé. Cependant, plus que l'intrigue c'est la vision d'un futur possible qui m'intéresse et m'interpelle en raison de la multitude de sujets qu'elle aborde ; un nouveau monde ne peut en effet être crédible que s'il comporte un certain nombre d'éléments que l'auteur met ici en scène de manière convaincante et engageante.

Comme l'a déclaré Asimov, la Science Fiction est le genre littéraire le plus pertinent pour notre époque car "il est le seul qui part du principe que les sociétés vont changer". En effet, dans ce roman, il explore un futur possible et les problématiques qui y sont associées : l'accroissement de la population et l'abaissement du niveau de vie en raison des ressources limitées, l'exode d'une partie de la population dans l'espace, la réorganisation terrestre autour de grands centres urbains, l'adaptation de l'alimentation due à la raréfaction de la viande, les bactéries et virus comme plus grande menace pour la vie humaine, la création d'alternatives au pétrole, la limitation de la natalité, etc. Pour en savoir un peu plus sur l'auteur et son oeuvre, je vous conseille vivement le documentaire "Isaac Asimov, l'étrange testament du père des robots" sur Arte !

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Une enquête partiellement résolue ?

Ce troisième tome, à l'inverse de ses prédécesseurs, est constitué d'une seule histoire. Nous ne retrouvons plus les séries de nouvelles auxquelles Isaac Asimov commençait à nous habituer. Quoiqu'il en soit, ce format n'est en rien déplaisant.
L'enquête que nous allons suivre au fil de livre, manque selon moi d'un petit quelque chose. D'une sorte d'étincelle qui permettrait de rendre l'oeuvre davantage dynamique. Je regrette que l'intérêt du livre ait porté autant sur des convictions philosophiques et politiques, que sur le meurtre en lui-même.
De mon point de vue, l'auteur utilise le format de l'enquête pour faire passer des messages et remettre en question les aspects de la vie. Un choix, que je ne désapprouve pas mais qui me fera ressortir un avis mitigé pour ce tome.
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